Tome 3 – Chapitre 136 – Envoyer 4 et 5
Réfléchir aux avantages et aux désavantages comme la priorité est quelque chose de déplaisant.
Pour parler franchement, ça ne me va pas.
L’époque, où je vivais insouciamment dans le désert, était vraiment plus paisible.
Pour le moment, même si j’essayais à revenir à cette époque, j’en serais incapable.
Si j’étais assez habille pour agir selon ce que je sais ou non, je ne serais pas dans un tel pétrin.
“Raidou-dono, je vous ai cherché partout ! C’est une bonne nouvelle de voir que vous n’ayez rien.” (Patrick Rembrandt)
[Vous deux aussi. Ce n’est pas comme si quelque chose est arrivé ici, alors il n’a rien d’étonnant.] (Makoto)
“…Il est évident qu’il y a rien de normal. Il parait être au milieu de sa transformation. Raidou-dono est vraiment calme. Il semblerait que quelque chose se trame en ville. Tout le monde a entendu parler de la situation à l’extérieur et voyant cette chose, ils ont paniqué.” (Rembrandt)
[Non, si cela tourne en un combat, j’y suis habitué. Bon, j’ai bien quelques inquiétudes à propos des marchandises de mon magasin, donc je ne suis pas aussi calme que vous le pensez.] (Makoto)
“Nous ne comprenons toujours pas la situation, mais est-ce que Raidou-dono en saurait plus ? Depuis que mes filles sont parties, elles ne sont pas encore remontrées. Ceci rend difficile tout mouvement. Et c’est la raison de ma présence ici, mais…” (Patrick Rembrandt)
On dirait que Rembrandt-san a plus ou moins compris la raison de cette panique.
Lui et sa femme n’avaient pas l’air d’être vraiment paniqué.
Peut-être qu’ils se sentent en sécurité en raison de la présence de Tomoe et Mio ?
Ou est-ce que les marchands chevronnés sont en mesure de comprendre ce genre de situation en rassemblant les morceaux de manière rationnelle ?
Quoi qu’il en soit, son calme est différent du mien qui découle simplement du sang-froid de mon procédé de défense ‘la violence’.
[Les informations, dont nous disposons, nous disent qu’il y a des monstres comme lui qui apparaissent et saccagent tout dans la ville. Il semblerait que Sif-ojosan et Yuno-ojosan se sont regroupées avec leurs camarades et ils planifiaient de faire quelque chose à propos de l’ancien Ilumgand. Shiki m’a prévenu par télépathie.] (Makoto)
“Dans la compagnie de Raidou-dono, tous les employés savent comment utiliser la télépathie, n’est-ce pas ? Pouvoir communiquer dans cette situation de crise, c’est enviable. Je vois… Ma fille planifie de faire quelque chose ?!!! R-Raidou-dono, qu’est-ce que vous voulez dire par ‘quelque chose’ ?!” (Patrick Rembrandt)
Après avoir acquiescé plusieurs fois, Rembrandt-san a lentement assimilé les informations que j’ai données, mais au milieu de tout ça, il a été stupéfait et a commencé à s’agiter.
J’ai été surpris de le voir aussi calme en ayant appris que ses filles voulaient combattre, mais on dirait que ça n’était pas le cas.
[Après tout, elles ont cet âge. Elles veulent sans doute tester leur force.] (Makoto)
“Ce n’est pas bon… Raidou-dono, ce n’est pas bon. Je suis désolé, mais pouvez-vous faire quelque chose à ce propos ? Par exemple… pourriez-vous gérer discrètement cette situation ? En premier lieu, il n’y a pas besoin de tester leur force dans ce genre de situation. C’est vrai ! J’ai entendu dire qu’il y a un contingent qui a été formé par l’académie pour assurer l’ordre public. Depuis le début, c’est étrange de vouloir laisser les étudiants combattre.” (Patrick Rembrandt)
I-Il a soudainement commencé à s’énerver et a marmonné tout seul encore et encore…
…Sa femme avait un visage qui indiquait qu’elle réfléchissait à quelque chose, mais elle n’a pas l’air d’être agitée.
Dans ce genre de moments, les parents étaient naturellement assez protecteurs, mais elle paraissait plutôt calme.
