Switch Mode

Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 81

Malentendus

Tome 2 – Chapitre 81 – Malentendus

Plusieurs jours se sont passés depuis les retrouvailles avec Shiki. En étant libéré du fardeau de faire la queue, il m’a accompagné dans ma visite des rues de la Ville Académique.

 

Cette ville avait un parfum que Tsige n’avait pas. J’appréciais le fait que la ville a été principalement construite avec de la pierre.

 

Comme on pouvait s’y attendre de la Ville Académique (NTF: La pierre propage moins bien les incendies que le bois). Peut-être que c’était parce que de nombreuses personnes de différents horizons se réunissaient ici, les différentes marchandises alignées et les vêtements des personnes, qui déambulaient ici, donnaient un fort sentiment d’individualité. Cela donnait une ampleur que Tsige n’avait pas et je pouvais me promener sans être fatigué.

 

J’étais actuellement au milieu de tout ça.

 

J’ai soudainement arrêté de marcher.

 

“Que se passe-t-il ?” (Shiki)

 

“Rien, c’est ce que je voudrais dire mais…” (Makoto)

 

J’ai indiqué un groupe de 5 personnes se disputant avec une femme en le signalant discrètement avec les yeux. La vision de personne, qui persécutait les plus faibles, n’était pas quelque chose d’étrange dans la Ville Académique.

 

Mais que le faible était une Hyumaine, c’était inhabituel. Cela serait une chose si nous étions dans un environnement spécial comme la base de Zeno mais dans Tsige, je n’avais pas vu quelque chose du même genre se produire.

 

C’était quelque chose d’assez normal avec un Demi-Humain. Les enseignements de la Déesse ici étaient suffisamment fort pour que les Demi-Humains ne puisse posséder un statut social élevé. Comme l’a dit la blatte, les Demi-Humains sont des produits défectueux et existe seulement grâce à sa compassion donc ils ont servi de test pour le produit final que sont les Hyumains. Est-ce que la blatte est sérieuse ? D’imaginer que ses enseignements soient aussi corrompus.

 

“Ah, c’est probablement une extorsion ou quelque chose dans le même genre.” (Shiki)

 

“Qui sait ? N’est-ce pas juste du harcèlement ?” (Makoto)

 

“Harcèlement, hein. Ouais, ça y ressemble.” (Shiki)

 

Shiki ne semblait pas être intéressé. Eh bien, je m’inquiète probablement trop, car je viens d’un autre monde.

 

Maintenant que j’y pense, quand j’ai dit à Shiki que je suis venu d’un autre monde et que je lui ai raconté mon histoire avec la Déesse, il a fait un grand raffut. C’était à un point où je commençais à douter si tout son vocabulaire avait disparu, excepté les mots ‘incroyable, formidable, impossible’. Il a répété ces mots tout en ayant tourné en rond dans la chambre étroite.

 

Ses yeux brillaient comme au moment où Tomoe m’a utilisé comme intermédiaire pour faire apparaître mes souvenirs.

 

Heureusement, il n’était pas encore accro à aucune vidéo pour l’heure actuelle. Ceci serait problématique s’il obtenait un passe-temps étrange, mais il aurait été naturel de ressentir quelque chose après avoir abordé une culture différente alors il pourrait être influencé. Je suis déjà préparé à ça. Je l’accepterai si Shiki a une révélation… Tant qu’il ne s’éveille pas au BL (NTF: Boy love = Romance entre homme).

 

“L’intimidation entre Hyumain est quelque chose que je n’ai pas encore vu, donc je vais y aller pour jeter un coup d’œil.” (Makoto)

 

“Raidou-sama ?” (Shiki)

 

Ce n’est pas parce que la victime de l’intimidation est une femme. Ce sont juste… ces yeux.

 

Son regard n’est pas glacial, ce ne sont pas les yeux de quelqu’un qui a abandonné, ni pervertis par la vie. Que sont-ils au juste ? Je suis un peu intéressé.

