Switch Mode

Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 66

En regardant en arrière

Tome 2 – Chapitre 66 – En regardant en arrière

“Donc cela a été réalisé. Ça fait un moment que nous avons pas eu une telle journée chargée.”

Un homme, dans la force de l’age, avait sa main sur son fier bouc et regardait dans une certaine direction sur le sommet d’un mur.

Cet endroit était la section nord-est de Tsige. Sur cette terre qui est pratiquement entourée que par les remparts d’un énorme mur, seule cette section était différente.

Depuis la sortie nord-est, il y avait un vaste chemin superbement pavé qui s’étendait au loin.

Le mur, qui protégeait la cité, s’étendait sur les deux cotés de ce grand chemin. Cette route continuait jusqu’à l’horizon et on ne nous pouvait pas en voir la fin.

Cette voie a été nommée ‘La Grande Route Dorée’. C’était le chemin le plus sûr et le plus culminant dans ce monde. La largeur atteignait les 10 mètres et il est protégé par un grand mur tout le long. La route va de l’extrémité sud de Tsige, à l’extrémité nord de la ville commerçante de l’empire, la Cité Robin. Chaque nation l’entretenait et l’améliorait.

Il y avait même des cités qui ont été créées à proximité de cette voie et se sont développées.

Elle a été faite pour que les marchands puissent transporter une grande quantité de marchandise en toute sécurité, pour que les personnes importantes puissent se déplacer en sécurité de pays en pays, pour le bien de la transmission des informations importantes que l’on ne pouvait pas communiquer par télépathie, mais aussi vite que possible. Pour des raisons diverses, cette grande route est utilisée.

À cause du coût d’utilisation assez élevé, il n’y avait pratiquement aucun passant ou aventurier en vue.

D’ailleurs, dans différentes villes qui œuvraient comme des points relais, des cercles de téléportations sont disposés pour faire en sorte que tu puisses être transféré les unes après les autres dans les différentes villes qui sont connectées à la route.

Raidou, qui est parti de Tsige aujourd’hui, était encore sur la Grande Route Dorée. Il utilisait de nombreux cercles de téléportations pour se diriger vers la lointaine Cité Académique. Mais même avec ces points relais, l’arrivée à leur direction prendra encore un certain temps. Il n’y avait aucun doute ‘‘qu’il’’ était dans la direction que le fier homme au bouc et l’homme entièrement vêtu de noir, qui l’accompagnait, regardaient.

“Tu as totalement raison. Même s’ils transitent sans repos, pour qu’ils atteignent la Cité Académique, cela devrait être prendre 3 jours.”

“Oui. Mais cela n’aurait pas été mieux qu’il dise au moins au revoir à Lisa et aux filles ? Même si leurs cheveux sont un peu courts, je ne pense pas que ça dérangerait Raidou-dono.”

“Les femmes ont leurs propres façon de penser.”

“Bien… Donc c’était une telle chose. Et alors, Morris…”

L’homme a essayé de détourner l’attention de son majordome. Ses yeux n’étaient pas ceux de quelqu’un qui accompagnaient une connaissance, ni les yeux d’un père pensant à sa famille.

“Qu’est-ce qu’il y a ?” (Morris)

L’homme nommé Morris devait l’avoir remarqué, il a répondu à son maître un peu sèchement.

“Tomoe-dono et Mio-dono. De ton point de vue, à quoi ressemblent-elles ?” (Rembrandt)

“En termes de force physique, peu importe laquelle, je devrais lever mes mains pour admettre ma défaite. En termes de commerce, Mio-sama serait plus à l’aise mais à la fin, elle ne pourrait rien faire qui ne laisse pas un goût amer. Je pense qu’elles sont des femmes qui correspondent à leur niveau.” (Morris)

“… Donc c’est ainsi que c’est, hein. Eh bien, les mots “Je connais ma place et je sais ce que je dois faire.” que Tomoe a dit… Je n’ai pas d’autre choix que de croire en eux. Qu’en est-il des personnes de la Compagnie Kuzunoha affectée à notre magasin ?” (Rembrandt)

“Je leur ai parlé plusieurs fois et d’après ce que je sais, les Nains sont des artisans. Les autres, que j’ai pu voir une fois avec Tomoe-sama, semblaient être Hyumains, mais ils avaient une peau brune et des yeux rouges donc je pense qu’ils sont des demi-Humains. Ils ont dû savoir vivre alors cela ne ressemblait pas à des personnes qui causeraient des ennuis.” (Morris)

“Raidou-dono n’a pas l’intention d’employer d’Hyumains ?” (Rembrandt)

Rembrandt a incliné la tête. Les servantes qu’il avait, Tomoe et Mio, étaient des Hyumains, mais les autres étaient tous des Demi-Humains. En prenant en compte leurs caractéristiques, la majeure partie d’entre eux semblait avoir des apparences proches des Hyumains, mais il n’y avait aucun Hyumain comme employé.

