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Arifureta Shokugyou de Sekai Saikyou Chapitre 50

Les gardes du corps d'Ai-chan

Tome 5 – Chapitre 50 – Les gardes du corps d’Ai-chan

Hatayama Aiko, 25 ans. Professeur d’études sociales.

En tant que professeur, elle enseigne des connaissances spécialisées aux élèves. Elle essaie également d’améliorer leurs résultats scolaires. Elle n’est pas seulement qu’une conseillère, mais aussi quelqu’un d’exemplaire. Ces élèves sont certainement très importants pour elle, et encore plus ses « alliés ». Ceux qui la considèrent comme une personne très importante. Pour le dire concrètement, elle est l’adulte sur lequel les enfants peuvent compter en dehors de leur famille.

Cela vient d’un événement important survenu pendant ses études, mais restons-en là. Quoi qu’il en soit, en tant qu’alliée des élèves en dehors de leurs maisons, la fierté d’Aiko en tant que professeur est devenue le pilier de soutien qui lui a permis de se qualifier d’enseignante.

Par conséquent, Aiko est extrêmement mécontente de sa situation actuelle. Alors qu’elle était stupéfaite après avoir été convoquée dans un autre monde et arbitrairement forcée de se retrouver dans une situation fantastique, l’étudiant le plus charismatique de la classe a continué les discussions à sa place. Et puis, elle remarqua que ses précieux élèves se préparaient à une guerre.

Elle a beau essayer de les persuader, le « flux » décisionnel balaye facilement son opinion, elle ne peut pas arrêter ses élèves.

« C’est pourquoi, je vais au moins protéger mes élèves ! » se dit-elle déterminée

Mais avec ses capacités rares, on lui demande de se contenter d’être utile dans les tâches hors combat (amélioration et développement des terres agricoles). Bien qu’elle ait désespérément essayé de s’y opposer, ses élèves l’ont persuadé. Aiko elle-même est incapable de s’opposer au point de vue de la bonne personne au bon endroit.

Elle passe ainsi chaque jour à penser anxieusement aux élèves qui se battent hors de sa portée. Gardée par les chevaliers du temple de l’Église des Saints et les gardes impériaux du royaume de Herrlicht, elle visita tous les villages agricoles et les zones non développées. Lorsqu’elle retourna au palais royal après avoir fini ce travail, la mort d’un certain étudiant l’attendait.

« Après tout, ne suis-je pas en train de me laisser emporter après avoir pensé que j’étais un professeur idéal ? » se blâma encore et encore Aiko, regrettant de ne pas être à leurs côtés.

Aiko resta perplexe car elle n’était pas certaine que sa présence aurait pu changer cet évènement. Mais, cet incident choqua Hatayama Aiko en tant qu’enseignante, en d’autres termes, il l’a réveilla.

Suite à celà, l’église et le royaume souhaitaient encore que les élèves qui étaient incapables de se battre par peur écrasante de la « mort », reprennent leurs préparatifs de guerre.

« Comme si j’allais laisser cela se produire une seconde fois ! » pensa Aiko,

Elle se leva pour s’opposer à l’église et aux nobles du royaume.

« N’approchez pas mes élèves » cria-t-elle en utilisant sa position et ses capacités comme bouclier pour les coincer.

En conséquence, elle remporte la victoire. Aucun élève ne refusa de se battre. Mais leur cœur vacillaient à cause de la persistance d’Aiko. En outre, sa popularité déjà élevée continuait d’augmenter. Bien qu’elle ne veuille pas faire la guerre, le résultat ironique était que, au moins, certains des élèves encouragés semblaient courir dans tous les sens pour escorter Aiko dans ses fonctions.

« Vous n’avez pas besoin de vous battre » et « Parce que les chevaliers m’escortent, je vais m’en sortir », les persuada-t-elle d’abandonner,

Cependant des élèves se sont levés

« Nous protégerons Ai-chan » ont-ils dit, remplis à ras bord de détermination.

Après cela, elle fut submergée, après quoi ils l’ont suivie autour des terres agricoles.

« Mon opinion a été à nouveau balayée. Je suis une si mauvaise professeure… », pensa-t-elle à quatre pattes, de ces événements encore frais dans sa mémoire.

D’ailleurs, cette fois-ci, bien que les chevaliers dévoués qui escortaient Aiko aient aidé à persuader les élèves, la situation est devenue telle que les élèves ont obstinément refusé de reculer.

« Comme si nous pouvions laisser Ai-chan à quelqu’un que nous ne connaissons pas ! » disent-ils en tant que consensus de tous les étudiants, en opposition aux gardes du corps.

