Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 221.2

Ah…

“J’ai bien mémorisé où se trouve cet endroit. Toi, tes esclaves et ta famille vivant dans le monde des Humains ; Un jour, je vais—” (Samal)

“Je ne laisserais certainement pas t’échapper. C’est ce que j’avais décidé.” (Makoto)

“?!” (Samal)

Sans surprise, le manteau rouge était vraiment rapide et utile.

J’ai pu traverser la montagne de cadavre et arriver à une distance suffisamment proche pour toucher Samal.

Il n’y avait pas besoin de le cacher, alors j’ai activé le corps de mana sans le rendre invisible et je lui ai porté un poing pour lui rappeler mon bon souvenir.

Réaction normale au toucher.

Ce n’était pas un point vital, alors la récupération était rapide, mais ce n’était pas comme s’il n’y avait eu aucun dommage.

“Cette puissance… Tu m’appelles monstre, mais c’est toi le monstre.” (Samal)

“Tu te considères toi-même comme une Divinité, tu ne devrais pas t’enfuir comme un simple mortel.” (Makoto)

“Ne me parle plus avec cette expression désagréable sur ton visage, monstre.” (Samal)

“Est-ce que je souriais encore ? On dirait que c’est effectivement devenu une habitude. Désolé pour ça. Hmm ?” (Makoto)

Ma sensation du toucher sur Samal s’estompait rapidement.

Alors il prévoyait vraiment de s’échapper.

Je croyais qu’il utiliserait cet étrange espace pour s’échapper, mais lorsque j’y réfléchissais, cela sonnait étrange.

Il était une porte pouvant s’ouvrir sur d’autres lieux et pour Samal lui-même, entrer par ces portes serait contraire à ces fonctions.

Après tout, Samal lui-même était une porte.

La porte entière devenait lentement transparente.

Dans le même temps, la présence de Samal se faisait moins présente.

“Pas seulement moi, tu as même planifié de mettre la main sur ma famille et mes camarades ; Crois-tu vraiment que je vais te laisser t’échapper de cet endroit ?” (Makoto)

Si le croit, c’est un incroyable idiot.

J’ai déjà emporté la vie de nombreuses personnes.

Je me suis prêt aux conséquences que ça pourrait apporter à moi et à mes proches.

Mais je ne fermerais pas les yeux et attendre que ça se produise.

Évidemment, cet instant entre dans cette catégorie.

“Même si tu ne m’autorises pas à partir, il n’y a rien que tu ne puisses faire. Dans l’espace où je vis, le temps et l’espace n’existent pas, crois-tu vraiment être en mesure de m’attraper ? Tu aurais au moins besoin d’avoir une connaissance approfondie dans la manipulation de l’espace. Tu n’avais pas ce qu’il fallait pour m’appeler de toute façon. Adieu.” (Samal)

Samal, qui était déjà pratiquement transparent, avait déclaré ses adieux.

Le corps de mana ne pouvait plus retenir Samal.

Je vais donc utiliser Sakai.

Samal ne pourra plus lancer d’attaques.

Ou plutôt, il était déjà pratiquement parti.

Je cherchais les traces de l’existence Samal… Et je l’ai trouvé.

“Je te l’ai dit… Je ne laisserais pas t’échapper.” (Makoto)

J’ai trouvé un espace s’ouvrant sur le lieu où se trouvait Samal.

Je pouvais constater qu’il semblait se régénérer comme si on lui cousait une blessure.

Il était revenu à son précédent état et l’espace semblait déjà se refermer.

J’ai invoqué les bras que j’avais songé utiliser pour bloquer l’attaque de Root.

Tout comme je l’avais imaginé, les deux bras sont apparus à mes côtés.

Je n’avais pas vraiment demandé à quelqu’un d’en faire la maintenance, mais ils dégageaient un éclat brillant sans défaut.