“Pour l’instant, il semble que ce ne soit que Tomoe-sama et Mio-sama. Il connaît diverses langues de Demi-Humains donc il doit d’abord prendre en compte le coût et les capacités quand il les choisit. C’était juste une impression que j’ai eu quand je lui ai parlé, mais j’ai eu l’impression qu’il détestait ce qu’il a surnommé ‘la discrimination’.” (Morris)

“Les capacités… et les coûts, hein. Cet endroit est certainement dangereux mais Tsige a pour principe d’accepter les personnes ayant des capacités après tout. Si nous y réfléchissons, ce n’est pas si étrange. Si c’était moi, je ne me soucierais pas s’ils étaient des Demi-Humains ou quoi que ce soit, tant qu’ils sont compétents. Ou du moins, c’est ainsi que je pense actuellement.” (Rembrandt)

“…À terme, une guerre indésirable pourrait arriver entre les Hyumains et les Demi-Humains mais… qu’une telle possibilité existe vraiment.” (Morris)

Avec une voix où l’on pouvait sentir un chagrin léger, Morris a confirmé les paroles de son maître. Si la position des Demi-Humains augmentait trop. Cela pourrait créer des frictions entre les Hyumains. Il était inquiet à ce sujet.

“Au moins la Compagnie Kuzunoha ne deviendra pas un agent explosif pour l’instant. Ils sont toujours dans une situation où ils n’ont pas encore leur propre magasin. Ils ne feront rien d’imprudent. Si on a l’impression qu’un problème va apparaître, nous devons juste en parler avec Tomoe-dono et les autres. Ce n’est pas comme si ces filles n’emploient aucun Hyumain.” (Rembrandt)

“Oui. La plupart des aventuriers se tairont alors il ne devrait pas y avoir de problèmes.” (Morris)

Rembrandt et Morris semblaient avoir une certaine angoisse sur l’avenir de la compagnie Kuzunoha.

“Maintenant que j’y réfléchis, j’aurais voulu rencontrer l’autre serviteur, que Raidou-dono a évoqué. Au moment où il reviendra, j’espère qu’il le ramènera ici.” (Rembrandt)

“Nous avons essayé d’enquêter de notre côté mais nous n’avons pas pu obtenir d’information sur ses origines. Nous n’avons pas non plus réussi à trouver d’autres informations sur Raidou-sama. C’est à un point où cela me fait demander s’ils ne sont pas des champignons qui ont poussé après une pluie.” (Morris)

“… Champignons, hein.” (Rembrandt)

“Oui, avec le sentiment de ne rien savoir à leurs sujets. Champignons.” (Morris)

“… Eh bien, c’est un personnage qui risque de créer des ennuis si on essaie de creuser trop profondément. Ce n’est pas comme si je ne comprenais pas ce que tu ressentais. Ça ne me dérange pas si les enquêtes n’ont donné que cela. Après tout, je sais que tu as fais quelque chose qui est désespéré. Il y a eu une enquête du château sur leur inscription à la guilde et le niveau de ces deux-là…” (Rembrandt)

“!!!”

Le mot “Château” l’a rendu tendu. Parce que si l’attention du royaume Aion est acquise, les mouvements de Raidou seront limités à l’avenir.

‘“Aucun problème. Pour l’instant, il ne se déplace pas comme un marchand le ferait. Si je reçois quelque chose, je le signalerai’. C’est ce que je leur ai dit et je les ai renvoyés.” (Rembrandt)

“Rembrandt-sama…” (Morris)

“Ne fait pas cette tête, Morris. En étant dans ce genre d’endroit retiré, on peut oublier que cette place appartient au pays. Après tout, ce n’est pas comme si ce pays faisait quelque chose pour protéger Tsige. C’est évident de quel côté je prendrais parti, le choix est vite fait entre ces parasites inutiles qui ne cherchent que l’or et la personne qui a sauvé ma famille.” (Rembrandt)

“… Certainement. Les représentants du gouvernement qui sont envoyés ici par le pays, chacun d’entre eux ne pense seulement qu’aux pots de vin. C’est pratiquement une place autonome dirigé par les marchands. C’est juste… que ce genre d’affaire est…” (Morris)

“Je comprends. Cela restera entre nous. Si quelqu’un nous surprenait, cela ne serait pas un sujet de plaisanterie.” (Rembrandt)

Rembrandt a fait face à Morris et il lui a fait une grimace enfantine, comme celle d’un enfant qui ferait prendre après avoir fait une mauvaise farce. Et Morris lui a jeté d’un œil noir comme s’il le punissait.

