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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 237

Une place qui n'est nulle part

Tome 5 – Chapitre 237 – Une place qui n’est nulle part

Cela faisait un moment que le sanctuaire et Tamaki sont apparus dans Asora.

J’ai rendu visite au sanctuaire une fois par jour.

Une sensation rafraîchissante après avoir passé la porte du sanctuaire ; Un silence détaché des bruits de la vie… C’est quelque chose de spécial même dans ce monde et Asora.

De plus, le parfum des arbres me rappelait le Japon et ça me rendait nostalgique, ce qui était l’une des raisons de mes visites quotidiennes.

Mais ce n’est pas comme si je restais longtemps là-bas, alors je ne sais pas ce qui se passait les autres heures.

Pour les personnes qui vivaient dans Asora, comment ont-ils perçu la matérialisation d’un sanctuaire pour eux ? Je suis un petit curieux à ce sujet.

C’était la raison pour laquelle j’attendais avec impatience le rapport de Tamaki.

“En préambule, en ce qui concerne l’administration du sanctuaire; Grâce à la sollicitation directe de Makoto-sama, toutes les espèces viennent fréquemment. La plupart des personnes se sont montrées au moins une fois, et maintenant, même les enfants viennent y jouer.” (Tamaki)

“Hé~.” (Makoto)

“La fête des cerisiers en fleurs a sans doute aidé à avoir une vision favorable du sanctuaire. C’est sans doute la raison pour laquelle tout se passe aussi bien.” (Tamaki)

“Comme on pouvait s’y attendre, cela n’est pas devenu un lieu de prieur, hein. Désolé, Tamaki.” (Makoto)

C’est un endroit où il y avait un sanctuaire Shintoïste, un temple Bouddhiste et le Parthénon, en outre, il y avait également une miko. Et pourtant, il était considéré comme un grand parc public, ce qui m’attristait.

Tsukuyomi-sama, Daikokuten-sama, Susanoo-sama et Athéna-sama ; Tous ces lieux avaient un lien avec eux.

Mais ce n’était pas comme s’ils étaient des Divinités d’Asora, et en dehors de moi, il n’y avait personne qui était familier avec ces noms.

Eh bien, on n’y peut rien s’il n’est pas considéré comme un lieu de prière.

Avec ce cas de figure, le réceptacle divin pourrait être affamé, aussi bien qu’à ce stade, il devra le supporter avec mes visites.

A-t-il même une volonté ? Je ne sais même pas s’il a faim.

Après tout, le réceptacle divin ressemblait littéralement à une balle.

“Ne vous souciez pas de ça s’il vous plaît. C’est une place où sont rassemblée les races n’ayant pas foi la Déesse. Cela serait étrange s’ils devenaient croyants, surtout pour des Divinités qu’ils ne connaissent pas, juste à cause de l’apparition d’un endroit lié à ces mêmes Divinités.” (Tamaki)

“S’il est considéré comme un lieu apaisant, ça veut dire quand même que c’est bon ?” (Makoto)

“Oui. De plus… Makoto-sama nous rend visite tous les jours. Grâce à ça, il y a de nombreuses personnes qui viennent pour offrir leurs prières. Les résidents ici sont principalement des gens qui acceptent naturellement les choses et partagent leurs avis. Leur comptabilité avec le sanctuaire n’est assurément pas mauvaise.” (Tamaki)

“Je vois. C’est bien qu’il y ait de telles personnes.” (Makoto)

“Ouais. Les temples et le sanctuaire ne discriminent aucune espèce et le temple s’est même agrandi, il est donc principalement visité par les races aquatiques. Mais…” (Tamaki)

“… Y a-t-il un problème ?” (Makoto)

Honnêtement, je ne veux pas entendre parler de problèmes au sujet du sanctuaire.

Ce serait une chose s’ils n’étaient pas intéressés ou s’ils s’en foutaient, mais je ne serais pas content d’entendre qu’ils étaient contre. C’est juste mon opinion personnelle.

“Il n’y a pas de problème, mais… La cible de leurs prières est… Hum…” (Tamaki)

“Oui, ‘La cible est’…?” (Makoto)

“Makoto-sama.” (Tamaki)

“… Ah ?” (Makoto)

Pourquoi est-ce que cela est devenu ainsi ?

Ceux qui y sont consacrés sont des diverses Divinités (Bon pour être précis, Tamaki a dit qu’il n’y a qu’un seul réceptacle Divin et rien de tel comme une protection divine ou leur volonté.), et avant toutes choses, je ne suis pas un Dieu.

Ni un suzerain.

C’est tellement inattendu que tout cela n’a aucun sens.

“… Huhuhuhu.” (Tomoe)

“Halala, c’est merveilleux.” (Mio)

“Je vois. C’est donc ainsi.” (Shiki)

Tomoe, Mio et Shiki ont murmuré ça avec de la joie sur le visage.

