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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 92

Les inquiétudes de Makoto et des rumeurs inattendues

Tome 2 – Chapitre 92 – Les inquiétudes de Makoto et des rumeurs inattendues

La compagnie se porte bien.

 

Je pense que c’est un peu stupide que je n’y ai pas pensé avant mais après l’ouverture, il y a des personnes qui ont acheté des objets chez nous pour les revendre. Ce n’est pas parfait, mais j’ai déjà pris des contre-mesures.

 

Plus précisément, les contre-mesures sont de limiter le nombre de choses qu’on peut acheter et des ‘demandes’ pour les personnes qui souhaitent revendre.

 

De toute façon, ce n’est pas quelque chose que je peux complètement stopper, alors j’abandonne le fait de tout essayer contrôler, j’élabore un plan selon ce que je peux accomplir. Parce que faire la même chose constamment et s’essouffler, c’est juste contre-productif.

 

Les cours aussi… On pourrait dire qu’ils se déroulent bien.

 

Certains étudiants, qui ont été introduits par Brait-sensei, sont restés et maintenant, ils présentent la classe aux autres étudiants. Nous avons donc réussi à assurer un nombre suffisant d’étudiants.

 

… Seulement 5 personnes sont restées, eh bien, c’est probablement pas plus mal. Avoir trop de personnes à gérer est problématique, ouais.

 

Les cinq personnes sont tous des étudiants qui ont une bourse et cherchent à progresser à tout prix. Selon le point de vue d’une personne normale, mes cours ne collaient pas à leur souhait, sans doute qu’ils ont dû se sentir en danger. Ce n’était pas un cours très recommandable.

 

J’accepte toujours des étudiants pour le moment, mais je ne m’attends pas à grand-chose d’eux. En ce qui concerne les étudiants qui sont restés, je fais de petites “expériences” sans leur autorisation mais c’est à un niveau où leur santé ne sera pas affectée et pendant ce temps-là, je leur fais suivre mes cours.

 

Parce que j’utilise un affaiblissement avec [Sakai] dans le périmètre du cours, ceci n’est pas visible mais l’état des étudiants oui, puisque que ce n’est pas à un niveau dangereux, l’académie a décidé que c’était acceptable. Comme prévu, ce qui m’inquiétait, c’était que normalement, l’effet devrait s’affaiblir en s’éloignant du centre de [Sakai] mais dernièrement, peut-être parce que je m’y habitue, l’intensité semble augmentée.

 

Actuellement, il n’y a eu aucune ingérence de la part de certains professeurs et c’est plutôt paisible.

 

En bref, la vie de tous les jours à la Ville Académique se passe plutôt bien.

 

Et pourtant…

 

J’ai pris pour habitude d’aller à la bibliothèque après mes cours, j’ai trouvé un livre que je cherchais et je m’affale sur une chaise.

 

Je pousse un long soupir.

 

En ce moment, on pourrait dire que dans un sens je suis acculé.

 

“Imaginer que les Hyumains pratiquent la polygamie dans ce monde.” (Makoto)

 

Un système sacré qui a été établi par la Déesse, ou du moins, c’est ce qu’il paraît. Ouais, cette Déesse.

 

Je recommence un monologue. Peut-être parce que personne ne me comprend, j’ai l’impression que mes monologues ont augmenté après être arrivé à l’académie. Je ne veux pas qu’ils me regardent étrangement alors j’essaye de ne pas le faire trop souvent.

 

Mais de penser qu’ils pratiquent la polygamie. Cette Blatte, je me fais avoir à chaque fois par elle. Cette parfaite idiote.

 

Ceci a l’air d’être un système commode pour les hommes, mais ce n’est actuellement pas le cas. Par manque d’imagination, je croyais que le système de polygamie était quelque chose comme un harem. J’étais vraiment naïf.

 

J’ai finalement compris après avoir observé la société Hyumaine.

 

Ce n’est pas quelque chose comme avoir autant de femmes que tu désires et passez à l’acte, c’est encore pire que le système monogame du Japon moderne.

 

Les femmes se rassemblent autour des hommes qui sont les plus beaux et les plus riches, ce n’est pas tout le monde qui peut avoir un harem.

 

Au contraire, ceci augmente la chance que les hommes ne puissent pas se marier. Déesse, combien de terribles choses devras-tu faire pour être satisfaite ? Il n’y a pas besoin de faire un tel système pour filtrer les gènes.

 

Le système de polygamie est en fait un rêve pour la majorité des hommes.

