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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 127

La rupture de Raidou

Tome 3 – Chapitre 127 – La rupture de Raidou

Sans passer par la salle d’attente, j’ai continué mon chemin pour aller à la pièce qui avait une affiche ‘bureau du directeur’.

J’ai été convoqué par le responsable de la branche de cette guilde marchande.

Quand une compagnie est établie, les personnes, qui ont probablement fait la demande, envoient un représentant ici.

Ou peut-être que c’est l’opposé ?

Je m’en fous un peu de tout ça. Spécialement en ce moment.

Le réceptionniste, qui m’a guidé ici, n’est pas rentré dans la pièce. Il a juste fait une révérence et m’a quitté.

Ce qu’il y avait à l’intérieur, c’était un bureau extravagant, un homme accoudé dessus qui semblait être le responsable et ce qui paraissait être deux gardes.

Peut-être est-ce le vice-directeur et non le directeur.

J’ai inconsciemment pensé de cette manière en raison de l’aura que dégageait les deux personnes.

Ceci faisait un moment que j’ai débarqué dans cette ville, mais jusqu’à maintenant, je n’avais jamais rencontré quelqu’un de la direction de la guilde marchande.

Même si j’avais des affaires à régler ici, c’était normalement accompli en allant juste à la réception.

Dans le cas où il y aura besoin d’une entrevue détaillée, c’était fait par quelqu’un de l’administration et c’était normalement toujours la même personne.

C’était la première fois que j’entrais dans les profondeurs de la guilde.

En m’ayant dit que le problème en est rendu à un point où je devais venir ici, mon humeur s’est assombrie.

“Ceci fait plaisir de vous voir ici, Raidou-dono. Veuillez vous asseoir.” (Directeur ?)

Le directeur, qui était assis, s’est levé de son siège et m’a pressé de prendre un siège.

C’était un petit espace en face du bureau pour parler plus tranquillement, j’ai attendu qu’il se soit assit avant de faire de même.

Il y avait deux sofas l’un en face de l’autre et une petite table entre les deux. Peu importe comment tu le regardes, c’était des objets luxueux.

Les objets en verre dans ce monde sont fabriqués dans un métal rare qui ressemblait à du cristal. Si j’utilisais le procédé de fabrication de mon monde, cela pourrait devenir un commerce.

Dans le désert, il y avait beaucoup d’objet en verre, donc je n’y avais pas réfléchi jusqu’à maintenant.

C’est peut-être parce que je n’ai pas beaucoup de lien avec ce genre de choses, mais cette pièce était extrêmement différente de mon espace de travail.

Dans ma salle de réception, il y avait un simple bureau et assez peu d’espace. Je n’ai rien fait comme y mettre des objets luxueux et étaler un tapis.

En repensant aux visiteurs, je devrais un peu reconsidérer ce point. Mais ce n’est pas le moment pour faire ça.

Mes pensées ont vagabondé vers un autre sujet plus tranquille pendant quelques instants.

[Il semblerait que j’ai été convoqué ici, mais je ne sais pas pourquoi. Quelle affaire avez-vous avec moi ?] (Makoto)

“… Ah, vous ne pouvez pas parler, n’est-ce pas. Ravi de vous rencontrer, je suis le directeur de la guilde marchande de la branche de Rotsgard.” (Directeur)

[Mon nom est Raidou. Je suis honoré de vous rencontrer.] (Makoto)

“Normalement, il est coutumier d’augmenter d’abord les services rendus à la guilde avant de nous rencontrer en face à face comme maintenant, mais cette fois-ci , j’ai rencontré un certain problème. Vraiment regrettable.” (Directeur)

Le directeur s’est frotté les tempes et m’a regardé.

Il pourrait avoir un léger dégoût avec mon apparence physique, mais je peux dire qu’il est plus contrarié par le problème que par moi.

Développer la compagnie sans accroc et atteindre une certain niveau qui m’aurait permis de rencontrer le directeur. Moi même, j’aurais préféré ce développement.

Au lieu de le presser de continuer, il serait mieux d’attendre qu’il reprenne la parole.

