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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 118

Le sage et l'union Lorel

Tome 3 – Chapitre 118 – Le sage et l’union Lorel

Hmm…

 

J’ai regardé l’escorte lourdement armé de la femme qui m’a soudainement parlé. Trois Démons, hein. Je ne connais pas l’importance du pays d’où elle vient, mais elle a des Démons infiltrés dans son escorte personnel, c’est dangereux.

 

C’était comme dans le passé lorsque j’ai rencontré le général Démon Rona-san qui était déguisé. C’était probablement une illusion, mais il y avait trois Démons qui ont dû probablement utiliser le même sort et qui ont infiltré les Hyumains. Cela affecte juste la vision ou la perception dans sa globalité ? On ne m’a pas dit de quoi il s’agissait, mais peu importe, ceci ne marche pas sur moi. Cette fois aussi, je les vois parfaitement bien.

 

Leurs regards sont complètement différents, alors c’est évident. Je peux voir clairement la différence avec juste la couleur de peau.

 

“À cet endroit, il semble qu’il n’est pas nécessaire de se soucier du regard des autres et nous pourrons discuter tranquillement.” (Femme escortée)

 

“…” (Makoto)

 

Il semble que cette femme n’a pas remarqué qu’il y a des Démons dans son escorte. Si elle les utilise vraiment en connaissant leur identité, elle ne les aurait pas ramenés dans une place remplie de célébrité internationale. Cela serait comme s’asperger d’essence et d’aller à côté d’un feu de camp.

 

Il était difficile de deviner l’age d’une personne de par son apparence physique dans ce monde, donc pour cette femme qui m’a emmené en dehors de salle du bal, je ne pouvais pas dire quel age elle avait ou sa position sociale. Mais je peux deviner que c’est une personne importante par le comportement de son escorte.

 

La musique, qui était jouée dans la salle de bal, pouvait être légèrement entendue dans le petit salon où nous étions. Dans ce lieu où il n’y avait aucune autre personne que moi, la femme et également son escorte.

 

“Vous autres, absentez-vous pour le moment. Voyons voir, s’il y a des personnes qui essaient d’entrer ici, dites leur de ne pas le faire. Quelque chose du genre.” (Femme escortée)

 

Elle a pointé l’entrée en s’étant exprimée ainsi. Une peau d’une telle blancheur qu’on aurait pu croire qu’elle était malade, des jambes et des bras mince qui te ferait hésiter à les saisir par peur de les casser. Si quelqu’un me demandait quel genre de personne elle était, je répondrais sans doute : ‘une personne a l’air fragile’. Bizarrement, cela me fait sentir nostalgique. Pourtant, ceci devrait être ma première rencontre avec elle…

 

[Je suis désolé. Cela fait un moment que j’y pense, mais je n’arrive pas à me souvenir de vous. Nous sommes nous rencontrés avant ?] (Makoto)

 

Ceci serait un problème si des rumeurs circulaient comme quoi un professeur aurait créé un incident lors de cet événement, donc je voulais boucler ça dans un endroit tranquille et je l’ai suivi jusqu’à ici. Apparemment l’autre partie me connaît, mais je ne me souviens pas d’elle. Ceci ne me plaît pas. Se pourrait-il qu’elle me connaisse de par mon entreprise ? Ou est-ce qu’elle me connaît par l’intermédiaire d’une autre personne ? Eh bien, il semblerait qu’elle a des affaires à régler avec juste moi vu qu’elle a fait en sorte qu’il n’y ait que moi et elle.

 

“La communication écrite… Ah, non, c’est notre première rencontre Raidou-sama. J’étais intéressée par vous, c’est pourquoi je vous ai invité de cette manière. Quant à mon escorte exagérée, j’en suis vraiment désolé. Veuillez me pardonner pour cela, c’est quelque chose d’indépendant de ma volonté en raison de ma position.” (Femme escortée)

 

Une seule phrase. Avec juste ça, elle a été capable d’accepter la communication écrite, hein.

 

Les informations sur moi doivent circuler plus vite que je ne pensais, hein. Bon, c’est mieux que les personnes le sachent déjà que de devoir tout expliquer à chaque fois.

