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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 246

Maintenant que j'y réfléchis, c'est déjà arrivé

Tome 5 – Chapitre 246 – Maintenant que j’y réfléchis, c’est déjà arrivé

En réalité, je ne connaissais pas grand-chose sur l’union Lorel.

Je savais que même si elle était sur le même continent que les autres puissances, elle était quelque peu isolée de par ses chaînes de montagnes et que son peuple adorait les Sages, et ainsi, ce pays jouissait d’une culture singulière.

Je n’en connaissais que globalement la structure.

De plus, le fait qu’ils utilisaient bel et bien les kanji en tant qu’écriture des Sages, ce qui me disait que l’influence des Japonais étaient relativement grande.

Mais c’était le monde de la Déesse.

Les gens issus de Lorel, que je connaissais, étaient mon étudiant Izumo et la distinguée Sairitz-san. Les caractéristiques physiques de ces deux-là étaient assez différentes des Japonais.

Si nous réunissons un paquet de personnes, il est vrai qu’ils ont l’air un peu plus ‘jaune’ que les noirs ou les blancs, mais c’est plutôt une variété des traits du Moyen-Orient, Asie du Sud-Est et Japonais.

Il y avait pas mal de personnes avec des traits japonais bien ancrées, c’était une chose que j’appréciais, ce qui ne faisait qu’augmenter le nombre de fois que je les réexaminais.

Depuis mon arrivée dans ce monde, j’avais vu tellement de belles personnes, et pourtant, je me sentais comme au moment où j’étais la première fois à Zenno et Tsige.

“Et donc, comme je disais, des circonstances sont derrière tout ça. Nous sommes à une époque où il y a une atmosphère tendue, même parmi nous.” (Shougetsu)

Mais, de l’extérieur, on ne pouvait pas dire qu’ils étaient vraiment liés au Japon.

Ce pays, Lorel, était dans une étrange situation où la période Edo, que Tomoe aimait tant, et l’ère moderne avaient fusionné.

On ne pouvait pas le considérer comme les périodes subséquentes à celle d’Edo, mais même ainsi, ce n’était pas non plus les balbutiements. C’était comme si une culture externe à l’ère Meiji (1868-1912) avait commencé à être influencée par une quantité massive de culture japonaise.

 

Ce que je pouvais dire avec certitude, par le passé, c’était un pays qui avait de nombreux aspects japonais.

Il paraît qu’Hibiki-senpai était venue récemment à Lorel et elle devait sans doute se sentir nostalgique.

La cité de Mizuha, le paysage urbain et la nourriture; C’était comme si un étranger était allé une fois au Japon et avait essayé de créer un parc d’attraction à partir de cette expérience.

Je pense que Mizuha est intéressante.

J’attends avec impatience ma visite à Kannaoi et les autres lieux.

Et pourtant, le vieil homme devant moi parlait de quelque chose qui ternissait ma bonne humeur.

“Raidou-dono ? Le Raidou-dono qui travaille comme professeur et a Izumo-sama comme élève. Le fiancé d’Iroha-sama, Izumo-sama.” (Shougetsu)

“Je peux vous entendre. Je suis tout ouïe.” (Makoto)

Le discours de Shougetsu-san ne sentait pas seulement les emmerdes. Ça PUAIT les emmerdes.

Au point que juste de l’entendre parler me cassait les oreilles.

Pour faire simple, un conflit entre maisons.

Littéralement, un conflit de succession.

Le sujet favori de Tomoe.

C’était probablement pour ça qu’elle s’y est directe intéressée.

La destination était Kannaoi, là où se trouvait Yaso-Katsui, ce qui pourrait être considéré comme la spécialité locale. Le genre de problème impliquant des magistrats et des grands pontes dont on s’en foutait du nom.

Dans ce cas, le seigneur féodal local serait l’actuel chef de la famille Osakabe ?

De ce que Shougetsu-san a dit, le seigneur féodal actuel ne paraissait pas être atteint d’une maladie ou affaibli, cela devrait être donc le cas.

Les factions désirant que leur princesse ou prince de leur famille devienne le chef de la maison visaient les princesses ou princes, qui n’y étaient pas autorisés ou étaient jugés comme une nuisance.

Le spécial 10% du groupe.

