Tome 5 – Chapitre 307 – On ne peut pas échapper à Rembrandt
Finalement, je suis ‘retourné’ à Tsige une semaine après cette horrible nuit.
Qu’elle en était la partie effrayante ? Que l’enthousiasme d’Asora ne montrait aucun signe de retomber.
C’était comme un lendemain d’après un match sportif international très attendu dans un grand stade qui a réussi à décrocher une grande victoire inattendue.
C’était le genre de tension qu’il y avait à Asora.
À l’entrée de Lorel, après avoir quitté le pays par la porte Est ‘Mizuha’ où de nombreuses personnes nous avaient dit au revoir, nous nous présentions dans des villages au hasard pour laisser la preuve que nous nous déplacions lors de notre retour.
PRG (Selon Ginebia-san, c’est l’abréviation non officielle de ‘Pique-Nique aux Jardins des Roses’ mais de l’anglais Picnic Rose Garden) a atteint Tsige il y avait longtemps, et il y avait déjà des interactions animées avec des aventuriers et des soldats anciennement aventuriers.
Le résultat du rapport de Tamaki sur le parfum envoûtant et sa propagation à Tsige ne montrait pas de problème.
Nos employés ont pris contact avec Vivi-san, et après avoir soigneusement vérifié les membres, aucun d’entre eux ne semblait être sous l’influence de Tomoki.
Selon les souvenirs de Shii elle-même, dans son combat acharné avec un assassin masculin appelé Ryoma, le charme avait été « passé ». Pas infecté, mais plutôt transféré.
La réalité était que l’effet de charme qui avait pris racine et grandi à l’intérieur de Ryoma a été transféré ainsi à Shii.
… Que ce fut un sort ou une malédiction, il y avait beaucoup de variations.
Il semblerait que les souvenirs de Ryoma sur la question fussent vagues, mais il avait plus ou moins compris qu’il a été charmé.
Il était assez maussade.
Ses souvenirs étaient toujours là après tout.
Apparemment, lors qu’il est entré en contact avec les trois filles que j’ai tuées, il a été exposé à ce parfum.
C’était la raison pour laquelle elles avaient pu s’enfuir.
Elles avaient donc réussi à se créer un allié au sein du groupe de mercenaires.
Vraisemblablement, elles rassemblaient des informations tops secrètes sur PRG pour l’Empire et Tomoki, mais avant d’être parvenues à sortir pour répandre le parfum et manœuvrer secrètement, leur conflit avec nous a commencé, et il a heureusement perdu le bon moment pour quitter la base.
Il a réussi à ne pas commettre de gros péchés en dehors d’avoir passer le charme à Shii.
… À mon avis, c’était déjà un gros péché, mais il a promis qu’il se donnerait à 200% pour la mission à Tsige, alors j’ai décidé de garder ça entre nous.
Mais bon, on a eu la chance de réussir à gérer cela avant que cela ne devienne un véritable problème !
À cause des ventes spéciales consécutives de la société Kuzunoha, une partie de Tsige était plongé dans une ambiance festive et chaotique.
Ceci était un réel problème.
Les gens me demandaient : ‘Que faites-vous avec vos magasins ?! Êtes-vous sain d’esprit ?! ‘, et cela venait des gens les plus courtois.
Les clients, s’étant transformés en râleurs violents suite aux ventes spéciales, ont été enfermés dans le sous-sol du magasin.
Parce qu’ils ont fait une vente folle comme ‘99% de réduction’, il n’y a eu vraiment aucun profit, ou plutôt, nous étions tellement dans le rouge que même un enfant pourrait le comprendre, et à cause du surmenage et de l’absence de surveillance, même des voleurs se sont présentés.
Ah, mais j’ai bien ri de ces idiots qui ont essayé de voler.
Il devrait savoir pourtant que les aventuriers de Tsige parlaient avec leurs poings.
Ce genre de personnes supportait déjà à peine d’attendre patiemment en ligne, et pourtant, ces types ont essayé de se précipiter dans le magasin, et avant même que nos employés ne les aient réprimandés, les aventuriers des Terres Dévastées les ont roués de coup avec un air énervé.
