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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 224.1

Une dangereuse coutume 1

Tome 4 – Chapitre 224-1 – Une dangereuse coutume ①

“Du thé.” (Miko)

“Merci.” (Makoto)

“J’apprécie la peine que vous avez prise pour venir ici. J-J’aspire à ce jour depuis bien longtemps.” (Miko)

Étant invités dans le temple, nous avons été conduits dans une loge et la miko-san à la peau blanche nous servait le thé.

Maintenant que j’y réfléchis, il n’y a pas beaucoup d’occasions d’entrer au sein d’un temple.

De plus, ce n’est pas l’endroit où les gens vont prier, mais l’espace de vie où vivent les mikos.

Dans le monde moderne, les gens de cette profession vivent normalement dans un autre lieu et faisaient des allers-retours entre leur maison et le temple.

J’ai obtenu une expérience que je ne pensais pas avoir un jour.

“Je voudrais d’abord confirmer quelque chose, est-ce que quelqu’un vous a demandé de me servir ?” (Makoto)

“Shiva… Daikuten-sama. Ce sanctuaireshinto, le templebouddhiste temple et le Parthénon ; Tous les trois sont conjointement des présents de Daikokuten-sama, Susanoo-sama, et Athéna-sama.” (Miko)

La miko-san a prononcé les noms des Divinités de mon monde d’origine.

Seules quelques personnes étaient au courant de leur venu ici.

Bien qu’il reste la faible chance que cela soit un piège, hein.

Comment le dire… La prudence de Tomoe, Mio et Shiki envers la miko-san est quelque chose à voir, du coup, même moi je finis par devenir nerveux et prudent.

Il n’y a eu aucun cas où la Déesse est rentrée en contact avec Asora et elle était surprenamment docile ces derniers temps.

On pourrait le voir comme : ‘le calme avant la tempête’, alors je ne dois pas baisser la garde. Essayer de me piéger en utilisant le nom des Divinités, qui étaient la cause principale de sa docilité, serait un risque bien trop grand pour elle.

La miko-san n’était pas une Divinité impressionnante qui serait capable d’agir dans Asora sans être remarquée.

J’ai échangé des regards avec Tomoe et les autres pour calmer la légère hostilité qu’ils manifestaient.

Cependant, Tomoe paraissait être intéressée par la miko-san et voulait lui demander plein de choses, et pourtant, elle lui faisait preuve d’hostilité.

Pour le moment, je ne voyais pas cette personne comme une personne dangereuse.

Il est certes vrai que je ressens quelque chose en étant devant elle, mais même moi, je ne savais pas ce que c’était.

Je ressentais une petite gêne persistante au sein de mon cœur.

C’était ainsi que je le ressentais.

Je ne ressentais pas de sentiment de danger de sa part et je ne la voyais pas non plus comme une menace, alors s’entêter à cause d’une vague sensation basée sur mon instinct serait juste une erreur.

“Vous avez parlé d’Athéna-sama, hein. C’est donc bien le Parthénon.” (Makoto)

La miko-san avait une expression triste sur le visage.

“Goshujin-sama, veuillez arrêter de me parler formellement. Je suis votre servante. Veuillez me traiter… Comme ces trois-là.” (Miko)

“Ah…” (Makoto)

Même si tu me le dis… Te traiter comme Tomoe et les autres, qui ont vécu avec moi depuis un temps considérable, serait une requête difficile pour moi.

À cause de ça, j’ai fini par donner une réponse vague.

Je ne me suis pas encore habitué à cette soudaine relation maître/esclave.

J’ai eu une expérience similaire avec Sari, mais je crois que je ne le traiterais pas de la même manière que Tomoe et les autres de mon vivant.

Si j’avais acheté quelques esclaves et que j’avais l’habitude de les côtoyer, peut-être que ça aurait été différent ?

… Ce genre de choses n’est pas vraiment dans ma nature.

“C’est une assez grosse demande pour quelqu’un venant juste d’apparaître-desu wa ne.” (Mio)

“Exactement-ja. Pour commencer, te traiter de la même manière que nous sans t’être même présentée, n’est-ce pas un manque de manière ?” (Tomoe)

“…” (Shiki)

Peu de temps après ma vague réponse, Tomoe et Mio se sont plaintes du comportement de la miko-san.