 

“Oh, dis quelque chose !” (Harceleur)

 

J’ai échangé un regard avec Shiki. Qu’il y a une autre personne qui puisse me parler est quelque chose de rassurant.

 

“Ah, peut-on en rester là ?” (Shiki)

 

Non, non, pourquoi me dis-tu ça sous la forme d’une question ? Shiki, tu dois être cool et confiant dans ces moments-là.

 

“… Qui sont ces types ?” (Harceleur A)

 

“Hé, vous ne voyez pas ces vêtements ? Êtes-vous stupides ?” (Harceleur B)

 

L’idiot a dit quelque chose. Vêtements ? Ah, ils portaient tous les mêmes vêtements. Ou plutôt, c’étaient des vêtements que j’ai déjà vu de nombreuses fois depuis que je suis arrivé ici.

 

Je crois en connaître la raison.

 

(C’est okay si je les tue, Makoto-sama ?) (Shiki)

 

(Attends !) (Makoto)

 

(Stupide ? Il M’A traité de stupide ? Ou cela pourrait être… Makoto-sama ? Ah, la sentence est la mort. Bien compris.) (Shiki)

 

(Tu n’as rien compris ! C’est bon de juste les mépriser et d’ignorer leur mot ! Ne va pas les tuer soudainement ! Compris ?!) (Makoto)

 

(Ah. C-Compris) (Shiki)

 

Au moins il comprend. Tomoe devrait aussi comprendre mais avec Mio, est-ce que cela va bien se passer ? J’espère qu’elle ne va pas tuer tout le monde. Tomoe l’accompagne donc j’espère qu’elles ne feront rien d’excessif. Je crois en elles !

 

“Bref, vous allez dégager. C’est votre jour de chance, je ne vais pas vous tuer.” (Shiki)

 

Ah, leurs vêtements étaient probablement des uniformes. Ils devaient être des étudiants de l’Académie. Il y en avait de nombreuses couleurs mais la forme était toujours la même.

 

C’est quelque chose qui m’amène à me demander si les héros et moi sommes les premiers à venir ici ?

 

Les blazers se ressemblent vraiment. Est-ce une coïncidence ? L’hypothèse la plus crédible pour moi, c’était que quelqu’un est déjà venu et leur a donné l’idée.

 

Je ne pense pas que tous les mondes ont la même forme d’uniforme scolaire.

 

(Shiki, tu n’es pas très doué pour la conversation ?) (Makoto)

 

(Non. Mais je ne suis pas très doué pour gérer les idiots.) (Shiki)

 

Ah, je vois.

 

Il choisissait minutieusement ses combats. Ces personnes pourraient devenir mes camarades de classe.

 

S’ils exagéraient l’importance de leur vêtement, cela pourrait être parce que ces étudiants étaient de haut rang ? Quand on parle d’étudiant qui sont toujours en train d’étudier, leur statut social ne devrait pas être normalement élevé.

 

Parce que si je disais quelque chose comme: “Tu ne vois pas mon uniforme ? Je suis un lycéen, tu sais ?” Dans le bon sens de mon monde, les gens me traiteraient sans doute comme un fou.

 

Donc les étudiants ont un statut social élevé parce que nous sommes à la Ville Académique ? Si c’était parce que la ville est spécialisée dans l’érudition et les recherches, je comprendrais mieux si c’était les ingénieurs et les chercheurs qui avaient un statut social élevé. Mais mettre les étudiants sur un pied d’estale alors qu’ils étaient juste des poussins qui ne sont pas sortis de leur coquille, c’était complètement illogique.

 

“Ne te fous pas de nous !” (Harceleur)

 

On dirait qu’ils rassemblaient de la magie dans les paumes de leur main. Un sort, hein.

 

En plus, c’est incroyablement lent et tout le monde peut vous voir le préparer. On n’est plus au jardin d’enfant, vous savez ?

