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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 108

Les vacances d'été de l'académie

Tome 2 – Chapitre 108 – Les vacances d’été de l’académie

La ville Académique est actuellement plongée dans la période des vacances d’été.

 

Pendant cet intervalle, le nombre d’étudiant, qui constituait le gros de la population de la ville, a énormément diminué, alors l’activité économique serait réduite en conséquence, c’était ce qu’on penserait en temps normal, mais ce n’était pas vraiment le cas.

 

C’était particulièrement notable dans Rotsgard qui était le centre de Ville Académique. Des choses comme le tourisme et des professeurs qui faisaient des conférences de manière autonome, rassemblaient en fait les étudiants.

 

Bien sûr, les étudiants, qui participaient aux autres écoles de la zone, ne pouvaient pas être comparés à ceux de l’académie de Rotsgard. Les enseignants ont pris cela en considération et ils ont organisé leur cours en ayant gardé ceci en tête. D’ailleurs, les seuls qui faisaient ce genre de cours, c’était les professeurs à temps partiels. Pour eux, c’était une bonne occasion pour faire de l’argent de poche. Peut-être que les professeurs à temps plein travaillaient également pendant les vacances d’été ou peut-être qu’ils glorifiaient cette longue pause. Ils ne faisaient pas de cours pendant les vacances d’été. Il n’y en avait pas un seul. C’était probablement devenu une sorte de coutume.

 

“Même si les cours extra-scolaire sont moins chers que les cours donnés habituellement… Venir à l’école pendant les vacances d’été, c’est plutôt impressionnant. En dehors des activités du club, je n’ai assisté à aucune de ces activités.” (Makoto)

 

“Ceci signifie qu’il y a probablement une grande quantité de personne qui souhaite en partie combler le fossé qui les sépare des étudiants de cette académie. De notre point de vue, c’est une bonne nouvelle qui augmentera le nombre de client.” (Shiki)

 

“Et il paraît que les sœurs Rembrandt ne sont pas rentrées. Juste avant que nous soyons dans les vacances d’été, il y a eu une lettre déraisonnable de Rembrandt-san qui demandait de ramener ses filles à Tsige.” (Makoto)

 

“Et pour une obscure raison, il y a eu une lettre de sa femme le même jour. Nous demandant d’ignorer la lettre de son mari. Elle a immédiatement révoqué sa requête.” (Shiki)

 

Un petit blanc s’est installé entre les deux.

 

“Aaah, l’été, hein~.” (Makoto)

 

“C’est effectivement l’été~.” (Shiki)

 

Shiki et moi, nous sommes partis faire des recherches dans la bibliothèque de l’académie. Le matin, nous lisions des livres ici. L’après midi, nous vérifions la situation du magasin. La soirée, j’entendais les rapports d’Asora et je m’entraînais. Il y a eu un moment où j’ai temporairement été dégoutté par mon inutilité, mais c’était également l’époque où j’ai décidé que j’irai de l’avant, mais à ma propre manière. Il était fort probable que j’ai été influencé par Jin, Amélia et l’attitude frénétique des autres étudiants. Eux et moi, nous sommes des existences complètement différentes, mais en voyant ces personnes faire de leur mieux pour progresser, même si ce n’est qu’un peu. Cela m’encourage à faire de mon mieux.

 

“Ah, maintenant que j’y pense, Jin a semblé vouloir dire quelque chose au cours précédent. Saurais-tu quelque chose à ce sujet Shiki ?” (Makoto)

 

“Non. Il avait l’air gêné, alors il n’arrivait probablement pas à le dire en public. J’ai surtout eu l’impression qu’il était perturbé par quelque chose.” (Shiki)

 

______________________________

 

Lors du dernier cours avant les vacances d’été, je leur ai dit que nous allons faire un joyeux cours avec une simulation de bataille pour la seconde moitié, mais curieusement, ces sept-là m’ont regardé comme s’ils étaient terrifiés et ensuite, ils sont tombés à genoux.

 

[Sif et Yuno, essayez de confirmer tout ce que vous avez appris en combattant jusqu’à maintenant.] (Makoto)

 

En ayant affirmé cela, j’ai inclus les sœurs dans ce joyeux cours qui a déjà été effectué par les cinq autres. Peut-être qu’ils s’attendaient déjà à ça, les étudiants ont pris une formation avec fluidité.