Il semblerait que ce fut encore plus tragique que d’être enfermé au sous-sol.
Ce genre de choses a continué à se produire.
Sans aucune annonce, cette vente folle a duré plusieurs jours, et moi qui étais officiellement revenu à Tsige au milieu de celle-ci… J’ai été invité (entraîné) dans la guilde qui est complètement devenue une salle de réunion pour la guerre où Rembrandt-san, un ancien cadre de la guilde des marchands, et plusieurs membres du personnel de la guilde des aventuriers attendaient.
« Oui oui, je suis désolé, je serai plus prudent à l’avenir. Je veillerai à contacter, consulter et signaler au préalable. Oui, désolé pour le dérangement. (Makoto)
C’était la phrase que j’ai répétée tout le temps aujourd’hui.
C’est exactement le ‘rapport-contact-consultation’ dont j’ai parlé à Tamaki cette nuit où j’ai fait de mon mieux.
La succursale à Tsige de la société Kuzunoha prenait toujours correctement les dispositions nécessaires, mais en raison des événements à Asora résonnant jusqu’à ici, ils se sont dit « c’est une grosse vague que nous devons prendre (Team Eris) » et ont perdu tout contrôle, amenant à cette situation.
« C’est grâce à vos bonnes actions quotidiennes que les choses se sont terminées avec seulement ce niveau de chaos, mais normalement, il y aurait beaucoup de gens qui émergeraient en pensant à des choses peu recommandables, et cela deviendrait problématique », m’ont-ils dit.
Eh bien, ils étaient vraiment en colère.
… Il y en avait cependant. Voleurs et vols.
Ce n’était pas parce que nous ne pouvions pas les combattre que ça allait, hein. La société Kuzunoha est devenue une compagnie connue même à Tsige. Leur conduite est surveillée en permanence.
Ils m’ont dit que cela pourrait influencer négativement les gens voulant démarrer un commerce, alors faites attention ; C’était ce qui m’a fait le plus baisser la tête. C’était une déclaration à laquelle j’étais d’accord du fond du cœur.
Le seul qui pouvait rire ici était Rembrandt-san. Bon sang.
En parlant de Rembrandt-san.
“Viens chez moi plus tard, d’accord ? Ça peut être juste après ça, ok ?” (Rembrandt)
Tout sourire.
‘Je peux en rire maintenant, mais tu comprends, n’est-ce pas?’. J’avais l’impression que c’était le sous-entendu.
Je me suis redressé et me suis dirigé vers la résidence Rembrandt, m’asseyant silencieusement sur le canapé pour l’attendre.
« Désolé de t’avoir fait attendre. » (Rembrandt)
“Non, c’est moi qui devrais m’excuser ! Cela m’a pris plus de temps que prévu pour revenir et j’ai également plongé la ville dans le chaos tout d’un coup. Mes plus sincères excuses ! » (Makoto)
En un simple coup d’œil, on pourrait croire que Tsige était pleine ruée vers l’or, mais en fait, elle était en plein milieu d’une guerre avec l’indépendance comme enjeu.
Il parait que nous avions toujours l’ascendant, mais j’ai entendu dire que les négociations étaient toujours dans l’impasse.
Ce n’était pas encore une crise, mais il était encore trop tôt pour se détendre.
C’était dans des moments comme celui-ci qu’on baissait le plus la garde.
Et pendant ce genre de moment, une vente surprise s’est produite.
Bien sûr, je devrais être réprimandé pour cela.
Je ne m’attendais pas à ce que la vague de célébration eut atteint jusqu’à la compagnie Kuzunoha…
…Aaah !
« Non, en ce qui concerne ça, c’est déjà… Hmm ? » (Rembrandt)
La compagnie Kuzunoha… Il y en avait une aussi à Rotsgard…
Se pourrait-il que là-bas aussi ?!
Je devais me dépêcher de le confirmer. Aah, mais ma conversation avec Rembrandt-san venait en premier.
Guaaah !