“La guilde a pris connaissance d’un certains nombres d’interrogations à votre sujet.” (Directeur)

[Interrogation ?] (Makoto)

“C’est vrai. Normalement, ce genre de requête diminue pendant la période du festival, mais le nombre de demande sur les renseignements généraux augmente.” (Directeur)

[Cela signifie qu’il y a moins de plainte.] (Makoto)

“… Oui. Mais dans le cas de la compagnie Kuzunoha, hormis Limia et Lorel, les autres pays ont soulevé plusieurs points étranges. Chacun d’entre eux ont plusieurs directeurs de compagnies qui ont demandé une investigation à propos de vos marchandises et de son moyen de circulation. Il y a même certain qui ont des propos assez dangereux.” (Directeur)

[Des propos dangereux ?] (Makoto)

C’est proche de la diffamation ça.

Encore plus de rides sont apparues sur le front du directeur, alors qu’il avait déjà un air grave avant de rentrer plus en détails dans ses explications.

L’interrompre pourrait ne pas être une bonne idée, mais je dois lui demander.

“Que la compagnie Kuzunoha aurait… la coopération de la race des Démons pour obtenir vos marchandises, ainsi que pour la circulation. En d’autres mots, ceci implique que vous êtes dans le camp des Démons, et pendant que vous trahissez tous les Hyumains, vous faites du profit. Cela fait partie de certain point de vue.” (Directeur)

C’est stupide.

Mais avec quelle logique tordue ont-ils pu arriver à cette conclusion ?

Quand j’ai entendu les propos de Rembrandt-san à propos de la race des Démons, je ne pensais pas que la méfiance serait aussi ancrée.

Ils se sont infiltrés dans la ville Académique, mais il n’y avait pas d’Hyumain qui les avaient remarqués. Du moins, pour autant que je sache. En comptant Rona-san, j’ai déjà pu rencontrer 3 Démons. J’ai fait attention aux alentours et il n’y a eu aucun changement. En d’autres mots, cette discussion à propos de ma soi-disant relation avec la race des Démons est une pure invention.

Pour du harcèlement, la barre est placée haute.

[Impensable. Nous n’utilisons que des méthodes respectables dans mon commerce, et je vous promets que je n’ai reçu aucune assistance de la race des Démons dans les affaires de ma compagnie.] (Makoto)

“C’est sans doute vrai.” (Directeur)

[Hein ?] (Makoto)

J’ai réagi aux mots que le directeur a murmuré. Qu’est-ce ça signifie ?

“En ce qui concerne les produits, nous avons reçu la confirmation de l’église sur la qualité des matériaux et sur la sûreté du procédé de fabrication. Quand nous l’avons reporté aux entreprises qui avaient cette opinion, elles se sont rétractées.” (Directeur)

Il a continué en ayant ignoré mon interrogation.

L’église.

C’est ce qui a dû se passer il y a peu, hein.

Dans ce cas, l’évêque avec la voix sexy a correctement tenu sa promesse.

Je ne me fie pas aux Hyumains qui sont liés à la Déesse, mais je suis un peu soulagé de savoir que cette promesse a été respectée.

“Le problème est le transport des marchandises. Nous avons enquêté dessus, des chariots qui pourraient être considérés comme affiliés à la compagnie Kuzunoha ou quelque chose de similaire, nous avons été incapables de confirmer l’une de ses possibilités.” (Directeur)

[Pour les matières premières, nous nous approvisionnons principalement dans le marché de la guilde.] (Makoto)

“C’est clairement un mensonge. Entre les produits qui ont été vendus et les matières premières qui ont été achetées par la compagnie Kuzunoha pendant deux mois, même en faisant un calcul grossier, les nombres ne correspondent clairement pas. Il est évident que vous utilisez une autre méthode pour combler l’écart.” (Directeur)

Deux mois ?

Ils menaient une enquête depuis aussi longtemps ?

Je n’ai reçu aucun rapport à ce propos.

