Tome 4 – Chapitre 179 – Rupture des négociations
“Bien sûr, ça ne sera pas gratuit.” (Tomoki)
“…” (Makoto)
Lui donner Tomoe ?
Il n’y a aucun doute qu’il a bien prononcé ça.
On dirait qu’il a utilisé son pouvoir de séduction pour mener une vie douce, mais il agissait comme un gosse réclamant un jouet.
Il souhaitait vraiment Tomoe avec qu’il a été incapable d’utiliser ses yeux démoniaques et il me disait maintenant de lui donner.
C’est de ça qu’il s’agit ?
“Les filles ici sont les enfants de nobles de l’empire. Mais elles ont un certain talent au combat, donc je les ai entraînées.” (Tomoki)
“…” (Makoto)
J’ai perdu ma faculté à parler après cette stupide demande, mais en ce moment, je suis sans doute calme.
Avec le signal de ce type, Tomoki, les trois filles, qui étaient derrière lui, se sont placées à mes côtés et derrière moi.
“Le niveau de ces trois-là dépassent 400. Comme tu peux le constater, leurs visages et leurs styles sont assez populaires. Bien que comparé au Japon, n’importe qui dans ce monde semblent magnifiques. Hahaha !” (Tomoki)
“…”
Ces deux-là semblaient avoir mon âge.
L’une à mes côtés était une beauté et l’autre était mignonne. Celle dans mon dos, s’est légèrement penchée et a placé sa main sur mon menton, semblait plus vieille.
Est-ce que la princesse lui a dit mes préférences ou est-ce simplement son propre hobby ? Je ne sais vraiment pas.
La mignonne a pris ma main et l’a porté à ses seins.
Plus direct serait compliqué.
Eh bien, quelque chose de style… Ne pose aucun problème.
“Lily m’a renseigné sur le niveau de Tomoe. Même si nous additions leurs nombres, ça ne serait pas suffisant. Si tu veux, je peux en ramener plus. Plus tard, je te guiderai là où se trouve mon harem, tu pourras choisir celles qui te plaisent et les ramener avec toi.” (Tomoki)
“…”
Juste à quel point ce type peut être considéré comme une blague.
Peu importe les détails, elles sont supposées être des filles qui se languissent de lui.
Et aussi, Tomoe est pratiquement de la famille. Une existence importante.
Je n’ai pas la moindre intention de la donner à quelqu’un qui essaie de l’obtenir par marchandage.
“Toujours silencieux ? Ah, tu dois être nerveux, je peux comprendre. Tu n’as aucune expérience, n’est-ce pas ? Ne t’inquiète pas. Ces filles vont correctement t’enseigner. Pour la première fois, c’est bon de les laisser faire. Si je l’ordonne, elles iront où je voudrais et elles obéiront à la personne que je veux. Je l’ai déjà dit avant, mais ces filles peuvent combattre à un plus grand niveau que les standards actuels. Je te promets que je leur dirai de se consacrer entièrement à toi si tu acceptes.” (Tomoki)
“…” (Makoto)
Les contrôler avec son pouvoir, finir leur entraînement et les utiliser aux combats.
Quand Root a mentionné les Valkyries, il se référait à ces filles, hein. Ou peut-être que les Valkyries désignaient le harem de Tomoki ?
Quoi qu’il en soit, son attitude donnait l’impression qu’il avait l’habitude de ce genre de situation.
Étant Japonais, utiliser les gens comme des objets… Comment une telle personne peut agir ainsi aussi naturellement ?
Es-tu en train de me dire qu’il a complètement oublié ses origines ?
Ou est-ce vraiment si étrange de s’y accrocher tout ce temps ?
“Hé, dit quelque chose ! Ce que tu souhaites ! Combien de femmes désires-tu ? Argent, terres, accord commercial ; Ces choses me vont aussi. Qu’est-ce tu fous à rester autant de temps silencieux ?” (Tomoki)
J’ai pris une grosse respiration.