 

[Et donc, avant de s’enquérir de la raison de cet intérêt, pourriez-vous me dire d’abord votre position, ainsi que votre nom ? Ne pas connaître le nom de l’autre personne quand nous sommes en face à face, ceci ne semble pas correct.] (Makoto)

 

“… Vous avez raison. Je suis de l’union Lorel et une des personnes qui prenne soin de la prêtresse et kamuro (NTF : Au japon, les courtisanes de haut rang avaient souvent une ou deux apprenties, appelées kamuro, qui les accompagnaient et les servaient.), mon prénom est Sairitz. À propos de l’union Lorel, qu’est-ce que Raidou-sama connaît sur l’union Lorel ?” (Sairitz)

 

Prêtresse et kamu… ro ?

 

Si ma mémoire est bonne, dans Lorel, elles étaient des existences qui étaient extrêmement importantes. La prêtresse était le pivot et l’âme de la nation et la kamuro était l’une des apprenties. Quand j’entends kamuro, je pense à l’apprentie d’une prostituée. Mais il semble que la signification dans ce monde soit très différente. Ce ne sont pas des prostitués et des courtisanes, mais elle vise à être une prêtresse. L’impression est différente. Et, lorsque nous parlions de Lorel…

 

[En réalité, je n’y suis jamais allé et j’en connais que peu de choses, mais je sais que c’est l’union de trois régions qui forme une nation, la personne désignée en tant que prêtresse possède une grande puissance et elle est en mesure d’interagir avec les Esprits supérieurs. J’ai entendu dire que les paroles de la prêtresse ont un grand impact, même dans le domaine politique, alors c’est une position importante dans Lorel. En plus, en raison de sa relation proche avec les esprits, la religion sur les esprits est plus importante que celle sur la Déesse. De ce que j’ai appris… il y a une culture particulière et une certaine excellence dans l’artisanat.] (Makoto)

 

Il est notoirement connu que Lorel possédait plusieurs techniques uniques. Même si j’ai dit qu’ils admiraient les esprits, ça finit toujours par être affilié à la Déesse, donc je n’ai pas trop creusé profondément le sujet.

 

Leurs techniques sont hautement qualifiées et il y a ce symbole dénommé prêtresse. Mon impression est à ce niveau.

 

“… Je suis surprise. Vous connaissez votre sujet. Vous devez avoir bien étudié. Avez-vous pensé à ouvrir un commerce dans notre pays ?” (Sairitz)

 

[Bien sûr, si c’est autorisé, je le ferai le moment venu. Je viens juste de commencer mon affaire, mais j’ai de grands projets.] (Makoto)

 

“Je vois. À ce moment-là, veuillez me faire signe. Je vous aiderai.” (Sairitz)

 

[Merci beaucoup.] (Makoto)

 

La conversation s’est arrêtée. La femme a promis sa coopération avec un sourire. Et tout en gardant ce doux sourire, elle m’observait comme si elle me jaugeait. J’ai l’impression que je suis en cours d’évaluation. Elle ne semble pas se préoccuper de mon apparence physique, alors peut-être qu’elle cherche tout ce qu’elle pourrait apprendre. On dirait qu’elle surveille chaque parcelle de mon corps.

 

Union Lorel.

 

C’était une des quatre grandes puissances Hyumaines et un pays où je n’étais jamais allé. Différent des trois autres pays, l’union était un collectif de plusieurs puissances regroupées en un seul pays. Apparemment, les trois plus petits pays se sont rassemblés sous la bannière de la prêtresse. En ce qui concernait l’emplacement sur la carte, c’était au sud de la Grande Route Dorée que nous avons traversé et de l’autre côté de la haute chaîne de montagne où la mer intérieure du Japon serait. Pour faire plus simple, dans les abords de Shikoku.

 

L’autre aspects serait qu’ils semblaient posséder une culture assez singulière par rapport aux autres, mais c’était peut-être dû au fait qu’il était un pays assez fermé, il ne semblait pas y avoir beaucoup d’informations sur eux. C’était pourquoi la qualité de leur fabrication et l’existence de la prêtresse se distinguait encore plus.

 

Culture, prêtresse, technique d’artisanat hautement qualifié. Quand j’ai juste entendu ses particularités, j’ai eu l’impression que c’était similaire au Japon. Si la prêtresse est remplacée par quelque comme sa Majesté l’Empereur, alors ça collerait parfaitement.

 

Sans doute dû au regroupement des trois pays, c’était une nation où le peuple ne devait pas être uniforme. Leur peau et la couleur de leurs yeux avaient pas mal de variation et il semblait qu’il y avait peu de personnes qui se souciait de ce genre de chose. Cela fait mal qu’il n’y ait pas beaucoup d’informations sur eux, mais c’est un pays que j’aimerais visiter au moins une fois.