[C’est la première fois que j’entends parler d’une telle investigation.] (Makoto)

“Aussi longtemps qu’il y a des avis que ne pouvons ignorer, la guilde se doit d’agir. Et si c’est à propos d’une affaire qui est liée à la guilde, cela va de soi. Les plaintes envers votre compagnie ont augmenté récemment, mais il y a même eu certaines personnes qui ont ramené des documents détaillés depuis quelque temps.” (Directeur)

[Si vous l’aviez demandé, j’aurais coopéré.] (Makoto)

“Coopéré ? Vous ? Si vous me dites de vous croire sur parole, c’est une manière naïve de penser. Il semble que vous êtes soucieux à l’idée de cette enquête, mais il y a de nombreuses façons de mener des investigations sans alerter la cible. Bouger secrètement des personnes dans l’ombre n’est pas le seule façon de mener une investigation.” (Directeur)

[Il est naïf de prouver son innocence s’il y a des suspicions ?] (Makoto)

“… Je vois, provoquer l’empathie, hein. Votre manière de penser est celle d’un enfant. Vous ne savez pas comment mener une compagnie. Je suis surpris que vous vous trouviez dans une position où vous commandiez des personnes. Vraiment surprenant. Ce n’est pas une bonne chose de laisser le résultat de votre entreprise à une gestion inconsidérée.” (Directeur)

Pourquoi en dit-il autant ?

Ai-je dit quelque chose de mal ?

Cela me met en colère vu qu’il est clair qu’il me regarde de haut.

[Qu’est-ce que vous voulez que je fasse ?] (Makoto)

“Ai-je touché un point sensible ? Bon, d’accord. Entrons dans le vif du sujet. Je veux entendre la méthode qui permet d’acheminer vos produits ou vos matières premières. Et je veux que vous me promettiez, que ce soit une magie ou une technique, que vous en partageriez la connaissance.” (Directeur)

Ne te fous pas de moi…

Si tu me parles d’immaturité, lequel de nous deux est le plus gamin en ce moment ?

Tu veux que je te parle de ma méthode pour acheminer les biens et que je te la donne ?

[N’y a-t-il pas moyen de résoudre ça avec de l’argent ?] (Makoto)

Je vais au moins essayer de demander.

“Avec de l’argent, hein. Bien sûr que c’est possible. Il n’y a rien dont l’argent ne puisse résoudre entre marchands. Mais même si le partage de la méthode de circulation n’est pas négociable, vous devriez au moins me l’expliquer. Et je ne crois pas que vous ayez assez d’argent pour vous y soustraire.” (Directeur)

[Malheureusement, ce n’est pas une méthode dont je souhaiterais le partage, donc je préfère payer.] (Makoto)

“… Vous avez dit que votre nom était Raidou, n’est-ce pas ? Vous n’êtes vraiment pas apte pour être un marchand.” (Directeur)

“…” (Makoto)

En ayant entendu le ton amusé du directeur, j’ai dégluti par réflexe.

Le choix de ses mots ont fait un virage à 180 degrés et je voyais bien qu’il se moquait de moi.

“À l’instant, vous m’avez avoué assez facilement l’existence d’une autre méthode pour faire circuler vos biens, une chose que vous avez essayé de cacher au début. En d’autre mots, vous avez entamé la confiance que vous avez essayé d’établir. Aucun gain, que des pertes. Vous m’avez demandé si cela est possible de résoudre ce problème avec de l’argent, pas vrai ? C’était également une très mauvaise décision. Écoutez-moi bien, vous ne connaissez pas l’ampleur des compagnies qui sont venues apporter les demandes d’enquêtes sur votre commerce, n’est-ce pas ? Je vous l’ai indiqué pourtant: ‘Il y avait des directeurs de compagnie liés à des pays’. Cela signifie qu’ils ont un poids considérable. Comparé à la compagnie Kuzunoha, l’envergure est différente. Et contre ces gens, vous voulez résoudre tout ceci avec juste de l’argent ? Une compagnie qui n’est même pas ouverte depuis un an ? C’est comme déclarer que vous avez plus d’argent qu’une compagnie de votre calibre devrait posséder. Vous manquez encore d’expérience pour lire entre les lignes et agir en conséquence. Êtes-vous le représentant de l’incompétence ? Vous êtes juste un mioche qui a de la chance.” (Directeur)

 

Je suis restée sans voix.

Qu’on me dise tout ça, j’étais simplement surpris.

L’atmosphère a aussi complètement changé. Le directeur, qui était devenu violent et directe, avait un sourire déplaisant sur son visage.