“… Raidou-sama, vous êtes leur sensei et vous n’êtes pas paniqué, donc mon mari et moi ne sommes pas inquiets pour nos filles.” (Lisa Rembrandt)
Peut-être qu’elle a remarqué quelque chose dans mon regard.
Mais pas moyen d’y croire, cela se voit que ton mari est très inquiet.
Même maintenant, il ne montrait aucun signe de vouloir se calmer.
“De plus, le groupe de Raidou-sama est ici. Je suis certaine que le pire des scénarios ne pourra se produire. Ces filles également… Elles apprendront un jour que peu importe la puissance qu’elles auront, il y a aura toujours une situation où elles pourront rien faire. Si ce jour doit être aujourd’hui, alors on ne peut rien y faire. En fait, je me sentirais heureuse que vous soyez à leurs côtés à ce moment-là. Bien que cet homme a l’air nerveux, il ne l’est pas vraiment.” (Lisa Rembrandt)
…Effrayante.
Ou plutôt, ce n’était pas comme si elle croyait aveuglément dans les chances de victoire de ses filles.
‘Un jour, elles comprendront leur limites, alors il est préférable qu’elles ressentent cette frustration.’ c’est ce qu’elle essaie de me dire ?
Cette femme… Elle dit quelque chose proche d’un spartiate.
Au premier coup d’œil, elle semblait calme, mais en regardant de plus près, ses mains refermées tremblaient, donc elle devait probablement se forcer.
Dans ce couple, c’est le père qui chouchoute ses enfants.
Ces deux-là sont des filles, donc en tant que père, être strict est difficile ou quelque chose du même genre ?
En voyant sa femme placée sa main gauche sur sa main droite et y mettre une certaine force dedans, j’ai pensé de cette manière.
[Je suis heureux que vous ayez confiance en moi. Ce n’est pas comme si je serais toujours à leurs côtés. Pour cette fois, je prendrai la responsabilité et les protégerai comme il se doit. Et pour vous, qu’allez-vous faire à présent ? Cette place n’est pas si dangereuse, donc si vous n’avez rien de précis à faire, je vous suggère de rester ici.] (Makoto)
“…Je vois. Chéri. Chéri !” (Lisa Rembrandt)
“Non, si le pire devait arriver, nous pouvons réunir les mercenaires de la guilde marchande et …” (Patrick Rembrandt)
“Ché-ri !!!” (Lisa Rembrandt)
“Quoi !!! Qu’est-ce qu’il y a, Lisa ? Je suis en train de réfléchir à la manière de résoudre cette situation.” (Patrick Rembrandt)
“Raidou-sama s’occupera de cet endroit. Aussi ce lieu est sûr, mais il nous a demandé ce que nous ferions à présent.” (Lisa Rembrandt)
“Q-Quoi ? Je vois. Raidou-dono va le faire. Ouf~. ” (Patrick Rembrandt)
Pourquoi ce ‘Ouf~’ ?
Tu as même sorti le mot ‘guilde marchande’ que je ne veux plus entendre en ce moment.
Des mercenaires.
J’ai effectivement entendu dire que vous pouviez engager des mercenaires à la guilde pour pas cher.
C’était moins cher que de solliciter chaque aventuriers pour aider aux transports des biens, alors de nombreux marchands utilisaient cette méthode.
C’est quelque chose qui ne me concerne pas, donc je ne me suis pas intéressé plus que nécessaire.
Après que la femme de Rembrandt-san lui ait parlé, il donnait l’impression de s’être calmé.
“Que devrions-nous faire ? Il y a également la question de la sécurité des filles. Je crois que c’est une bonne idée de rester ici. Qu’en penses-tu ?” (Lisa Rembrandt)
“… Non, essayons d’aller à la guilde marchande.” (Patrick Rembrandt)
“À la guilde ? Nous ne nous sommes pas allés il y a quelques jours ? De plus, même si nous y allons maintenant, je ne pense pas que nous pourrions nous attendre à un accueil décent.” (Lisa Rembrandt)
Exactement comme elle l’avait dit.
En plus, en prenant en compte mes réflexions et du fait que je ne me soucie pas si quelques étincelles embrassaient ce lieu, je ne voudrais pas qu’il soit dans la guilde marchande pour le moment.
