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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 267

C'était des préparatifs

Tome 5 – Chapitre 267 – C’était des préparatifs

“Le soleil commence à se lever. Ah… On dirait bien que ça sera nuit blanche.” (Makoto)

Dans un lieu un peu plus éloigné de l’entrée du grand labyrinthe, en revenant du portail qui permettait d’aller aux étages que vous avez déjà visités, le ciel commençait à changer lentement de couleur.

Le point essentiel était que je devais assumer cette nuit blanche.

Maintenant, je vais retourner à l’hôtel, réfléchir à la situation actuelle et m’entraîner à l’arc… Ouais, il n’y a aucun doute que ce sera le soleil sera levé d’ici là.

Il était vrai que je pouvais rester sans dormir pendant plusieurs jours.

Cela devait être dû au fait que j’étais jeune.

Par les temps qui courent, je pense honnêtement que c’est une bonne chose de l’être.

Normalement, il y avait pas de moment où j’avais l’impression de manquer d’expérience et de capacité, alors cela n’arrivait pas souvent.

“Eh bien, retournons à l’hôtel… Hein ?” (Makoto)

J’ai dit ça à Akashi-san et Yuduki-san qui ont utilisées le portail avec moi.

Avant, Akashi-san avait une expression sinistre et une main posée sur un mur, tout en ayant sa tête inclinée vers le bas et respirait lourdement. Yuduki-san lui prêtait son épaule.

On n’y pouvait rien.

Depuis lors, ses souvenirs confus réapparaissaient doucement. Ce qu’elle avait fait et pour qui.

Pour le bien d’un maître qu’elle n’avait jamais rencontré, Akashi-san essayait d’augmenter le nombre de ses camarades en visant Yuduki-san, Iroha-chan, Shougetsu-san et les autres.

En outre, comme pour remuer le couteau dans la plaie, celle qui était à l’origine de ceci avait été la personne qui aurait dû être une alliée puissante et fiable, la mère d’Iroha-chan, Haruka-san.

Il y avait beaucoup de choses qu’elle ne pouvait tout simplement pas assimiler.

Elle l’a rencontré pour qu’elle devienne un soutien pour Iroha, et pourtant, non seulement elle a été trompée, mais on l’a forcé à changer de bord.

“Je… Qu’est-ce que j’ai fait…” (Akashi)

“Akashi, pense juste à rentrer et à te reposer.” (Yuduki)

Mais Akashi-san était toujours la meilleure.

En creusant un peu dans ses souvenirs, elle n’a pas été trop soumise longtemps à ce pouvoir.

Elle n’a pas non plus blessé volontairement des gens, ou pire, avoir tué pour le bien de Tomoki.

C’était sans doute pour ça… Qu’elle a pu revenir.

Je pense que ça va.

Les trois-là, que j’avais tuées, avaient déjà tué pour lui.

Si ces trois-là n’avaient pas eu de fortes convictions et idéaux. J’aurais pensé pouvoir les sauver.

C’était pour ça qu’il était déjà ‘trop tard’.

Il ne servait plus à rien de dissiper le charme.

Même si je le faisais, à moins d’un miracle, elles seraient juste…

Hein ?

Pourquoi j’ai été capable de le dire en un instant ?

Hmm… Est-ce que le pouvoir de Tomoe s’est à nouveau activé ?

Cela arrivait de temps en temps.

Ça serait très utile si je pouvais l’activer à volonté… Malheureusement, ce n’était pas le cas.

Ouais, je pouvais le dire.

En repensant à cette scène, j’avais pu saisir grossièrement leurs souvenirs, ou peut-être leurs connaissances, ainsi que leurs éducations.

Si je devais l’exprimer avec des mots, ça serait comme une commode qui apparaissait dans ma chambre sans que je ne m’aperçoive.

Ces trois-là étaient des filles de nobles de l’Empire à l’origine.

Elles étaient profondément occupées par la situation actuelle, en particulier avec les relations des autres pays, et ont fait de leur mieux pour essayer de faire valoir leur point de vue d’une manière juste et équitable.

Mais elles ont eu la malchance de naître dans l’Empire où se Tomoki.

Ah, c’était donc elle Pione.

Si elle est bien ainsi, elle va clairement me détester.