Shiki n’avait rient dit.

Mais il ne semblait pas de bonne humeur.

C’était différent de la lassitude, il dégageait une aura dangereuse.

“Demander un traitement égal ? Je n’oserais pas. Tomoe-san, Je voudrais simplement être ajoutée à votre groupe comme membre avec le moins d’autorité, c’est tout. En ce qui concerne mon nom… J’allais en venir. Il y a quelques circonstances derrière ça.” (Miko)

Tomoe ?

Pourquoi est-ce que la miko-san connaît le nom de Tomoe?

Ai-je même parler du nom de Tomoe aux Divinités ?

“… Je n’aime pas ça. Je ne me souviens pas avoir dit mon nom.” (Tomoe)

“On m’a donné les informations obligatoires au préalable. Je m’excuse pour mon impolitesse.” (Miko)

“Hmph.” (Tomoe)

“Ah, et donc, pouvez-me dire les circonstances derrière votre nom ?” (Makoto)

Cela serait problématique si ça devenait trop houleux.

Je les ai coupées pour avoir une explication de la part de la miko-san.

Cette Tomoe… Elle est irritée par le fait que la miko-san ne soit pas présentée.

“Il semblerait que Goshujin-sama connaisse les temples shinto, alors vous devriez déjà le savoir. Il y a bien des aspects à être une miko.” (Miko)

Elle m’a lancé un regard lourd de signification.

Eh bien, j’ai bien quelques connaissances.

“Les mikos des temps modernes font des choses comme le service rituel shintoïste et l’assistance religieuse, mais si nous revenons un peu dans le temps, il y avait beaucoup de mikos qui faisaient des choses comme la divination, les prières et le spiritualisme.” (Makoto)

“Dans mon cas, je suis une existence plus élevée que les dernières, mais je fais aussi comme les premières.” (Miko)

“Est-ce comme les ’Itakos’ et les ‘mikos d’Azusa’ qui ne sont pas aussi nombreuses par rapport au passé ?” (Makoto)

“C’est ainsi que cela est. Goshujin-sama ne semble pas en avoir besoin, je vais donc garder l’explication complémentaire pour plus tard et je vais prioriser le point principal. J’ai eu plusieurs noms par le passé. Mais ils étaient tous choisis selon l’être avec laquelle j’étais liée.” (Miko)

“…” (Miko)

Est-ce qu’elle dit qu’elle est une médium depuis toujours ?

Cela veut-il dire qu’elle est spécialisée en spiritualisme ?

“Je suis un miko servant les Divinités et j’en fais aussi partie. C’est la raison pour laquelle j’ai abandonnée ces noms. Puisque j’ai un nouveau maître, je n’ai pas de nom à donner. Si je devais l’illustrer par un exemple, ça serait comme une relation entre le soleil et la lune, la marionnette de la Divinité avec laquelle je suis liée.” (Miko)

“… Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris.” (Makoto)

Une déclaration sincère.

Elle paraissait essayer de vouloir me dire quelle était une existence qui changeait fréquemment de nom et que son existence se réinitialisait à chaque fois qu’elle le faisait, mais…

Peut-on considérer ça comme une vie ?

“Ce n’était pas quelque chose dont Goshujin-sama, qui a vécu une vie de mortelle, pourrait comprendre immédiatement. Veuillez me considérez comme un outil avec une vie.” (Miko)

La miko m’a dit elle-même de la considérer comme un outil avec un sourire sur le visage.

Elle me faisait penser un peu à Sari de part son comportement… Ou pas.

Sari l’a fait de sa propre volonté.

Mais cette miko m’a donné l’impression qu’elle était ici parce qu’on lui a demandé.

“Tu es donc littéralement un cadeau, hein.” (Makoto)

Ils m’ont envoyé un personne comme cadeau.

Comme on pouvait s’attendre des Divinités, ils étaient incroyables de bien des manières.

Non, si je la considère comme la responsable de ces bâtiments, c’est sans doute plus normal qu’une mer, hein.

Peu importe quel genre de célérité ils sont, quelqu’un ne devrait pas normalement être en mesure de créer une mer.

“Oui, c’est la raison pour laquelle Makoto-sama sera désormais mon maître, ainsi que les serviteurs qui sont déjà sous les ordres de Goshujin-sama : Tomoe-sama, Mio-sama et…”

La miko-san a déplacé son regard vers Shiki.

