Tome 4 – Chapitre 226 – Contemplation en groupe des cerisiers en fleurs
Et donc… Plusieurs jours ont passé après ça.
Aujourd’hui, nous étions sur un vaste terrain.
Nous assistions littéralement au milieu de la floraison des fleurs de cerisiers.
Tout le monde faisait la fête en buvant et chantant.
Au début, les habitants d’Asora hésitaient à manger et à boire sur les terres d’un sanctuaire vénérant des Divinités, mais après un moment à contempler les cerisiers en fleurs, ils ont commencé à en profiter pleinement.
Expliquer une variété de choses avait sans doute aussi joué une grande partie.
C’était juste que… Même si c’était la première de nombreuses fois future que nous assistions à cette scène, il y avait de nombreuses espèces aquatiques qui ont été incapable d’y participer.
Cette place n’était pas si éloignée de la mer.
Même ainsi, je ne pouvais pas bouger le sanctuaire.
Je réfléchissais à reporter cette fête à cause de ça, mais à ce moment-là, Serwhale-san m’a demandé la permission d’étendre la mer et de réduire la portion de terre.
Il a ensuite déclaré que nous devrions aller contempler les cerisiers en fleurs avec tout le monde.
Les Neptuniens et Sari ont décidé des races qui participeront cette fois-ci. C’était devenu un événement où les espèces aquatiques et terrestres participaient ensemble.
Serwhale-san était en train de boire du saké, mangeait de la nourriture et s’était mélangé avec d’autres personnes de toutes races pour apprécier la vision des cerisiers en fleurs.
… Comme je le pensais, Serwhale-san mérite vraiment d’être appelé ‘-san’.
Le peuple crabe avait commencé à danser et le peuple thon était profondément plongé dans leur contemplation de cette vision tandis qu’ils buvaient du saké japonais dans une petite coupelle.
L’autre personne, qui avait travaillé pour ça, Sari, était à mes côtes depuis le début, mais quand je lui ai dit d’aller se mêler aux autres, elle est allée docilement rejoindre d’autres races, principalement composé de femmes, et appréciait cette fête de manière calme.
Même maintenant… Hein ? Elle n’est plus là.
J’ai recherché Sari du regard.
…Oh.
J’ai trouvé Sari qui était maintenant affalée sur une branche du sommet d’un arbre pour une obscure raison.
Ah, des Lorelais l’ont redescendu.
Asora possédait une grande gamme d’alcool.
Elle avait probablement bu des mélanges jusqu’à s’en enivrée.
Apparemment, il y avait des personnes pour s’occuper d’elle, il n’y avait donc pas besoin que je m’en mêle.
“Une Divinité ouverte et tolérante, n’est-ce pas. Il est certainement vrai que lors de la période Edo, il y avait eu des festivals dans les sanctuaires Shinto, cela devenait un endroit où les personnes se rassemblaient pour passer un bon moment. C’est une partie difficile à appréhender, mais après avoir y assister moi-même et l’avoir vu de mes propres yeux, je crois que je commence à comprendre.” (Tomoe)
Tomoe était avec moi.
Elle n’était pas du genre à faire beaucoup de raffut. On dirait qu’elle préfère faire calmement les choses.
Eh bien, la contemplation de cerisiers en fleurs était dans cet état d’esprit.
Il y avait des personnes qui considéraient les cerisiers en fleurs comme une bonne excuse pour sortir et d’autres qui appréciaient vraiment cette vue.
Il y en avait qui considérait que boire était LA chose à faire et d’autres qui préféraient passer en revue les nombreuses roulottes de nourriture.
Certains préféraient le matin, d’autres le soir.
Même ainsi, il n’y avait pas besoin de se battre pour ça.
Je crois que les personnes ont différentes manières pour apprécier les choses.
Il n’y a aucun intérêt à empêcher les autres de s’amuser.
“Ce n’est pas comme si les personnes du passé considéraient leurs Divinités avec légèreté et faisaient n’importe quoi, ok ? Aussi longtemps que vous êtes vraiment respectueux, je ne crois pas que les actions, qui en découleront, seront étranges.” (Makoto)
C’est ainsi que je vois les choses.
Il y avait également des festivals peu conventionnels, mais ça ne voulait pas dire qu’ils regardaient de haut les Divinités.
Faire la fête ne veut pas dire insurrection.