C’est parti.
“… Je refuse.” (Makoto)
“Hein ?” (Tomoki)
Il a fait comme s’il n’avait pas compris.
Pas moyen que j’ai pu le murmurer.
Il m’a entendu, mais il faisait comme s’il ne m’avait pas entendu.
Il essayait de me contraindre.
Comparé à Zara-san, c’est une tentative faiblarde.
“J’ai dit que je refusais. Pour moi et ainsi que la compagnie, Tomoe n’est pas quelqu’un qui peut être remplacée. Abandonne cette idée.” (Makoto)
“… Es-tu sérieux en disant ça ?” (Tomoki)
“Renoncez-y. Je ne vous céderai pas Tomoe. C’est mon désir.” (Makoto)
Je lui ai dit aussi clairement que possible.
Il essayait manifestement de me contraindre et me faire taire par sa seule présence.
“… Toi, tu n’as reçu aucun pouvoir significatif de la Déesse, pas vrai ? Pareil au niveau de ta puissance. Tomoe et cet autre type sont très forts, mais ils ne sont actuellement pas là. Après tout, Lily est en train de traiter avec eux.” (Tomoki)
“Et ?” (Makoto)
“J’ai une compréhension relative de tes attitudes. Tu ne peux pas me battre. Ne peux-tu acquiescer avant d’être passé à tabac ? Es-tu stupide ? Ce lieu est parfaitement insonorisé.” (Tomoki)
“… Si vous me connaissiez si bien que ça, il n’y aurait pas eu besoin de demander mon nom. Comment pouvez-vous jauger ma force alors que c’est notre première rencontre ? Les héros seraient-ils spécialisés dans le bluff ? Êtes-vous du genre à aboyer, mais à ne pas mordre ?” (Makoto)
Il ne devrait pas y avoir d’indice, hein.
Même senpai a été incapable de remarquer ma puissance, je ne crois pas que cet abruti ait été en mesure de le faire.
Même s’il est vraiment celui qui a créé ce cratère, ce niveau de menace n’est clairement pas un danger pour moi.
Je savais déjà que Tomoki a utilisé des outils pour me jauger.
En un sens, il agit sur une base tronquée.
“Toi… Il semblerait que tu n’aies pas correctement saisi la situation.” (Tomoki)
Immédiatement après les paroles de Tomoki, des lames se sont placées sur ma gorge, mon cœur et mon poignet.
Pas besoin de dire que c’est l’œuvre de ces filles.
C’est juste qu’elles ne m’ont pas directement frappé.
Même si je l’ai fait infime, ces filles n’avaient pas assez de force pour transpercer mon corps de mana. C’était la raison pour laquelle il était naturel que je ne sois pas sur mes gardes.
Mais un sourire est apparu sur le visage de Tomoki.
“Avec ceci, es-tu toujours capable de garder ce sourire méprisant, Raidou-dono ?” (Tomoki)
“…” (Makoto)
Un homme qui tape bien sur le système.
Il est plus exaspérant que la plupart des Hyumains.
“Je peux en quelque sorte affirmer la puissance des autres. Cette méthode est classée secrète. Tu n’es pas assez fort pour battre ne serait-ce qu’une seule de ces trois-là. Et la raison pour laquelle tu as pu faire en sorte que Tomoe t’obéisse en dépit de ça…” (Tomoki)
“…” (Makoto)
“Cela doit être parce que tu as une forte capacité au domptage qui te permet de contrôler de puissant mamonos et Dragons.” (Tomoki)
… Totalement faux.
Je ne savais pas comment il a atteint cette conclusion, mais il y avait beaucoup de points discutables.
Plus que tout, je suis reconnaissant qu’il a sorti des armes pour me contraindre.
Il a été celui qui a commencé.
Ceci me soulage.
Je vais juste demander à Tomoe de rechercher l’endroit où se trouve Grount et rapidement finir ma tâche.