 

C’était pour cela que je n’ai rien dit et j’ai juste hoché de la tête. J’ai invoqué Lézard bleu-kun et un Homme-Lézard de la brume… Puisqu’il y avait plus de personnes, j’en ai appelé un deuxième.

 

[Laissez-moi vous le présentez. Lézard bleu-kun, Zwei.] (Makoto) (NTF: considérer Lézard bleu-kun comme le premier adversaire qu’ils ont eu, et Zwei pour le deuxième.)

 

Ceci serait un peu grossier de ne pas se présenter et de commencer tout de suite le combat, donc même si c’était court, j’ai présenté Zwei-kun. Cependant, c’était à cet instant que tout le monde s’est raidi.

 

Il y en avait même qui tremblait. Ils ont déjà surpassé leur potentiel et leur tactique de combat s’est pas mal étoffée. Pourtant, ils s’attendaient à combattre à 7 contre 1 ? Quelle logique Hyumaine…

 

Ils ont pensé qu’ils combattraient seul comme à leur habitude. Jin a été le premier à crier.

 

“I-Il y en a plus !!!” (Jin)

 

[Pourquoi est-ce que vous dites l’évidence ? 7 contre 1 ne serait pas un bon entraînement. Mais bon, vous avez certainement raison. Vous ne pourriez même pas en combattre un, n’est-ce pas ? Bien, je vais donner la possibilité de choisir entre un 7 contre 2, ou deux combats en 4 contre 1 et 3 contre 1.] (Makoto)

 

‘Quel est l’intérêt de faire une telle chose ?’

 

Les yeux des étudiants exprimaient clairement cela.

 

Quel est l’intérêt ? Ces gars sont des pros pour combattre en groupe, vous savez ? 7 contre 2 sera la tache la plus ardue. Eh bien, ceci pourrait être souhaitable pour qu’ils apprennent à se coordonner, donc ça pourrait être une bonne idée.

 

“H… Hum, Raidou-sensei ? Celui-là est-il aussi fort que l’autre ?” (Amélia)

 

[Évidemment. Lézards bleu-kun excelle dans la maîtrise de son arme, mais Zwei-kun se distingue par sa force. Les deux sont d’excellents guerriers. Au passage, ils sont spécialisés dans le combat en équipe.] (Makoto)

 

Amélia. N’est-ce pas évident ? Pourquoi en apporterais-je un deuxième plus faible ?

 

“B-Bien, je me demandais si en invoquer un deuxième ne mettrait pas un fardeau en plus sur votre corps.” (Amélia)

 

[Pas de soucis.] (Makoto)

 

En réalité, ce n’était même pas une invocation. J’ai juste ouvert une porte, donc ça n’influencerait en rien le fardeau de faire franchir une ou plusieurs personnes.

 

Peut-être qu’ils ont pu se reprendre pour y réfléchir calmement, car ils ont décidé de se diviser. La distribution des équipes a été dans les grandes lignes que je prévoyais.

 

Jin, Yuno, Amélia, Izumo.

 

Daena, Misura, Sif.

 

Eh bien, en fin de compte, les deux équipes ont été incapables de gagner. Mais ils ont été en mesure de mieux leur tenir tête que la dernière fois et ainsi, la classe s’est finie.

 

Jin a dit qu’il voulait me demander conseil après la leçon, donc j’allais écouter ce qu’il allait dire mais…

 

“J-Je vais laisser ça pour plus tard.” (Jin)

 

C’était ce qu’il a dit avec une petite voix à bout de souffle et il est parti. Et donc nous en étions à la situation présente. Puisque nous étions déjà à la période des vacances d’été, ce n’était probablement pas un conseil si important. Peut-être qu’il voulait traiter cela pour le déjeuner ?

 

Si c’était ce qu’il voulait, alors ceci serait certainement difficile d’en parler juste après ce cours. Bah, la suite nous le dira.

 

______________________________

 

“À ce moment-là, seul Sif ne s’est pas effondrée par terre, hein. Toutefois, selon la manière dont c’est géré, leurs aptitudes devraient pouvoir franchir un nouveau cap. Pourquoi est-ce qu’ils ont été écrasés à ce point ?” (Shiki)

 

Tout en ayant posé sa question, Shiki n’a pas arrêté de lire son livre. Apparemment, il était capable de scinder son esprit pour faire deux choses en même temps.