Bien sûr, ce n’était pas seulement sur la base du respect envers les Divinités, il y avait aussi la volonté qu’ils feront de leur mieux lors du prochain festival.
Tous ces points mis ensemble me faisaient aimer les festivals et les événements des sanctuaires Shinto.
C’était la raison pour laquelle j’étais heureux de pouvoir contempler la vue des cerisiers en fleurs dans Asora, même si c’était légèrement différent.
Si de grands festivals annuel ou des événements saisonniers naissaient, ça serait génial.
Il avait déjà été décidé qu’il y aurait une porte de brume pour relier le domaine du sanctuaire Shinto et la mer.
C’était quelque chose que je voulais définitivement faire.
Je veux qu’ils visitent le sanctuaire en toute confiance et bien que ce soit une religion, je ne veux pas qu’ils se perdent ou meurent comme avec les pèlerins du sanctuaire Ise.
“Il y a quelqu’un pour gérer cette place et puisque cet endroit est tellement spacieux, on peut même l’utiliser pour enseigner aux enfants.” (Tomoe)
“De mon point de vue, il n’y a pas besoin de le transformer en lieu d’apprentissage. Je serais heureux que ça devienne tout simplement un lieu où les gens pourront simplement passer un bon moment.” (Makoto)
“Oui. Quoi qu’il en soit, nous devons être reconnaissants envers les Divinités qui nous ont offert ce beau cadeau.” (Tomoe)
Buvant son saké dans une petite coupelle, Tomoe semblait satisfaite.
Son changement d’humeur a été plutôt… Rapide.
Avec l’histoire de la miko-san, Tomoe semblait être sur les nerfs, mais maintenant, il n’y avait plus de signe de cela.
Mio, qui était la plupart du temps à mes côtés, était également comme ça, mais actuellement, elle faisait le tour des différents chariots ambulants pour me ramener de la nourriture.
Même si je n’étais pas sûr de pouvoir tout finir…
Elle est vraiment sans pitié.
J’estimais avoir beaucoup mangé, et pourtant, j’avais comme l’impression que la quantité de nourriture avait encore augmenté et j’étais persuadé que ce n’était pas mon imagination.
J’avais également l’impression que les boites de nourritures empilées ne correspondaient pas aux nombres d’avant…
“Eh bien, Mio l’apprécie à sa propre manière, alors ce n’est pas grave, hein.” (Makoto)
En observant Mio qui serpentait si facilement à travers la foule de personnes et des ivrognes, j’ai abandonné l’idée de manger tout.
Je ferai juste de mon mieux jusqu’à mon extrême limite.
C’est pour le mieux. Probablement…
“Waka-sama, en ce qui concerne le mana qui est prélevé lors de la visite du sanctuaire, on dirait que le montant n’est pas au point de menacer la santé des personnes.” (Shiki)
“Shiki, je t’ai dit que tu pouvais profiter de cet instant pour te reposer. En premier lieu, Touda nous en avait déjà parlé.” (Makoto)
“Cependant, il semblerait qu’il y a des différences entre les personnes et étant donné que ce n’est pas un montant fixe, j’ai pensé qu’il serait préférable de mener une enquête au cas où…” (Shiki)
“Eh bien oui. Merci, Shiki. Pour le moment, profite-en pour manger et boire. D’ailleurs, contempler les nombreux cerisiers que Touda a fait fleurir est une chose plutôt agréable, non ?” (Makoto)
Touda les a fait fleurir comme elle l’avait déclaré.
Il existait plusieurs variétés de cerisiers et il y en avait également qui ne fleurissaient qu’en été et en automne.
Au Japon, ce spectacle pourrait être seulement vu qu’après les avoir cultivés en serre et mis en place un environnement approprié, pourtant, cette vision se répandait sur cette terre et cette forêt.
C’est vraiment une belle vue.
Des personnes, qui aiment ça, pourraient sans doute rester ici pendant plusieurs jours pour les contempler.
“Non ! J’ai une montagne de choses à faire comme enquêter sur la végétation de ce domaine et l’environnement de cette forêt.” (Shiki)
“Rejeté. Vous allez aussi profiter de cette vue. Le travail est fini.” (Makoto)
“M-Mais…” (Shiki)
“Si Shiki travaille, d’autres personnes pourraient également faire pareil. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui est un jour de repos. Tu en as assez fait avec juste cette enquête sur le mana prélevé lors de la visite du sanctuaire.” (Makoto)
“… Compris.” (Shiki)
Yep.