Je ne veux pas rester plus longtemps dans ce pays.
Non, si possible, je ne veux plus venir ici.
“Eh bien eh bien, je ne m’attendais pas à être percé à jour. Il semble que les héros sont des existences qui ne doivent pas être surestimés.” (Makoto)
Tout en disant des choses que je ne pensais pas vraiment, j’ai renforcé l’insonorisation de la barrière déjà présente.
Durcir les murs et également bloquer la porte.
C’est fait.
“C’est la raison pour laquelle si tu me cèdes Tomoe, elle m’obéira. Exact ?” (Tomoki)
“Je vois je vois.” (Makoto)
Ayant ignoré les trois filles qui avaient placé les armes sur mon corps, je me suis préparé à agir.
“Hé, toi… ?!” (Tomoki)
Un son aigu et de brefs cris des filles, j’ai interrompu le monologue de Tomoki.
Une des épées est tombée sur la table entre moi et Tomoki en émettant un bruit. Les femmes, qui essayaient de me restreindre, ont poussé un cri après que je me sois levé sans me soucier d’elles.
Je méprisais Tomoki qui était toujours assis, légèrement en avant.
“Essayer d’obtenir Tomoe en ayant juste empilé le niveau de ces femmes, il semblerait que tu méprises ma servante.” (Makoto)
“C’est le centre de l’empire. Ne comprends-tu pas à quel point il te serait désavantageux de me contrarier ?” (Tomoki)
Sans se soucier de mon regard, Tomoki a de nouveau reposé son dos sur le sofa et m’a regardé.
Et ainsi…
“Oui, je comprends.” (Makoto)
“Oui ?” (Tomoki)
“Je vais devoir faire de mon mieux pour étouffer l’affaire.” (Makoto)
“Pff, arrêter de bluffer. Un simple marchand comme toi peut obtenir le soutien d’un grand pays comme Gritonia, en outre, un grand nombre de possibilités s’ouvriront à toi, tu devrais le savoir, non ? Pense-y correctement, marchand. Tu es peut-être le propriétaire d’une petite compagnie avec une relative importance, mais tu ne peux pas remporter la négociation.” (Tomoki)
“Désolé de le dire, mais même si je me présente en tant que directeur, je suis plus comme une décoration. Je ne mérite pas ce titre. Si tu cherchais à me faire perdre mon calme, c’est une belle erreur. Tu vois, ma famille est un peu spéciale. Si je ne te frappe pas maintenant, Tomoe va être sans doute furieuse par la suite. Eh bien, même sans ça, je l’aurais fait.” (Makoto)
On dirait que Tomoki a remarqué mon changement de comportement.
“Les filles, ce typ…. !!!” (Tomoki)
Il a essayé de donner un ordre aux trois filles qui étaient proches de moi.
Mais il était trop tard.
“Dormez.” (Makoto)
Ayant scellé les mouvements des filles en les attrapant avec les bras du corps de mana, j’ai lancé un sort de sommeil.
Comme si elles agissaient de concert avec mes mots, leurs corps sont tombés sur le tapis.
Tandis que j’y étais, j’ai également endormi la femme de chambre.
“!!!”
Ayant frappé la table, j’ai ouvert un chemin.
En progressant comme si de rien n’était, j’ai saisi ses tempes.
La résistance du Tomoki assis était faible au point que cela me faisait douter de la puissance d’un héros.
Est-il le genre de personne qui devenait fort selon des conditions préalables ?
Même ainsi, je ne changerais pas d’idée.
C’est sa faute d’être incapable de montrer sa vraie force dans ces moments-là.
J’ai écrasé son visage contre le sol.
J’ai levé ma jambe gauche en arrière et profitant de cet élan, je l’ai frappé à la tête.
Le héros à volé et a frappé le mur. Mais il n’y avait aucun changement à l’extérieur de la salle.
Apparemment les effets de l’insonorisation et le renforcement des murs démontraient d’excellents résultats.