 

Même ainsi, cela devrait baisser les chances que je me marie… ou pas…

 

… C’est le contraire.

 

Ceci fait plusieurs mois que je suis arrivé à l’académie, c’était… il y a 2 semaines ?

 

On s’est confessé à moi.

 

Pour quelqu’un comme Shiki, il y avait eu de nombreuses femmes qui voulaient sortir avec lui dès le premier jour, mais j’ai juste rigolé comme si c’était les affaires de quelqu’un d’autre et je ne l’ai ni envié, ni apaisé, ni écouté ses plaintes

 

À l’époque où ma compagnie a commencé à décoller et que l’académie a commencé à valider mes compétences dans l’enseignement; C’est donc quelque chose d’assez récent…

 

Cela a commencé par une demande disant qu’une étudiante avait quelque chose à discuter avec moi. C’était une fille que je n’avais jamais vu dans mes cours. Pour faire simple, une étudiante que je n’ai jamais rencontré.

 

“Est-ce que sensei est déjà marié ?” (Étudiante)

 

C’était le début de mon cauchemar.

 

[Je suis célibataire. Quel est le rapport ?] (Makoto)

 

Évidemment, c’est ainsi que j’ai répondu.

 

Je ne sais pas comment ça a tourné de cette manière mais après cela, la fille a dit ceci:

 

“Alors en tant que troisième, voudriez vous m’épouser ?” (Étudiante)

 

J’étais… complètement bouleversé. Je n’avais senti aucune tension ou excitation comme lors de la fois précédente avec la déclaration de ma kohai et de la présidente de mon club.

 

J’étais juste abasourdi. Mes sentiments étaient proches de zéro envers une personne que je rencontrais soudainement pour la première fois et qui me demandait de m’épouser. Elle a parlé aussi d’un chiffre. À l’époque, je n’avais pas compris la signification.

 

L’étudiante a dit quelque chose d’absurde avec un visage sérieux, je pousse un soupir malgré le fait que je sais que c’est impoli.

 

[Je suis désolé, mais je n’en ai pas l’intention de me marier.] (Makoto)

 

J’étais en quelque sorte capable d’écrire ceci et de quitter l’endroit.

 

La confession suivante était dans la soirée de ce jour-là. Non, au lieu de confession, c’était plutôt comme la première, une proposition.

 

Et ainsi de suite, dans le magasin, à l’extérieur, à l’intérieur de l’Académie; sans se soucier de l’endroit, elles m’ont appelé et si la discussion tournait mal, elles faisaient directement une proposition de mariage.

 

D’ailleurs, il y a toujours le “Veuillez faire de moi votre épouse numéro X.”. Cependant, le X est toujours un nombre, c’est toujours un nombre qui n’est pas le numéro 1 ou le 2. C’était principalement entre 3 et 5.

 

Polygamie. C’est vraiment le pire.

 

J’ai un commerce, j’ai une quantité d’argent décente et je suis un professeur compétent de l’académie. Alors elles ignorent mon apparence et les profiteuses viennent me voir pour devenir mes maîtresses. C’est probablement comme ça que ça marche. Leur objectif est juste que je les entretienne et pourtant, j’ai l’impression qu’elles pourraient même me demander quelque chose comme reconstruire leur maison et de grosse somme d’argent. Il y avait des filles qui avaient des arrières pensées aussi transparentes.

 

S’abandonner à l’amour et élever des enfants, c’était le rôle des épouses 1 ou 2.

 

C’est ainsi que cela se passe dans ce monde.

 

Une fois, il y a eu une fille qui est venue en portant une robe blanche, elle était tout à fait à mon goût et quand elle me l’a demandé, j’ai répondu en plaisantant:

 

[Si tu deviens l’épouse numéro une, je me marierai et je vous donnerai autant d’argent que vous désirez.] (Makoto)

 

Lorsque j’ai dit ça, elle a non seulement montré du dégoût, mais elle a également dit :

 

“Non merci !” (Femme en blanche)

 

Comme si sa vie en dépendait, elle s’est mise à courir aussi vite qu’elle pouvait.

 

Plusieurs fois, on s’est confessé à moi tout en me prenant de haut mais cela m’a vraiment choqué.

 

…Sincèrement, j’abandonne. Ce n’est pas de la popularité, je suis juste vu comme une proie. Ceci serait un peu plus facile lorsqu’on me traitait pas comme un être Humain. Leur façon de faire est vraiment difficile pour moi.

 

Dans la bibliothèque, il n’y a pas eu ce genre de situation, mais ce n’est qu’une question de temps.