“Waka, il est déjà…” (Tomoe)

“Je ne pense pas qu’il soit trop tard. C’est pourquoi, restez ici et observez.” (Makoto)

Tomoe a fait remarqué que Samal était déjà parti.

Mais je n’y croyais pas du tout.

‘C’est toujours bon’, moi et mon pouvoir voyaient les choses ainsi.

J’ai avancé les bras d’argent dans l’entaille de cet espace.

Les bras, qui se sont engouffrés dans la faille, luttaient contre cet espace qui essayait de retrouver sa forme originale et ils tremblaient tout en essayant de continuer de le déchirer par la force.

“Se pourrait-il que tu aies trouvé la trace par où il s’est échappé…” (Tomoe)

“Et tu vas aller le pourchasser ?” (Shiki)

Tomoe et Shiki ont prédit mon prochain mouvement à partir de la scène qu’ils observaient.

Faux.

Je n’ai pas l’intention de le pourchasser où qu’il aille.

Je vais simplement le ramener ici à Asora.

L’espace ouvert s’est lentement déchiré.

“…À présent, vous pouvez le faire, non ? Écraser toutes types d’attaques ; c’est ce qui j’ai imaginé en vous fabriquant. Si vous êtes vraiment ma création, vous devriez être capable de déchirer cet espace clos.” (Makoto)

Comme s’ils étaient influencés par ma volonté, les bras se sont grandement renforcés et cet espace s’est fissuré d’une manière non naturelle.

La puissance des bras d’argents était bien plus fort que le pouvoir de rétablissement de cet espace.

“C’est ouvert.” (Shiki)

Shiki a exprimé sa stupéfaction.

À travers la faille, je pouvais voir un espace marbré similaire à celui de la porte Samal.

Est-ce que l’espace entre les mondes ressemble à ça ?

Si les paroles de Samal étaient vraies, les Humains tombant ici seraient transportés dans un autre monde ou mourraient.

Je n’ai pas vu un tel lieu même quand j’ai utilisé les portes de brumes pour aller et venir entre Asora et le monde de la Déesse.

“…Waka, vas-tu le pourchasser et… Revenir sur tes terres ? S i tu le soumets à ta volonté, c’est possible.” (Tomoe)

“…Soumettre Samal à ma volonté ? Sûrement pas. Je ne veux pas respirer le même air que lui. En plus, si je fais ainsi, cela voudrait que je devrais faire un pacte comme la fois avec Tomoe et les autres, pas vrai ? Même si j’établissais une différence de traitement… Je refuse de faire quelque chose comme ça.” (Makoto)

“Mais… Tu as la nostalgie de ton pays natal, n’est-ce pas ?” (Tomoe)

“Qu’est-ce qui ne va pas, Tomoe ? Il est vrai que je souhaite revenir au Japon. Cependant… Je vous ai maintenant. Même si j’étais capable de rentrer au Japon, si je ne peux revenir à Asora, il n’y a pas lieu à réfléchir. Cela serait irritant d’être à nouveau mêlé aux affaires de la Blatte et il y a montagne de chose que je souhaite lui dire.” (Makoto)

“Waka…” (Tomoe)

“Après avoir réglé toutes mes affaires avec la Déesse et que toutes les conditions soient requises, je retournerai au Japon. Toutefois, je serais toujours avec vous autres. Au moins aussi longtemps que vous souhaitez ma compagnie, je serais toujours là. Même si c’est possible en ce moment, c’est la raison pour laquelle je ne profiterais pas de cette occasion.” (Makoto)

“…”

Bien que j’eus l’impression d’avoir dit quelque chose de plutôt cool, les deux n’ont pas réagi et ça m’a un peu embarrassé.

C’est comme si Tomoe m’avait balancé un seau d’eau froide ; Elle l’a fait il y a quelque temps et elle l’a refait à nouveau.

Même si Samal m’avait mis hors de moi, j’étais incapable de revenir à la sensation agréable d’avant.