“Je ne crois pas que la guilde marchande d’ici soit habituée à ce genre de cas de figure. Qui plus est, j’ai expérimenté plusieurs batailles à Tsige et j’en ai également commandé. Je devrais être capable de donner un coup de main pour réduire les dégâts.” (Patrick Rembrandt)
Qu’est-ce qu’il a dit ?
Il y avait quelques instants, il était obnubilé par la sécurité de ses filles, et pourtant, il a soudainement déclaré ça.
Pendant que j’y réfléchissais, Rembrandt-san s’est détourné de sa femme pour être face à moi.
“Si cette place est protégée par Raidou-dono, je n’aurais plus besoin de m’inquiéter pour mes filles. En plus, ce n’est pas comme si je ne connaissais pas le directeur de la branche de la guilde marchande ici.” (Patrick Rembrandt)
“Le directeur de cette branche… Ah, Zara-san. Chéri, tu es allé le rencontrer avant, non ?” (Lisa Rembrandt)
Zara.
Ce directeur, si je me souviens bien, il avait ce nom.
Pas seulement Rembrandt-san, sa femme est également une de ces connaissances, hein.
Pff~ J’ai envie de soupirer rien qu’a l’évocation de son nom.
“O-Oui. Quoi qu’il en soit, si ma famille est en sécurité, je dois faire ce que je peux. Il n’y aucun mal à aider la guilde marchande et c’est la ville où mes filles résident. Alors, Raidou-dono, je vais me diriger vers la guilde marchande pour aider à résoudre la crise.” (Patrick Rembrandt)
“…On ne peut pas faire autrement. Dans ce cas, je t’accompagnerai.” (Lisa Rembrandt)
“L-Lisa, ceci ne me dérange pas si tu res…” (Patrick Rembrandt)
“Je participerai. J’ai plus d’habitude de ce genre de situation que les personnes de la guilde d’ici. De plus, je voudrais présenter mes salutations à Zara-san. Cela fait longtemps.” (Lisa Rembrandt)
Pour une obscure raison, Rembrandt-san a voulu y aller seul.
Y a-t-il une sorte d’inconvénient à ce que sa femme vienne avec lui ?
C’était la ville où ces filles étudiaient et dans le cas de cette personne, il n’aurait pas de liaison ou quelque chose du même genre.
À la base, il est complètement soumis à sa femme.
Mais, ces deux-là ont l’intention de quitter le stade ?
Que devrais-je faire ? Le choix présentant le plus d’avantage…
…
Ah, bordel !
Comment diable je fais pour évaluer en priorité les avantages et les inconvénients !
Je suis déjà à ma limite !
J’ai une dette envers eux.
Je veux les protéger.
Je veux qu’il soit en sécurité.
Alors, c’est suffisant pour moi.
J’ai regardé les alentours.
Il semblerait qu’il y ait encore des gens dans la partie des invités.
En plus, il y a toujours plusieurs personnes qui sont dans les gradins.
Dans ce cas, cela serait une mauvaise idée de le faire ‘ici’.
“Raidou-dono, désolé, mais, je laisse mes filles sous votre garde. Si c’est vous, je n’ai pas d’hésitation à avoir. Je verrai ce qui est en mon pouvoir. C’est ce que je dis, mais je vais juste créer une nouvelle dette, hahaha.” (Rembrandt)
“Donc, on se voit plus tard. Je vais y à présent.” (Lisa)
[Attendez, je vais vous accompagner jusqu’à mi-chemin.] (Makoto)
Rien ne garantit que rien n’arrivera si je les laisse partir tous les deux.
Je vais les escorter.
Je ne veux pas que les rares personnes, en qui je peux faire confiance, affrontent le danger.
…Si je devais passer du côté des Démons, je devrais aider Rembrandt-san de loin ou ils pourraient également faire face au danger.
Bon, je vais laisser ça pour le moment où je devrais réfléchir.
Ils ont eu l’air d’être dérouté un instant, mais le couple a accepté que je les accompagne.
Par télépathie, j’ai ordonné à Tomoe de téléporter Eva-san et Ruria dans le magasin.
Après avoir vérifie que Tome a bien compris par un acquiescement de la tête de sa part, j’ai laissé tout le monde et j’ai suivi le couple Rembrandt-san.
En ayant quitté nos places, nous avons poursuivi notre chemin dans un couloir sombre.