 

Maintenant que j’y réfléchis, pourquoi est ce que la bibliothèque est une zone sure ?

 

Y a-t-il une sorte de règle ? Ou est ce que quelqu’un arrive à les maîtriser ? Peu importe, je suis reconnaissant.

 

Je redresse la tête et je prends le livre dans mes mains. À présent, il est temps d’étudier.

 

Aujourd’hui, je n’ai pas besoin d’aller au magasin. Au début, je travaillais sans interruptions mais la plupart des magasins ont 1 ou 2 jours de repos. Nous travaillions jusque tard dans la nuit alors j’ai pensé que cela serait bien d’avoir régulièrement des jours de repos, quand je donne des cours, ceci sera une journée de repos.

 

La plus petite des Ogresses forestières a dit “Gloire~~!!!” et a levé ses mains dans le ciel. Cette fille est quelqu’un que je ne comprends toujours pas très bien.

 

“Tiens donc, aujourd’hui, c’est un livre sur la religion ? Raidou-sensei aime vraiment lire des livres variés. Magie, combat, histoire, géographie, mœurs, et aussi sur les Demi-Humains… Ceux que je ne vous ai pas vu lire, ce sont probablement des livres sur les contes, les maths et les biographies.” (Eva)

 

[Eva-san hein. Ceci me fait peur quand vous me surprenez ainsi. Et d’ailleurs, vous vous souvenez de chaque livre que quelqu’un comme moi peut avoir lu ?] (Makoto)

 

“Ouais. Après tout, je suis intéressé par Raidou-sensei.” (Eva)

 

La bibliothécaire Eva-san me sourit avec un air taquin.

 

[Laissez moi souffler un peu. Vous n’allez pas aussi me demander en mariage, n’est-ce pas ?] (Makoto)

 

“… Ah, c’était donc la raison de votre fatigue. Un amour superficiel. Il paraît qu’il y beaucoup de femmes qui cherchent à se marier. Je compatis avec vous sensei.” (Eva)

 

[Pour le moment, c’est le seul lieu dans la ville où je suis tranquille. Maintenant que ma cote a augmenté, elles veulent toutes sucer le doux nectar. Bon sang, qu’est-ce que représente le mariage pour elles ?] (Makoto)

 

“Eh bien, ici de nombreuses étudiantes sont issues de la noblesse ou de grandes familles marchandes alors il y a beaucoup d’étudiantes qui ne pensent pas que le mariage soit un amour mutuel.” (Eva)

 

Eva-san répond à mon indignation avec un sourire ironique. Peut-être qu’elle a vécu une expérience similaire, Eva-san ne me répond pas sans tourner autour du pot et me donne des informations complémentaires. J’aime quand c’est facile à comprendre.

 

[Mariage politique, hein. Que des adolescentes réfléchissent de cette manière… Est-ce normal pour les nobles et les personnes riches ?] (Makoto)

 

“… C’est juste que certaines personnes auront plus vite cette façon de penser que les autres. C’est une manière de faire comme une autre.” (Eva)

 

[Je crois qu’un mariage où il n’y a aucun amour n’est pas une bonne chose.] (Makoto)

 

Je pense vraiment que c’est ainsi qu’un mariage devrait être. C’est le lien entre les personnes qui se marient.

 

“Raidou-sensei est un i-, non, il est pur, hein. Les enfants voient des personnes qui se marient, qu’ils s’aiment ou non. Et ainsi, quand ils grandissent, ils prennent en compte les sentiments, aussi bien que les avantages et désavantages. Bien sur, ce n’est pas quelque chose qui peut être exprimé avec des mots ou défini avec une définition précise.” (Eva)

 

En entendant les paroles de Eva-san, je me suis souvenu de la voix que j’ai entendu juste après la première fois que je l’ai rencontré. Maintenant que j’y réfléchis, les deux voix se ressemblent. Cette fois-là, je n’ai pas relié cette histoire à quelque chose de dangereux alors je n’étais pas sur si je devais garder cela à l’esprit mais…

 

Peut-être qu’elle a une idée derrière la tête pour être aussi prévenante avec moi. Si c’est le cas, alors c’est un peu triste.

 

[Alors pour Eva-san, qu’elle est la signification du mot amour et le sentiment qu’il renferme ?] (Makoto)

 

“… Voyons voir. Parfois, c’est une manière de négocier. Si je dis quelque chose de ce genre, est-ce que sensei sera déçu par moi ?” (Eva)

 

[Qui sait. Cependant, je ne suis plus d’humeur à lire. Je vais en rester là pour aujourd’hui.] (Makoto)

 

Une manière de négocier, hein. C’est inattendu. Avoir entendu une telle chose de la part d’une personne qui ne correspond pas à l’idée que je m’étais fait d’elle, c’est juste… choquant.