Je suis simplement en rogne à présent.

Quel gâchis.

Je vais écraser, détruire et tuer Samal.

Grâce à cet objectif clair, j’ai pu balayer toutes pensées à l’intérieur de mon esprit. Cet état d’esprit simple et enivrant est maintenant parti au loin.

Comment le dire, je suis plus proche de mon état normal.

… Hein ?

Ou plutôt, pourquoi est-ce que j’ai voulu anéantir Samal ?

Hmm… Exact.

Il a insulté ma mère et mon père.

C’était la raison de mon énervement.

En avoir oublié la raison. Qu’est-ce qui ne va pas avec moi ?

“… Eh bien, que vas-tu faire à présent ?” (Shiki)

Shiki.

Le premier a brisé cette atmosphère glaciale a été Shiki.

“Simple. Je vais traîner Samal ici.” (Makoto)

Ce que je vais faire ne change pas beaucoup d’avant.

“C-Comment ?!” (Shiki)

J’ai enfoncé mon bras dans l’espace marbré qui s’était ouvert en grand.

“W-Waka ! Qu’est-ce que tu fais ?!” (Tomoe)

“Mettre ton bras dans la faille ?!” (Shiki)

Est-ce quelque chose dont on devrait être surpris ?

C’était un opposant sur lequel j’ai tiré plusieurs flèches il y a peu et j’ai estimé que c’était ainsi que je devrais faire.

Vous voyez ?

“Le voilà. Comme je le pensais, je peux le faire ?” (Makoto)

“‘Là’, tu dis ?” (Shiki)

“Waka, l’endroit où tu as plongé ton bras… C’est carrément le domaine de ton adversaire et en plus c’est un domaine inconnu.” (Tomoe)

“Quand il a dit qu’il ne laisserait pas Samal s’échapper, il voulait dire…” (Shiki)

Trouvé.

Une fission.

J’ai seulement envoyé mon bras droit, mais mon bras gauche a également suivi et j’ai attrapé la poignée de la porte avec les deux mains.

Et ensuite, je vais le tirer de toutes mes forces pour le traîner ici.

“Ne te l’ai-je pas dit ?!!!” (Makoto)

Une porte en lambeaux est sortie de l’espace marbré et peut-être parce que je l’ai fait en ayant utilisé la force brute, au moment où je l’ai lâché, elle s’est envolée dans le ciel.

“Quoi !!! Une main est soudainement apparue… Qu’est-ce qui se passe ? Toi… Misumi Makoto !!!” (Samal)

“Bon retour, Samal.” (Makoto)

La faille, qui n’était plus nécessaire, s’est refermée en un instant.

En d’autres mots, les bras d’argents étaient à nouveau disponibles.

Des bras pouvant agir sur ma volonté.

Samal se baladait dans les cieux, alors ni moi et ni mon corps pouvions aller aussi loin.

Mais avec ces bras d’argent… C’est possible.

“Espèce d’enfoiré !!!” (Samal)

La porte Samal s’est ouverte en grand.

De là, plusieurs lumières denses me rappelant le brasier de Root en sont sorties.

Même dans cet piètre état, il sortait quand même une imitation, en outre, même à la fin, ça restait toujours une version inférieure.

J’ai encaissé toutes ces lumières avec mon corps de mana.

Non seulement je n’ai pas été blessé, mais il n’y avait même pas besoin de reformer mon corps de mana.