[Désolé mais est-ce une sorte de spectacle ?] (Makoto)

 

S’ils essayent de lancer un spectacle alors ce genre d’incantation est convenable mais la situation présente me fait penser à un combat.

 

C’était pourquoi j’ai écrit ces mots en toute honnêteté. Cependant, on dirait que je les ai rendus vraiment furieux. Ils me dévisageaient du regard.

 

(Donc Makoto-sama va se joindre a la mêlée.) (Shiki)

 

(Tu m’as clairement mal compris.) (Makoto)

 

“Quoi ! Trop rapide !” (Harceleur)

 

Shiki a rapidement terminé son incantation de magie de terre. Ou plutôt, sa vitesse à lui était normale. Comme on pouvait s’y attendre de la part d’étudiant, ils ne savaient pas comment fonctionnait le monde. Une femme effrayante vous taillera en pièces si vous continuez ainsi…

 

Shiki a frappé le sol avec son bâton qui est enveloppé d’une lumière noire. C’est un bâton qui a été fait précipitamment par les Anciens Nains et je lui ai donné en m’ayant excusé pour son précédent bâton. Apparemment, il était d’assez bonne qualité, car il a été surpris au moment où il l’a pris.

 

Ils sont tous partis en criant.

 

Ces cinq-là ont hurlé d’une manière qui manquait d’originalité et cela a résonné dans la ruelle. Sérieusement, prenez exemple sur les voyous de Tsige, eux au moins ils avaient un style.

 

Des piliers de pierre sont sortis du sol où se tenait les étudiants et les a propulsés dans les airs. La fille harcelée donnait l’impression d’être dans une prison en pierre. Oups, peut-être que j’aurais dû écrire quelque chose pour la prévenir. C’était quelque chose qui pourrait être terrifiant pour elle d’avoir été soudainement entourée par des piliers en pierre.

 

Eh bien~ ils sont imposants. Retirons-les pour le moment. Après tout, cela dérange les passants. Ils commencent à causer du raffut face à ce qu’il se passe.

 

J’ai gentiment touché les piliers en pierre.

 

J’ai appréhendé la composition magique des piliers et je l’ai annulé. J’ai trouvé la partie qui servait de noyau et je l’ai détruite avec ma magie des ténèbres.

 

Les nombreux piliers ont disparu comme s’ils n’avaient jamais existé. Que compte faire les personnes qui ont été balancées dans le ciel ? Ils avaient l’air d’utiliser la magie. Contrairement à moi, l’un d’eux devrait être capable d’utiliser la magie du vent.

 

“Travail remarquable de ta part. Il ne faudra pas longtemps avant que le contre-sort ne soit terminé.” (Shiki)

 

Cela serait formidable si ça se produisait. J’ai répondu à Shiki en lui faisant un sourire ambigu. Cela n’apportera pas grand-chose de nier la magie d’une connaissance et d’une magie que je connaissais déjà. Il y avait des personnes comme Sofia alors mon enthousiasme pour compléter la magie de négation a disparu peu à peu.

 

[Est-ce que ça va ? Si tu peux lire ceci, je ne connais pas les raisons mais puisque nous y sommes déjà impliqués, cela serait bien si vous vous enfuyez.] (Makoto)

 

“Eh, a…” (Femme)

 

La fille a été surprise par l’écriture qui est apparue devant elle. Peut-être qu’elle était serveuse. Ce ne sont pas les vêtements d’une maid, mais elle porte un tablier et d’autres choses, comme un filet à cheveux qui me font penser qu’elle a un boulot dans ce genre de domaine.

 

Elle regardait les hommes qui étaient dans le ciel et des lettres sont soudainement apparues devant elle donc je pourrais l’avoir effrayé.

 

… L’étrange lumière, qu’elle avait dans les yeux, est déjà partie. Dommage. Bon, ce n’est pas grave. En fin de compte, c’était juste un désir dans ses yeux.