Après tout, j’ai tué une de ses plus proches amies.

Ou plutôt, de songer que je verrais le visage de cette femme d’une telle manière.

Même si je ne l’avais pas rencontré en personne, son visage était déjà gravé dans ma tête, ainsi que son rire ou une de ses colères.

C’était vraiment un étrange sentiment.

“Monstre, hein. Il est vrai que je m’éloigne de plus en plus des limites de l’être humain. Même moi je peux dire ça.” (Makoto)

“Hein ?” (Yuduki)

“Ce n’est rien. Allons-y… Hmm ?” (Makoto)

J’ai murmuré ça involontairement ses mots, mais Yuduki-san m’a entendu et a réagi au quart du tour.

Après tout, ce n’était pas quelque chose à dire aux autres.

Au moment où j’allais leur dire de se dépêcher de rentrer, des silhouettes familières étaient apparues depuis le portail.

Oh, c’était donc bien une pierre deux coups.

“Rentrons maintenant. Si nous ne retournons pas à nos lits avant que le jour ne lève, nous allons juste les inquiéter.”

“Nous l’avons fait dans le temps.”

“Sniff, sniff, c’est noir. Un trou noir, vous connaissez ? Un puits sans fond, vous le ne savez pas ?” (NTA : Noir dans le sens mauvais.)

Il semblait se dépêcher.

L’un d’entre eux paraissait être grandement réticent.

“Beren, Hokuto, Shii, qu’est-ce que vous faites-vous aussi tard dans la nuit ?” (Makoto)

“Ahh ! Waka-sama !”

Il a poussé un petit cri de surprise.

“Vous n’allez pas me dire que vous étiez partis vous entraîner dans le labyrinthe, n’est-ce pas ?” (Makoto)

“Ah, non. Hum, vous voyez…” (Beren)

De l’hésitation est sortie de la bouche de Beren.

“Comment devrais-je l’expliquer…” (Hokuto)

Hokuto était pareil.

“Dans mon cas, cela s’apparente pratiquement à un enlèvement.” (Shii)

Shii a été très claire, mais ce n’était pas la réponse à laquelle je m’attendais.

“Beren ?” (Makoto)

Une fois encore, je l’ai questionné.

Je n’étais pas vraiment furieux. Je voulais simplement entendre ce qu’ils avaient à dire.

Mon ton n’a jamais été sévère depuis le début.

“Si je devais l’exprimer… C’est embarrassant à dire, mais ce sont des préparatifs.” (Beren)

Des préparatifs ?

Hokuto a également acquiescé aux paroles de Beren.

Shii était découragé et a soupiré.

Je devrais également lui demander.

“Shii, qu’est-ce que vous faisiez ?” (Makoto)

“Merci de l’avoir demandé, Waka-sama ! Ces deux-là étaient cruels. Ils m’ont attaché avec une corde en mode bondage et m’ont emmené dans le donjon.” (Shii)

“?!!”

“Oh oh, et ?” (Makoto)

Pour le moment, mettons de côté la partie BDSM et l’enlèvement pour écouter juste ce qu’elle avait à dire.

D’après les regards de Beren et Hokuto directement dirigés vers elle, il devait y avoir une raison derrière ça.

“D’après ce que j’ai constaté… La dernière partie de la journée a été… Plutôt difficile pour nous. Surtout pour moi et Beren-dono. Mais à partir de demain… Attends, ne devrais-je pas dire aujourd’hui ? Ah, mon temps de sommeil !” (Shii)

“Continue.” (Makoto)

“Même ainsi, si nous devions amener la série de chefs-d’œuvre de Beren-dono, nous pourrions endommager le grand labyrinthe, alors nous avons décidé de gagner d’abord de l’expérience en y allant d’abord.” (Shii)

“Hmm.” (Makoto)

“Beren a dit que nous devrions nous préparer afin d’accompagner Waka-sama et les autres. Et donc, Cela a fini par notre départ dans la nuit.” (Shii)

Je vois.

Eh bien, écoutons un peu plus sur l’enlèvement et le bondage puisque j’en ai l’opportunité.