 

 

“Peut-être qu’il s’y habitue ? En considérant les faits, je crois qu’ils vont probablement faire une contre-mesure la prochaine fois et ils feront un pas dans la bonne direction. Eh bien tu vois, tout le monde est courageux donc ils sont sûrement plus prudents que nécessaire.” (Makoto)

 

“La seconde phase, hein. S’ils savaient que la force et la rapidité des Hommes-Lézards allaient augmenter, c’est sûr qu’ils se plaindraient à nouveau.” (Shiki)

 

“Je peux déjà l’imaginer. Si les étudiants les gèrent de la même façon que la première phase, hormis Lézard bleu-kun, Zwei-kun soufflerait tout le monde en une seule attaque et les mettrait KO directement.” (Makoto)

 

Dans la bibliothèque où je ne sentais la présence que de quelques personnes, Shiki et moi discutions des étudiants. Les Hommes-Lézards avaient de l’air de s’amuser pendant le cours, ça devrait les aider aussi pour qu’ils apprennent à se retenir. Eh bien, je ne sais pas si ceci leur sera utile à l’avenir.

 

Cela pourrait crisper les Hommes-Lézards si la croissance des étudiants est trop lente, je souhaite bonne chance à Jin et aux autres.

 

“… Raidou-sama” (Shiki)

 

[Ouais, quelqu’un arrive. En parlant du diable, hein.] (Makoto)

 

J’ai changé de moyen pour communiquer en ayant senti le rapprochement d’une présence. Une présence que j’ai reconnue.

 

Nous prenions une pose où nous donnions l’impression que nous lisions tous les deux en attendant leur arrivé. Apparemment, il n’était pas seul.

 

“Veuillez m’excuser pour le dérangement. Raidou-sensei, pourrais-je avoir un peu de votre temps ?” (Jin)

 

[Jin, hein. De quoi avez-vous besoin ?] (Makoto)

 

Ceux qui s’approchaient, c’était les étudiants dont Shiki et moi parlions. Comme on aurait pu s’y attendre, ils étaient toujours à l’académie, je vois que Sif et Yuno sont là aussi. Rembrandt-san doit être en train de pleurer. Même si je prends en compte la lettre de sa femme, je comprends qu’ils veuillent qu’elles rentrent au moins une fois à la maison.

 

“J’ai quelque chose dont je voudrais vous entretenir.” (Jin)

 

J’ai eu une désagréable impression en ayant entendu Jin parler d’une manière aussi polie. Et en même temps, j’ai été surpris qu’il soit capable de le faire.

 

[Je vous écoute.] (Makoto)

 

“En réalité, c’est à propos des vacances d’été. Ceci ne me dérange pas si Sensei est en mesure de le faire. Pourriez-vous nous entraîner ?” (Jin)

 

[Pendant les vacances d’été ?] (Makoto)

 

“Oui. J’ai entendu dire que vous ne prévoyez pas de faire des cours en dehors du programme. Bien sûr, nous vous rémunérons correctement pour le nombre de fois où nous recevrons votre enseignement, alors s’il vous plaît.” (Jin)

 

 

Bien que ce soit une longue période de vacances, ils sont clairement motivés. Je pensais utiliser ce temps pour me concentrer principalement sur mon commerce et mon entraînement.

 

En plus, ils sont venus et ils m’ont dit qu’ils me payeraient correctement pour les leçons. Impressionnant. S’ils étaient des lycéens qui payaient avec leur propre argent pour avoir des leçons supplémentaire pendant les vacances d’été, ils seraient plutôt hors-normes dans mon monde.

 

[Est-ce que tout le monde est d’accord avec cela ? Il n’y a personne qui souhaitent revenir chez lui ? Spécialement, Sif et Yuno. Vous devriez avoir reçu une demande pour rentrer chez vous.] (Makoto)

 

Je me vois mal dire à Rembrandt que je vais leur donner des cours supplémentaires à ces deux-là et qu’elles ne pourront pas revenir. Je ne peux lui dire ça. Mon père a également piqué une crise en ayant dit qu’il ne laisserait jamais ses filles vivre seules. Je crois que l’affection que montre ce père a ses filles est d’une toute nouvelle dimension.

 

Dans notre foyer, nous avions un père stupidement dévoué et toujours énergétique et ma mère qui s’interposaient toujours, donc peut-être que dans le foyer de Rembrandt, c’était toujours la même chose.