“Avez-vous des absences ? Même moi, je peux au moins agir dans une certain mesure. Est-ce que vous pensez que je pourrais de survivre dans le monde des affaires si j’étais incapable de faire cela ? Sérieusement, je m’interrogeais sur quel genre de personne vous êtes. Rembrandt, lui-même, est venu vous protéger, mais vous voila. Quel malappris. Il y a une limite à la déception. À propos la méthode pour transporter les marchandises, c’est bon de juste me le dire ici, alors expliquer le rapidement. Après ça, je vous demanderais de partir.” (Directeur)

Expliquer… et partir ?

Cet homme… À quel point peut-il être irritant ?

 

Je sens que je ne suis pas loin du point de rupture.

“Vous ne pouvez pas contenir votre colère et votre soif de sang ? Vous être encore plus immature que votre apparence physique ne laisserait croire, hein. En ce qui concerne les visages, je ne peux pas dire grand-chose. Malgré tout, je sais quand agir avant les autres et je le fais. Vous êtes incroyablement laid, donc je préfère vous avertir. Vous avez un visage encore plus moche que le mien, alors c’est mieux pour vous d’apprendre à rester serein en façade.” (Directeur)

Même le directeur, à l’aspect exotique, parlait de mon apparence disgracieuse.

Quelle partie de toi est laide ? Tu as l’air plutôt cool.

Cette peau légèrement foncée semble attrayante.

Maintenant que j’y réfléchis, j’ai l’impression d’avoir déjà vu une personne similaire avant.

Où était-ce ?

Non, ce n’est pas le moment pour penser à ça.

Expliquer et partir. En plus, je peux juste le dire ici ?

Il n’a clairement pas confiance en moi, donc c’est juste étrange.

[Que voulez-vous dire par partir ?] (Makoto)

“Exactement ce que ceci signifie. Vous et la compagnie Kuzunoha avez déjà renoncé. Alors il n’y a plus besoin de traiter avec vous.” (Directeur)

[Renoncé ?] (Makoto)

“C’est déjà réglé, alors vous n’avez qu’à expliquer. Avec cela, ça s’arrêtera.”

[Pourrais-je entendre la raison ?] (Makoto)

“… Vous savez déjà, vous allez payer, non ? Alors, je vais juste retirer les commentaires des tierces parties.” (Directeur)

[Excusez moi, mais combien devrais-je payer ?] (Makoto)

“Il n’y a rien besoin de préparer pour l’instant.” (Directeur)

[Rien besoin ?] (Makoto)

“Oui. Si vous donnez 90% de vos bénéfices, il n’y a aura plus personnes pour se plaindre. La compagnie Kuzunoha ne deviendra pas une menace à l’avenir. Plus il y aura de gains, plus ils en profiteront, donc il n’y aura pas besoin de se soucier de la méthode utiliser pour faire circuler les marchandises. Même si ceci implique la race des Démons. Il n’y aura plus beaucoup de critique si les personnes, qui ont eu des questions sur votre méthode, obtiennent de l’argent chaque mois. Vous voyez ? Il n’y a rien à perdre.” (Directeur)

[90% de nos bénéfices ?!] (Makoto)

De surcroît, tous les mois ?!

Pendant combien de temps est-ce que cela va se poursuivre ?

“Vous allez payer, n’est-ce pas ? De l’argent pour les personnes qui veulent apprendre votre procédé de circulation. Pour de multiples compagnies qui gagnent 10 fois plus que vous, peut-être même une centaine de fois. Il n’est pas possible que ces types puissent demander une quantité spécifique d’argent. Aussi longtemps qu’ils ne savent combien vous avez.” (Directeur)

[Combien ceci durerait-il ?] (Makoto)

“Jusqu’à la disparation de la compagnie Kuzunoha.” (Directeur)

[C’est clairement une demande déraisonnable. Est-ce que la guilde y a consenti ?] (Makoto)

“Déraisonnable, vous dites ? Vous êtes celui qui a proposé de payer en argent, pas vrai ? Laissez-moi vous dire clairement une chose, ce que je vais vous dire est juste une supposition de ma part et cela n’a peut-être pas tourné exactement comme de cette manière, mais je ne crois pas que ceci soit trop éloigné de ce qui est arrivé. En plus, à propos du consentement de la guilde ? C’est exact. En tout premier lieu, il n’y a pas besoin de consentement, c’est juste une négociation entre marchand. Quand le faible attire l’attention du fort, il se fait écraser. La guilde ne fait pas dans la garde d’enfant. Nous aidons pour les affaires, mais la manière d’agir est une chose que vous devriez apprendre.” (Directeur)

[Dans ce cas, les personnes qui veulent ouvrir un nouveau commerce ne réussiront pas.] (Makoto)

“Tellement naïf. Ah oui, votre entreprise embauche pas mal de Demi-Humains, non ? Dans ce cas, pourquoi ne pas en faire votre clientèle exclusive et arrêtez de commercer dans les villes Hyumaines ? En considérant votre argumentaire, j’ai l’impression que vous seriez plus apte pour ça.” (Directeur)

Le directeur m’a réprimandé avec des yeux pleins de pitié.