‘Vous avez saisi leur position et vous êtres déjà impliqué’, c’était ce que les yeux de Shougetsu-san racontait.

Il y avait toujours l’potion ‘s’échapper’, mais dans ce cas, Tomoe ne pourra pas s’empêcher d’intervenir de toute façon.

Elle me casserait sans pieds sans arrêt.

Fondamentalement, je n’ai pas d’autre choix que de m’impliquer.

Je ne savais pas si notre visite à Kannaoi au milieu d’un conflit familial était une coïncidence ou les manigances de quelqu’un, mais si j’attendais que ça se termine, la révolution de Tsige serait sans doute également finie.

“Iroha-sama a le rôle d’être celle qui sera le pont avec la famille Ikusabe en scellant notre sang aux leurs.” (Shougetsu)

… Nous ne devrions simplement pas dire ‘endosser ’?

Elle est juste forcée d’endosser ce rôle qui a été décidé bien avant sa naissance.

Utiliser le mariage comme outil politique était quelque chose qui ne se produisait pas seulement au Japon, mais dans chaque pays. En y réfléchissant rationnellement, ce n’était pas quelque chose à condamner.

Dans l’histoire, il y a bien eu des fois où cela s’était produit et même dans notre ère moderne.

Ce genre de choses continuait encore.

Devenir une famille devrait un acte simple où les deux se faisaient confiance et s’unissaient en une seule famille, mais cela avait une forte signification.

Voir les choses comme un plébéien serait une erreur.

‘Un mariage d’amour partagé est le meilleur’, cette pensée était ancrée en moi, alors je ne pouvais pas m’empêcher de percevoir ceci comme étrange.

“Après tout, elle est la fiancée d’Izumo. En outre, ce n’est pas la mariée qui entre dans la famille, mais le mari.” (Makoto)

On pourrait penser que c’était la femme qui entrait dans la famille, mais dans le cas d’une princesse, cela pourrait être l’inverse.

“En d’autres mots, c’est l’une des méthodes pour régler pacifiquement une longue dispute entre maisons. Ce sont littéralement le souhait des gens qui souhaitent la paix.” (Shougetsu)

“Calmer une dispute par un mariage. Plutôt qu’apporter l’harmonie entre famille, c’est plutôt comme en assimiler une, hein.” (Makoto)

Que c’est fastidieux.

Pour commencer, la maison Ikusabe est à Naoi et la maison Osakabe est à Kannaoi, et les deux avaient leurs territoires respectifs, je ne crois donc pas qu’un simple mariage pourrait changer drastiquement les choses.

“En dehors d’Iroha-sama, il y a aussi de nombreuses fiancées qui lui sont promises, et pourtant, au moment où leur soutien a disparu, il y a eu nombre d’individus qui ne voyait pas d’un bon œil ces fiançailles et sont intervenus pour interférer.” (Shougetsu)

“C’est la raison pour laquelle la vie d’Iroha-sama a été visée.” (Makoto)

Visaient-ils vraiment sa vie ?

Mizuha était très éloigné de Kannaoi.

Si elle était la cible d’un assassinat, je pense qu’il était assez imprudent de déambuler dans un tel endroit.

“En réalité, les actions de la princesse-sama cette fois-ci nous ont donné des maux de têtes. Même si la 7e princesse est déjà tombée entre les mains d’un ruffian, elle a décidé de faire quelque chose comme du cadastre.” (Shougetsu)

“…”

Actuellement, Shougetsu-san racontait distraitement quelque chose d’incroyable.

Elle s’est donnée tant de mal pour s’échapper de sa famille et venir secrètement ici.

Cette princesse était plutôt déterminée.

Elle était une fille qui barbotait dans un bain en plein air, en d’autres mots, elle était un peu différente des princesses et des femmes de grande classe d’ici.

“Mais peut-être que nous avons de la chance dans notre malheur. Par pur hasard, nous avons rencontré Raidou-dono qui se dirigeait à Kannaoi. Cela doit être la volonté des Esprits-sama et Sages-sama.” (Shougetsu)

Shougetsu-san était le seul qui nous voyait comme des alliés tout en ayant l’air joyeux.

Les yeux d’Akashi-san et Yuduki-san me disaient qu’elles ne me faisaient pas encore confiance.