Le sentiment de crise des élèves n’était pas dirigé vers les voleurs et les bêtes démoniaques sur la route, mais tourné vers les chevaliers dévoués d’Aiko. Leur raison était que tous les membres étaient de beaux garçons. C’était la stratégie des échelons supérieurs pour lier le talent d’Aiko au royaume et à l’église. En bref, c’était un piège mielleux. L’un des étudiants qui le remarqua et informa les autres. Ainsi le mouvement « Protéger Ai-chan du corps des beaux hommes militaires » fut formé.

Cependant, les étudiants ont fait une erreur de calcul dans le scénario, le soi-disant chasseur devient la proie. Pour le prouver, les chevaliers ont donné aux étudiants des discours persuasifs.

« Il n’y a pas besoin de s’inquiéter. Je vais protéger Aiko. Je ne la laisserai pas avoir la moindre égratignure. Aiko est… … mon tout. » leur dit le commandant des chevaliers du temple et le garde du corps, David.

« Pour elle, j’abandonnerai même mes croyances. Je suis déterminé à tout dédié à Aiko. Ne vous sentez-vous pas soulagé sachant maintenant celà ? » leur dit le vice-commandant des chevaliers du temple, Chase.

« C’est mon destin de rencontrer Aiko-chan. Pensez-vous que j’allais laisser mourir la personne qui m’est destinée ? » leur dit le chevalier impérial, Chris.

« … … J’ai juré de risquer ma vie. Pas en tant que chevalier impérial. Mais, en tant qu’homme » leur dit le chevalier impérial, Jade.

« Que s’est-il passé ? Ils ont tous changé d’avis ! » pensaient les étudiants

Au début, ils pensaient que c’était Aiko qui tomberais dans ce piège mielleux.

« Nous ne remettrons pas Ai-chan à des personnes inconnues ! » crièrent-ils comme elle était leur mère, ils ne voulaient pas se séparer d’elle.

Il faut noter tout ce qui s’est passé entre Aiko et eux… … c’est une longue histoire donc elle sera omise. Mais l’oisiveté d’Aiko et son assiduité innée ont créé un fossé. Couplé à sa sincérité qui imprégnait son entourage, ils étaient déjà devenus les croyants d’Aiko  » quand ils l’ont remarqué « . Ce récit pourrait devenir une toute nouvelle histoire… … car beaucoup de choses se sont passées. Beaucoup de choses.

Cela dit, actuellement, les élèves sont divisés en trois groupes : le groupe des héros de Kouki, qui continue de s’entraîner à l’intérieur du « Grand Donjon d’Orcus », le groupe de ceux qui restent derrière, et le groupe des gardes du corps d’Aiko.

Après cela, deux mois après la visite des messagers de l’empire dans le royaume de Herrlicht, Aiko et son groupe qui ont amélioré et développé les terres agricoles utilisent actuellement la calèche pour aller développer une nouvelle terre agricole. Leur destination est la ville au bord du lac, Ul.

« Aiko, tu n’es pas fatiguée ? Il n’y a pas besoin de se retenir si tu es fatiguée, tu sais ? Nous allons immédiatement faire une pause, d’accord ? » s’inquiéta le commandant des gardes du corps d’Aiko, David, à l’intérieur de la grande et spacieuse voiture.

« Non, je vais bien. David-san. Ne venons-nous pas de faire une pause ? Je ne suis pas faible » lui répondit Aiko avec un sourire en coin.

« Fufu, le commandant n’arrête pas de s’inquiéter pour Aiko-san. Parce qu’il y a un moment, vous étiez épuisée après seulement une journée de voyage… … c’est pourquoi je suis aussi inquiet. Faites en sorte de ne pas forcer, d’accord ? »

« Je m’excuse pour le désagrément de cette fois-là. C’était la première fois que je voyageais en voiture… … mais, je vais vraiment bien parce que je m’y suis habitué. Merci beaucoup pour votre sollicitude. Chase-san » remercie-t-elle le vice-commandant des gardes du corps, Chase en rougissant de ses souvenirs.

Au début, par manque d’expérience de déplacement en voiture, Aiko affichait un comportement disgracieux. En direction d’Aiko qui rougit, Chase se couvre la bouche avec sa main en signe d’agonie, et essaye de prendre nonchalamment la main d’Aiko… …

« Gohonh ! » toussa l’écolière, Sonobe Yuka, assise en diagonale devant Aiko, le regard acéré.

Sa main s’arrête spontanément.

Yuka est membre du mouvement “Protéger Ai-chan des beaux hommes militaires ». Plusieurs membres sont également montés à bord car on ne sait pas ce qui pourrait se passer dans cette calèche avec seulement Aiko et de beaux hommes militaires.

D’ailleurs, il y a huit personnes à l’intérieur de la voiture. À l’extérieur, il y a des chevaliers de l’envergure d’un peloton, qui n’ont pas pu monter car seuls le commandant et le vice-commandant sont autorisés à monter dans la voiture. Ces beaux gars essayent également pour une raison ou une autre de monter dans la voiture. Ils semblent ne pas vouloir être séparés d’Aiko.