Shiki était un addict du travail.
J’ai aussi beaucoup de travail que je dois privilégier par rapport à mon sommeil, je comprends donc ses sentiments.
Dans mon cas, aussi longtemps qu’il n’y a pas de grosses affaires, je vais certainement travailler tous les jours, mais… Je ne pense pas que ce soit au même niveau qu’un addict au travail.
Les paroles que Shiki a déclaré : ‘Je vais bien’ et ‘J’ai du temps libre’, je commence à comprendre que prendre ces mots pour argent comptant est une chose dangereuse.
Comment le dire, ce trait de caractère est contagieux ou devrais-je dire, ‘Qui se ressemble s’assemble’.
Les subordonnés de Shiki et les gens proches de lui avaient le même trait.
À l’inverse de Tomoe et Mio, il était un Hyumain à l’origine, ce qui jouait sans doute un grand rôle.
Mio et Tomoe semblaient appréciés de dormir, mais apparemment, Shiki n’était pas ce genre de personne.
Je me souviens de lui disant que lorsqu’il était devenu une Liche, il était ravi de ne plus avoir à dormir.
Malheureusement, même lorsqu’il a fait un pacte avec moi et obtenu le corps d’un Hyumain, pour une quelconque raison, il possédait toujours cette constitution qui ne l’obligeait pas à dormir pour bien se porter… Non, peut-être qu’il est approprié d’appeler ça une capacité.
Apparemment, son lieu de travail est le même, alors j’aimerais quand même qu’il soit un peu moins extrême.
Pour l’instant, il semble docile dans la contemplation des cerisiers en fleurs, mais je ne suis pas sûr qu’il soit capable de tenir plus de trente minutes. Après tout, on parle de Shiki.
“Touda, à propos des visites du sanctuaire, je ne t’ai pas demandé les détails, comme la différence de prélèvement du mana entre les personnes au lieu d’avoir un montant fixe. Il n’y a aucun problème avec ça, non ?” (Makoto)
Après ce combat au nom de la ‘coutume’, nous sommes rentrés au sanctuaire avec Touda et nous avons ensuite discuté des trois temples que comptait le sanctuaire Shinto.
D’après ce qu’elle a dit, ce que je ne savais pas du tout concernait la partie sur les hommages, la vénération et les prières ; Eh bien, en d’autres mots, la partie qui suit après avoir prié les Divinités.
Pour dire les choses plus simplement, comme lorsque quelqu’un rend hommage dans un sanctuaire avec de l’argent, tu consommes également le mana dans cette situation.
“Évidemment. Il y a toujours des exceptions, mais en ce qui concerne la différence du prélèvement entre les individus, il s’agit de la consommation du mana correspondant aux aptitudes de la personne. Pour les gens qui ont 10 000 en mana, 100 sera pris : Pour les individus qui ont 100 en mana, 1 sera prélevé. C’est ainsi que ça fonctionne. Cela veut donc dire que les personnes offrent 1 % de leur montant total lors de leurs visites.” (Touda)
Touda rencontrait activement les résidents.
Lorsqu’elle a été appelée, elle était immédiatement apparue à côté de moi pour me répondre, ce qui était quelque mystérieux.
Les Orques, les Anciens-Nains, les Hommes-Lézards des brumes, les Arkes, le Peuple-Ailé, les Gorgones et les Al-Elemeras qui ont été traumatisés par Ema ; C’était comme si elle se présentait à tout le monde.
C’était vraiment une attitude professionnelle.
En réfléchissant à son rôle ici et à celui dans la compagnie Kuzunoha, j’ai comme l’impression qu’elle a des dispositions pour le déploiement rapidement.
De mon point de vue, c’est juste que si je devais recruter du personnel, plutôt que des individus remarquables, je préférais des personnes avec des aptitudes raisonnables et qui travailleront ensemble jusqu’à la fin.
J’ai finalement remarqué que c’était les exigences que je cherchais.
C’était aussi parce que nous n’avions pas encore conclu le pacte, mais j’avais l’impression que Touda était du premier type.
Je sentais en elle une sorte de rigidité difficile à exprimer avec des mots.
Cela ne s’appliquait pas seulement à elle. J’avais ressenti ce genre de chose à de nombreuses reprises dans ce monde.
