Tome 6 – Chapitre 321 – La contre-mesure amoureuse de Raidou et Shiki
“Hé, Yuno, as-tu un peu de temps ?” (Makoto)
J’avais l’impression de ne pas être venu à Rotsgard depuis un bye.
Tsige et cette ville étaient les places où la compagnie Kuzunoha s’était installée, et ma notoriété était honorable.
Les flammes de la guerre ont soudainement atteint Rotsgard et beaucoup de morts sont déjà à dénoter, et dans cet événement, la compagnie Kuzunoha et moi-même nous sommes faits connaître de tous en un rien de temps.
1 ou 2 mois après une grande catastrophe comme une tempête, un tremblement de terre, un incendie ou tous autres événements dénombrant pas mal de victimes, une cité présentait un visage dévasté et les personnes sans logement vivaient des résidences temporaires.
Mais cet endroit a presque complètement repris vie.
L’élimination des gens impliquée dans l’incident, le soutien aux résidents, les matériaux et la participation à la reconstruction ; La compagnie Kuzunoha a contribué dans tous ses domaines, les bons points se cumulaient rapidement et cela s’appliquait également à moi puisque j’en étais le directeur.
D’un autre côté, dû au festival de l’Académie, de nombreux invités de grands pays étaient venus, et après l’incident, j’ai fini par être sous le feu des projecteurs.
Le résultat de ça a été… Eh bien, décent.
Le premier résultat était notre relation favorable avec la famille du seigneur féodal de Kannoi, qui était la 2eme plus grande puissance de l’Union Lorel.
C’était un pays auquel je n’avais pas prévu d’y aller à l’origine.
“Délicieux ! Sensei, ça vient de quel magasin ?!”
Je suis arrivé à l’Académie en ressentant beaucoup de regard posé sur moi, comme si j’étais une créature rare (et un certain nombre d’eux avait même de l’admiration et de la gratitude), et ensuite, en ayant demandé à Shiki où se trouvaient les étudiants, j’ai pris contact avec la petite sœur des sœurs Rembrandt, Yuno.
Un appel d’un professeur temporaire devait être une chose normale, mais les regards des autres étudiants étaient remplis de curiosité.
À l’heure actuelle, elle a probablement commencé à sortir avec Misura, alors ils ne devraient rien suspecter envers moi… Probablement.
Je pouvais seulement espérer si c’était le cas.
Maintenant et à ma grande surprise, la salle des professeurs où se trouvait mon bureau est devenue une salle rien qu’à moi.
Pour être plus précis, plus Shiki que moi.
Et ce que j’ai apporté, c’était des desserts.
Pour les filles, il fallait du sucré.
C’était assez efficace.
Mon raisonnement venait de ma mère et mes sœurs, ainsi que du club de kyudo de mon lycée.
Les sœurs Rembrandt aimaient toutes les deux les sucreries, alors j’ai demandé à Mio d’en préparer un bon paquet.
“Cela a été fait par Mio.” (Makoto)
“Aah, c’est la première fois que je goûte ça, c’est trop bon ! Mio-sama est un génie !” (Yuno)
“Je vais lui dire. Si elle est de bonne humeur, elle pourrait même en préparer plus et les envoyer ici.” (Makoto)
“Clair ! Dites-lui s’il te plaît ! Aah… Même si c’est crémeux, c’est agréable en bouche, et il a un goût. Tellement merveilleux…” (Yuno)
Ouais, je pense aussi que c’est savoureux.
Mais pas au point d’être en extase ?
Y a-t-il un sens du goût différent chez les hommes et les femmes ?
Ce que nous avons aujourd’hui, c’était une bavaroise, de la gelée de thé vert grillé et deux types de haricots pour accentuer.
Nous mangions des assiettes blanches, mais nous les avions apportées ici dans des récipients en verre transparent.
Ils devaient avoir choisi des plats qui ne paraîtrait pas bizarre à Rotsgard.
…
Mio a été grandement influencée par Lorel dernièrement.
Elle a acheté beaucoup de thé vert et oolong, dont une grande partie était utilisée quotidiennement à Asora.
Pas seulement la nourriture, elle a même commencé à s’intéresser au monde de la confiserie.