“La puissance était à son maximum et c’était pratiquement sans incantation !!! Toutes ces attaques devraient être une première pour toi ; Elles étaient toutes des techniques et des sorts d’un monde qui n’est plus !!!” (Samal)

“Je suis déjà habitué à ce type de sort presque immédiat et je les ai déjà tous expérimenté par le passé. Non seulement tu es un Youkai, mais tu es même un imitateur.” (Makoto)

“Traîner quelqu’un qui s’est déjà transféré dans une autre dimension. C’est juste… Impossible !!! IMPOSSIBLE !!!” (Samal)

“Bien bien, juste te frapper serait pitoyable, donc… Une bonne vieille droite avec les bras d’argents… Non, je vais nommer ça : [La frénésie Argentée ].” (Makoto)

“La logique de Waka pour nommer les choses est juste…” (Tomoe)

“Waka-sama, j’estime que cela serait moins pitoyable si tu te contentais de le frapper.” (Shiki)

“La Frénésie Argentée est le meilleur choix. Allez ! Frappe-le ! Et tant qu’on y est, faites-lui cracher ses tripes !” (Makoto)

Même en essayant de me remotiver, je suis toujours incapable de revenir à cet état d’esprit si plaisant avant que Tomoe ne me refroidisse.

Les bras se sont envolés dans les airs pour pourchasser Samal.

Et ensuite, au moment où ils ont atteint leur cible, ils ont immédiatement commencé à le frapper.

Sans me soucier des points vitaux, je l’ai simplement frappé de tout mon cœur.

Avec l’efficacité de sa régénération, la fin n’est sans doute pas pour tout de suite.

Eh bien, je vais accélérer le processus.

“Tant que j’y suis… Voilà.” (Makoto)

“…Qu’y a-t-il cette fois ?” (Shiki)

Shiki, qui pour une obscure raison s’est reculé, m’a posé cette question.

Tomoe regardait le ciel avec une expression figée.

“Hmm, on est pas rendu si je dois le battre à mort, alors j’ai songé à tirer des flèches par en dessous.” (Makoto)

“… Ce que tu as dans ta main est un Draupnir, pas vrai ? Celui qui allait être disposé et t’a été donné par Ema et le Doyen.” (Shiki)

“Ouais. Tu sais, je n’ai pas encore assisté à la puissance d’un [Brid] avec un anneau ajouté par-dessus de mes propres yeux. N’est-ce pas une bonne opportunité ?” (Makoto)

“C’est vrai. Après tout, il semble être un adversaire solide.” (Shiki)

“Exact. Shiki, rejoins Ema et ramène plus d’anneau dont nous prévoyons l’élimination.” (Makoto)

“O-Oui.” (Shiki)

Pour le moment, j’ai placé dix anneaux que j’avais en ma disposition sur le dessus de ma paume.

J’ai déployé le même nombre de [Brid] autour de moi, ce qui a grandement amélioré leur puissance et leur précision.

C’est un sort pitoyable dont tout le monde dit qu’il n’est rien de plus qu’un [Brid], mais je l’apprécie.

Au début, ils apparaissaient sous forme sphérique et comme s’ils étaient tirés par l’arrière, ils prenaient lentement la forme de flèches.

Et quand les [Brids] devenaient suffisamment nettes, ils reprenaient leur forme de sphère.

Ouais.

Ayant vérifié qu’ils étaient bien en mode vieille, j’ai ciblé Samal avec tous les [Brids] en ayant placé un anneau dans chacun d’eux.

“Tout d’abord, allons-y en n’y mettant qu’un seul à l’intérieur. Prêt… Feu !” (Makoto)

Tous les [Brids] ont été tirés.

Elles ont percuté Samal, qui était toujours boxé, et ont explosé.

Oooh.

La puissance a considérablement augmenté.

Ah, au passage, même quand cela s’est produit, les bras continuaient toujours de le frapper sans répit.

Il maintenait toujours sa forme, alors sa robustesse et son pouvoir de récupération est vraiment quelque chose.

“Waka-sama, je les ai apportés.” (Shiki)

Ce que Shiki portait dans ses bras était un grand et élégant écrin.

Il était complètement rempli d’anneau rouge vif.