Dans les compagnies de l’ère moderne, être diligent était plus important que les aptitudes quand elles recrutaient du personnel, mais c’était sans doute une autre manière de voir les choses dans cette ère.
Mais en mettant de côté le système d’ancienneté, je songeais à mettre en place les CDI.
Une entreprise.
Vivant ce genre de vie, nous ferions de notre mieux et récompenserions les employés pour leur service.
C’est ce que je voulais faire.
Ooups, mes pensées se sont envolées.
“Dans ce cas, des personnes comme moi offrirait beaucoup.” (Makoto)
“Oui. Mais cela ne devrait être aucunement un fardeau.” (Touda)
“C’est vrai. C’est la première chose que nous avons rendu hommage, je n’ai rien ressenti.” (Makoto)
“Veuillez le voir comme un sacrifice de mana.” (Touda)
“Alors quel était le montant fixe et l’exception dont tu m’avais parlé ?” (Makoto)
“La réponse serait la même. Quand un grand souhait, un désir sincère. Par exemple ; le souhaiter chaque jour plusieurs fois ou l’espérer pendant plusieurs années. Selon le cas, ça pourrait même affecter ta propre vie.” (Touda)
“Quand tu souhaites quelque chose aussi ardemment et sincèrement…” (Makoto)
“Oui. Si tu le désires fortement, tu finiras par offrir une grande quantité de mana. En songeant à la foi du peuple d’Asora envers ce sanctuaire Shinto, je ne crois pas que ceci sera possible.” (Touda)
Le souhaiter ardemment, en plus, ils doivent le faire continuellement pour que cela se produise, hein.
Il est certainement vrai que c’est une situation difficile à considérer dans Asora.
“Exact. Il est vrai qu’il n’y a pas de lieu de s’en inquiéter.” (Makoto)
J’ai appris à tout le monde que lorsqu’ils rendront hommage, ils doivent dire aux Divinités leur souhait. À l’encontre d’une Divinité qu’ils ne peuvent pas voir.
Je leur ai dit que c’était comme un engagement envers soi-même.
Pas de : ‘S’il vous plaît, rendez-le possible’, mais plutôt : ‘Je travaille dur pour cet objectif, alors veuillez m’observer quand je démontrerai des résultats satisfaisant’.
Lorsqu’ils y arriveront, ils reviendront encore pour exprimer leur gratitude et passer leur prochain engagement.
De plus, je voulais qu’ils aient une impression différente de celle de la Blatte. Au lieu de cette Déesse, ça serait plutôt une Divinité proche, mais intouchable. Ce genre de relation.
“C’est ainsi que je le vois les choses. Les inquiétudes de Shiki-san sont plausibles, c’est la raison pour laquelle je lui ai déclaré qu’il n’y avait rien de mal à investiguer dessus autant qu’il le souhaitait.” (Touda)
“Le mana, qui est offert, se rassemble dans un réceptacle, pas vrai ? Est-que ma supposition sur les boules, que tu nous as montrés, sont les réceptacles divins où il réside est bien fondée ?” (Makoto)
Ce que Touda nous a montré comme réceptacle divins étaient deux boules transparentes et une troisième avec une myriade de lumières colorées en son centre.
Les transparentes étaient celles du temple Bouddhiste et du Parthénon, celle avec les lumières étaient celle du temple Shinto.
En d’autres mots, les lumières à l’intérieur de la balle étaient notre mana.
J’étais un peu gêné que tous fut dans la même boule.
“Les réceptacles divins, c’est bien ça. Hmm, il n’y avait pas de problèmes avec ton interprétation, mais à proprement parler, les réceptacles sont proches des œufs. Après tout, cette boule changera d’apparence lorsqu’elle accumulera suffisamment de mana.” (Touda)
“… Hein~.” (Makoto)
Comme on pouvait s’attendre d’un sanctuaire Shinto aussi unique.
Alors c’est sa forme avant sa naissance.
Eh bien, c’est bon.
Pour commencer, se voir aspirer du mana alors que tu rends hommage n’est pas une chose normale.
“… D’ailleurs, Makoto-sama, offrir du mana en priant les Divinités fonctionne de la même manière sur terre. C’est plutôt que cette notion ne soit pas connue qui est étrange.” (Touda)
“Hein ?!” (Makoto)
Elle pouvait lire mon esprit ?!
Non, ce n’est pas ça. C’est un système qui est utilisé universellement ?!
Pas moyen que soit vrai !