Pour les haricots, elle s’était entraînée avec des graines de soja noirs, les rendant sucrées ou salées.
Elle a dit qu’elle vérifierait la compatibilité des produits comme le soja, les haricots adzuki et les pois rouges.
Pour parler franchement, j’aurais considéré de faire de l’anmitsu comme un objectif.
Mais si je disais ça sans réfléchir, cela pourrait limiter les possibilités de Mio.
Je considère que les ‘c’est délicieux, ça aussi c’est délicieux’ de Mio comme la quintessence de sa pensée.
Le gâteau de riz aux haricots salés était assez délicieux et Tomoe appréciait également.
D’ailleurs, Shiki aimait le bavarois d’aujourd’hui.
Ouais, de la crème.
Eh bien, la gelée de thé vert grillé servant d’accompagnant était quelque chose dont moi et Tamaki raffolions. Comme toujours, Tamaki se méfiait de ce que j’aimais.
“Ah ? C’est vraiment curieux. Cela a un goût étrangement familier… Mais je n’arrive pas à m’en souvenir…” (Yuno)
Familier… Cela se referait-il à la saveur du thé vert ?
C’était similaire à un thé normal, mais j’aurais pensé à un goût complètement différent.
Peut-être y avait-il un goût commun par leurs racines.
Dans ce cas, elle était perspicace.
“Et donc, je pense que tu as déjà compris le pourquoi de ma venue. C’est à propos de Misura. Pour commencer, est-ce que vous sortez ensemble ?” (Makoto)
“Papa… J’ai entendu dire par maman qu’il avait l’air cool en travaillant… Je suis vraiment désolée de t’avoir fait venir ici à cause de moi.” (Yuno)
“Non, je peux comprendre les inquiétudes de ton père… Dans une certaine mesure. Après tout, ça concerne ses chères filles. Et donc ?” (Makoto)
“Oui, Je me suis confessée à lui et j’ai reçu son approbation récemment. Je sors bien avec Misura-senpai.” (Yuno)
Peut-être qu’elle trouvait triste de finir de le manger, sa cuillère devenait de moins en moins frénétique alors qu’elle répondait à ma question.
La réponse n’était donc pas ‘c’est un malentendu’ qui aurait été la plus paisible des potentielles réponses… Mais on n’y pouvait rien.
La cuillère ne s’est jamais arrêtée et Yuno a finalement pris sa dernière bouchée.
“Je vois, vous sortez ensemble.” (Makoto)
“Ouais, des vrais amoureux.” (Yuno)
D-Des vrais amoureux.
C’était une expression un peu idiote utilisée par des jeunes couples, mais dans le cas de Yuno, il y avait aussi la possibilité qu’elle dise ça par calcul.
C’était dû au fait qu’elle semblait joyeuse et innocente.
Mais dans le fond, elle était un peu calculatrice .
Est-ce que Misura a gagné à la loterie ? Ou bien a-t-il réfléchi à son avenir et a décidé de la choisir ?
“C’est bien que vous ressentiez la même chose. C’est le plus important. Mais pourquoi Misura ? J’ai comme l’impression qu’un camarade suivant le même cours que toi est bien trop facile.” (Makoto)
“Le déclencheur a été la fois à Lorel. Misura-senpai est une personne admirable.” (Yuno)
… C’était une réponse bien plus décente que je m’attendais.
Je suis désolé de l’avoir désapprécié.
“Ce n’est donc pas une simple amourette ?” (Makoto)
“Évidemment. Ce n’est pas juste une amourette, mais grave sérieux.” (Yuno)
“Au temps pour moi. C’est juste que ton père m’a demandé si sérieusement de mener une enquête dessus. Est-ce que tu en veux un autre ?” (Makoto)
Comme s’il s’agissait d’un tour de passe-passe, j’en ai fait apparaître un autre.
Désolé, Shiki.
Mais Shiki en a déjà mangé et il pouvait le faire à Asora.
“Ce n’est pas juste, Sensei. Si tu m’en donnes plus, je vais finir par te pardonner. Merci beaucoup !” (Yuno)
“À propos de ce Misura, n’avait-il pas l’intention de travailler pour l’église ? En raison d’affaire familiale ou quelque chose dans le même genre.” (Makoto)
“Ouais, c’est vrai. Mais ce n’est pas un problème. Quand le moment sera venu, je l’amènerai à Tsige.” (Yuno)
Le projet d’avenir de Misura ne semblait pas coller avec le fait d’être en couple avec une des filles de la famille Rembrandt.