“Est-ce que quelque chose ne va pas, Raidou-kun ? (Rembrandt)
“Non, désolé pour ça. Vraiment…” (Makoto)
“Haha, c’est déjà du passé. De plus, la vente de cette fois est en fait plutôt gentille compte tenu de ce que vous faites normalement. C’est en raison de l’état actuel des choses que les gens ont été un peu plus réactifs que d’habitude, c’est tout. (Rembrandt)
On dirait que notre compagnie avait la réputation de faire des trucs completement fous.
Les cas passés revenaient les uns après les autres dans mon esprit, donc je ne pouvais pas du tout réfuter.
« J’ai entendu dire que les négociations avec Aion s’avèrent difficiles ? » (Makoto)
Ce n’était pas le moment pour parler du passé.
J’en ai entendu parler par la guilde, mais je pense que je devrais demander plus de détails sur la situation.
Ce n’était pas comme si je ne voulais pas déterrer les souvenirs des choses folles que nous avons faites par le passé.
« Ce n’est pas au point d’être difficile, mais le fait que le Royaume ne rompt pas sa ferme attitude est un peu inquiétant. Eh bien, nous serons bientôt en mesure de clarifier la raison. (Rembrandt)
« L’insurgence est déjà… ? » (Makoto)
“… C’est troublant. Je pensais qu’ils persévéreraient un peu plus longtemps. Leur élan au début était assez important, mais ce qui est arrivé après qu’ils eurent été repoussés… Cela m’a donné l’impression que mettre mes espoirs en eux était stupide. Eh bien, cela aurait été troublant même s’ils devaient finir par mener de courtes batailles décisives après avoir été repoussés, donc on pourrait dire que cela aurait été problématique dans tous les cas, hein. (Rembrandt)
Rembrandt-san m’expliquait calmement la situation.
Au début, nous pensions que leurs batailles serraient plus serrées. Partant du principe de ne pas vouloir augmenter imprudemment les ennemis auprès des deux camps, Tsige a annoncé son indépendance, et après quelques négociations, nous avons essayé de créer une cité-état sans précédent dans ce monde.
Un pays où la royauté et la religion n’interviendraient pas.
Mais la réalité est que, même si le coup d’État a eu un puissant élan au début et est arrivé dans la capitale du royaume, ils ont été repoussés.
Le côté du Royaume a maintenu sa supériorité après l’avoir repoussé et contrôlait maintenant l’insurrection d’une manière relativement calme.
C’était juste que, la partie compliquée du royaume d’Aion était la manière de gouverner où les clans et les tribus se rassemblaient et soutenaient la famille royale.
En prenant en compte cela, et Aion avait en fait une composition similaire à celle des nobles gênants du royaume de Limia et cela en était le cœur du problème.
Si Tsige devenait indépendant, ça signifierait que l’une des plus grosses bourses du royaume d’Aion disparaîtrait.
Comme l’insurrection était presque entièrement maîtrisée, parvenir à l’indépendance par la négociation deviendra assez difficile.
Tsige ne pourra pas agir tant que l’atout du royaume d’Aion permettant de repousser l’insurrection restait inconnu.
La ville avait beaucoup plus de défense du côté du désert, mais en réalité, elle n’a pas été construite d’une manière à se défendre d’Aion.
Ça devait être sans doute parce que jusqu’à présent, ils avaient payé docilement le montant exorbitant des impôts, il n’y avait donc rien à craindre.
La particularité de la ville était qu’elle se trouvait dans un lieu où se rassemblaient beaucoup de personnes différentes, il y aura donc évidemment des aventuriers qui, même si on pourrait compter sur eux grandement comme puissance de combat, ne s’intéressent qu’au désert.
« Je pense que ce groupe de mercenaires sera certainement utile à la ville. » (Makoto)
“… Oui, ils sont plutôt incroyables. Je suis impressionné. J’avais l’intention de rassembler des aventuriers à la retraite des alentours pour travailler comme gardes pour notre légitime défense. Grâce à ces mercenaires, nous pourrons peut-être le faire beaucoup plus rapidement au milieu de la guerre et des négociations. » (Rembrandt)
« C’est génial. » (Makoto)
Pour notre légitime défense, hein.
