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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 176

Le sentiment d'être dans un rêve

Tome 4 – Chapitre 176 – Le sentiment d’être dans un rêve

»Bienvenue dans l’Union Lorel. Nous sommes honorés de votre présence, héroïne Hibiki-sama. » (Sairitz)

Une femme portant une robe a incliné la tête avec respect alors qu’elle présentait sa bienvenue à son invitée.

Tandis qu’Hibiki la remerciait pour sa gentillesse, elle a ressenti de la froideur dans le comportement de la femme.

C’était presque imperceptible et ça s’est complètement évanoui au moment où la femme a adressé ses paroles, donc Hibiki a décidé de l’ignorer pour le moment.

»Bon retour, Chiya-sama. Saviez-vous que tout le monde attendait avec impatience le retour de la prêtresse-sama ? » (Sairitz)

»Désolée d’avoir autant tardé, Sai. Cela ne sera que pour un petit moment, mais je suis rentrée avec onee-chan. Hé, Sai. Hibiki-onee-chan…. » (Chiya)

»Chiya-sama, j’aurais aimé écouter tranquillement votre histoire ultérieurement. Pour le moment, je suis sûre que vous êtes fatiguée de votre longue journée, donc nous allons maintenant nous diriger vers des chambres pour que tout le monde puisse se reposer. » (Sairitz)

C’était Sairitz, l’une des personnes influentes de Lorel, qui était venue à la rencontre de l’héroïne, l’invité de Limia.

L’existence de la prêtresse de Lorel était reconnue du peuple et ils l’adoraient.

Sairitz avait une position importante dans Lorel, ce qui lui donnait une certaine dignité pour accueillir des visiteurs importants d’un autre pays.

L’importance de la religion dans ce pays rendait la position de Sairitz beaucoup plus influente qu’elle ne l’était à l’origine.

Elle était “forte” dans de nombreux domaines qui dépassait l’impression que Makoto avait eu d’elle en tant que puissant leader dans ce pays.

Elle a jeté un coup d’œil à ses subordonnés, leur signalant de guider les invités. Alors qu’elle regardait l’héroïne, la prêtresse et leurs compagnons partir, elle a confirmé ses plans avec un autre subordonné.

»Sairitz-sama ? Y a-t-il un problème ? » (Subordonné)

»Je pensais juste que nous avions tellement souhaité le retour de la prêtresse, et pourtant… » (Sairitz)

»La diplomatie employée par tous, en vous incluant, Sairitz-sama, a montré des résultats. » (Subordonné)

»… Si c’était vraiment le cas, je me sentirais plus heureuse. » (Sairitz)

»Sairitz-sama, Chiya-sama est de retour, donc je crois qu’il est préférable de ne pas trop s’inquiéter à ce sujet. De la même manière que Limia a traitée notre pays, si nous demandons à la prêtresse-sama de rester à Lorel à partir de maintenant, cela… » (Subordonné)

»Toi… Si l’on pense à seulement retourner le traitement qui nous a été infligé sans considérer la situation et le temps, ceci nous conduira au pire résultat possible. Assures-toi de graver cette leçon dans ton esprit. Du moins, nous ne pouvons pas le faire avec cette occasion. Mais si Chiya-sama est forcée de prendre part à la guerre, il y aura pleins d’opportunités. » (Sairitz)

»M-Mes excuses. J’en ai trop dit. » (Subordonné)

»Il y a également tout ce qu’il s’est produit jusqu’à maintenant. Je ne te condamne pas pour ton animosité envers Limia. Mais la réalité est que Chiya-sama appuie énergiquement l’héroïne sans arrière-pensée. Elle est venue ici pour ‘un petit moment’ de son plein gré. La chose qui m’inquiète le plus… » (Sairitz)