Comme pour suivre le mouvement de ses yeux, Shiki, qui était légèrement en retrait derrière moi, est tombé.

Pendant une seconde, j’ai cru que la miko avait fait quelque chose, mais une fois que j’ai remarqué la posture de Shiki, j’ai pu en comprendre la raison.

Il est tombé sur le côté alors qu’il se tenait en seiza.

Il n’y avait pas besoin de se forcer à se mettre en seiza

Tomoe et Mio se tenaient aussi dans cette position.

Lorsque je suis entrée dans la pièce, je me suis naturellement assis en seiza, et en voyant ça, les trois auraient fait de même.

D’après l’aperçu que j’ai pu percevoir, je pouvais dire que les deux autres allaient toujours bien.

“J-Je suis désolé.” (Shiki)

“Ne montre pas d’ouverture.” (Mio)

*bang*

Suivi de ces paroles, Mio a sorti son éventail de sa poitrine et a frappé le mollet des jambes de Shiki.

Ouahhh.

C’est sévère.

“Argh~~” (Shiki)

Sans dire quelque chose de compréhensible, Shiki a montré une réaction proche de celle d’une atroce souffrance.

Ses mains tremblaient de douleur.

Je pouvais comprendre ce sentiment.

Mais une ouverture qu’elle a dite.

Nous ne sommes pas en territoire ennemi.

“Huhuhu, ça ne me dérange pas que vous preniez une posture plus confortable pour vous.” (Miko)

“Désolé et merci.” (Makoto)

Je me suis excusé et j’ai remercié à la place d’un Shiki agonisant.

“Il n’est pas nécessaire de le dire. Il semblerait que la conversation a traîné en longueur. Je suis celle qui devrait s’excuser. Veuillez garder à l’esprit que j’ai entendu une quantité considérable de choses vous concernant au préalable.” (Miko)

Après qu’elle eut fini de dire ça, elle a pris une gorgée de son thé.

La miko n’avait pas perdu son doux sourire.

Il n’y avait pas de maladresse de sa part, elle était habille.

Ah, c’est donc ainsi.

Elle ressemble aux personnes comme : Rembrandt-san, Sairitz-san et Zef.

Des gens envers qui ils étaient difficiles de lire leurs vrais sentiments.

Rembrandt-san devenait incroyablement amical quand il s’agissait de sa famille, alors il ne tombait pas complètement dans cette catégorie.

Le genre de type qui même quand ils rigolaient, on ne pouvait pas baisser sa garde et même en colère, il était compliqué de dire s’ils étaient sérieux.

En fait, il y avait beaucoup de ce genre dans mon entourage, mais ça ne voulait pas dire que j’étais doué pour les gérer.

Pour être franc, en mettant de côté une relation distance, si je devais m’impliquer avec eux directement, ça me fatiguerait.

… Les Divinités avaient tendance à aimer les épreuves, alors est-ce que ces trois-là ont choisi une personne après avoir constaté cette faiblesse en moi ?

Je commence à ressentir un incroyable harcèlement à mon encontre.

Si on met de côté cette idée, j’ai l’impression qu’elle est très capable.

“Je comprends que vous nous connaissez. Mais je crois que le problème de ne pas avoir de nom n’a pas été encore réglé.” (Makoto)

“J’ai entendu dire que Goshujin-sama donnait un nom aux personnes avec qui vous formiez un pacte maître/serviteur. Cela serait une bénédiction de recevoir un nom de vous après le pacte. S’il n’y a aucune autre miko, ça ne me dérange pas si vous m’appeliez ‘miko’.” (Miko)

Il est vrai qu’il n’y a pas de miko dans Asora en dehors d’elle.

Mais ne pas lui donner de nom serait cruel.

Je dois à nouveau réfléchir à un nom.

Eh bien, elle était recommandée par les Divinités, ça ne m’ennuie donc pas de faire un pacte avec cette personne.

Pour commencer, il n’y a pas de démérite pour moi de faire un pacte maître/serviteur.

C’est seulement si le pacte est possible.

La seule chose qui m’ennuie, c’est qu’elle me semble faire des cachotteries, mais en établissant un pacte, cela ne sera pas un gros problème.