Mais on dirait qu’ils ne trouvent pas ça étrange.

Pourquoi ?

En premier lieu, même si je ne suis pas toujours à Asora, je viens ici souvent et ils pouvaient me parler directement et même me toucher. Je suis juste un seigneur féodal.

“Cela signifie que pour Asora, Makoto-sama est un Dieu vivant ou quelque chose d’équivalent. Ça faisait un moment que je n’avais pas vu un dirigeant être traité comme une Divinité. En outre, le dirigeant lui-même ne se voit pas de cette manière, mais les gens le traitent quand même ainsi.” (Tamaki)

“…” (Makoto)

“J’ai expliqué les manières et l’attitude qu’ils devraient prendre, mais… En ce qui concerne le réceptacle Divin, offrir ses prières est suffisante. Actuellement, c’est une broutille, mais si je devais dire l’une de mes préoccupations, ça serait celle-ci.” (Tamaki)

“Ce n’est pas une ‘broutille’, c’est incroyablement préoccupant !” (Makoto)

“Halala~” (Tamaki)

“Pourrais-tu leur expliquer convenablement la situation, s’il te plaît.” (Makoto)

“Si c’est l’ordre de Makoto-sama, je vais m’y atteler avec le plus grand soin.” (Tamaki)

“Je suis sûr que tu le feras correctement. Je compte sur toi.” (Makoto)

Ce n’est pas une plaisanterie.

Je ne suis pas une personne méritant d’être priée dans des sanctuaires.

Ce genre de choses convenaient plus à des gens qui ont laissé leur marque dans l’histoire.

…Ah, mais bon, dans l’ère moderne, il y a eu bien eu des gens à avoir accompli de grandes réalisations pour maîtriser les crues qui ont été vénérés.

Si je me souviens bien, ils les traitaient comme des déités vivantes.

Les cas étaient bien trop éloignés de moi.

J’avais comme l’impression qu’un immense fardeau a alourdi mes épaules.

Veuillez m’épargnez ça.

“Les persuader restera néanmoins quelque chose de difficile.” (Tamaki)

“Évidemment, je ne crois pas que ceci sera seulement résolu par des paroles. Ne t’inquiète pas.” (Makoto)

“C’est un soulagement. Et donc, concernant les problèmes en dehors du sanctuaire.” (Tamaki)

“Oui, qu’en est-il ?” (Makoto)

“Sari et Ema sont des personnes capables, alors les parties administratives terrestres et maritimes travaillent parfaitement ensemble. Même si le nombre d’habitant d’Asora augmente, le mécontentement des résidents est tellement bas que cela en est surprenant.” (Tamaki)

“C’est vrai. Ces deux-là sont d’une grande aide.” (Makoto)

“Les gens à avoir été impliqué dans ce lieu dès le début people : Tomoe-san, Mio-san et Shiki-san l’ont habillement géréJ’en suis vraiment impressionnée.” (Tamaki)

“Hmm ? Habillement ?” (Makoto)

“…”

J’ai été quelque peu gêné par la manière dont elle l’a dite.

J’ai regardé du coin de l’œil ces trois-là, mais ils ne semblaient ne rien vouloir dire.

“Ils comprennent bien que toutes ces races accordent foi à la suprématie de la puissance, et comme exutoire, ils ont mis en place un système de combat pour qu’ils puissent combattre et s’amuser. Ainsi, cela a très tôt dissipé le mécontentent et a créé une hiérarchie naturelle avec Makoto-sama en son sommet. De nombreux procédés gouvernementaux sont également utilisés ici. C’est magnifique.” (Tamaki)

Habillement… Procédés gouvernementaux.

Pourquoi est-ce que mes émotions se réveillent à ces évocations ?

“C’est juste de la chance. Cela m’a moi-même surpris que ça tourne en une distraction.” (Tomoe)

“Un bon endroit pour tuer le temps, pas vrai ?” (Mio)

“Ce domaine appelé Asora tourne avec Waka-sama en son centre, il est donc naturel qu’il se tienne en son sommet.” (Shiki)

Et pour une quelconque raison, ces trois-là paraissaient vouloir éviter ces mots…

Mis à part Mio.

“C’est la raison pour laquelle il n’y a que peu de choses que je puisse proposer. En fait, il n’y aurait qu’une seule.” (Tamaki)

Tamaki n’a pas non plus poursuivi et a poursuivi sur un sujet différent.

“Cela concerne le traitement des animaux, je pense que nous devrions régler urgemment cette situation.” (Tamaki)

“Animaux ? Est-ce que tu parles des poules et des vaches ?” (Makoto)

Il y a certainement des animaux qui sont élevés comme bétail dans Asora.

Il y a une période où nous avec eu des problèmes avec ça, mais la plupart d’entre eux ont déjà été résolus.

Je n’avais pas seulement entendu les rapports, j’y suis allé moi-même à plusieurs reprises pour régler ça.