 

Je lui ai donné le livre que j’avais planifié de lire et j’ai quitté la bibliothèque.

 

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[Et donc Jin, de quoi vouliez-vous me parler ?] (Makoto)

 

Je me suis fait aborder par un de mes étudiants après avoir quitté la Bibliothèque.

 

C’est l’épéiste qui fréquente mes cours depuis le début sans en avoir loupé un seul. Il utilise la magie et semble avoir été impressionné par le style de Shiki et tout en apprenant le fondement des techniques, il y a des fois où il a fait la demande de s’entraîner avec Shiki.

 

Sur les cinq étudiants qui suivent mes cours, je me souviens juste de l’épéiste et de l’archère Amélia.

 

Gin utilise son épée comme arme principale et la magie comme soutien mais pour Amélia, c’est la magie comme arme principale et l’arc comme arme secondaire. Je ne peux pas dire grand-chose de plus, mais ces deux-là semblent prometteurs. Amélia désire devenir plus forte mais plus que ça, elle est amoureuse de Shiki. Peut-être est ce la force d’une femme amoureuse, mais elle apprend rapidement et elle s’améliore constamment.

 

Eh bien, puisque j’ai été interpellé par un étudiant que je connais, j’ai décidé de déjeuner avec lui.

 

D’ailleurs, Amélia semble être à ‘l’esthétisme’, cette après-midi.

 

Esthétisme.

 

J’ai été surpris quand j’ai entendu ce mot dans pour la première fois.

 

Après avoir demandé des détails et fait des recherches dans la bibliothèque, on dirait que l’esthétisme est un concept qui a été apporté par la Déesse. Une institution ayant pour but de poursuivre le chemin de la beauté et de la répandre.

 

Avant de colporter des choses aussi stupides, il devrait y avoir eu des techniques qui auraient du être apprises en priorité aux Hyumains. J’ai vraiment été surpris. Pour cette raison, il y a des noms de cosmétiques dont j’ai déjà entendu parler et il y a eu même des fois où on m’a demandé si ma compagnie s’occupe également des produits cosmétiques.

 

Je ne le fais pas actuellement et je n’ai pas l’intention de le faire dans le futur. Des produits comme les rouges à lèvres et du talc ont été suggérés par Tomoe, mais je n’en veux pas.

 

Bon, laissons tomber pour l’instant les questions sur les produits cosmétiques et l’esthétisme. Honnêtement, je n’ai même plus l’énergie de riposter.

 

J’ai hésité, mais j’ai finalement décidé d’aller au Gotetsu.

 

Je ne l’ai pas fréquenté autant que Shiki. Pourtant, la nourriture est à mon goût et puisque j’ai l’habitude d’y aller, c’est relaxant. Jin semble venir ici pour la première fois et regardait l’intérieur du magasin avec curiosité et humait l’odeur de la nourriture.

 

J’ai demandé une salle privée pour être tranquille, nous entrons dedans et nous nous asseyons.

 

“Ah c’est vrai. Sensei vient de Tsige ?” (Jin)

 

[Ouais] (Makoto)

 

“En fait, il y a deux étudiantes qui fréquentaient cette académie et sont actuellement absentes.” (Jin)

 

[Bien, continue.] (Makoto)

 

“Elles n’ont pas de bourse, mais elles sont plutôt compétentes et auront un bel avenir.” (Jin)

 

[Si elles sont pleines d’avenir, pourquoi sont-elles absentes ?] (Makoto)

 

“Il paraît qu’elles sont malades.” (Jin)

 

Malade ? Elles sont de Tsige et elles ont été malades. Des étudiantes… et leur age.

 

Cela se pourrait t’il… ?

 

[Ceci se pourrait t’il que vous parliez des filles de Rembrandt ?] (Makoto)

 

“… Donc vous les connaissiez déjà, hein. J’ai entendu dire que la compagnie de Rembrandt avait beaucoup d’influence dans Tsige alors j’ai pensé que vous pourriez être au courant.” (Jin)

 

[Quel est le rapport ?] (Makoto)

 

“Je ne sais pas si elles sont vraiment malades, mais il paraît qu’elles vont bientôt revenir dans l’académie. Et donc, j’ai pensé que je devais vous avertir, Sensei.” (Jin)

 

[Avertir ? Jin, vous ne semblez pas heureux à l’idée qu’elles soient de retour à l’école.] (Makoto)

 

“Vous voyez… Sensei l’ignore probablement, mais ses sœurs sont…” (Jin)

 

[Si vous voulez m’avertir, faites le clairement.] (Makoto)

 

Pourquoi a t’il autant de difficulté à me le dire ? Qu’est qu’il essaie de me dire ?