[Vous êtes en bons termes avec ce directeur-dono ?] (Makoto)
“En bons termes… C’est une relation compliquée. Ce que je peux dire avec certitude, c’est que nous avons un lien indissociable.” (Patrick Rembrandt)
“Il y a eu une époque où ils s’occupaient chacun de leurs propres magasins et ils étaient voisins.” (Lisa Rembrandt)
“Lisa !” (Rembrandt)
“N’est-ce pas la réalité ? Ce n’est pas quelque chose à dissimuler. De plus, tu es considéré comme une personne surfant sur la réussite et vous êtes similaires.” (Lisa)
Rembrandt-san jeune, hein.
Je n’arrive pas à me l’imaginer.
Apparemment la relation entre le directeur de la branche et Rembrandt-san est plus profonde que je ne pensais.
D’un côté, ils sont alliés et compagnons sur lequel l’autre peut compter.
De l’autre, ils se méprisent et sont durs avec l’autre.
Quelle chose mystérieuse.
[Je vois. Ce type est implacable en fonction de la personne, à un niveau extra-ordinaire. Il donnait l’image d’une personne ne s’intéressant qu’aux affaires, donc c’est un peu surprenant d’entendre qu’il est similaire à Rembrandt-san.] (Makoto)
“… C’était hier, hein. Le jour où vous l’avez rencontré. Vous avez dit que vous étiez préoccupé par rapport à votre commerce. Il semblerait qu’il vous a dit quelque chose de désagréable.” (Patrick Rembrandt)
[Je n’étais pas conscient de mon manque de connaissance et des frictions avec mes semblables.] (Makoto)
“Je lui ai parlé au préalable un peu de vous et de vos serviteurs. Apparemment, ceci ne s’est pas passé correctement. Désolé.” (Patrick Rembrandt)
[Ne vous inquiétez pas. Ce n’est pas quelque chose dont vous devriez vous excuser. Après tout, c’est mes compétences qui sont en cause.] (Makoto)
“Cela te concerne, chéri… N’as-tu pas dit quelque chose de vague à Zara-san ?” (Lisa Rembrandt)
“Il s’agit des informations privées de Raidou-dono. Je ne peux pas facilement en divulguer les détails, Lisa. Bien qu’au vu de votre réaction, il a dû agir d’une manière très rustre.” (Patrick Rembrandt)
[Malheureusement, il ne m’a même pas traité comme un marchand. C’était vraiment infâme.] (Makoto)
“Même lorsqu’il est comme ça, il garde un bon fond, mais c’est le genre de personne a manqué de vocabulaire. Il arrive qu’il soit mal compris.” (Patrick Rembrandt)
Mal compris ?
Ce n’était pas à ce niveau. C’était clairement de l’abus.
Bon, il ne fait aucun doute qu’il n’attendait rien de moi, donc c’est définitivement pas un malentendu.
Rembrandt-san semble le connaître très bien.
“Il s’efforce d’être plus aimable pour les affaires que chéri. Tu es du genre à venir silencieusement dans le dos pour attaquer. Il est vrai que sa bouche est son plus grand défaut.” (Lisa Rembrandt)
“Lisa, n’y a-t-il pas de la malice dans tes mots ? N’ai-je pas habillement gérer le problème ?” (Patrick Rembrandt)
Habillement…
Comme on pouvait s’y attendre, les paroles d’un marchand ne sont jamais simples.
J’ai été bien trop souple.
[Vous êtes de vielles connaissances, hein.] (Makoto)
“Oui. Depuis longtemps. Morris connaît également bien Zara et nous avons été en compétition l’un avec l’autre. J’ai remarqué qu’en fin de compte, ma famille est la chose la plus importante, alors j’ai tiré une ligne entre eux et mes affaires, mais il est toujours célibataire et ne vit que pour les affaires. Peut-être en raison de mon flair émoussé ou ça pourrait être simplement parce qu’il n’aime pas mon ombre, on dirait qu’il a eu une mauvaise attitude avec Raidou-dono.” (Patrick Rembrandt)
[Voilà donc ce qui s’est passé. Il m’a dit que c’était trop tôt pour moi de travailler ici, de rentrer vite à Tsige et de réapprendre le métier de marchand.] (Makoto)
“Pff~, il ne le dira pas d’une manière aussi gentille. ‘Barrez-vous la-bas et supplier votre confrère de vous apprendre correctement le métier’, cela serait plus son genre. Eh bien, si c’est ainsi que vous l’avez pris, ça serait très bien pour lui.” (Patrick Rembrandt)
Il le connaît vraiment bien.