“Les projectiles sont tous en place.” (Makoto)

Tout en ayant dit ça, j’ai continué à mitrailler Samal de [Brids] sans lui laisser de répit…

“Maintenant, essayons d’en mettre deux à la fois.” (Makoto)

J’ai délibérément évité les points vitaux, ce qui lui a permis d’utiliser sa régénération à pleine capacité… Alors que je continuais à le pilonner.

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“J’ai commencé à songer de tout mon être que je devrais modérer mes taquineries envers Waka. Honnêtement, ce qui vient de se passer a refroidi mes ardeurs.” (Tomoe)

“C’est impressionnant que tu penses encore à le taquiner, Tomoe-dono.” (Shiki)

“Le frapper sans arrêt par le haut et tirer sans arrêt par le dessous. Eh bien, il a déclaré qu’Azusa serait sali, il n’a donc pas utilisé son arc.” (Tomoe)

“Au bout du compte, Samal n’a même pas été autorisé à toucher le sol.” (Shiki)

“Il y a eu plusieurs moments où il a essayé d’invoquer quelque chose. Je ne sais pas si ça a été un succès ou non, mais il est clair qu’il n’y a pas eu le moindre petit changement sur la situation-ja. Par rapport à son altitude, non seulement il ne tombait pas, mais je ne crois même qu’il montait.” (Tomoe)

“En mettant de côté la discussion triviale, j’ai vraiment eu le sentiment que Samal possédait une énorme puissance surpassant les Esprits supérieurs et Root-dono, mais était-ce un malentendu de ma part ?” (Shiki)

“J’ai également eu cette impression. Si toi et moi le combattions, nous n’aurions certainement pas pu gagner.” (Tomoe)

“S’il était revenu à Asora, il n’aurait pas été possible de le traquer même en présence de Tomoe-dono. Si ce qu’il avait apporté à ce niveau, nous n’aurions pas perdu, c’est ainsi que je voyais les choses.” (Shiki)

Shiki est revenu sur le combat de Makoto… Non, sur son écrasement.

La méthode d’attaque de Samal passait par l’invocation, aux yeux de Shiki, c’était quelque chose où il existait de nombreuses manières pour y faire face.

Shiki a commencé à maîtriser les treize, alors de son point de vue, il était possible de gagner.

“Les missiles m’ont fait froid dans le dos. Si nous ne les avions pas effacés et les avions reçus directement… Waka a estimé qu’il serait en mesure de l’encaisser, mais pour toi et moi, cela n’aurait pas été évident.” (Tomoe)

“Missiles. Ceux que Tomoe-dono a changé en illusions ? J’avais pu voir sur Waka-sama une légère expression de joie à leur vue.” (Shiki)

“C’est un peu normal, ils étaient similaires à des armes dans le monde de Waka. Il a sans doute ressenti de la familiarité avec cette forme.” (Tomoe)

“Ils avaient suffisamment de puissance pour que Tomoe-dono les craignent ?” (Shiki)

“C’était leurs ogives le problème. Samal ne s’est pas retenu contre nous, alors une telle puissance était logique.” (Tomoe)

Tomoe s’est mise à regarder quelque chose sur le sol.

À cet endroit, il y avait une porte ordinaire de maison reposant sur le sol.

Ce qui avait été autrefois Samal.

“Il n’est plus l’ombre de lui-même.” (Shiki)

“Un objet acquérant sa propre volonté. Un outil qui a été utilisé pendant fort longtemps et s’est métamorphosé, hein. C’est une information issue des légendes du monde de Waka. Quelle mystérieuse existence-ja no. Je n’étais pas au courant de ça.” (Tomoe)

“C’est sans doute quelque chose qui n’existe pas dans ce monde. Je n’en avais pas non plus entendu parler.” (Shiki)

Après que la fin du déchaînement de Makoto, Samal a été envoyé sur le sol par les deux bras d’argent.

Après avoir été ‘escorté’ et avoir subi ce traitement, Samal avait déjà perdu sa forme en tant que porte.