Le fait que Rembrandt-san qualifie Misura de voyou ou de morveux pourrait avoir joué… Je l’espère.
Mais Yuno a déclaré qu’elle ramènerait Misura à Tsige comme si de rien n’était.
“C-Comment ?” (Makoto)
“J’ai déjà dit auparavant que j’admirais senpai, non ?” (Yuno)
“Oui.” (Makoto)
“Ce n’est pas comme si j’approuve tout ce qu’il fait, mais je l’aime. Pour être honnête, il suit juste le cours des événements pour son parcours professionnel. Ce n’est pas quelque chose qu’on devrait faire juste sans y avoir bien réfléchi. Pourquoi a-t-il bien travaillé si dur à Rotsgard pour en rester là ? C’est la raison pour laquelle je lui parlerai autant de fois qu’il le faudra pour qu’il envisage de venir à Tsige.” (Yuno)
“…” (Makoto)
“Après tout, ma sœur et moi devons réfléchir à la succession de la compagnie Rembrandt.” (Yuno)
“…” (Makoto)
“Nous n’avons clairement aucune chance avec Sensei. C’est la première fois que nous voyons papa s’intéresser à un homme en dehors de Morris, alors si Sensei l’avait souhaité, ma sœur et moi aurions été d’accord.” (Yuno)
Ah, je viens de finir mon second verre.
Mais je suis sans voix.
Je ne sais pas quoi dire.
J’ai pensé qu’ils passaient leurs journées à l’Académie en laissant porter par les événements et leurs talents, mais ils songeaient vraiment à l’avenir.
Et elle imaginait son avenir d’une manière assez terre à terre.
Si je le désirais, je pourrais en avoir une.
Que ce fut la sœur aînée ou cadette.
Je suppose que c’est une manière de penser d’une personne incroyablement riche ?
“Rembrandt-shi est mon bienfaiteur. Vous deux êtes ses filles et cette vision ne semble pas près de disparaître.” (Makoto)
“On dirait bien. C’est la raison pour laquelle j’interagis aussi avec Sensei en tant que bienfaiteur. Je ne veux pas t’embêter.” (Yuno)
“Je suis désolé de t’avoir dérangé pur ça.” (Makoto)
“Non non, on m’a donné un splendide dessert, alors nous sommes quittes.” (Yuno)
“Maintenant que nous le sommes, j’aimerais te demander quelque chose. À propos de Sif, qu’est-ce que cela signifie ?” (Makoto)
Sans ça, je ne serais que dans deux semaines à Rotsgard.
“… Aah, tu es donc venu ici après avoir également entendu ça.” (Yuno)
“C’est exact.” (Makoto)
“C’est… Selon ma sœur…” (Yuno)
“Oui ?” (Makoto)
“Ah, je ne devrais pas parler pour ma sœur et mon père. Ma position en tant que petite sœur serait en danger, alors veuillez m’épargner ça, Sensei.” (Yuno)
“… Et dans les faits… ?” (Makoto)
“Je voudrais parler de cet étonnant et délicieux dessert à ma sœur, alors pourrais-tu aussi la rencontrer ?” (Yuno)
“Entendu. Vas-y.” (Makoto)
“Je vais tout de suite l’appeler ! Merci pour la découverte !” (Yuno)
La petite sœur constraitait de par sa personnalité par rapport à sa sœur aînée, hein.
Normalement, on finirait par être perverti par ça, mais pour une obscure raison, Yuno paraissait s’y complaire.
Non…
D’après Jin, les sœurs Rembrandt étaient tristement célèbres avant d’être frappées par la maladie maudite.
Ouais, il a déclaré à cette époque que les sœurs étaient les pires.
Elles étaient imbues d’elles même, mais cela les avait changés.
Même maintenant, je détestais vraiment les maladies normales et maudites.
Cela m’impressionnait qu’il y ait des gens pouvant utiliser ça comme une expérience pour apprendre et s’améliorer.