Il a dû être assez troublé.
Je voudrais que Vivi-san et les autres apportent leur savoir-faire, et si possible, entraînent aussi des gens talentueux.
… Autant en soudoyer quelques-uns à nos côtés ?
S’ils en avaient l’intention, cela pourrait être possible.
« Eh bien, en ce qui concerne l’indépendance, je pense déjà que cela arrivera. Il y a plusieurs chemins à prendre, donc je ne suis pas inquiet. (Rembrandt)
…
Waouh, comme toujours.
Le regard de cet homme se projetait sur le futur où l’indépendance serait acquise.
Il réfléchissait déjà à l’après indépendance.
Pour quelqu’un comme moi qui ne savais pas ce qui pourrait arriver pendant la guerre, j’avais l’impression qu’il était un peu trop positif là-dessus.
Mais ce n’est pas ça.
Il n’était pas excessivement positif, et en le regardant de manière réaliste, le chemin jusqu’à l’indépendance a déjà été tracé.
C’était ce qui m’étais transmis.
Dans ce cas, je n’ai pas encore atteint ce champ de vision.
Je pensais même que ses yeux n’étaient pas ceux d’un marchand, mais ceux d’un homme politique.
Non… En réalité, il y avait des marchands de renommée mondiale qui pouvaient même émouvoir les politiciens. Les qualités nécessaires se chevauchaient sans aucun doute.
« Mais on dirait que tu l’es quand même. » (Makoto)
Ouais.
Rembrandt-san semblait être troublé par quelque chose.
Sans aucun doute.
« Oui, il y a quelque chose que j’aimerais que tu entendes. » (Rembrandt)
Ses yeux perçants me transperçaient.
Qu’est-ce qui le rendait ainsi ?
J’ai dégluti et attendu ses paroles qui semblent le préoccuper plus que l’indépendance de Tsige.
Quel genre de difficultés voyait-il avant l’indépendance ?
“Ces derniers temps…” (Rembrandt)
« Oui ? » (Makoto)
“Ma fille Sif a appris la transmission de la pensée…” (Rembrandt)
« … Hein ? Transmission de pensée ? (Makoto)
Je ne savais pas.
Sif.
Aah, je l’ai rencontrée à Kannaoi aussi.
Je vois, transmission de pensée, hein.
Peut-être a-t-elle remarqué que c’était pratique depuis qu’elle a vu Shiki et moi l’utiliser fréquemment ?
Il ne faisait aucun doute que c’était utile.
Dans ce monde, selon la qualité de votre transmission de pensée, on pouvait même réussir à en vivre toute sa vie rien qu’avec cette capacité.
Cela était même valable à l’Académie Rotsgard, et en termes de ressenti, c’est proche d’un comptable, je pense.
Il n’y avait aucun désavantage à l’apprendre, et si on le maîtrisait, on pouvait même en vivre.
Et en réalité, c’était plus difficile à apprendre que la comptabilité, et il y a de nombreux cas où l’apprentissage d’autres types de sorts serait plus important, donc ceux qui l’apprenaient, étaient surtout des étudiants ayant l’intention de devenir un expert dans le domaine.
Je vois, donc Sif pouvait maintenant utiliser la transmission de pensée.
Je me demande quelle était sa portée ?
Peut-être que je devrais préparer un entraînement là-dessus ?
« Oui, et elle s’entretient avec les personnes en charge de la transmission de la pensée dans chaque district, ainsi qu’avec l’utilisateur en chef de transmission de la pensée de chez nous. » (Rembrandt)
« C’est impressionnant. C’est beaucoup plus rapide que les lettres et tu peux maintenant discuter avec elle…” (Makoto)
Plutôt qu’impressionnant, c’est fou.
Chaque district ?
Et les utilisateurs de la transmission de la pensée représentant les compagnies comptaient également cela comme faisant partie de leur travail ?
Que faisait la Compagnie Rembrandt ?
Au moment où votre fille a appris la transmission de pensée, ils ont développé ce type de réseau de transmission.
Je constate maintenant à quel point son affection parentale était folle.