 

“Je ne t’ai pas demandé de me sauver.” (Femme)

 

Elle peut donc lire. Alors je peux communiquer avec elle.

 

[Je ne l’ai pas fait pour avoir une récompense ou quelque chose d’autre. Nous nous reverrons peut-être jamais alors ne vous inquiétez pas pour ça.] (Makoto)

 

“…” (Femme)

 

[Dépêchez-vous de partir.] (Makoto)

 

“Je travaille en tant que serveuse dans le restaurant Gotetsu qui n’est pas loin d’ici. J’y vis en même temps que j’y travaille alors veuillez y venir lorsque vous aurez le temps. J’aimerais au moins vous récompenser.” (Serveuse)

 

[Si l’envie me prend.] (Makoto)

 

La fille s’est enfuie. Gotetsu hein. Y aura-t-il du nabe ? Je devrais y aller quand les choses se seront calmées. La nourriture de ce monde était très peu assaisonnée mais c’était plutôt délicieux. Je suis impatient d’y être.

 

“Elle est très grossière pour une personne qui a été sauvée.” (Shiki)

 

“Vraiment ? Nous sommes soudainement apparus et nous l’avons aidé. N’y aurait-il pas des gens qui nous suspecteraient de l’avoir aidé en ayant une idée derrière la tête ? Après tout Il y avait quelqu’un qui a agi de façon tape à œil et attiré l’attention de tous le monde aux alentours.” (Makoto)

 

C’était un monde où il n’y avait pas beaucoup de personnes avec l’esprit chevaleresque. Ce n’est pas une surprise qu’elle nous suspecte.

 

“C’était tape à l’œil, hein. J’ai pourtant lancé un sort qui ne les tuera pas et devrait les rendre docile.” (Shiki)

 

Ils seraient morts si la partie supérieure des piliers aurait été pointue. Docile qu’il a dit.

 

“Cela pourrait être quand même possible vu la hauteur où tu les as envoyés. Les enterrer n’aurait pas moins attiré l’attention ?” (Makoto)

 

“Maintenant que tu le mentionnes, ils ne flottent toujours pas dans les airs alors qu’ils aboient beaucoup. Aspirent-ils à mourir ?” (Shiki)

 

La bande semblait désespérer et on dirait qu’ils essayaient d’utiliser la magie mais… j’ai l’impression qu’ils essaient de faire de leur mieux pour ne pas tomber trop vite en suant à grosse goutte. Ils tombaient d’une manière assez discutable vu l’efficacité. Ne vont-ils pas être à court de magie s’ils continuent ainsi ?

 

“… Cela pourrait être… Ils ne peuvent pas voler ?” (Makoto)

 

“Alors ce sont juste des porcs. Je vais prier pour que leur prochaine vie soit heureuse.” (Shiki)

 

“…S’il te plaît, sauve-les.” (Makoto)

 

Je lui ai demandé tout en ayant soupiré, Shiki a accepté et il a lancé une magie pour faire flotter les personnes. Ceci a ralenti leur chute et ils ont gentiment atterri… ou pas. Ils sont tombés d’un coup dans les derniers mètres. Shiki~…

 

Es-tu un enfant ?!

 

“Je m’en souviendrais !!!” (Harceleur)

 

Ah, qu’est-ce qu’ils ont eu l’air pitoyable à atterrir sur leurs fesses. Mais ils n’auraient pas pu faire au moins une roulade ? Ne l’ont-ils pas appris à le faire en cours d’éducation physique ?

 

C’est ce que je pense mais est-ce correct de dire que s’enfuir en disant, ça fait un peu trop clicher ? Vous allez certainement regretter d’avoir dit ça plus tard.