“Non, je parle des animaux sauvages. Comme les loups, les ours et les Rokhs.” (Tamaki)

“Qu’entends-tu par leur traitement ? Il n’y a eu aucune friction.” (Makoto)

“Makoto-sama, Asora va sûrement se développer encore plus. Parce qu’ici, il y a seulement des puissances qui sont affiliées à Makoto-sama. Au train où vont les choses, les places où nous pourront nous établir vont très vite s’épuiser. Peu importe la taille de cet endroit, ceci arrivera certainement un jour ou l’autre. C’est la raison pour laquelle nous ne devrions pas laisser faire ces animaux ce qu’ils veulent dans un espace aussi vaste. À la place, nous devrions les éradiquer aussi tôt que possible, ou les amener à être sous notre contrôle direct en tant que résidents. De cette manière, je pense que ceci atténuera de nombreux problèmes à venir” (Tamaki)

“…” (Makoto)

“Si cela restait ainsi, quand le temps viendra, ils ressortiront le nom de Makoto-sama et une vague promesse de soutien, ce qui créera des disputes à l’avenir avec les résidents. Makoto-sama est le pilier de cette nation. À tout le moins, je pense que la vague promesse de leur donner une forêt ou un désert devrait être quelque chose de plus concret.” (Tamaki)

“Je ne crois pas qu’ils créeraient de tels problèmes.” (Makoto)

“Makoto-sama, pardonne-moi, mais les affaires liées à l’environnement et les êtres vivants ne vont certainement pas se transformer en quelque chose de bien sans un coup de main. Dans le cas du problème entre les résidents d’origines et les nouveaux, il est plus simple de juste les éradiquer et quand viendra le temps de regarder en arrière, de s’en s’excuser. Makoto-sama n’apprécie pas les affaires compliquées et c’est la méthode la plus simple et efficace pour résoudre cette histoire.” (Tamaki)

Argh.

Mais je ne crois pas que ce soit juste.

En premier lieu, je ne peux pas imaginer Asora débordant de résidents. Et commettre un génocide en raison d’un futur prévisible, c’est juste… Non, il y a un part de vérité.

Il est vrai que les problèmes doivent être gérés aussi tôt que possible, mais… Même ainsi…

J’ai l’impression d’être interrogé sur ma position sociale ici.

Dans ce cas, je ne développerais pas complètement les montagnes et la mer.

“… Bien…” (Makoto)

“…”

“Je vais clairement établir quelque part qu’il ne devra pas y avoir de luttes de territoires. Je vais également arranger les choses de leur côté. Il est vrai que je connais pas de quoi sera fait l’avenir, mais si j’exprime mon intention que cela ne se produise pas, il y a de grandes chances que les deux côtés respectent ma volonté. Est-ce bon ainsi ?” (Makoto)

De plus, ce n’est pas une nation d’Humains ou d’Hyumains.

Il y a de nombreuses espèces avec une grande longévité et de nature différente.

“… Évidemment, il sera fait comme vous le souhaitez. C’est juste mon opinion personnelle, mais j’imagine que dans le futur, il sera nécessaire pour Makoto-sama d’afficher clairement votre volonté. Je pense que ça sera une bonne idée de s’exercer, même si c’est de petites affaires dans Asora.” (Tamaki)

“Merci.” (Makoto)

“Mon humble avis est qu’Asora est une incroyable terre idéale. Oui… Tout comme Utopie.” (Tamaki)

“Tu exagères, Tamaki.” (Makoto)

Tamaki a eu un gloussement et s’est inclinée avant de s’en aller.

Elle est partie, hein.

Une terre idéale… Utopie, hein.

Tamaki devait savoir les mots dénotant ce genre d’endroit : Elysium, Agartha, Eden, le Ciel, Shangri-la, Penglai Shan. Et pourtant, pourquoi a-t-elle choisi Utopie ?

C’est comme s’il y avait une signification derrière.

Pour commencer, je n’aime pas moi-même… Ce terme.

En raison de son origine et sa signification. (NTF : Une utopie ne peut-être qu’un projet irréalisable voué à l’échec.)

Eh bien, en tant que Japonais, le Ciel est sans doute le meilleur terme. Du moins pour décrire une terre idéale.

Si Asora était vue comme similaire au paradis, cela me comblerait de joie.

Ouais, il est temps de passer la deuxième.

“Asora est calme, hein.” (Makoto)

C’est comme si le Ciel me disait de me rendre à Lorel.

Le Ciel, pas la Déesse.

Ok, mon hésitation a disparu.

Je m’y suis résolu.

Dirigeons-nous vers le sombre, confiné et déplais… Non, EXTRÊMEMENT déplaisant donjon.

C’est vrai.

… Après ça, quand je me rendrai au sanctuaire et que je verrais des personnes, je leur dirai que ce n’est pas une place pour me prier. En plus de ça, je leur demanderai de rendre fréquemment visite.

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