(Cela serait lorsque Raidou a demandé le prolongement de l’aide de l’unité des chevaliers dragons pour la restauration de la cité, on aurait plutôt dit déclaration à demi-voilée ‘Je devrais bientôt pouvoir rencontrer la prêtresse, hein… Même si Limia et Lorel sont considérés faisant parties des quatre grandes puissances, je ne crois pas que nous soyons égaux. Mais nous avons encore une grande nation ; Normalement la diplomatie ne pourrait lui accorder ce qu’il demande et pourtant il a obtenu ce qu’il voulait tellement facilement… J’aimerais que Chiya-sama l’analyse au moins une fois. Je me demande si je devrais lui demander de s’arrêter à Rotsgard sur le chemin du retour. Apparemment, elle a déjà réalisé que l’héroïne était une personne brillante ; Peut-être qu’elle pourrait découvrir quelque chose sur Raidou. Pff, s’il pensait que ces paroles étaient juste pour me consoler, il a dû relâcher sa vigilance.)

»Sairitz-sama ? » (Subordonné)

»… Ce n’est rien. Nous allons être désormais très occupés. Je vais compter sur toi à l’avenir. » (Sairitz)

»Je m’occupe de tout ! Je servirai Chiya-sama avec tout ce que j’ai ! » (Subordonné)

»Dans ce cas, allons-y. » (Sairitz)

Sairitz s’est souvenue de la personne qu’elle a rencontrée il y a peu à Rotsgard.

Sa demande de laisser les chevaliers dragons pour aider à la restauration de la cité et son offre en retour.

Il est impossible qu’une simple compagnie puisse avoir assez de puissance pour influencer les mouvements de l’héroïne ou de la prêtresse, encore moins une puissante nation.

Normalement, ça serait le cas.

À l’heure actuelle, la prêtresse a d’elle-même anticipé son retour à Lorel et a ramené l’héroïne avec elle.

Bien que ce soit temporaire, ça reste un événement important.

Elle ne devait pas concentrer toute son attention sur ça.

Même ainsi.

Sairitz ne pouvait pas effacer le nom de Raidou et de la compagnie Kuzunoha de son esprit.

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J’étais là.

»Tu n’étais pas un Hyumain après tout. » (Makoto)

»Toi, tu es un monstre. »

»Je ne crois pas que je puisse être appelé ainsi par toi en considérant le fait que tu parles toujours avec un trou dans l’estomac. » (Makoto)

»Je ne dois pas te permettre de rencontrer Hibiki-sama ! Peu importe les conséquences, je dois t’arrêter ici ! »

J’étais en face d’un type portant une armure noire.

Mais il était à genoux et avait un énorme trou dans l’estomac.

De la façon dont il en parle, je dois l’avoir déjà fait.

Donc est-que ce type est une des connaissances de senpai ?

»Un chevalier noir, hein. Est-ce la supposée loyauté d’un chevalier ? » (Makoto)

Un chevalier noir.

 

Je n’ai jamais entendu parler de lui.

Mais on dirait qu’il me connaît.

Je regardais cette scène d’une façon très abstraite.

C’était comme s’il y avait un moi en tant qu’acteur et un autre en tant que spectateur.

La personne gravement blessée, qui était vraisemblablement un chevalier noir, avait un casque brisé qui révélait le visage d’un Demi-Humain, pas celui d’un Hyumain. Non, son visage est ridé, mais semble jeune, il pourrait même ne pas être un Demi-Humain.

»Raidou, peu importe les conséquences, je t’arrêterai ici ! » (Chevalier noir)

Une épée à deux mains, qui conviendrait mieux pour détruire que trancher sa cible, a été lancée à mon encontre.

Je l’ai arrêté à mains nues.

Je n’ai même pas eu besoin de mon corps de mana.

J’ai juste attrapé l’arme comme si de rien n’était.

Pas moyen, je ne devrais pas être capable de faire une telle chose.

C’était pourtant assez rapide, pas vrai ?