 

Oups. Le problème n’est pas celui-là pour l’instant. C’est à propos de pourquoi elle s’est intéressée à moi. C’est moi, ou mon magasin ? C’est la première chose qui m’est venue à l’esprit.

 

“Mais il y a vraiment des choses curieuses, hein.” (Sairitz)

 

La femme était celle qui a brisé le silence. Étant tout sourire, je n’arrivais pas à savoir à quoi elle pensait. Le pouvoir de lire dans les esprits, si elle devait s’activer dans ce genre de moment, ça serait très utile !

 

[Qu’est-ce que vous essayez de dire ?] (Makoto)

 

“Pour une curieuse raison, vous avez dit que vous n’avez jamais visité l’union Lorel et pourtant vous utilisez quelque chose qui nous n’enseignons qu’à de rares personnes.” (Sairitz)

 

Quelque chose ? Utiliser ? Lorel possède des techniques hautement qualifiées, donc peut-être que c’est relatif aux Anciens-Nains ?

 

“Sur le panneau de la compagnie Kuzunoha, il y avait deux caractères écrits, n’est-ce pas ?” (Sairitz)

 

Ah, oui… Je l’ai écrit en kanji sur le panneau en bois.

 

“C’est l’écriture des sages. Dans les quatre grandes puissances, non, dans le monde entier, il n’y a seulement que quelques personnes dans Lorel qui la connaissance. Je me demande pourquoi est-ce que c’est utilisé pour le nom de votre magasin ?” (Sairitz)

 

L’écriture du sage, tu dis ? C’est écrit avec des kanjis et c’est utilisé par nous les Japonais.

 

[C’est une des écritures que j’utilise depuis que je suis tout petit. C’est effectivement mystérieux. Je suis venu de la bordure du désert, mais peut-être que quelqu’un de votre pays est venu la-bas et qu’il a enseigné l’écriture ? Ce n’est pas comme si je connaissais tous les caractères en détails. C’est également la première fois que j’entends l’appellation ‘écriture du sage’.] (Makoto)

 

C’était probablement une personne venant de mon monde et qui leur a enseigné le kanji d’une étrange manière. Mais j’ai avec moi le plus grand joker de ce monde, le mot ‘Désert’. D’après mon expérience personnelle, la plupart des choses pouvaient être résolue en disant ça. En un sens, J’ai été sauvé par le désert.

 

“Une possibilité intéressante. Mais c’est impossible. Dans le cas des personnes qui connaissent l’écriture du sage et qui quittent le pays, les informations les concernant seront toutes enregistrées. De toutes les personnes qui l’ont fait par le passé, il n’y a pas une seule personne qui a voyagé dans le désert.” (Sairitz)

 

Quoi ?! C’est la première fois qu’on me rétorque. En plus, elle parle de registre ? Dans ce monde où la plupart des choses sont faites négligemment ? Je suis surpris qu’elle puisse être aussi confiante.

 

Alors, round 2.

 

[Mais, je sais comment l’écrire et le lire. Donc cela a dû être quelqu’un que vous ne connaissiez pas qui a dû mettre les pieds dans le désert. En tout état de cause, vous devriez privilégier les faits. Aussi longtemps que ce fait existe, quelqu’un doit m’avoir appris cette écriture.] (Makoto)

 

“Vrai. Je dois accepter cette vérité. Comme vous l’avez dit, il pourrait y avoir la possibilité que vous l’ayez apprisse dans le désert. Mais j’ai une idée en tête légèrement différente.” (Sairitz)

 

[Je vous écoute.] (Makoto)

 

“Comme son nom l’indique, l’écriture des sages est une langue que les sage possèdent. En d’autre mot, si la personne est intelligente et avisée, ça ne serait pas étrange pour cette personne de la connaître depuis le tout début.” (Sairitz)

 

Avisée qu’elle dit. Cela se pourrait-il qu’elle me voit en tant que sage ?

 

[Vous me surestimez. Je ne suis pas si intelligent pour qu’on puisse me voir en tant que personne sage. Je suis simplement une personne qui a ouvert un magasin.] (Makoto)

 

“… Raidou-sama. Notre mot ‘sage’ diffère du mot ‘sage’ qui est reconnu dans ce monde. Les sage possèdent des connaissances inconnues à ce monde, c’est pour cela qu’ils sont respectés. Nous les appelons juste ainsi.” (Sairitz)

 

Hein ? Cette tournure ne devient pas étrange ?