Ce n’était pas du sarcasme, il le pensait vraiment.

[Vous n’avez pas répondu à ma question.] (Makoto)

“Comme je l’ai dit, les personnes qui visent à devenir marchands devraient passer de la pommade aux compagnies existantes, apprendre les bases, créer des connexions, être approuvées par les directeurs d’autres compagnies et éventuellement, ouvrir un magasin par la suite. J’ai de l’argent, je peux faire du commerce. Ce n’est pas ainsi que ça fonctionne, même les aventuriers, qui gagnent un peu d’argent, peuvent devenir marchand s’ils étudient un peu. Ce type de personnes, ils sont normalement broyés instantanément. Le véritable atout des aventuriers est d’être seulement utilisé dans les bagarres. Comme vous l’avez dit, la guilde punit les actes injustes. Une fois, je me suis disputé avec un autre marchand, j’ai fait mon possible pour le mettre hors-course et je l’ai laissé à moitié-mort. Sans le moindre doute, tuer serait une injustice. C’est ainsi qu’est le monde des marchands.” (Directeur)

[Vous…] (Makoto)

“J’en ai entendu parler de Rembrandt, il semblerait que vous avez de puissants serviteurs et que vous-même êtes raisonnablement fort, pas vrai ? Vous comprenez la raison pour laquelle vous ne pouvez pas utiliser cette puissance dans votre commerce, non ? Si vous deviez les utiliser dans cette situation… Ceci appuierait la thèse où la compagnie Kuzunoha serait l’alliée de la race des Démons.” (Directeur)

[C’est stupide.] (Makoto)

“Non, vous êtes juste naïf. Retourner à Tsige, Raidou. Il est trop tôt pour vous de venir dans cette ville. Refaites vos études dans la ville de votre patron. À propos de l’argent, je placerai discrètement une partie dans Rotsgard, alors soyez soulagé.” (Directeur)

[Pour quelqu’un m’ayant ridiculisé, vous vous êtes montré plutôt coopératif.] (Makoto)

“… Ri—diculisé ? Le type qui s’est pris d’affection pour vous, pour moi, il est un sérieux adversaire que j’ai dû mal à gérer. Il serait avantageux pour moi qu’il se méprenne et qu’il m’en doit une.” (Directeur)

[Rembrandt-san] (Makoto)

“J’ai entendu dire qu’il était devenu docile, mais d’imaginer qu’il s’est même créé un tel talon d’Achille. Quelle plaisanterie. Mais pour vous, cela devait être votre jour de chance. À présent, bien qu’il soit plus que probable que ce soit de la téléportation ou quelque chose du même acabit, dites-moi simplement votre méthode pour faire circuler vos marchandises.” (Directeur)

Chanceux.

Prétend-il qu’en mettant Rembrandt-san dans une position désavantageuse, j’ai gagné une protection ?

J’ai dit au directeur que j’utilisais la téléportation pour faire aller et venir les produits. J’ai caché la partie sur Asora et j’ai expliqué que j’avais un serviteur qui possédait suffisamment de mana pour utiliser la téléportation à longue portée.

Et après ça, j’ai été relâché.

J’ai été complètement abattu après avoir entendu les réflexions des autres compagnies de la part du directeur de la branche de cette guilde.

C’est préoccupant pour Rembrandt-san.

J’ai dit un autre mensonge dans le but de cacher Asora.

Je…

Qu’est-ce que je devrais faire au juste ?

Je… dois consulter tout le monde.

Tout en étant conscient que je suis acculé, j’ai marché lentement tout le chemin du retour.

Actuellement, je n’ai aucune marge de manœuvre pour me préoccuper du tournoi en équipe de mes étudiants.

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