… Probablement.

“Est-il possible de faire maintenant le pacte ?” (Makoto)

“Il n’y a effectivement pas de problème. Si Goshujin-sama retient un peu sa puissance au moment de faire le pacte avec moi, j’estime que cela devrait marcher.” (Miko)

C’est comme la fois avec Shiki, hein.

Après ça, Shiki a obtenu une capacité spéciale sous la forme de 13 anneaux.

Il n’y a probablement pas… De démérite.

“Alors je vais retourner chez moi pour faire les préparatifs. Ou est-il nécessaire que le pacte soit réalisé ici ? Y a-t-il des circonstances que je devrais connaître ?” (Makoto)

La répartition du travail se reposera énormément sur Shiki.

Je pense qu’elle pourra au moins faire un meilleur travail que moi, alors je ne crois pas que ça soit mauvais d’avoir plus de serviteurs.

C’est bon d’accep…

“Attends.” (Tomoe)

“… Tomoe ? Quoi ?” (Makoto)

“Même si c’est le cadeau de ces Divinités d’un autre monde, j’estime que c’est une erreur d’accepter cette femme trop rapidement.” (Tomoe)

Cela serait une chose si elle était le présent des Hyumains ou de la Déesse, mais on parle d’un présent des Divinités du côté de Tsukuyomi-sama, il ne devrait donc pas y avoir de problèmes, non ?

Je ne pense pas qu’il soit nécessaire d’être trop méfiant.

“Mais Tomoe, où est le problème ? Elle ne semble pas s’être infiltrée de l’extérieur et nous connaissons déjà sa présence ici. Il est fortement peu probable que ce soit un piège des Hyumains ou de la Déesse.” (Makoto)

Les seuls, qui ont pu pénétrer dans Asora sans la permission de Tomoe ou la mienne, sont la miko et les Divinités qui nous ont conné cet imposant temple shinto et bien d’autres choses.

“D’après ce que j’ai pu entendre, cette miko a déjà servi plusieurs Divinités jusqu’à maintenant. C’est bien ça ?” (Tomoe)

“Oui. J’ai servi jusqu’à l’ère moderne et j’accomplissais des tâches routinières.” (Miko)

Tomoe a posé une question à la miko qui l’a répondue avec son sourire imperturbable.

Elle ne semblait pas en être troublée.

“Comment pouvez-vous le prouver ?” (Tomoe)

“C’est malheureux à dire, je n’ai pas de preuves pour prouver cette demande.” (Miko)

“Alors cela signifie que nous ne pouvons pas effacer la possibilité que tu as été envoyée par quelqu’un avec un agenda caché-ja na ?” (Tomoe)

“Oui. Mais s’il y a quelque chose que je peux faire, je coopérai de quelques manières que ce soit pour gagner votre confiance.” (Miko)

“Alors laisse-moi lire ta mémoire. Tu as dit que tu veux devenir membre de notre groupe-ja. Cela ne te pose pas problème, n’est-ce pas. Bien sûr, je protégerai tes secrets en ne révélant rien.” (Tomoe)

“Ah oui, Tomoe-san a le pouvoir de lire les souvenirs. Mais consulter la mémoire d’un objet comme moi… Serez-vous capable de le faire ?” (Miko)

Un objet, hein.

Pourquoi est-ce que je me sens un peu énervé à ce propos ?

C’est proche de ce que j’ai ressenti avec Sari.

“Je ne trouve pas vraiment cela plaisant que Waka-sama obtienne un serviteur se considérant elle-même comme un objet.” (Mio)

Mio a aussi émis une objection à l’idée que la miko devienne une servante.

Si c’est l’instinct de Mio qui la pousse à dire ça, il y a de grandes chances que ce soit dangereux.

Non non.

Si c’est ces Divinités, ce n’est pas possible.

“Je vous demande simplement de montrer que tu n’as pas de mauvaise intention ou que tu n’es pas une menace. Tu devras exposer tous les souvenirs que tu caches là-dedans.” (Tomoe)

“C’est un problème. Je n’ai rien à cacher pour commencer. Veuillez m’excuser de dire ça, mais peut-être que le pouvoir de Tomoe-san ne fonctionne pas sur les objets ?” (Miko)

“Oh… Tu dis donc que tu ne les caches pas ? C’est ce que tu prétends ?” (Tomoe)

“En fait, je n’ai rien à cacher à ma senpai et à la personne que je vais servir le reste de ma vie. Mio-san, concernant mon comportement, j’arrangerai ça aussi vite que possibleen servant Goshujin-sama, alors veuillez me laisser un peu de temps.”