 

“Nous les voudrions aussi dans notre cas, s’il vous plaît. Pour le bien de notre avenir, je ne pense pas que nous soyons assez fortes pour nous permettre de revenir. Il ne devrait pas y avoir de problèmes si nous ne revenons pas pour les 6 prochains mois.” (Sif)

 

Non, non, même si votre force n’est pas des plus remarquables, la famille Rembrandt est une famille marchande, alors aussi longtemps qu’ils ont cette puissance économique avec eux, elles pourraient se permettre de rentrer. Et Yuno a acquiescé.

 

Argh. Quelle résolution.

 

Si je ne fais pas en sorte qu’elle revienne au moins pour une petite période, je sens que Rembrandt-san va m’envoyer une lettre à nouveau, sans doute me maudissant. Il me prête un endroit pour notre boutique donc je veux vraiment garder une relation amicale. J’ai l’impression que je ne devrais pas accepter cette offre.

 

[Shiki, comment est-ce ? Notre programme est déjà bien rempli, non ?] (Makoto)

 

“Non. Si c’est une fois par semaine, nous devrions être capables de le faire.” (Shiki)

 

Hé.

 

J’ai essayé d’avoir une excuse pour refuser leur demande, tu n’as pas compris ?

 

Maintenant, ces sept-là me regardaient avec des yeux pleins d’espoirs. Gérer les étudiants une fois par semaine, c’est juste…

 

 

[Compris. Seulement une fois par semaine, compris ? En outre, Sif et Yuno vont retourner chez elles pendant la deuxième partie des vacances. Ce n’est pas négociable, ok ?] (Makoto)

 

“Héé~! Onee-chan et moi, nous serons les seules qui seront absentes ?!” (Yuno)

 

“Raidou-sensei ! Veuillez nous traiter comme les autres étudiants !” (Sif)

 

[Non. Ton père me l’a demandé. Vous venez juste de récupérer, donc rentrez chez vous et soulagez vos parents.] (Makoto)

 

Je pouvais voir une certaine amertume dans leurs yeux, mais la plupart des étudiants étaient reconnaissants.

 

Aaah. Eh bien, ça devrait être bon de faire l’entraînement de base et d’invoquer les Hommes-Lézards-kun.

 

Je les ai laissés après avoir convenu d’une date, puis Shiki et moi, nous sommes revenus à nos livres. Je dois profiter au maximum de ces vacances.

 

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Au moment où Raidou a été harcelé par ses étudiants pour avoir des cours supplémentaires au milieu des vacances…

 

Il y avait une femme dans un coin de la bibliothèque, là où le public ne pouvait pas se rendre.

 

C’était Eva la bibliothécaire.

 

Elle a vite repris ses taches de bibliothécaire lorsqu’elle a été informée que le danger à l’académie avait disparu. Même si c’était une longue période de vacances, les étudiants, les chercheurs, ainsi que les professeurs venaient quand même ici. Puisqu’elle était absente pendant un certain temps et qu’il y avait une personne qui a repris son poste, Eva-san a pu reprendre son poste pendant que la personne était en vacance. Même si elle n’avait pratiquement pas de vacance, elle se sentait épanouie quand elle travaillait, alors elle n’était pas mécontente de son sort.

 

Eva était en ce moment à la recherche d’un certain article.

 

C’était quelque chose qu’elle voulait que Raidou lise. Eva était une noble par le passé et pourtant, elle excellait dans ses taches de bibliothécaire. Depuis qu’elle a remarqué Raidou, Eva s’est rappelée de tous les livres qu’il a pu lire et elle a repéré ses préférences, cela lui permettait de prédire les choses qu’il voulait savoir et les choses qu’il devait savoir. Ses livres étaient plutôt variés, mais Eva a été en mesure de discerner un certain nombre de penchants. Un vrai exemple à suivre en tant que bibliothécaire.

 

“Hum, je n’ai pas besoin qu’on me dise quoi chercher…” (Eva)

 

Les recherches et les essais, qui sont considérés comme importantes, sont normalement rassemblés dans une zone de la bibliothèque. Évidemment, il y avait des essais qui ont été rédigés à l’académie par le passé et la plupart d’entre eux n’ont pas été publiés, certains contenus des essais étaient les mêmes, donc ils ont été rassemblés dans un même endroit et leur nombre était plutôt énorme. Et en vérité, même la spécialiste Eva a eu des problèmes pour trouver l’article qu’elle cherchait. Elle était dans un état où elle était couverte de poussière à force de le chercher. Il ne faisait aucun doute que ce n’était pas un article bien connu.