»Hé, saurais-tu ce qu’est un micro-onde ? » (Makoto)

»Micro-onde… ? » (Chevalier noir)

»Hahaha, désolé désolé. J’avais oublié. Oh ouais. Pourrais-tu me dire ton nom ? Sûrement que ton nom n’est pas ‘chevalier noir’ ? » (Makoto)

J’ai entendu ma voix sans aucune trace de tension.

Il y avait deux moi ; C’était une étrange sensation.

Les environs…

J’ai regardé autour de moi avec anxiété.

Il n’y avait que des gravats éparpillés partout et dans les airs volaient les braises des flammes, de la fumée et du bruit retentissaient ici et là.

C’était un champ de bataille.

»Tu demandes mon nom ?! Hahahaha ! Tu ne le sais pas ?! Tu dois en avoir vu tellement, mais tellement d’autres visages aussi LAID que le mien là-bas ! Et tu les as tous anéantis ! » (Chevalier noir)

Le chevalier noir s’est lui-même pointé alors qu’il a hurlé le mot ‘laid’.

»Je n’en me rappelle pas… Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles. Et donc quel sorte de rancœur as-tu envers moi ? » (Makoto)

»La ville Académique ! Rotsgard ! Le festival de l’école ! Est-ce que tu vas me dire que tu as oublié toutes ces choses, Raidou ?! » (Chevalier noir )

»Ah, les variants, hein. Effectivement, tu es quelque peu similaire à eux. Tu as donc été un de ceux qui ont survécu ? Mais tu sais, les personnes, qui ont été transformées lors de cet événement, ont en quelque sorte subie les conséquences de leurs propres actions. J’estime qu’il est déraisonnable d’avoir une rancœur contre moi à ce sujet. » (Makoto)

»Je suis … » (Chevalier noir)

»Hein ? » (Makoto)

»Je suis Ilumgand Hopelace ! » (Ilumgand)

?!

Ilumgand ?!

Hmm… Si je me souviens bien, il a été supposé avoir été tué lors du festival de l’école par Amélia.

»Ilumgand, hein. L’insurrection des variants appartient au passé, donc je ne suis pas souviens pas de tous les noms. Mais Ilumgand Hopelace, oui. Je m’en souviens. » (Makoto)

Mais peut-être que je ne souviens pas vraiment de son nom ; Je n’ai pas démontré une quelconque réaction à l’évocation de son nom.

Je me demande qu’elle ait cette sinistre sensation que je ressens.

»Toi, jusqu’à quel point tu dois ridiculiser les personnes avant d’être satisfait ! » (Ilumgand)

»En dépit de sa ridicule résistance, on dirait que tu ne peux pas reboucher le trou dans ton estomac, alors il est temps de faire tomber le rideau. Je vais m’assurer d’en finir. Maintenant qu’il ne reste plus personnes dans le groupe de senpai, excepter la prêtresse, et bien que je sois maladroit, je peux enfin la mettre échec et mat. » (Makoto)

Échec et mat ?

Le groupe de senpai ?

Quel genre de situation est-ce ?

En dépit de l’étrangeté de cette circonstance, le moi, qui se tenait debout, n’a pas prononcé un seul mot alors qu’il tendait sa main gauche en direction du chevalier noir.

»Tu me préviens que tu as l’intention de me finir ?! » (Ilumgand)

Ilumgand a tenté de reculer en bondissant tandis qu’il essayait de fuir la main qui se rapprochait de lui.

Mais il est revenu brusquement à sa position originelle, comme s’il était entré en collision avec quelque chose et a trébuché.

Était-ce une barrière ?

Mais sa portée ne prenait pas en compte son environnement.

On dirait que je l’avais mis en place pour agir comme un mur qui emprisonnait complètement Ilumgand.

N’est-ce pas injuste ?!

Une barrière où le lanceur de sort n’est pas au centre ?! C’est une capacité diabolique !