“Si on arrivait à un point où Tomoe m’attaquait, veuillez m’abandonner.” (Morris)

Il s’est peut-être souvenu d’une sorte d’erreur. Morris avait un visage gêné.

Dans le passé, Morris vit Tomoe dans une librairie en ville et il essaya de confirmer ses compétences donc il effaça sa présence et s’approcha d’elle.

Il progressa à l’intérieur du magasin et au moment où il pensa qu’il était arrivé derrière elle, sa silhouette disparut soudainement. Il finit par être tapoté sur son épaule gauche.

Morris, un peu embarrassé, a expliqué cette anecdote à Rembrandt et il a fini par éclater de rire. Son avertissement était plus important que Morris l’a imaginé, ceci était un conseil de pas faire d’elle, leur ennemi.

Morris a clairement compris la différence de force entre lui et Tomoe. Dans le cas où elle et Mio, qui est même plus élevée qu’elle, devenaient sérieuses, Morris a reporté à Rembrandt que son dernier mur de défense, Morris lui-même, ne serait pas capable de le protéger. Il était une personne honnête.

“… Lorsque Raidou-dono sera de retour, il sera plus fort qu’auparavant. Aujourd’hui quand il est venu pour se renseigner sur l’Académie, s’il avait mentionné des choses que je ne voulais pas être rendu public ou ses serviteurs, il aurait pu contrôler la conversation. En ce qui concerne son cœur, je veux qu’il reste comme il a toujours été.” (Rembrandt)

En apprenant différents types de connaissances et étudier, Raidou va sûrement augmenter ses capacités en tant que marchand. Sa proche collaboratrice Tomoe était déjà compétente. Il prévoyait que sa compagnie puisse se développer incroyablement dans l’avenir.

Rembrandt s’est senti reconnaissant qu’il n’ait aucune intention de rejoindre Aion et faire de Tsige, son siège. Parce qu’ils pourraient rester des bons partenaires sans se soucier de partager les zones d’affaires.

Et aussi, Tomoe et Mio.

C’était la première fois que Rembrandt voyait des personnes à 4 chiffres. Ces deux-là causeraient une tension nerveuse et une pression mentale en pensant juste à les affronter. Parce qu’elles pouvaient facilement démolir une ville si elles le voulaient. (NTA: Oh si tu savais…)

En incitant leur colère divine, ceci contribuerait vraiment à ce que cela se produise. Dans un sens, c’était plus effrayant que de provoquer un dragon.

À moins que n’ayez assez de courage, en essayant de faire du commerce avec ces filles, tu finirais par être complètement avalé par leurs demandes.

Les requêtes concernant le désert étaient nombreuses mais leur taux de réussite était faible. Ceci devrait être toujours le cas et pourtant, depuis l’arrivée de Tomoe et Mio, les requêtes sur le tableau des requêtes dans la guilde des aventuriers, qui augmentaient toujours, ont commencé à diminuer.

En raison de leur arrivée, l’état de Tsige a commencé à changer lentement.

“Était-ce bien de lui parler des héros ? Il y avait des contenus qui sont supposés être secret dans ce que tu as révélé.” (Morris)

“Je suis incroyablement reconnaissant pour ma femme et mes filles. Elles m’ont dit qu’elles voulaient que je l’aide autant que possible… Ça ne me dérange pas beaucoup.” (Rembrandt)

“Mais divulguer de tel information si facilement, ceci nous fait passés pour des personnes faibles. Veuille à agir avec un peu plus de prudence.” (Morris)

Morris a averti son maître de son acte inconsidéré.

“C’est bon. Pour parler honnêtement, si je suis capable de gagner leur confiance avec quelque chose comme ceci, je considérais cela comme un bénéfice énorme. Raidou-dono est mon bienfaiteur et un partenaire commercial. Par-dessus tout, il est une personne dont je ne peux pas cerner les limites.” (Rembrandt)

“… J’ai outrepassé ma position. Et aussi, voici un rapport de suivi sur le héros de Gritonia.” (Morris)

“Hmm, je t’écoute.” (Rembrandt)

“Oui. Il obtient des avantages militaires, par ses batailles, pour l’empire. Et il semble qu’il est utilisé aussi dans les “recherches” de la seconde princesse.” (Morris)

Au milieu du rapport, le mot “recherche” a raidi le corps de Rembrandt.