 

“… Raidou-sama, je sais que ceci pourrait être impertinent que je le dise, mais je ne pense pas que ça soit recommandable d’interférer avec ce genre d’événement à chaque fois qu’il se produit. C’est ce que qu’on appelle des événements de société. Il est inutile d’interférer si la racine du problème ne disparaît pas.” (Shiki)

 

“Shiki, ce n’était pas inutile. Après tout, je suis satisfait. Je suis conscient que c’est un passe-temps mais si Shiki veut corriger le passe-temps d’une personne, il devra le faire avec tout ce qu’il a.” (Makoto)

 

C’est vrai. Ce n’était pas comme si j’ai interféré parce que je pensais que l’intimidation était une mauvaise chose. Je n’ai pas pu lui demander la raison du regard qu’elle avait, donc même si c’était un passe-temps, je devais y réfléchir.

 

“…” (Shiki)

 

“Ce n’est pas comme si je comptais me charger de toutes les intimidations que je croisais. Si j’ai agi cette fois ci, c’est parce que j’en avais envie.” (Makoto)

 

“Raidou-sama…” (Shiki)

 

“Désolé d’être un maître qui agit selon ses désirs.” (Makoto)

 

“Non. J’en ai trop dit.” (Shiki)

 

“Faisons maintenant une fête en l’honneur de Shiki qui a patiemment fait la queue. Après avoir fini mon inscription, ils ont dit que le reste aura lieu dans 3 jours. Combien de temps faut-il attendre au juste pour passer l’examen d’entrée de cette académie…” (Makoto)

 

Nous avons pu être en mesure de finir la réception parce que Shiki a attendu patiemment dans la file d’attente mais le test le plus important sera dans 3 jours.

 

Cette nuit, nous organiserons un repas entre nous deux pour célébrer ces six jours ennuyeux à attendre dans la queue.

 

“Hein ?” (Shiki)

 

“… C’est quoi ce “hein ?”, Shiki ? Le test aura lieu dans 3 jours, non ?” (Makoto)

 

Shiki a au une expression stupéfaite à mes mots. Pourquoi ?

 

“Raidou-sama. Qu’entends-tu par examen d’entrée ?” (Shiki)

 

“Il n’y a pas besoin de le dire. C’est l’examen pour entrer dans l’académie, n’est-ce pas ?” (Makoto)

 

Shiki m’a montré les documents que Rembrandt a arrangé pour l’académie et aussi la lettre de recommandation qu’il a fait.

 

Rotsgard (NTF: Le nom complet de la ville, c’est Rotsgard la Ville Académique) est un endroit où beaucoup de personnes de contrées différentes se rassemblaient.

 

La ville se situait en plein milieu du pays et au niveau de sa circonférence, elle se composait de nombreuses petites villes indépendantes entre elles mais rattaché ensemble. (NTF: Un peu comme une grande ville qui englobe les villes proches, bien qu’elles restent indépendantes) Chacune se spécialisait dans un type de domaine de l’éducation. Par ailleurs, au centre de cette terre, il y avait une seule institution qui avait le même nom que la Ville Académique. C’était la représentante des académies, l’Académie Rotsgard. Il parait que c’était l’endroit où les étudiants les plus prometteurs se rassemblaient. Ceux d’il y a quelques instants semblaient en faire partie.

 

Le comportement de ces gars-là pourrait être traduit par “Hé, nous sommes les étudiants de l’Université de Tokyo !”. Ceci ne changeait pas mon impression d’eux.

 

Quoi qu’il en soit, ceux qui cherchaient à s’inscrire ici devaient passer un examen, en fonction de ton savoir-faire et de tes spécialités, tu seras envoyé à l’école qui te correspondait le plus. C’était ainsi que fonctionnait cet endroit. En réalité, je pense qu’ils prennent aussi en compte le patrimoine et la position social en plus du savoir-faire et des spécialités.

 

“Non, je comprends ça mais…” (Shiki)

 

“Qu’est-ce qui est bizarre ?” (Makoto)

 

“Raidou-sama a l’intention de passer l’examen d’entrée ?” (Shiki)

 

N’est-ce pas évident ? J’ai acquiescé.