Tomoe et Shiki, qui imaginaient qu’il serait détruit à cette allure, trouvaient étrange que Makoto eut arrêté ses attaques pour s’approcher de Samal.

Ensuite, ils ont vu un côté de Makoto qu’ils n’avaient pas vu avant.

Makoto a déclaré ceci à Samal: ‘Te tuer serait la fin de tout ça et ne t’apporterait que la paix’.

C’était la raison de son arrêt.

“‘Tu as durement travaillé pour aller aussi loin, n’est-ce pas déjà bien ?’, c’était sa déclaration, hein.” (Shiki)

“Ouais. Il se renforçait lui-même en obtenant des âmes par le biais de contrat ; Avoir été capable d’arracher ce pouvoir à sa source, Waka a une habilité en dehors de mes prévisions.” (Tomoe)

“Finalement, il est redevenu un outil magique… Non, puisqu’il a déjà sa volonté propre, il ne devrait pas rester longtemps comme ça.” (Shiki)

“Probablement ou probablement pas. Quoi qu’il en soit, il est pitoyable-ja. Ne pas pouvoir faire agir est pratiquement de la torture. Mes condoléances.” (Tomoe)

Tomoe faisait face à la porte et a placé ses mains comme pour faire une prière.

Peut-être qu’elle avait ressenti le besoin de lui transmettre ses condoléances. Shiki a suivi son exemple.

Un bref silence s’est installé dans la prairie.

“Je le ramènerai demain dans ma salle d’étude. Nous devrions également faire disparaître tous les corps.” (Shiki)

L’outil magique, Samal était toujours capable de réfléchir, mais incapable de s’exprimer. En outre, il a été décidé qu’il resterait ici pour la nuit.

Pour couronner le tout, sa vie comme cobaye débutera à partir de demain.

On pourrait dire qu’il était la définition même de ‘Être trop pitoyable pour être regardé’.

“Il y a peut-être quelque chose qui pourrait être utile. Il y a une grande quantité d’espèces différentes dans ce tas, appelons de l’aide.” (Tomoe)

“Oui.” (Shiki)

Il y avait une montagne de cadavres de mamonos, de personnes et d’armes.

Dans l’obscurité de la nuit, le regard froid de ces deux-là était braqué sur les cadavres gisant par terre.

“Bon, rentrons. Le savoureux flan aux œufs de Mio va refroidir.” (Tomoe)

“Oui… Tomoe-dono.” (Shiki)

Après un laps de temps, Shiki a interpellé Tomoe depuis son dos.

“Quoi-ja ?” (Tomoe)

“N’est-ce pas formidable ? Waka-sama souhaite rester à Asora avec nous jusqu’au bout.” (Shiki)

“… Oui.” (Tomoe)

“Pour être honnête, en fonction des actions de Samal, j’ai songé que Waka-sama pourrait décider de retourner dans son monde et…” (Shiki)

“‘Ne jamais revenir’ ?” (Tomoe)

“… Oui.” (Shiki)

“Idiot.” (Tomoe)

“Désolé.” (Shiki)

Shiki a baissé la tête.

“Ah~, un vrai idiot-ja. Rentrons.” (Tomoe)

Tomoe a ouvert une porte de brume.

“Mais, j’en suis une aussi-ja…” (Tomoe)

La faible voix de Tomoe a atteint les oreilles de Shiki.

Au moment où il avait relevé la tête, la première servante n’était plus là.

Shiki n’a pas pu confirmer ces mots.

Un doux sourire s’est dessiné sur son visage alors qu’il la poursuivait.

Tomoe et Shiki rentraient avec un esprit apaisé dans leur résidence.

Makoto n’avait pas l’intention de revenir au Japon pour le moment.

Son sourire, lorsqu’il était en colère, était menaçant.

Les deux, qui avaient appris quelque de plus important que le rituel de retour, ressentait que cette journée aurait une grande valeur à leurs yeux.