 

[Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.] (Makoto)

 

“Le sage est un terme utilisé pour les personnes qui ne sont pas de ce monde et qui viennent d’un pays lointain. Ce que je crois c’est que vous êtes également un sage-sama. Ai-je raison ?” (Sairitz)

 

Les sages viendraient d’un autre-monde, hein. Quelle appellation problématique s’est devenue. C’est un pays assez fermé, alors c’est pourquoi les détails de ceci n’ont été pas entièrement compris à travers des documents, donc on ne peut rien y faire.

 

Kanji est l’écriture du sage, hein. Et dire que je pensais utiliser le nom de magasin comme une occasion pour que les héros l’entendent par le bouche à oreille, alors je n’y avais pas trop réfléchi. Qui aurait cru que les kanjis existaient déjà dans ce monde, en outre, c’est une information classée secrète. J’estime que les kanjis forment une écriture particulière, mais je ne crois pas vraiment que ce soit une chose tellement importante qu’il faut classer l’information comme confidentielle. Parce que tu sais, c’est juste une écriture. Dans un monde où la plupart des personnes utilisent des nombres ou un langage commun, je ne pense pas qu’on devrait lui accorder tant de valeur.

 

De toute façon, il semblerait que je suis suspecté d’être un sage, hein. Aucune place pour le doute, c’est en fait vrai.

 

Qu’est-ce que je devrais faire ? L’admettre ou feindre l’ignorance. Aussi longtemps que je ne connaîtrais pas l’objectif de cette femme, j’ai l’impression que feindre l’ignorance est le meilleur des choix.

 

“Ahlalala, n’y a-t-il aucune réponse ? Il y aussi une autre raison de pourquoi je pense que vous êtes un sage-sama. C’est votre nom. Mon prénom est Sairitz et on l’écrit comme ceci.” (Sairitz)

 

J’ai gardé le silence (En réalité, j’étais juste entrain de réfléchir à comment la gérer) et sans me presser, la femme nommée Sairitz s’est levée, est allée à mes côtés et elle a placé un doigt sur la table.

 

Le doigt mince brillait et les kanjis ‘Sai’ (NTF : Don/Talent/etc.) et Ritz ont été tracés. Elle n’utilisait pas d’encre et j’ai juste suivi le tracé de son doigt. Oh, c’est écrit correctement. Plus que le Japon, c’est un prénom qui serait plus adapté pour la Chine.

 

“Et le nom de famille est ainsi. Ce n’est peut-être pas une explication utile, mais il est lu en tant que Kahara. Kahara Sairitz, c’est mon nom et mon prénom. Dans Lorel, les sages-sama sont grandement adorés et la plupart des gens ont des noms similaires. Le nom donné est en fait donné par le temple des esprits, nous l’appelons Yashiro. Il y a beaucoup de parents, qui ont donné naissance à un enfant, qui iront le voir pour demander un nom. Ils donnent plusieurs options qui correspondent à l’enfant et les parents décideront du nom, c’est ainsi qu’est la coutume.” (Sairitz)

 

Hana (NTF : Fleur/beauté/brillance/etc.) et ensuite hara (NTF : Plaine/champ/etc.), cela fait Kahara hein. Ainsi, même la manière pour le dire commence par le nom de famille. C’est pratiquement pareil qu’au Japon. C’est à un point que je pense que Aya Tadashi ne sonne pas comme celui d’une femme. Le kanji n’est pas très répandu, alors quand ils doivent inscrire leur nom, c’est probable qu’ils laissent cela à des personnes liées au temple. Elle a dit que le temple s’appelait Yashiro, donc c’était sans doute quelqu’un comme un prêtre Shintoïste qui utilisait ses connaissances pour donner les différents choix. Même s’ils servaient sous les ordres des esprits et de la Déesse, les prêtres de Lorel sont autorisés à étudier le kanji ? Elle a dit que seulement quelques personnes sont autorisées à l’étudier, ce n’est peut-être pas le cas, mais ceci devait être gênant.