 

“Après tout, Raidou-san m’a sauvé la vie. Et il a dit ‘il n’y a pas besoin d’argent, recommandez moi juste des livres’ d’une manière attentionnée, alors il est hors de question de ne pas le faire. Je vais sans aucun doute trouver un livre qui contiendra un contenu qu’il le fera sauter de joie !” (Eva)

 

L’énorme récompense qu’Eva a proposé à Lime faisait partie du patrimoine de Ansland. C’était quelque chose qui reposait sur les terres qui a été volée par les Démons. Raidou l’a écouté avec une expression perplexe et il a demandé à Eva des connaissances plutôt que de l’argent. Il préférait une récompense plus réaliste à la place d’un objet précieux à l’existence douteuse.

 

“On pourrait croire qu’il lisait tout et n’importe quoi, mais le sujet qui l’intéressait le plus, c’était la magie. Et c’était sur l’utilisation du mana et l’invocation. Après ça, il s’est également intéressé à Kaleneon. Et il a également semblé vouloir connaître la position géographique. Mais en premier, cet article.” (Eva)

 

Ce qu’elle recherchait, c’était une thèse résumant le travaille de toute une vie d’un certain professeur et après être venu à une conclusion, il en a été dégoutté, cela a été un essai qui n’a pas attiré beaucoup d’attention. Cependant, Eva pensait que cela pourrait être une des choses qui intéresserait fortement Raidou. Elle a également énuméré un certain nombre de livres qu’il pourrait vouloir. Les rechercher n’était pas si difficile. Au contraire, ce qui lui compliquait la tache, c’était qu’il y avait beaucoup trop d’essais médiocre venant de chercheur inconnu qui gênaient sa sélection.

 

“Je vais lui rendre sa faveur et à partir de maintenant, je dois garder une bonne relation avec lui. Je ne peux plus compter que sur lui et la compagnie Kuzunoha.” (Eva)

 

Les aptitudes des employés de la compagnie Kuzunoha, ainsi que Raidou et Shiki. Et les autres personnes qui étaient dans son ombre.

 

Aux yeux d’Eva, la compagnie Kuzunoha était incroyablement attrayante. Une compagnie libre de toute chaîne avec une activité anormale. Comme promis, ils ont anéanti la puissance de l’organisation qui avait fait son nid dans la Ville Académique. Cela n’a pas été une grande surprise d’apprendre que le gentil Brait-sensei était un de ceux-là. De plus, pas une seule personne n’a menacé Ruria. C’était suffisant pour reconnaître leur capacité.

 

Actuellement, l’envergure de la compagnie est petite, mais ceci peut-être dû au fait qu’ils ne peuvent rien faire de grand. Mais qu’en est-il dans l’avenir ?

 

L’imprudente bibliothécaire n’avait toujours pas abandonné son souhait de faire renaître sa terre.

 

C’était pourquoi elle voulait se rapprocher de Raidou. Sa personnalité et sa puissance n’est pas mauvaise. La gestion de son entreprise est bonne et il a la chance d’avoir des personnes compétentes sous ses ordres. Son visage n’est clairement pas des plus beaux, mais quelque chose comme l’apparence physique, on peut s’y habituer, c’était ce que Eva pensait. Même si sa première impression de lui a été mauvaise, et alors ? Il est absurde de juger une personne juste sur son apparence physique. Si la puissance de la Déesse ne sert à rien, alors que vaut la valeur de l’apparence que prêche cette Déesse ? C’était le sens des valeurs actuel de Eva et Ruria.

 

Ne pas dépendre de la Déesse. Sa foi a faibli jusqu’à disparaître. Ce genre de personne avait naturellement tendance à perdre leur sentiment d’appartenance.

 

C’était une situation qui a été amenée par le silence de la Déesse. Cet état actuel pourrait permettre – un peu – à Misumi Makoto d’avoir le vent en poupe.

 

Plus tard, le festival de l’école de Rotsgard aura lieu, ainsi que l’augmentation considérable des flammes de la guerre.

 

Les vacances d’été de l’académie continuait paisiblement. Comme le calme avant la tempête.

 

Pour les 3 personnes venues de la terre, leur second automne approchait.

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