“Je vois, je comprends. Parlons un peu de l’enlèvement…” (Makoto)

“Je leur ai dit ‘Je ne suis pas encore sérieuse, alors ça va aller’ et j’ai essayé d’aller dormir ! Et pourtant, Hokuto-cchi a utilisé une technique de bondage pour me forcer à y aller !” (Shii)

“Shii, c’est bon. Tu n’as pas à être gênée pour ça, tu es assez mince et légère, il n’y a nulle raison d’être anxieuse par rapport au poids de tes muscles. Je pense que c’est tout aussi attirant.” (Hokuto)

“Tais-toi ! Je ne sais pas qui a suggéré ça, mais répéter la même chose encore et encore ne fonctionnera pas, ok ?!” (Shii)

… Alors c’était Hokuto qui l’avait porté.

Et il a suivi son discours en ayant dit qu’elle était légère.

Il l’a même précisé sous différentes formes, en outre, Shii devait être en colère à propos de son enlèvement.

C’était… Inattendu.

Bon, sur ce genre d’aspect, je ne pouvais pas dire grand-chose sur les autres.

“Waka-sama ! Nous sommes vraiment désolés d’avoir fait quelque chose comme ça sans votre permission ! Mais s’il vous plaît, veuillez nous laisser au grand labyrinthe avec vous. Nous nous assurons de…” (Beren)

“Bien sûr, c’est ce que j’avais l’intention de faire, Beren. Mes sentiments n’ont pas du tout changé.” (Makoto)

“!”

“J’attends avec impatience le résultat de vos préparatifs. Cependant ! Je ne pardonnerai aucune imprudence pouvant vous coûter la vie. Compris ?” (Makoto)

Mais bon, il semblerait que c’était un malentendu. J’ai cru que nous avions facilement passé les étages inférieurs précédents.

Beren et Shii commençaient à ressentir de la difficulté.

Si j’en croyais les paroles de Shii, elle pouvait toujours se débrouiller lors de la suite de l’exploration sans avoir besoin de se préparer.

Et Beren également, s’il apportait son équipement chéri sans aucune contrainte, il aurait bien plus de marge de manœuvre.

Même moi je pouvais le dire qu’il avait un équipement hors du commun.

Mais il était probablement difficile de l’utiliser ici.

Entre choisir le bien être de Beren ou le labyrinthe, le choix était vite fait.

Je vais devoir refaire la sélection de l’équipement qu’il apportera pour qu’il fasse de son mieux en tant que Beren version 1.1.

Je ne voudrais pas qu’il se blesse en faisant trop avec ses préparatifs.

D’après ce que j’ai entendu lorsque nous marchions vers le restaurant Chihiro Man Rai, Hokuto n’avait pas vraiment de difficulté lors des combats, mais il semblerait que combattre, cartographier et explorer en même temps commençaient à être compliqués.

Apparemment, il a aussi cru que Shii avait besoin de se préparer pour demain.

On dirait que les trois avaient leurs propres sujets de préoccupation.

J’étais probablement celui qui devrait remarquer ce genre de choses et les en soulager.

Nous pouvons demander à Mio de les aider pour la cartographie, et en ce qui concernait les armes, nous pourrions choisir des armes plus adaptées au labyrinthe.

Et pour Shii, on pouvait lui demander de prendre conseil auprès d’Akua et Eris.

Le soutien chaleureux d’Asora était l’une de notre grande force.

À l’intérieur du labyrinthe, une partie de cette puissance était restreinte, mais ce n’était pas comme si nous étions toujours à l’intérieur.

Nous devions l’utiliser à bon escient.

“Merci beaucoup !!!”

“Même chose ici, c’est d’une grande aide que vous fassiez de votre mieux. Merci.” (Makoto)

Alors que je prenais conscience de ma considération envers les employés de la compagnie n’était pas suffisante, nous sommes rentrés à l’hôtel.

Bien qu’il fût assez tôt dans la journée, au moment où nous sommes entrés, de nombreux employés nous ont accueillis, ce qui m’avait un peu surpris.

Le restaurant Chihiro Man Rai était impressionnant.

Étaient-ils actifs 24h/24 et 7J/7 ?

============================================================ Avenue du Temple.

En s’avançant dans ces profondeurs, on pouvait tomber sur un bon nombre de temple des Esprits, ainsi qu’un temple Kishimo.