“…” (Tomoe)

“…” (Mio)

J’ai l’impression que des éclairs sautent de leurs yeux.

Non, il n’y a aucun doute qu’il y a bien de la tension dans l’air.

Si Tomoe et Mio y sont opposées, on pouvait juste la laisser gérer le temple shinto sans la lier par un pacte.

Ce n’était pas comme si elle m’avait dit que nous devions obligatoirement passer par un pacte maître/serviteur.

“… J’ai entendu dire que Goshujin-sama songeait un jour à croiser le fer avec une Divinité. En mettant de côté l’état actuel des choses, cela dépendra du degré de puissance de l’opposant, mais si nous parlons d’une existence au moins semblable à une Divinité, je ne serais qu’une gêne avec ma puissance actuelle. Établir un pacte maître/serviteur me serait utile, et en plus de ça, je crois que c’est important. Goshujin-sama, s’il vous plaît.” (Miko)

Exact.

Ce n’était pas comme si je l’avais oublié, mais si je devais réfléchir à comment combattre la Déesse, plus de serviteur serait préférable.

Il n’y avait pas de participant dans Asora pouvant participer directement au combat contre la Déesse.

Au mieux, il y aurait Tomoe, Mio et Shiki.

Si une autre personne devait rejoindre ce nombre, ça réduirait clairement le fardeau de Tomoe et des autres.

Que c’est stupide de ma part.

Il nous reste encore du temps. Cela veut dire qu’il y a du temps pour que la miko s’entende avec tout le monde.

Si cela augmente les chances de survie de tout le monde, non seulement cette étrange inquiétude serait inutile, mais deviendrait même préjudiciable.

C’est tout comme la miko l’a déclaré.

“Il est certainement vrai qu’avoir plus de force de frappe ne serait pas un problème. Si possible, je voudrais que cette Déesse… Cette blatte cède sans avoir à perdre quelqu’un.” (Makoto)

Comme pour confirmer mon propre désir, je l’ai dit à voix haute.

“Eh bien, quelle âme vigoureuse. Lutter contre une Divinité, non pas pour la tuer, mais pour la faire céder, de surcroît, sans une seule perte. Être en mesure de dire une telle chose en possédant le corps d’un mortel, comme on pouvait s’attendre de la personne envers laquelle les Divinités se sont prises d’intérêt.” (Miko)

En ayant entendu une autre personne l’expliquer, j’ai commencé à me dire que ça sonnait complètement fou.

Bon, cela ne sonne pas simplement comme fou, c’est en fait fou, hein.

Maintenant que j’y réfléchis, le monde où j’ai été jeté, était bizarre pour commencer, je ne pensais donc pas que mes propres pensées étaient saugrenues.

“Miko-san, si je devais annoncer que j’allais combattre la Déesse, vous nous suivriez évidemment, pas vrai ?” (Makoto)

“Bien sûr. Pour commencer, aussi longtemps que je suis soumise au pacte maître/serviteur, il est impossible de lutter contre Goshujin-sama. Je promets que quelque chose comme ça n’arrivera pas, mais s’il vient un moment où vous ne serez pas en mesure de me faire confiance et que vous ne m’autorisez pas à rejoindre le combat, le pacte maître/serviteur deviendra une assurance contre le fait que je puisse devenir une traîtresse.” (Miko)

Pour dire la vérité, je suis en fait légèrement troublé par la manière dont je devrais te traiter.

Passer un pacte maître/serviteur va éliminer le danger de prendre une dague dans le dos, et en premier lieu, il y avait la possibilité que cette personne agisse comme elle le souhaite dans Asora et pourrait créer des troubles.

Comme je le pensais, il serait préférable de faire le pacte.

Ok, j’ai décidé !!!

“Ouais, je vais faire le pacte avec…” (Makoto)

“Waka-sama, puis-je également m’exprimer ?” (Shiki)

Encore ?

Cette fois, c’est Shiki, hein.

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