Les servantes ne montraient pas beaucoup d’émotions et restaient juste derrière. Elles ne semblaient pas vouloir participer à cette conversation.

“Je n’ai pas vraiment de problème à ce que vous nous accompagnez sur la route de Kannaoi, mais…Nous nous dirigeons vers le labyrinthe pour traiter une affaire, alors je ne crois pas que nous serons capables de coopérer autant que vous le souhaitez.” (Makoto)

Délimitons une ligne très claire.

Si c’était dans une mesure où cela pouvait coexister avec mon travail, cela ne me dérangeait jusqu’à un certain point, mais je ne peux pas la prioriser et mettre de côté le labyrinthe.

La raison principale de la venue à Lorel était pour soutenir Tsige.

Je ne pouvais pas oublier cette partie.

“Pas de problème. C’est déjà bien si Raidou-dono amène Iroha-sama à Kannaoi. Nous emmènerons le double d’Iroha-sama avec nous pour servir de leurre. Pendant ce temps, vous partirez discrètement avec Iroha-sama et…” (Shougetsu)

“QUI EST LÀ ?!” (Yuduki)

Yuduki-san a crié et s’est mise en position de combat.

Il n’y avait pas de fenêtre ici.

Il n’y avait aucune présence proche d’une sortie.

Donc… Au-dessus, hein.

De l’autre côté du plafond se tenait trois personnes.

Au moment où j’ai pensé à faire quelque chose, une partie du toit s’est effondrée et au lieu d’en profiter pour s’échapper, elles se sont précipitées vers nous.

Quelle audace.

La corde a déjà été défaite, alors je suis libre.

J’ai scruté mes opposants.

En raison du plafond effondré, la poussière était partout et des silhouettes armées se déplaçait à l’intérieur.

Chacune des trois silhouettes ciblaient le groupe de Shougetsu-san.

Apparemment, ils visaient un bain de sang et non l’espionnage depuis le début.

“Akashi !!!” (Yuduki)

“Je sais, je te laisse le vieil homme et les femmes !!!” (Akashi)

Les deux gardes du corps commençaient à faire leur travail.

Il semblerait qu’Akashi-san s’en chargeait de deux tandis que Yuduki-san protégeait Shougetsu-san et les autres.

Un petit espace confiné. Même si elles les avaient déjà remarqués, elles ne montraient pas de signe d’agitation due à cette attaque surprise

Je n’avais pas pu le dire cette fois-là avec Tomoe, mais on dirait que ces deux-là étaient bien cordonnées.

Ouais.

Cela pourrait se terminer sans avoir besoin de mon aide.

Ces personnes n’utilisaient pas la télépathie.

Si la télépathie était utilisée, je pourrais les intercepter, j’en suis donc sûr.

S’ils commencent à le faire, laissez-moi faire.

Je peux m’occuper de toutes les télépathies dans un rayon de 3km.

… Nul besoin de préciser que je ne le dirais à personne.

Être perçu comme un outil d’écoute serait pénible de bien des manières.

Attends.

S’ils n’utilisaient pas la télépathie, dans cette situation, cela ne devrait-il pas être le moment où elles s’enfuiraient coûte que coûte, non ?

Alors pourquoi attaquent-ils plutôt que de fuir ?

S’ils ciblaient Iroha-chan, l’information qu’il y aurait un leurre devrait être assez importante pour leurs commanditaires.

“Oraa ! Si vous voulez nous attaquer, venez ! Si vous ne venez pas, je serais celle… Hein, quoi ?!” (Yuduki)

“Les êtres inférieurs ciblant la vie des personnes non armées feront face à ma colè… Quoi ?” (Akashi)

Juste après avoir considéré la situation, elles ont remarqué une autre possibilité.

Les déplacements qui ciblaient Shougetsu-san et les autres étaient une feinte !

Les trois, que je suivais des yeux assis, se dirigeaient vers moi.

Pourquoi ?

Peu importe comment tu y réfléchis, je suis toujours un étranger.

Ne devrais-je pas être le dernier viser ?

Ces trois venaient dans trois directions différentes. Sans aucune hésitation et une bonne coordination, ils se sont mis en position d’attaque en même temps.

Un niveau assez élevé.

Même ainsi, je n’ai pas entendu dire que les espions de Lorel avaient un tel niveau.