 

“Écoute-moi bien s’il te plaît. Ce que Raidou-sama va passer dans 3 jours n’est pas un examen d’entrée.” (Shiki)

 

Hein ?

 

“En cette saison, ils ne prennent pas en compte les candidatures pour les étudiants, Raidou-sama.” (Shiki)

 

“Alors la file d’attente servait à quoi ?” (Makoto)

 

“Pour l’examen d’embauche du personnel.” (Shiki)

 

P-Personnel ?! Tu plaisantes ?!

 

Qu’est-ce que tu dis avec tant d’insouciance ?!

 

“S-Shiki ! Tu sais que je suis un marchand qui est affilié à la guilde marchande ? Une personne avec un boulot à plein temps ?” (Makoto)

 

Je ne suis pas venu ici pour trouver un boulot ?!

 

“Mais les documents que j’ai reçus Rembrandt-shi, le contenu disait que Raidou-sama postulait pour être un professeur de compétences axées sur la pratique.” (Shiki)

 

R-Rembrandt-saaaan !

 

“Pourquoi n’as-tu pas pensé qu’il y avait quelque chose d’étrange après avoir vu le contenu du document ?!” (Makoto)

 

“Pour moi, c’est une chose bizarre que Raidou-sama devienne étudiant. J’étais genre “Oh, c’était donc ça” et je l’ai naturellement accepté.” (Shiki)

 

Oooooh. Rembrandt-san, à quoi as-tu pensé ?! Shiki aussi. J’ai seulement 17 ans. Comment je pourrais travailler en tant que professeur ?!

 

J’aurais dû examiner le contenu ! Mais vérifier le contenu des documents… Les seuls documents que j’ai vérifiés dans ce monde, c’étaient ceux que j’ai eu par la guilde marchande.

 

“La lettre de recommandation ! C’est vrai, qu’en est il du contenu de la lettre de recommandation ?!” (Makoto)

 

“Ah. Si je me souviens bien, cela disait: “Raidou-sama a une grande expérience en combat dans les confins du monde. Il a peut-être des difficultés à parler, mais il n’a aucun problème à communiquer ses intentions par l’écriture. J’aimerais que vous l’acceptiez même si ce n’est pas la saison, car il est une personne avec des capacités qui sont dures à trouver.” C’est ainsi que cela s’est passé.” (Shiki)

 

‘J’aimerais que vous l’acceptiez même si ce n’est pas la saison ?’ Personne n’a fait attention à ce passage? Sinon il aurait compris que ce n’était pas pour le personnel !

 

…Cela se pourrait-il que Rembrandt-san ait merdé sur les documents admission ? Non, il n’y a pas moyen que ceci puisse arriver avec lui et Morris-san. Spécialement avec Morris-san. Il ressemblait au parfait majordome.

 

“Hum. Donc dans 3 jours, je participerai à l’examen pour devenir professeur de compétences axées sur la pratique ?” (Makoto)

 

“Oui” (Shiki)

 

Une affirmation rapide de Shiki.

 

Que veut-il dire par professeur de compétences axées sur la pratique ? Il n’est pas possible que je puisse enseigner quelque chose que je n’ai jamais entendu parler avant. Je vais sans doute échouer à l’examen.

 

Il y avait des choses que je voudrais rechercher et je voudrais ouvrir un magasin ici. Être un étudiant était une chose que je voulais faire juste à l’occasion alors être un étudiant ou un professeur n’avait pas d’importance. Mais quand même, je n’arrive pas à me voir comme un professeur. Ils sont des personnes qui transmettent leur savoir, tu comprends ?

 

C’est impossible que je puisse le faire.

 

Peut-être que je devrais essayer d’y aller et leur demander s’ils peuvent changer ça.

 

Je me sentais d’humeur à regarder le ciel et boire de l’alcool, mais ce n’était pas quelque chose qui arrivera tout de suite.

Commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Options

not work with dark mode
Reset