« Oya, oya, j’ai été dévisagée. Avoir accumulé tant de rides sur ton front, ne gâcherait-il pas ton joli visage ? » dit Chase avec un sourire de beau gosse.

C’est un sourire attirant qui pouvait faire rougir une femme ordinaire par inadvertance.

« Peh ! » fut la réaction de Yuka avec l’expression de quelqu’un qui voulait lui cracher dessus.

« Il n’y a pas seulement Ai-chan sensei. Appelles-tu aussi les autres femmes « jolies » ? Ai-chan-sensei, cette personne est sûrement un mauvais coureur de jupons. S’il vous plaît, faites attention. » fit une petite contre-mesure Yuka

Yuka pense qu’un gars capable de dire qu’une autre femme est « jolie » devant sa bien-aimée, n’est pas un bon gars. Ces gars réalisent également qu’ils sont utilisés par leurs employeurs pour piéger Aiko. Ils savent que leurs apparences sont capables de faire battre le cœur des femmes. Parce qu’elle sait cela, Yuka est irritée par Chase qui est capable de sourire avec audace.

« S-Sonobe-san. Ne sois pas si belliqueuse. Même si tu m’as finalement appelé « sensei », tu m’as quand même appelé « Ai-chan »… … ne veux tu pas simplement m’appeler Aiko-sensei ? »

« Ça ne suffira pas. Ai-chan-sensei est « Ai-chan », c’est pourquoi rien d’autre ne fera l’affaire à part Ai-chan-sensei. C’est le consensus des élèves. »

« Qu’est-ce que c’est que ça, je ne comprends pas. De plus, est-ce le point de vue de tous les étudiants ? Est-ce la façon dont cette génération pense ? Travaillez dur pour moi, c’est une épreuve pour ma dignité et ma fiabilité en tant qu’enseignant ! Je dois comprendre comment mes élèves pensent à tout prix ! »

Les interactions maladroites de Yuka et Chase, et l’atmosphère similaire sont devenues chaudes et floues lors du discours de Ai-chan-sensei en mode « Fight- ! ». C’est la raison pour laquelle Aiko est appelée « Ai-chan », mais elle ne l’a pas remarqué. Son chemin pour devenir un professeur digne de ce nom est long.

Malgré cela, pour la fiabilité, les élèves dépendent vraiment d’Aiko. Après tout, même d’un point de vue extérieur, elle est l’adulte le plus proche des élèves. Sa reconnaissance s’est renforcée lorsqu’elle s’est opposée aux dirigeants du royaume et de l’église. En particulier pour les élèves qui ont le cœur brisé à cause de la mort de Hajime, Aiko est alors devenue leur soutien mental.

En fait, même pour les élèves qui ont demandé à être les gardes d’Aiko, le désir d’être simplement près d’Aiko est quasiment leur raison d’être. Il faut noter que les membres des gardes du corps d’Ai-chan, autres que Sonobe Yuka, sont Sugawara Taeko, Miyazaki Nana, Aikawa Noboru, Kawahara Akira, Tamai Atsushi et Shimizu Yukitoshi, soit un total de sept étudiants.

De là, ils voyagent en calèche pendant quatre jours.

Ces beaux militaires ont essayé d’approcher Aiko, mais Aiko, qui pensait que leurs mots étaient pour le bien de leurs employeurs, n’y a pas prêté attention. Aiko ne remarque pas qu’ils sont vraiment tombés amoureux d’elle. Ajouté à celà, les élèves qui les regardent fixement lorsqu’ils essayent de la séduire. Une ambiance lourde s’installe souvent. Mais elle se transforme vite en une ambiance chaleureuse et floue à cause du discours et du comportement d’Aiko… … ce schéma se répétera jusqu’à ce que le groupe arrive enfin à la ville au bord du lac, Ul.

Après avoir récupéré de la fatigue du voyage, ils commencent à examiner les terres agricoles de la périphérie de Ul et élaborent leur plan d’amélioration. Bien qu’il y ait eu beaucoup de comédies d’amour où Aiko fut au centre… … c’est une longue histoire qui sera pour une autre fois.

Ils commencent à réformer les terres agricoles. Elle obtient récemment le titre de « Déesse de la bonne récolte » comme deuxième nom. Ce titre commença à se répandre dans la ville d’Ul, puis une fois de plus, un nouvel incident se produisit et pressa l’esprit d’Aiko.

Un de ses élèves a disparu.

Aiko travaille du mieux qu’elle peut et tout cela pour le bien de ses précieux élèves. En fin de compte, ce qui l’attend est une réunion marquante qui se termine par un résultat indésirable.

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