Cela correspondrait plus au royaume Aion.

Même moi qui ai combattu les espions d’Aion, j’ai été surpris par la compétence de ces trois-là.

Ce n’était pas les mouvements d’un espion… C’était les mouvements d’un assassin.

“Pas tranchant.”

“Renforcement – Toucher mortel.”

“Largo Tempo.”

Les trois avaient activé leurs compétences en même temps.

Accélération, augmentation de la puissance d’attaque et effet ajouté pour augmenter les chances de mort instantanée, engourdissement de la douleur.

Tout ceci a été appliqué à tous les membres de leur groupe.

C’était l’une des classes les plus avancées, Voleur Fantôme, les compétences ‘Sans Ombre’.

J’avais une connaissance à Tsige qui était une Voleuse Fantôme, alors je pouvais dire que les effets de ces compétences.

Voleur, assassin; Quoi qu’il fût, ces trois-là, qui étaient pareils à cette classe avancée, venaient vers moi avec l’intention de me tuer.

Engourdissement de la Douleur sera gênant quand il faudra leur faire cracher le morceau, je vais donc annuler d’abord celui-là.

Le simple fait d’avoir une augmentation de leurs aptitudes ne suffira pas à passer mon Corps de Mana.

Il est dit que même un maître aura des difficultés à gérer les trois directions en même temps, mais c’était un monde fantaisie avec de la magie.

Aucun des poignards ne m’a atteint et ont été arrêté par le Coprs de Mana.

“Vous avez pris la peine d’améliorer vos aptitudes, mais je vais devoir…” (Makoto)

Ah, il n’y a pas besoin d’en dire plus.

Les yeux de cette fille… c’était donc ça.

“Q-Quoi ?!” (Akashi)

Akashi-san a été surpris que je fus la cible des attaques des assassins et qu’elles furent sans effet, car je les avais arrêtés; Son cri était empli de toutes ses émotions.

Ah, comme je l’avais estimé, parmi toutes ces personnes, elle pourrait être celle que j’apprécie le plus.

“Comme c’est pitoyable, une marionnette.” (Makoto)

J’ai murmuré ces mots.

Les trois assassins, des jeunes filles.

Ces yeux étaient souillés par un certain type de magie.

Il n’y avait pas besoin de chercher plus loin. Tout leur corps le transpirait.

Je le savais. C’était la capacité de ‘cette personne’.

“… Pour le bien du héros.”

“Tu es l’ennemi de Tomoki-sama.”

“Raidou, tu dois mourir.”

À quel point était-ce vraiment l’ordre d’origine de Tomoki et à quel point étaient-elles déchaînées ? Je ne pouvais pas le dire.

À ce stade, cela n’avait pas d’importance.

Si elles le voulaient, elles seraient en mesure de démontrer une force adéquate, et pourtant, elles agissaient telles des machines. Une attaque précise, agréable et répugnante.

Ce Tomoki, il semblerait bien qu’il n’a pas changé.

“On n’y peut rien, hein.” (Makoto)

“… Hein ?” (Yuduki)

Yuduki-san a sans doute remarqué le changement dans mes émotions, ou peut-être qu’elle a réagi à quelque chose d’inattendu, sa voix reflétait ce genre de sentiment.

À en juger par le timing, c’est peut-être parce qu’elle avait vu mes actions. Il était plus difficile de la percer à jour parce qu’elle était une personne assez perspicace.

Et dans le même temps que j’ai murmuré ceci, j’ai décidé de prendre les choses en main et ai saisi le cou de l’assassin avec la main droite du Corps de Mana et… lui ai brisée.

J’ai attrapé la tête de celle à gauche et l’ai aplati contre le mur.

Heureusement, il n’y avait personne sur celle de devant, alors j’ai continuellement tiré des Brids et son torse a été percé par trois d’entre elles.

Des trois trous qui formaient un triangle, celui du sommet était le plus le gros. On pouvait voir clairement l’autre côté à travers ces trous.

C’était une bonne chose qu’elles n’aient pas poussé de hurlements ennuyeux.

Si ce type faisait quelque chose de mal dans Lorel, ça ne pourrait pas être une mauvaise idée d’anéantir ces plans au passage.