“S’améliorer, hein. Ai-je grandi depuis ma venue ici ? Il est difficile de faire soi-même ce constat, alors je ne peux pas dire…” (Makoto)
Mon regard s’est posé sur les deux assiettes qui étaient restées sur la table.
Même si elle n’avait pas fait preuve de mauvaises manières dans sa façon de mander, elle a mangé d’une manière si propre qu’on pourrait croire qu’elle a léché l’assiette. Il y en avait deux, l’une sur l’autre.
Ah.
Sif en voudra sûrement un deuxième.
Malheureusement, j’ai déjà mangé le mien et je ne pouvais plus lui donner.
Bon, pas le choix… Ta part va disparaître, Misura.
J’ai utilisé une habille magie pour nettoyer les deux assiettes.
“En d’autres mots, tu me dis que c’est un malentendu ?” (Makoto)
Je m’en réjouissais, mais je lui ai demandé confirmation d’une manière calme.
Le thé matcha et le bavarois ont également agréablement surpris Sif.
La sœur aînée s’est questionnée tout de suite sur la nature du thé et a vite cerné l’origine des douceurs.
Mais quand elle a appris que ce thé était différent du thé noir, elle a en voulu savoir plus sur sa production.
‘Il y avait encore quelques jours, vous étiez à Kannaoi, vous avez donc dû en boire aussi’, c’était ma pensée tout en lui disant qu’il venait de Lorel.
Elle en a été surprise.
Apparemment, ils étaient très occupés là-bas et étaient traités comme des invités étrangers, alors on leur a donné une nourriture proche de leurs goûts.
Les boissons étaient du thé noir, du café ou du jus de fruits et il y a eu même une fois où ils ont apporté du saké.
Je vois.
S’ils les considéraient comme les invités d’un autre pays venus pour une affaire urgente, c’était plausible.
On dirait qu’elle était triste de ne pas en avoir bu le thé servant d’accompagnant à ces douceurs à l’époque.
“Père-sama m’a seulement écouté jusqu’à la moitié avant de m’interrompre avec ‘J’ai compris, n’en dis pas plus !’ et ne m’a plus écouté. J’ai reçu après une réponse me disant qu’il avait tout dit à Mère, mais d’imaginer que cela se transformerait en une situation où Raidou-sensei devrait venir en urgence.” (Sif)
“… Je vois. À cause de sa teneur, il a dû vouloir protéger son cœur. Mais c’est un soulagement. Avec ça, je peux rentrer sans inquiétudes.” (Makoto)
“Pourquoi ne pas en profiter pour te montrer une ou deux fois en classe ? Les nouveaux attendent avec impatience ton enseignement, tu le sais ?” (Sif)
“Par là tu veux dire que c’est juste une marque de respect de leur part, non ? J’ai entendu dire par Shiki qu’ils étaient exténués par ton entraînement et ça fait plaisir à entendre.” (Makoto)
Ah, Misura.
Désolé.
“Après tout, Jin et Amélia sont à fond dedans. Étonnamment, c’est Daena qui sert de tampon. Apparemment, il a également pensé à ce genre de choses à Lorel. Bien sûr, ça vaut aussi pour Yuno et moi.” (Sif)
“Yuno, aussi ? N’est-elle pas tombée amoureuse après être sortie avec Misura ?” (Makoto)
“Ah, il s’agit de ça, Sensei. C’est encore le malentendu causé par Père.” (Sif)
…
Amélia… Non, Jin, désolé.
“En tant que sœur, je m’inquiète pour Yuno. Elle a beau dire que c’est ‘grave sérieux’, mais le déclencheur a été lors de cette nuit où nous avons côtoyé la mort. Tu sais, quand tu traverses une situation dangereuse avec quelqu’un, même un roturier peut avoir l’air splendide. Des escrocs utilisent aussi de telles méthodes.” (Sif)
Il y avait donc le concept de pont suspendu ici aussi, hein.
Et c’était également utilisé par les escrocs de ce monde.
C’était un peu inattendu.
“Et donc, j’étais également dans cette situation. J’ai estimé que Misura serait un partenaire décent et je lui ai dit à Misura que je l’aimais aussi.” (Sif)
“Hmm ?” (Makoto)
N’était-ce pas un malentendu ?