Cette zone souterraine, où il n’y avait pas un seul temple ordinaire, était actuellement utilisé pour quelque chose différent de la religion.

Mais pour les gens qui utilisaient cette place comme forteresse, ce n’était pas si différent d’une religion, on pourrait même considérer ça comme une nouvelle religion.

Une nouvelle existence qui devrait être aimée et révérée.

C’était le quartier général des personnes qui vénéraient l’existence du héros de l’Empire, Iwahashi Tomoki.

“Il semblerait qu’Akashi. Je ne connais pas encore tous les détails, mais la communication avec Manju a été coupée.”

Au sein d’un hall souterrain où de la fumée violette flottait dans les airs, un rapport à été transmis.

Manju était le bar suspect où Makoto avait débarqué il n’y a pas si longtemps.

La femme, qui écoutait le rapport, a secoué la tête sur le côté avec tristesse.

“J’ai cru que j’allais enfin pouvoir apprendre à Iroha l’existence de cette personne. Comme je le songeais, ce n’était pas quelque chose à laisser dans les mains d’une personne aussi inexpérimentée qu’Akashi.”

“Haruka-sama…” (?)

“Chercher une opportunité, la plus pacifique possible. Il n’y a nul besoin de se dépêcher. Ce n’est pas comme si cette fille, qui ne sait ni diriger, ni faire la différence entre sa gauche et sa droite, puissent le faire. Si Akashi n’est pas morte, récupérez-la. Elle devrait avoir encore une utilité.” (Haruka)

“Compris.” (?)

“Sérieusement, si nous offrons le peuple et son contrôle à Tomoki-sama, tout le monde serait en mesure de vivre dans le bonheur. Ma fille est vraiment problématique. Ne pas le savoir est vraiment pitoyable. Ne penses-tu pas ainsi ?” (Haruka)

“Oui. Une vie sans connaître Tomoki-sama est juste sans valeur.” (?)

L’informateur ayant répondu aux paroles d’Haruka l’a fait comme si c’était évident.

Il n’y avait ni hésitation dans ses yeux, ni de doute dans son discours.

Des paroles issues du plus profond d’elle.

Comme pour dire qu’elle avait la même opinion, Haruka a souri.

“Est-ce cela qu’ils appellent ‘les plaisirs de la subordination’, Haruka ?”

“… C’est un peu inélégant, Kougetsu-sama.” (Haruka)

“Si je n’interviens pas cette fois, ceci va finir par un nouveau raffut insensé.” (Kougetsu)

“Est-ce que vous niez l’amour de Tomoki-sama ?” (Haruka)

Le regard d’Haruka, qui était doux jusqu’à maintenant, affichait de l’hostilité et une envie de tuer.

L’homme du nom de Kougetsu est entré dans la place, a haussé l’épaule et a secoué la tête sur le côté.

“Pas moyen. Vous l’avez déjà entendu, pas vrai ? Je suis celui qui coopère avec Tomoki-sama. En d’autres mots, votre allié. Ce que je voulais dire, c’est que vous devriez faire ce qui doit l’être avant de vous noyer autant que vous le souhaitez dans cet amour qui est le vôtre.” (Kougetsu)

“Ce qui doit être fait, hein. Cette cité, les installations de la région, la réelle puissance de la maison Osakabe; Ne sont-ils pas tous pratiquement dans vos mains maintenant ? Moi aussi, pour démontrer mon amour envers Tomoki-sama, je ne ferais pas montre de réserve dans la coopération avec vous, Kougetsu-sama.” (Haruka)

“C’est bien de ça dont je parlais, Haruka. Le problème est bien ce ‘pratiquement’. Ce n’est pas encore total.” (Kougetsu)

“Les hommes sont toujours impatients. Si nous pouvons pas poursuivre tant que le père d’Iroha ne meurt pas. Il faut qu’il meure d’une mort qui semble naturel afin que même Sairitz ne suspecte rien, ou ceci deviendra problématique.” (Haruka)

“… Le père d’Iroha, hein.” (Kougetsu)

La façon de parler d’Haruka a fait plisser les yeux de Kougetsu.

C’était dû au fait qu’il comprenait deux significations à la manière dont elle ne s’adressait pas à lui comme son mari.