Honnêtement, j’ai dit à Rembrandt-san qu’il m’avait déclaré ça de cette manière, mais en réalité, ce que j’ai entendu, c’était plutôt ‘Disparaît foutu vaurien favorisé’.
“C’est la façon de parler de Zara. Halalala, nous sommes déjà dehors. Raidou-sama, cela suffit comme ça, le reste nous pouvons le faire nous-mêmes. Veuillez prendre soin de nos filles.” (Lisa Rembrandt)
“Oui. Même si je ressemble à cela, je m’y connais en self-défense. Ne vous inquiétez pas, je prendrai aussi le temps pour avoir une discussion avec Zara.” (Patrick Rembrandt)
Non, ce n’était pas comme si je me plaignais de quelque chose.
Mais bon, ceci a dû sonner comme une lamentation pour eux.
Ah~, je suis vraiment bichonné par Rembrandt-san.
Il va falloir que j’y réfléchisse.
Bon alors, passons à la vraie raison. Invoquer une escorte.
[Veuillez attendre. Je pensais que ceci allait se distinguer, alors je vous ai accompagné jusqu’ici. Mais maintenant ça devrait être bon, je souhaiterais faire venir une escorte pour vous deux.] (Makoto)
“Escorte ?” (Lisa Rembrandt)
“Est-ce que vous vous référez à un de vos serviteurs ? Mais ils sont tous de là où nous venons.” (Patrick Rembrandt)
Sans répondre à leur interrogation, j’ai créé une porte de brume.
En jetant simplement un coup d’œil, on aurait l’impression de voir un brume flou à mes côtés de la taille d’un corps.
Une ombre est apparue à l’intérieur et la forme a lentement commencé à prendre forme.
Lorsque les deux Hommes-Lézards de la brume avec de magnifiques écailles sont sortis du brouillard, le couple a ravalé sa salive.
Ils ont été surpris de voir deux mamonos apparaître soudainement.
On dirait qu’ils ont été renversés par leurs prestances et leurs comportements où on pouvait sentir une certaine intelligence.
[Comme vous le constater, ils sont des mamonos que j’ai invoqué. Ils sont fiables, alors vous pouvez leur faire confiance. Si par hasard vous êtes attaqués, ces deux s’avéreront être incroyablement utile. Pour le public, dites simplement que c’est Rembrandt-san ou votre femme qui a utilisé un objet magique pour les invoquer.] (Makoto)
“M-Maintenant que vous le mentionnez, Raidou-dono a été capable d’utiliser la magie d’invocation. Je ne m’attendais pas à ce qu’ils apparaissent soudainement, alors j’ai été vraiment surpris.” (Patrick Rembrandt)
[Ils peuvent comprendre le langage commun, donc si vous voulez leur donner des ordres, dites leur normalement et ils le feront. D’ailleurs, celle qui tient la lance s’appelle Ble… je veux dire Fia et celui avec un arc est Hyun.] (Makoto)
Concordant avec mon introduction, les deux Hommes-Lézard de la brume ont posé un genou sur leur sol en face du couple.
Vu qu’il s’agit de mon ordre, ils le suivront.
J’en suis reconnaissant.
On dirait que le couple s’est également calmé après avoir vu leur agissement.
“Ils peuvent nous comprendre, hein. Voilà qui est fiable. Raidou-sama, merci beaucoup.” (Lisa Rembrandt)
“Oui. Laissez moi exprimer ma gratitude. Merci beaucoup.” (Patrick Rembrandt)
[Veuillez prendre soin de vous. On se revoit plus tard.] (Makoto)
J’ai envoyé les Hommes-Lézards 4 et 5 pour assurer la sécurité du couple.
Je prévois d’envoyer numéro 3 aider les étudiants, alors peut-être que je devrais laisser les noms ainsi.
Les deux noms, que j’ai donnés, étaient improvisés. Ce sont plutôt des noms de codes, donc il ne devrait y avoir aucun problème.
En ayant quitté le couple, je suis retourné à l’arène où les étudiants sont sans doute déjà en train de combattre.