Il y avait des rumeurs précédentes que l’empire a fait des expériences sur le corps Hyumain. Même après la descente du héros, ils ont toujours continué, au contraire, c’était la première fois qu’il a entendu que même le héros y était inclus.

“Gritonia pourrait avoir l’intention d’utiliser le héros comme une arme.” (Rembrandt)

“Cela pourrait être le cas.” (Morris)

“…Est-ce que le héros est si docile ? Eh bien, un héros facile a commandé est en fait quelque chose dont le pays serait reconnaissant.” (Rembrandt)

Les existences, qui possédaient un puissant pouvoir, ont normalement un puissant ego. Ça les rendait compliqué à contrôler.

“J’ai entendu dire qu’il est toujours un garçonnet. Limia et Gritonia sont vastes. Satisfaire les désirs d’un garçon et d’une fille devraient être facile pour eux.” (Morris)

“Que c’est pitoyable. Donc ils vont juste être utilisés dans la guerre contre la race des Démons, hein.” (Rembrandt)

S’ils n’en sont pas conscient, ça serait pour le mieux. Peu importe quel genre de titre tu possèdes, un idiot reste toujours un idiot, hein. Rembrandt est affligé.

“… De plus, il n’y a aucun signe que l’un des héros se dirige vers la Cité Académie.” (Morris)

“Après tout, ils sont les cartes maîtresses sur la ligne de front. J’y ai pensé à tout hasard, mais il semblerait que l’Académie ne recevra pas les étincelles de la guerre.” (Rembrandt)

“Oui, les préparatifs des ojo-sama, pour retourner à l’école, ont été réalisés donc c’était un sujet de préoccupation. Mais il semble que leurs responsables soient occupés avec le combat qui est sur le point de se produire à Fort Stella.” (Morris)

“Fort Stella, hein. Il y a de nombreuses anecdotes à propos de cet endroit, il parait qu’il y a une barrière et qu’elle est protégée par un général Démon à quatre bras. De ce que j’ai entendu, il semble que le héros de Limia participera uniquement pour aider les personnes dans cette mission de capture. Si je me souviens bien… son nom est Hibiki Otonashi.” (Rembrandt)

En ce qui concernait le héros de Limia, elle était une personne qui parcourait les pays voisins et résolvait les problèmes concernant la race des Démons. Il y avait des personnes qui disaient qu’elle était l’image même des héros dans les histoires. Quand Rembrandt a entendu ce genre de rumeurs dans les informations faisant partie de l’enquête, il les a écoutés à moitié à cause de ses doutes et il a préféré les ignorer. Parce qu’il pensait qu’il était impossible qu’une telle personne sainte puisse exister.

Pour Rembrandt, le héros de l’empire est une personne avide et ambitieuse, il est une existence qui est plus facile pour lui à comprendre.

“Oui, ça sera un front commun avec les deux héros. Je prendrai des mesures afin que nous puissions obtenir autant d’informations que possible.” (Morris)

“Cela aiderait beaucoup. Peu importe si le combat dans Stella finit par une victoire ou une défaite, ceci décidera de la suite désormais. Je veux connaître la conclusion aussi précisément que possible.” (Rembrandt)

“Oui. J’attends cela avec intérêt dans les quelques jours à venir… Qui sait quand les ojo-sama se rétabliront complètement. Nous devons nous préparer à cela.” (Morris)

“À propos, qu’en est-il du rapport du palais royal ?” (Morris)

“… C’est bon, laisse tomber. En tout cas, le combat Fort Stella utilisera le consensus de 4 grandes puissances donc ils doivent déjà savoir maintenant.” (Rembrandt)

“Compris. Alors je ferai comme tu dis. Les préparatifs pour retourner à l’école, de penser qu’un tel jour comme ceci viendrait. Maintenant que j’y pense, inviter Raidou-sama à l’Académie était aussi un des vœux des ojo-sama qu’elles ont faites.” (Morris)

“… Penses-tu que cela signifie qu’elles sont amoureuses de Raidou-dono ?” (Rembrandt)

Pour un père, ceci lui faisait avoir une multitude de sentiments qui s’opposaient. Raidou était un bienfaiteur, mais en voyant ses deux filles, qui n’ont pas été suivies par des méchants profiteurs, qui ont commencé à s’intéresser à une personne du sexe opposée, on ne peut rien faire contre ce genre de sentiment.