La première était qu’il n’était le ‘vraie père’ d’Iroha; La deuxième était qu’il était une des personnes qu’elle a aimées, mais comme si cette relation était lointaine.

(De nos jours, tous les grands bonnets de la maison Osakabe connaissait cet amour flétri, mais… Le charme du héros est vraiment effrayant. Une fois pris dedans, elle avait joyeusement accompli des choses comme avoir révélé que le père d’Iroha était le vrai chef et lui a continuellement prescrit des médicaments qui étaient en fait du poison sans que personne ne le découvre.) (Kougetsu)

Kougetsu lui-même ne souhaitait pas coopérer avec l’Empire.

Actuellement, il pouvait résister au charme du héros et utilisait l’Empire. Après avoir saisi la vraie puissance de la maison Osakabe, il planifiait d’éliminer tout le monde, en commençant par Haruka.

Kougetsu ressentait l’effet que produisait le pouvoir charme comme une menace.

“Oui, son père. Attendez quelques mois. Et ensuite, sentez-vous libre de garder des enfants que vous avez influencés et de choisir l’une des princesses présentes ici pour en faire la cheffe de famille qui sera votre marionnette. La partie problématique a été réglée puisqu’on leur a déjà appris à aimer Tomoki-sama.” (Haruka)

“Haruka, vous connaissez aussi les irréguliers, la compagnie Kuzunoha, n’est-ce pas ? En réfléchissant à ses liens avec Sairitz, il n’y a aucun doute qu’ils ont une sorte d’objectif avec les Osakabe.” (Kougetsu)

“Est-ce la raison de ton empressement ? Vous pouvez juste les laisser tranquilles. La situation d’Iroha est bien connue. Et en retour, les choses, que la compagnie Kuzunoha pourront faire, seront également limitées.” (Haruka)

“Alors est-ce que tu me dis que c’est juste une coïncidence que la seule fille de la maison Osakabe, qui n’a pas été soumis au pouvoir charme, est rentrée au contact avec une compagnie étrangère en contact avec Sairitz et que je ne devrais pas m’en inquiéter ?” (Kougetsu)

“Oui. Le plan est bien avancé. Nous avons déjà gagné. Il n’y a pas besoin pour nous de s’impliquer et de faire mourir inutilement des personnes, comme la fois avec les Assassines Sans-Ombre.” (Haruka)

“… Je vois.” (Kougetsu)

La tentative ratée d’assassinat des Sans-Ombre.

En outre, non seulement elles n’avaient pas chassé Iroha, mais pour une obscure raison, elles avaient visé le directeur de la compagnie, Raidou, et avaient été éliminées par lui à la place.

Pour être exact, elles avaient fait ce qu’elles souhaitaient et n’était pas une erreur de Kougetsu, mais un échec restait un échec.

Il était vrai que des pièces importantes avaient été également perdues.

Les paroles incisives d’Haruka avaient eu suffisamment d’effet pour cesser la pression de Kougetsu.

Kougetsu avait une expression amère sur le visage et pour toutes réponses, a tourné les talons pour s’en aller.

“Est-ce que vous partez ?” (Haruka)

“Ouais, je reviendrai une autre fois.” (Kougetsu)

“Soyez prudent, ok ? Après tout, dans les grandes lignes, je suis aussi un élément variable.” (Haruka)

Haruka a doucement rigolé.

Kougetsu n’y a pas répondu et seuls ses pas pouvaient être entendues alors qu’il quittait ce lieu.

(Je suis impressionné de voir à quel point cette femme à forte volonté a été brisée. Un héros qui ne montre d’hésitation à utiliser un pouvoir rendant aussi fous les autres. Est-ce vraiment une bonne chose de l’utiliser ? Non, ne vacille pas. Tout ça est pour le bien d’Osakabe, pour le bien de sa propre justice. De toute façon, il n’est plus possible de faire marche-arrière.) (Kougetsu)

En se souvenant de l’Haruka original qu’il connaissait bien par le passé et celle qu’elle était maintenant, Kougetsu a senti sa détermination vacillé.

Mais il s’est immédiatement débarrassé de ses doutes et s’est mis à réfléchir à son prochain mouvement contre la compagnie Kuzunoha.

Il prenait le chemin du retour jusqu’avant l’aube.

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