Ayant une conversation avec lui… À l’heure actuelle, pas moyen.

S’il venait à refaire une proposition aussi stupide que la dernière fois, même si cela doit faire de l’empire mon ennemi, ça ne me dérangerait pas.

Je pensais qu’Izumo m’avait impliqué avec Iroha-chan, mais il y avait la possibilité que c’était un complot de Tomoki.

Sérieusement… Bordel.

“Aah…”

Shougetsu-san et les autres étaient figés.

Merde, était-ce une mauvaise chose de passer le balai ?

“Ah, désolé. N’aurais-je pas dû en finir ? Il semblait être des assassins.” (Makoto)

Juste au cas où, je n’ai pas mentionné que c’était lié à Tomoki et à l’empire.

Je veux une preuve concluante de quelle relation il entretenait.

C’est bien de juste le rapporter à Tomoe et de lui demander de créer une équipe pour faire fuiter cette information.

“Elles paraissaient… Être des combattantes aguerries…”

“Eh bien dans un certaine mesure, oui. Mais nous avons traversé tellement de choses que quelque chose de ce niveau, peu importe leur nombre, n’est pas un problème. Après tout, je suis en mission.” (Makoto)

J’ai écrasé la tête de l’une d’entre elles, mais puisque j’en ai l’opportunité, regardons le visage des deux autres.

J’ai retiré leurs masques de la première et la troisième.

Hmm ?

Se pourrait-il que… J’ai l’impression d’avoir déjà vu leurs visages…

Ah !

Les filles que Tomoki voulaient m’échanger contre Tomoe !

Cela voulait dire que la dernière en faisait également partie.

Ah… De songer que ces filles ont été envoyées à Lorel après ça.

Comme c’est lamentable.

Prions pour elles.

Prions pour qu’elles ne s’impliquent pas avec moi et Tomoki dans leur prochaine vie.

“Vous les avez déjà vu auparavant ?” (Akashi)

Peut-être qu’Akashi-san était encore prête à combattre, son ton était rude tandis qu’elle me demandait la raison pour laquelle mes mains étaient jointes.

“Nope. La mort est quelque chose qui suit les batailles, n’est-il pas normal de prier une fois que c’est fini ?” (Makoto)

C’est un petit mensonge.

C’est parce que je les connaissais de vue que je priais pour elles.

C’est la vérité.

“Eh bien, c’est vous qui voyez. Hum, désolée. Je n’arrive juste pas à apprécier les marchands. Mais j’ai maintenant compris que vous n’êtes pas un simple marchand. C’est la raison pour laquelle bien que ce soit pour peu de temps, j’attends avec impatience de travailler avec vous.” (Akashi)

“La même ici. J’attends impatience de travailler avec vous.” (Makoto)

“… Sans montrer de signe de difficulté ou de fatigue, vous en avez fini avec les assassins avec des mouvements d’expert. Quel que soit votre travail, vous avez démontré quelque chose de terrifiant. À partir de maintenant, je ferais plus attention à mon comportement.” (Yuduki)

“Pas tant que ça. Je suis simplement un marchand qui a l’habitude de se retrouver devant des problèmes d’une certaine ampleur.” (Makoto)

Apparemment, Akashi-san et Yuduki-san avaient une meilleure évaluation de moi.

Meilleure ?

En mettant de côté les visages pâles d’Akashi-san et de Yuduki-san, je me demande si ça peut être considéré comme une meilleure évaluation.

Elle a dit qu’elle ferait attention à son comportement, alors il n’y avait pas besoin de se soucier des détails. Ouais.

J’ai simplement éliminé les ennemies qui n’étaient pas enclins à la conversation.

Sérieusement… Quelle exagération.

Shougetsu-san avait les yeux grands ouverts.

Le serviteur s’était évanoui à un moment donné.

Eh bien, avec ça, il semblerait que le problème avec Shougetsu-san et Iroha-chan est réglé.

Ensuite, le partage d’information.

Si je me souviens bien, Beren-san a déclaré qu’il rendait visite aux endroits qu’il a habités, et après, il se dirigerait vers les montagnes. Des groupes composés d’Arkes et d’Ogres forestiers sont partis investiguer sur la vallée Yaso-Katsui et les alentours de Kannaoi, mais… Je me demande comment ils vont.

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