Je me suis rapproché de lui sans me précipiter.
“Hmm”
J’ai arrêté de marcher.
Quelque chose volait autour de Tomoki.
Ce n’était pas une incantation. Un outil, une arme.
Une sorte de couteau de lancer ; Il y en avait trois.
Il ne semblait pas être des armes normales, mais ceci m’était égal.
J’ai repris la marche et j’ai encaissé les couteaux de lancer avec mon corps de mana. Au moment du contact, ils ont brillé de mille feux et ont explosé.
Et ?
Sans y prêté attention, j’ai de nouveau repris ma marche et cette fois-ci, un Tomoki éblouissant m’a lancé une incantation.
Quand j’ai pensé qu’il brillait, cela a frappé le corps de mana.
C’était rapide, mais impuissant.
Si tu veux me faire sourciller, tu devras avoir une puissance de feu au moins égal à celle de Sofia.
Ayant encaissé toutes ses attaques, que je n’avais même pas besoin d’esquiver, j’ai soulevé le corps de Tomoki avec mon corps de mana.
Son regard haineux n’a pas toujours pas changé.
Hmph.
Tu as traité Tomoe comme si c’était un objet.
Tu devrais être prêt à subir les conséquences de tes choix, non ?
Tomoki avait son visage, ainsi que son corps, pressé contre le mur, je l’ai frappé sans réfléchir, au point que j’ai arrêté de compter en plein milieu le nombre de fois que je l’ai fait.
J’ai ignoré ce qu’il disait. Peu importe ce qu’il faisait, je le bloquais. Parce que j’ai pensé que ça serait plus efficace.
Je visais son visage à chaque fois qu’il ouvrait la bouche, avec le temps, il l’a fermé.
J’ai pensé être soulagé après l’avoir passé à tabac, mais ce n’est pas arrivé.
Hormis le premier coup, les autres n’ont pas eu l’effet escompté.
‘Je dois faire en sorte qu’il ne pense même plus à poser la main sur Tomoe’, avec cette seule raison, j’ai continué à le faire souffrir.
Avec le temps, j’ai relâché Tomoki qui n’arrivait plus à parler correctement.
“C’est génial que je sois faible, n’est-ce pas ? Parce que tu t’en tires avec seulement ça.” (Makoto)
Cette image de lui roulée en boule et tenant sa tête entre les deux mains… m’a fait imaginer quelque chose.
“… Donc cette fois, tu es celui qui reste silencieux, hein, Tomoki. Hé, n’es-tu pas un héros ? Et si tu montrais un peu plus de dignité même si tu as été battu ? Ce regard… Il est comique, il me fait penser à quelqu’un victime d’harcèlement.” (Makoto)
On dirait que Tomoki a réagi au mot ‘harcèlement’, mais… Il n’y a aucune raison de creuser plus le sujet.
J’ai saisi Tomoki de mes propres mains.
J’ai diminué mon corps de mana, et en contre-partie, j’ai utilisé [Sakai] pour soigner les blessures de Tomoki.
Il récupérait assez rapidement.
En raison du fait que j’ai relâché le camouflage de mon corps de mana, mon mana fuitait et irradiait la pièce de lumière.
Si Tomoki m’avait évalué lorsque j’étais dans cet état, il n’aurait peut-être pas opté pour cette méthode musclée.
Après tout, il ne semblait pas être du genre à provoquer une bagarre avec plus fort que lui.
Qu’il s’agisse de senpai ou de Tomoki, ils n’étaient pas un vrai problème pour moi.
Non, pour parler franchement, la guerre en elle-même n’était pas une menace pour la compagnie Kuzunoha ou Asora. C’est pourquoi, peu importe que ce soit Tomoe ou Shiki, ils n’allaient sans doute pas me dire grand-chose à ce sujet.
Car quoi qu’il arrive, la différence équivaudrait à utiliser ma jambe gauche au lieu de ma droite pour donner un coup de pied à un petit caillou sur le chemin.