»Pour en revenir à la précédente discussion sur le micro-onde. C’est un outil qu’on utilise pour réchauffer la nourriture. » (Makoto)

»Pourquoi… Pourquoi est-ce que quelqu’un comme toi possède une telle puissance ?! Quelqu’un comme toi qui n’a aucune foi ! » (Ilumgand)

»Au début, j’ai pensé ‘Ouah, l’intérieur est vraiment très chaud~’. Mais ce n’est pas ça qui se passe. C’est en fait l’agitation des molécules sous l’effet d’un rayonnement micro-onde. C’est une technologie vraiment étonnante. » (Makoto)

 

Ah, j’ai déjà entendu quelque chose à ce sujet.

Je crois que c’était lié à la vibration des molécules.

Même si c’était un objet familier, un équipement pratique de la maison, je me souviens d’avoir été étonné que ce soit un objet tellement compliqué.

Bien que ce soit un vague souvenir que j’ai entendu à la télévision ou quelque chose dans le même genre.

Mais à quoi je pense pour dire de telles choses sur l’autre monde à un ennemi…

Alors que je me posais cette question, j’ai dit quelque chose d’étrange.

»Eh bien, qu’est-ce que tu crois qu’il se passerait si tu le faisais à une personne ? » (Makoto)

»… Je ne sais pas ce que tu essaies de me dire. Est-ce que tu sous-entends que tu vas me brûler jusqu’à ce mort s’ensuive ? » (Ilumgand)

»C’est ce tu penses qu’il se produirait, n’est-ce pas ? Ce n’est pas quelque chose comme être cuit vivant. C’est plutôt être désintégré par quelque chose de magique, mais au moins, il n’y a plus à s’embêter avec un corps. » (Makoto)

Quelque chose de magique, hein.

Je suppose que je dois faire allusion à la barrière.

Encore.

Hé, hé.

Qu’est-ce qui arriverait si on mettait quelqu’un dans un micro-onde ?

C’est une façon de tuer un peu vulgaire.

Je n’avais jamais imaginé cela auparavant.

»… Sois sûr de te souvenir de ceci. Tôt tard, tu recevras ton châtiment. Hibiki-sama ou la Déesse-sama te punira. Le monde ne te reconnaîtra jamais. » (Ilumgand)

‘‘J’en serais tellement content. Si elles venaient à moi, ça m’éviterait tant de problème. Bon, bye-bye. » (Makoto)

»Ilum-kun ! »

Aussi incroyable que cela puisse paraître, la voix d’une femme a interpellé Ilumgand avec un timing parfait.

»Ah, Hibiki-senpai. » (Makoto)

C’était la voix de senpai.

J’interpellais senpai comme si de rien n’était.

Ilumgand a gonflé et a éclaté.

 

C’était comme un ballon qui aurait explosé avec une armure et des vêtements.

L’intérieur de l’invisible barrière hémisphérique, qui avait enveloppé Ilumgand, était peinte de rouge et de noir.

Argh.

‘Micro-onde’

Je n’aurais certainement pas pensé à ça lors qu’il en a parlé.

Qu’ai-je fait ?

D’imaginer qu’il y aurait une telle manière de tuer une personne.

L’hémisphère rouge a rapidement disparu et tout ce qu’il restait était une grande traînée rouge sur le sol.

C’est difficile de croire qu’une personne venait juste de mourir ici.

Il n’y avait pas de corps, même pas la moindre once de chair.

»Misumi-kun, tu… ! » (Hibiki)

»Comme as-tu osé faire ça à Ilum-san ! » (Chiya)

Senpai et la jeune prêtresse avait assisté à la scène en arrivant ici et maintenant elles me fixaient.

Avec des yeux plein de colère et de haine.

Je ne peux pas les blâmer, puisqu’elles ont vu un de leurs compagnons mourir sous leurs yeux.

Mais est-ce qu’Ilumgand est un allié de senpai reconnu en tant que chevalier noir ?