« Et donc, elle m’a parlé de pas mal de choses récemment. » (Rembrandt)
Hum ?
Récemment ?
Ah…
J’ai ouvert involontairement la bouche.
J’ai laissé Sif de mener une bataille de vie ou de mort à Kannaoi.
De la sueur a coulé sur mon front.
Merde.
C’est plutôt mauvais.
Comment vais-je m’en sortir en toute sécurité ?
Maintenant que j’y pense, Morris-san n’était pas là.
J’ai vérifié dans les environs, mais je ne le ressentais nulle part.
A-t-il déjà commencé sa mission ?
Rembrandt-san était-il un appât pour me retenir ici ?!
« Je suis vraiment désolé de les avoir fait participer à une dangereuse leçon à Kannaoi !! » (Makoto)
“Qui est Misura ? » (Rembrandt)
Les paroles de Rembrandt-san et moi-même se sont chevauchées.
S’excuser aussi vite que possible était la base pour éviter que le conflit ne dégénère.
Sur ce principe, je me suis dépêché d’agir, mais… Misura ?
“Misura ? » (Makoto)
“Kannaoï ? » (Rembrandt)
Un silence s’est installé entre Rembrandt-san et moi.
Yep, j’ai merdé !
“Raidou-kun, as-tu dit Kannaoi à l’instant ? De plus, ‘dangereux’. Tu as bien dit ‘dangereux’, n’est-ce pas ? (Rembrandt)
Je l’ai fait.
J’ai fini par le dire.
Ou plutôt, ce qui était le plus important avant l’indépendance de Tsige, c’était Misura ?
Sa fille en larmes ne lui a-t-elle pas raconté l’incident de l’entraînement spartiate à Kannaoi ?
« …Veux-tu bien m’expliquer? » (Rembrandt)
Avait-t-il oublié ?
Peut-être que Sif ne lui a rien dit en premier lieu.
Je ne connais pas la vérité.
Mais il semble que j’ai accidentellement marché sur une mine.
“Se pourrait-il que cela ait quelque chose à voir avec ce gars (Misura) avec qui Yuno a fini par sortir ? » (Rembrandt)
Sortir avec ?
Yuno et Misura ?
De quoi parle-t-il ?
« … » (Makoto)
“Dois-je supposer que ce silence signifie que tu es au courant ? Ou alors que tu ne sais vraiment pas ? Mais tu es bien au courant de cette leçon dangereuse à Kannaoi, n’est-ce pas, Raidou-kun ? Ah, c’est vrai. Que dirais-tu de dîner avec moi aujourd’hui ? Non, peut-être aussi le petit déjeuner ? Je vais le programmer tout de suite. Je voudrais entendre un peu plus en détail sur comment vont mes filles ces derniers temps. C’est vrai, les produits marins de Coran ont un peu augmenté en qualité. Je voudrais te le faire goûter, hahahaha. (Rembrandt)
Les yeux de Rembrandt-san ne riaient pas du tout.
Je vais probablement nager avec les poissons de Tsige aujourd’hui.
Alors que je suis retourné sain et sauf à Tsige, alors que je n’en suis qu’au stade où je regarde l’indépendance de Tsige se produire !
Rembrandt disait : « Mais ma fille est à cet âge, tu sais ».
‘Je savais qu’un tel jour viendrait’.
‘Mais sortir avec ma fille sans même me le dire ?’
‘Est-ce que Misura est ce genre de clochard ?’
‘Il n’y a aucun doute là-dessus. Il est donc hors de question que je laisse une telle personne sortir avec ma fille’.
… Hahaha, Rembrandt-san ne s’arrêtait pas.
Dans un sens, on pourrait dire qu’il est complètement revenu à la normale.
Aujourd’hui il y aurait dû avoir du beau temps, mais une grosse tempête est également apparue.
Avec cela, j’ai l’impression d’être revenu au quotidien habituel.
Je suis sûr que peu de temps après, je serai entraîné dans le chaos de l’indépendance, ou quelque chose avec les étudiants, mais j’ai l’impression d’être de retour.