C’est ‘pénible’, donc c’est une guerre dans laquelle je ne veux pas m’impliquer.
Les blessures externes finissaient de disparaître. La guérison est finie, hein.
J’ai traîné Tomoki, qui était plus grand que moi, jusqu’au Sofa où il s’était assis avant et je l’ai jeté dessus.
J’ai réutilisé [Sakai] pour sceller mon mana et j’ai retourné la table, que j’avais retournée, pour la remettre comme avant.
J’ai giflé les joues de Tomoki pour lui faire retrouver la raison.
…
Tomoki semblait être revenu à lui.
Son regard n’affichait plus de forte volonté ou d’arrogance, c’était plus une sorte de fragilité et de peur.
“Je t’ai convenablement guéri, alors ceci ne devrait pas faire obstacle dans ta guerre avec les Démons.” (Makoto)
Je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai déclaré ça avec un sourire.
“Eh bien, je vais te laisser maintenant. Tu vois, j’ai une autre affaire à traiter dans l’empire. Je suis… plutôt occupé. Bien sûr, ce n’est pas aussi important que d’être un héros.” (Makoto)
Tout en ayant parlé, j’ai fait asseoir les trois filles et la femme dans le sofa où j’avais été.
Je suis passé à côté de lui et je me suis dirigé vers la porte.
“Ah, d’ailleurs…” (Makoto)
J’ai déverrouillé la porte et j’ai arrêté de renforcer les murs.
Et donc, j’ai placé ma main sur la poignée et je lui ai dit quelque chose d’important en me retournant pas.
“Ne désire plus Tomoe… Non, n’importe qui ou n’importe quoi de la Kuzunoha, plus jamais. La prochaine fois, peu importe que ce soit intentionnel ou par accident, je ne l’oublierai pas. Je me fiche que tu utilises ton pouvoir de séduction comme bon te semble, mais seulement si cela ne nous implique pas. Ne l’oublie pas.” (Makoto)
Exact.
S’il essaie de faire quelque chose, je serais sans merci.
Pour la princesse et les autres pays ; C’est parce que je n’ai pas été assez clair que quelque chose d’aussi stupide est arrivé.
Comme on pouvait s’y attendre, peut-être que le vrai problème est que je donne l’impression d’être facile à manipuler. Ce qui donne l’impression que la compagnie Kuzunoha est une juteuse opportunité.
C’est la raison pour laquelle chaque groupe voulait essayer de mettre la main dessus.
Je devrais faire clairement savoir aux autres groupes que je n’ai aucunement l’intention de céder.
Quant à la friction que ça entraînera, je vais juste la considérer comme un prix nécessaire.
Oui.
Si à l’avenir, il y avait un obscur marché qu’on m’imposait, je ne pourrais pas le supporter.
Le cadeau de Susanoo-sama et des autres était toujours une inconnue et j’avais toujours la course à faire pour Root. Il y avait également le rendez-vous avec Limia et le seigneur Démon.
Maintenant que j’y réfléchis… Apprendre cette leçon à Tomoki pourrait être une bonne chose dans un sens.
En ayant quitté, j’ai déclaré que la discussion était finie à une personne semblant être un chevalier et je lui ai dit que j’aimerais retourner là où se trouvait Tomoe et Shiki.
J’aurais cru qu’il m’aurait amené à quelqu’un pour me guider, mais c’était le chevalier lui-même qui a endossé ce rôle.
Cela serait bien si Tomoe et Shiki ne s’étaient pas déchaînes comme je l’ai fait.
… Si c’est deux-là, il n’y a pas besoin de s’inquiéter, hein.
Ah…
Regardant mes mains s’ouvrir et se fermer tout en faisant face au ciel, j’ai poussé un soupir, mais ce n’était pas pour exprimer un regret.
C’était parce que je m’étais soumis à une violence primaire.