Pas seulement ça, mais je crois que leur haine envers moi n’est pas seulement due à cette scène.

Il n’y avait aucun signe de surprise ou de confusion ; Elles ont immédiatement commencé à avoir ce regard, ce qui veut dire que depuis le début…

Attends, ça ne peut pas être possible !

Ma tête s’est légèrement inclinée et ma bouche s’est déformée sous un sourire.

Je suis choqué.

Tu te fous de moi, pas vrai ?

Pourquoi ferais-je une telle chose ?!

Qu’est-ce que font Tomoe, Mio et Shiki ?!

Il n’y avait pas d’émotion particulière dans mes yeux.

Seules les extrémités de ma bouche pouvaient faire penser à un sourire.

Alors que je relevais mon visage, ma main gauche s’est pointée en direction de senpai et de la prêtresse.

Hé, arrête-ça.

S’il te plaît ?

»Il semblerait que vous soyez arrivées trop tard. Je vais en finir rapidement avec vous et la Déesse sera la suivante. J’estime que cela ne sera pas douloureux. » (Makoto)

ARRÊTE !

»Je me suis complètement trompée à ton sujet. Il est trop tard pour moi pour le réaliser que maintenant alors que je ne peux plus faire marche arrière… Donc je n’ai plus vraiment le choix. » (Hibiki)

»Eh bien, c’est la vie. Ah, senpai. » (Makoto)

Je ne montrais aucun signe d’avoir envie de le faire, en fait, j’étais neutre.

Mais j’ai compris les actions de mon autre moi.

Ne te fous pas de moi !

Pourquoi devrais-je faire ça à senpai ?!

»La manière dont fonctionne un micro-onde est… » (Makoto)

»STOOOP ! » (Makoto)

Haah, haah.

Il m’a fallu un certain temps pour réaliser que cette respiration essoufflée était la mienne.

Alors que je touchais mon front, une grande quantité de sueur s’est posée sur ma main.

Je pouvais sentir que c’était des sueurs froides.

J’ai arrêté de prendre des petites respirations, et j’en ai pris une grande et profonde.

J’ai lentement expiré.

»Un rêve, hein. » (Makoto)

C’était Asora et j’étais dans mon lit.

Ce n’était pas un champ de bataille et senpai n’était plus ici.

C’était un rêve.

»… C’était bien un rêve, pas vrai ? » (Makoto)

Pour un rêve aussi insensé, c’était tellement réaliste que je ne peux pas m’empêcher de me questionner inconsciemment.

Ilumgand est censé être mort.

Et personne ne ressemblait à un chevalier noir qui soit apparu dans le groupe de l’héroïne de Limia ou dans la famille Hopelace.

Si nous parlions d’un chevalier protégeant senpai, je crois qu’il y avait un autre dans son groupe.

Un des chevaliers du royaume.

Je ne suis plus d’humeur pour retourner dormir.

Je suis complètement réveillé.

Tch, alors que le dîner avec des takoyaki et des tako-shabu a été un grand succès et que tout le monde a apprécié.

Même Shiki a joint ses mains ensembles de façon admirative et s’est demandé à voix haute à quel point les secrets du nabe étaient profonds. (NTA : Il joint les mains comme pour faire une prière.)

J’en ai ri. Bien que j’étais complètement ivre, c’était en fait assez drôle.

»Hahaha. » (Makoto)

J’ai lâché un petit rire tandis que je me souvenais de cet agréable souvenir.

C’était juste un rêve.

Après tout, il ne devrait pas y avoir à s’inquiéter.

… Oh ouais.

»C’est un peu tôt, mais je vais aller faire du Kyūdō. Je voudrais me calmer un peu de toute façon. » (Makoto)

J’ai changé de vêtements.

J’ai pris mon arc et j’ai quitté la pièce.

Je me suis dirigé vers le stand de tir.

Jusqu’au lever du soleil.

J’ai tiré à l’arc pour m’éclaircir l’esprit.

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