 

“Il y également des fois où l’appellation du sage peut-être exactement utilisée comme le reste du monde. C’est la preuve à quel point ces personnes sont respectées et adorées par le peuple, mais le nom Raidou-sama ressemble aussi à celui des noms de mon pays, c’est ce que je pense.” (Sairitz)

 

 

“En plus, votre visage est également une particularité. On considère que les sages-sama sont des personnes qui sont nées différemment de nous autres les Hyumains. Les sages-sama prouvent que ce qui est à l’intérieur à plus de valeur que l’apparence physique. Il y a des documents qui indiquent que la plupart des sages-sama n’étaient pas des personnes d’une grande beauté.” (Sairitz)

 

Ohla, c’est vrai ? Il y a un pays qui a vraiment pris contact avec les personnes venues d’un autre monde. Est-ce la raison pour laquelle ils sont reclus sur eux-mêmes ? Être aussi cachottier, ce n’est pas du jeu Lorel. Est-ce que ces techniques sont également le résultat d’un concept de mon monde ? Et la partie où ils sont au courant pour les Humains qui venaient d’un autre monde, cela semblait assez convaincant. En mettant de côté la partie sur l’intérieur compte plus que l’extérieur.

 

[Est-ce bien de dire une telle chose à quelqu’un comme moi ? Vous savez, je ne suis pas un sage.] (Makoto)

 

“Avez-vous mal compris Raidou-sama ? Nous pensons que nous devons abriter les malheureux sages-sama qui reçoivent une discrimination injuste dans ce monde.” (Sairitz)

 

Mal compris, hein. D’après ce que j’ai entendu de la part de Root, les personnes, qui sont venues ici, l’ont principalement été à cause d’accidents. Apparemment, ils en savent pas mal.

 

“Tout va peut-être bien pour le moment, mais si à l’avenir vous avez des problèmes, venez à Lorel, nous vous accueillerons à bras ouvert. Nous avons l’intention de faire ce que nous pouvons faire pour vous aider.” (Sairitz)

 

[C’est un problème. Je ne vois pas de raison à ce que vous me protégiez. Si je trouve un sage-sama, je lui suggérai d’aller dans votre pays.] (Makoto)

 

“… Apparemment, vous n’avez pas confiance, hein. Entendu. Je vais laisser tomber ça pour l’instant. Après tout, ce n’est pas quelque chose où nous devrions nous presser.” (Sairitz)

 

Peut-être qu’elle a vu que mon attitude est devenue un peu plus rigide, ou peut-être qu’elle a pensé que le sujet ne progresserait pas. Elle a fait marche arrière plutôt rapidement.

 

“C’est vrai, Raidou-sama, il y a quelque chose où je voudrais avoir votre opinion. Est-ce bon ?” (Sairitz)

 

[Si vous pensez que je conviens.] (Makoto)

 

“Les deux héros que la Déesse-sama utilise. Nous pensons que ces deux personnes sont également des sages. Raidou-sama, que pensez vous des héros ?” (Sairitz)

 

[Une question qu’il m’est impossible de répondre. Je suis désolé, mais il semblerait que mon avis ne sera pas utile. Je ne les ai jamais rencontrés avant, donc il n’y a pas grand-chose que je puisse dire sur eux.] (Makoto)

 

Sans montrer de l’insatisfaction à ma réponse, Sairitz-san s’est silencieusement levée de son siège. Elle a fait une révérence, elle a fait demi-tour et s’est dirigée en direction de la porte d’entrée du petit salon.

 

“Je vois. Bien, bien.” (Sairitz)

 

Après avoir poussé un gros soupir de soulagement après que la tension s’est relâchée, Sairitz-san m’a de nouveau parlé. Sans attendre une réponse de ma part, elle a continué.

 

“L’inscription sur le magasin de Raidou-sama, c’est charmant. ‘Kuzu’ se réfère à la médecine et le ‘Ha’ pour les plantes. Est-ce que vos médicaments sont si efficaces ?” (Sairitz)

 

[C’est le nom d’une plante, rien à voir avec le caractère pour la médecine. Bien que ce n’est pas faux de dire que je veuille répandre la médecine.] (Makoto)

 

“… Comme je le pensais, vous connaissez bien l’écriture des sages. Avant de rentrer dans mon pays, j’aimerais vous rencontrer à nouveau. Dans ce cas, veuillez m’excusez.” (Sairitz)

 

Ah.

 

Comment l’expliquer ? J’ai l’impression que j’ai perdu d’une certaine manière.

 

Il n’y a aucune raison de rester dans le petit salon maintenant que je suis seul. Retournons dans la salle de bal.

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