“J’ai donc appâté Misura en lui disant ‘Cela te perturberait si je t’aimais ?’. S’il était du genre à faire du rentre dedans à deux sœurs à cause des événements, j’aurais dû gérer ça d’une certaine manière.” (Sif)
…
Quel côté diabolique !
“Il m’a répondu avec une expression grave qu’il voulait sortir sérieusement avec ma petite sœur.” (Sif)
Bon, c’était normal.
Ou plutôt, y avait-il une situation où l’autre partie répondrait ‘Cela me dérangerait’ ou s’engagerait auprès des deux en dehors d’un drama ou d’un jeu vidéo ?
Parfois, il y avait même des filles sortant un couteau pour ça, vous le savez ?
Il y avait un jeu comme ça où elles sortaient des natas (NTF : Des couperets japonais) ou des scies.
… Mec, c’est tellement nostalgique.
J’avais un ami comme ça dans mon club de kyudo.
Le genre de personne, qui au lieu d’être le protagoniste d’un jeu de drague, il était plutôt un des protagonistes visant l’héroïne dans un otome.
Il serait du genre à répondre ‘Cela ne me gêne pas, je vous chérirai toutes les deux’.
Il dirait même dans une situation où le héros se fait tuer ‘Pourquoi ne s’est-il pas satisfait d’une seule s’il était si faible ?’ ou ‘Appréhendez d’abord les caractéristiques de la cible’.
Aaaah, oui.
Maintenant que j’y réfléchissais, je n’avais rencontré aucun gigolo dans ce monde.
Il n’y avait que les ordures qui méritaient d’être éliminés.
Je me demande ce qu’il répondrait à Sif.
Un truc du genre ‘Tu chéris vraiment ta petite sœur’.
… Non, pas ça.
Il ne trouverait pas aussi cela déplaisant que moi et il aurait sûrement sorti quelque chose dont je ne peux même pas imaginer.
Cela m’a rappelé un passé nostalgique.
Ah, désolé, Amélia.
“En d’autres mots, tu dis que ce n’était qu’une série d’événements pour vérifier les sentiments de Misura.” (Makoto)
“Oui, désolée d’avoir causé tant de problème.” (Sif)
“… Hé, que serait-il arrivé à Misura dans le cas contraire ?” (Makoto)
“… Qui sait.” (Sif)
Pas de ‘Qui sait’ avec moi !
Effrayante !
Ton expression est effrayante, Sif ! Elle donne l’impression d’être prête à poignarder !
Rembrandt-san, cette fille était un peu dangereuse.
Elle était du genre à faire pleurer plusieurs fois ses parents.
Je n’étais pas en faute dans cette histoire, alors il valait mieux éviter d’être pris dedans.
Passons à autre chose et laissons cette famille régler cette histoire.
“D’ailleurs, Sensei.” (Sif)
“Oui ?” (Makoto)
“Puis-je en redemander pour le prochain cours ? Je peux payer pour ça.” (Sif)
“… C’est l’un des nombreux essais que Mio tente, alors je vais lui demander, mais je peux aussi te préparer quelque chose si tu veux essayer quelque chose de différent.” (Makoto)
“Alors faites, je te prie. La prochaine fois, un pour chacun… Environ une vingtaine. Je ferai de mon mieux pour préparer l’argent.” (Sif)
En ayant entendu que cela était fait par Mio, son expression a légèrement changé.
Mais d’imaginer qu’elle resterait de marbre sans s’inquiéter de la somme alors qu’elle passait une commande pour vingt personnes auprès de Mio.
Elle était courageuse.
Bon, c’était juste des douceurs.
A-t-elle hérité ce courage de ses parents ?
Ouais, Daena également. Désolé tout le monde.
Le thé matcha et les bavarois sont tous tombés sous les coups de cuillère des sœurs Rembrandt.
La prochaine fois, j’apporterais une quantité plus décentre…. Pour au moins vingt personnes.
On dirait bien que j’ai sous-estimé les filles… Non, les sœurs Rembrandt.
En tout cas, c’était fatiguant.
Cela m’épargne un peu que ce ne fut pas aussi fatiguant que la fois avec la Rue du Crépuscule.
Quoi qu’il en soit… Arrêt du mode professeur !