 

“… Elles ont une personnalité assez atroce. Elles sont l’archétype de la fille née riche et sont particulièrement belles. Et elles ont de bonnes notes, ce qui n’améliore pas leur caractère.” (Jin)

 

 

…… Hein ?

 

Ces filles avaient ce genre de personnalité ? Pourtant, elles ne m’ont pas donné ce genre d’impression.

 

Non, attends une seconde.

 

Maintenant qu’il le mentionne, il n’y a pas eu un moment où nous avons pu discuter. ‘Fuit’ est la seule chose que j’ai entendu(NTF: voir ch41).

 

Même si tu parles de beauté ou quoi que ce soit d’autre, en prenant en compte l’épouse, ces trois-là ressemblaient à des monstres.

 

Puisque Rembrandt-san est une bonne personne, je croyais que son épouse et ses filles seraient pareilles.

 

Des riches demoiselles ayant une atroce personnalité ? Êtes-vous sérieux ?

 

“Il semble que vous l’ignoriez. Pas bon, Sensei n’a pas été une cible dernièrement, n’est-ce pas ? La cible de femme.” (Jin)

 

Peut-être qu’il a pris mon silence comme un acquiescement, Jin a ressenti de la sympathie pour moi.

 

[Ne me le rappelez pas. Cela me donne la migraine.] (Makoto)

 

“Ceci serait mieux de ne pas attirer leur attention lorsqu’elles reviendront à l’école. Ces deux-là sont extrêmement pointilleuses sur la beauté donc ça devrait aller, mais juste au cas où… Si elles posent les yeux sur Shiki-san, cela pourrait nuire aux cours. Vraiment, soyez prudent, d’accord ? Ah, cette chose appelée nabe semble délicieuse. Je ne connaissais rien à son sujet~.” (Jin)

 

 

J’ai l’impression qu’il m’a dit quelque chose de méchant. Je crois qu’il s’inquiète en fait pour Shiki.

 

[Bien compris. Je le dirai également à Shiki.] (Makoto)

 

“Merci beaucoup ! Est-ce le restaurant préféré de Sensei ? Quel parfum~. Puis je venir ici aussi ?” (Jin)

 

[Faites ce que vous voulez. Ah, c’est vrai. Shiki vient ici plutôt souvent. Puisque que nous sommes là, que diriez vous de commander son plat favori ?] (Makoto)

 

“Est-ce vrai ?! Je veux en manger ! Hein ? Et Sensei ?” (Jin)

 

[Je me suis souvenu que j’avais quelque chose à faire. Prenez votre temps.] (Makoto)

 

Après avoir commandé la Nabe au crème et avoir pris ma vengeance pour le ‘ça devrait aller pour vous’, j’ai grimacé en pensant à ces nouveaux problèmes pendant que je quittais le magasin.

 

Mais les filles de Rembrandt ont un mauvais fond ?

 

Le sont-elles vraiment ? En voyant le comportement stupide de Rembrandt-shi, je pouvais dire qu’il est vraiment amoureux de ces filles. Est-il le type de personne qui, peu importe ce qu’a pu faire son enfant, les verra toujours comme ses petits bébés ?

 

Eh bien, si elles retournent bientôt à l’académie, tout sera clair à ce moment-là.

 

J’arrive au magasin après avoir reçu deux nouvelles propositions.

 

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Note du traducteur Français: Pour mieux comprendre pourquoi Makoto dit que le système polygame n’est pas terrible, voici une petite explication

 

Il a été dit qu’il y a 2 femmes pour 1 homme(Prologue 04), imaginez 200 hommes et 400 femmes sachant qu’un harem est composé au maximum de 1 Homme pour 5 femmes dans ce light novel.

 

Si sur les 200 hommes, 30 sont la haute société, 60 représente les hauts gradés militaires et les grands marchands, les 30 auront 5 femmes donc 150, les 60 sont moins puissants, ils auront 3 femmes donc 180. Il reste 70 femmes pour les 100 derniers hommes qui représentent le peuple.

 

Bien sur ceci est à prendre comme une idée, pas comme un fait accompli mais ça permet de mieux comprendre.

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