Elles ont eu une forte impression de lui. Elles ont demandé, avec une synchronisation parfaite, où il se trouvait et sa situation.

Rembrandt, lui-même, ne possédait pas tant d’informations et il n’avait aucune intention de cacher les informations à ses filles.

Quand il a dit qu’il ne savait pas quand il quittera la ville parce qu’il était un aventurier, sa femme, en plus de ses filles, lui ont dit “Arrête-le jusqu’à nous puissions le remercier.”

La tromperie ne marcherait qu’un temps et quand il a envisagé de leur dire, elles ont imploré Rembrandt…

De l’avoir à la même académie où elles allaient. Il a pensé qu’elles étaient plutôt à fond dedans.

Mais à l’origine, il était indulgent et par-dessus tout, un père qui était fou de sa famille. Si c’était la requête de ses deux filles et que sa femme la soutenait, il ne se préoccupera pas des morales et des lois de ce monde.

Il a souri et a fini par y consentir.

C’étaient les détails concernant l’inscription de Raidou à l’académie du côté de Rembrandt. Même si Raidou n’avait pas l’intention d’allée à l’académie, il aurait trouvé un moyen de le forcer.

Mais pour une raison quelconque. Il est venu de lui-même pour dire qu’il voulait aller à la Ville Académique. Il l’a entendu dire qu’il a fait un tour complet et a répété à maintes et maintes reprises “Il est impossible qu’il puisse y avoir un problème.”

“Je ne le sais pas moi même. Mais il semble que ces deux-là n’ont aucun intérêt ordinaire envers lui.” (Morris)

“Intérêt, hein. Tu as raison. Elles n’ont pas changé d’attitude, même quand il a montré son visage après tout.” (Rembrandt)

(Cela peut-être grossier mais… son visage était laid, non, mal formé ? Non, hmm… déplorable ? Non, ce n’est pas ça. Ah c’est cela, il avait un si fort sentiment individualité qu’il m’a fait perdre mes mots.) (Rembrandt)

C’était à un niveau où s’il apprenait qu’il n’était pas un Hyumain mais un Demi-Humain, cela ne choquerait pas, donc il s’est déjà habitué à ceci.

Et si ces paroles, qu’il a dit en ayant retiré son masque, étaient vraies, il passera sûrement par beaucoup d’épreuves. Rembrandt avait de la peine pour lui. Le mensonge, selon qu’il ne pouvait pas retirer son masque à cause d’une malédiction, pour qu’il n’ait pas à montrer son visage, était regrettable mais Rembrandt le comprenait.

Voir leur propre apparence s’effriter à cause de la maladie maudite, pourrait avoir fléchi la façon qu’elle voyait les apparences. Il se rappelait qu’avant ses deux filles avaient un fort penchant pour la beauté. Lui-même n’a pas perdu du tout son amour pour elles, malgré leur horrible apparence, donc il comprenait que les sentiments et l’apparence ne soient pas directement liés.

‘Voyons comment se déroule la situation’, c’est ce que Rembrandt a décidé de suivre.

(S’il revient soudainement avec mes deux filles qui ont un ventre arrondi, je lui balancerai l’armée. Pense-y au moins comme une sorte d’opposition d’un père inquiet, Raidou-dono.) (Rembrandt)

“Danna-sama, je partage les mêmes sentiments que toi, mais je pense que tes pensées vont trop loin.” (Morris)

Comme prévu de nos nombreuses années de camaraderie. Ils se comprenaient facilement. Rembrandt s’est étonné des paroles de Morris. Il se demandait si c’était parce qu’ils se comprenaient si bien ou si ça se voyait sur son visage.

“Je suis heureux que tu partages les mêmes sentiments.” (Rembrandt)

Il n’y a pratiquement eu aucune occasion où Morris a échoué à gérer une situation que Rembrandt lui a laissé. Il était vraiment un majordome rassurant.

C’est pourquoi, il ne l’a pas confirmé avec lui. Il a été négligent. C’était une négligence qui n’arrivait normalement pas sur le marchand qui avait une forte influence sur Tsige.

Un autre jour…

Une erreur a été trouvé dans les documents soumis à l’Académie Rotsgard. Raidou, condoléances.

Commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Options

not work with dark mode
Reset