“C’est bien trop farfelu. Même quand j’ai visité différents temples dans mon monde…” (Makoto)
“La plupart des Humains ne sont pas conscients du concept même du mana, alors ça va de soi. Ils ne l’utilisent pas et ils ne peuvent pas le détecter. Même si une petite quantité disparaissait, cela ne fera aucun de mal aux Humains. Après tout, c’est un montant qui n’aurait même pas besoin d’une journée pour être récupérée.” (Touda)
Sérieusement ?
Il est certes vrai que je n’étais pas conscient de mon mana lorsque j’étais au Japon.
J’en ai donc offert aux Divinités à chaque fois que je suis allé dans un sanctuaire ?
Non, les temples également, hein.
L’église aussi ?
Ah, maintenant que j’y réfléchis, je ne suis pas allé une seule fois à l’église.
“Pour une curieuse raison, j’ai l’impression d’avoir eu un aperçu du côté obscur du monde.” (Makoto)
“Dans un futur où le principe même de mana sera connu sur Terre, il y a des chances qu’ils prennent connaissance de cette réalité.” (Touda)
“… Ouais.” (Makoto)
“Mais bon, en mettant de côté cette discussion, concernant le réceptacle divin, je ne crois pas qu’il ne faudra pas trop longtemps avant qu’il ne prenne forme. Après tout, avec juste le mana Makoto-sama, il a déjà reçu une grande quantité. Mais à propos de sa forme complète, il y aura besoin encore d’un peu de temps. Je vais vous le reporter s’il y a quelques changements, alors profitez en pour vous amuser.” (Touda)
“Entendu.” (Makoto)
“Bon alors, je vais rejoindre les résidents pour parler de Makoto-sama.” (Touda)
“Lorsque nous aurons fini avec cette fête, nous ferons le pacte en présence de Tomoe et les autres. Rappelle-toi en.” (Makoto)
“Oui. Je suis impatiente de savoir le nom que je recevrai.” (Touda)
Touda a disparu.
Oh, elle a refait surface où se trouvaient les Gorgones.
J’ai un mauvais pressentiment si la discussion porte sur moi avec ce genre de personne.
Même ainsi, ceci se transformera sans doute en une discussion entre filles que je ne préfère pas savoir le contenu.
Ce genre de conversation est parfois assez toxique.
Je peux dire sans l’ombre d’un doute qu’il est préférable pour les hommes de ne pas l’entendre.
Eh bien, j’ai une sœur ainée et cadette, je pouvais entendre ce genre de discussion dans ma propre maison, de surcroît, parfois aussi ma propre chambre.
C’était la raison pour laquelle je savais que c’était toxique.
Touda s’est probablement adaptée aux Gorgones sans aucun problème et profitait de la conversation avec elles.
Il n’y avait pas besoin de s’en inquiéter, j’ai donc décidé de ne plus m’en soucier.
… La fête bat son plain, hein.
Depuis que je suis venu ici, j’ai visité de nombreux pays et j’ai rencontré une myriade de personnes, mais comme je pensais, c’est ce lieu que je préfère.
Chacune des personnes présentes avaient une taille et une apparence différentes, ça pouvait ressembler à un chaos sans nom.
Mais je suis résolu à protéger ce lieu.
Asora peut être considéré comme la trace de mon passage dans ce monde.
Avec idée en tête, j’ai gravé cette vision dans ma tête.
“Waka-sama ?” (Mio)
“Mio, nous avons déjà bien assez de… Attends… Pourquoi ?” (Makoto)
C’était Shiki.
Il n’y a pas moyen que je puisse me tromper.
Mais pourquoi est-ce que Shiki est inconscient sous le bras de Mio ?
“Ne dis pas ça, s’il te plaît. Je suis allée chez les Orques et j’ai vu toutes les possibilités dans cette ‘Friture Surprise’. Je me suis dit que Waka-sama devrait absolument le goûter au moins une fois.” (Mio)
“Non Mio, je vais les manger avec gratitude, mais… Qu’est-ce qui est arrivé Shiki ?” (Makoto)
“Lui ? Il avait préparé du matériel et avait une conversation secrète avec un certain nombre de personnes au sujet d’entrer dans la forêt, je l’ai donc arrêté.” (Mio)
“…” (Makoto)
“Alors que même si nous assistons à la floraison des cerisiers… Cette personne n’a vraiment aucune manière. Je discutais avec Tomoe-san et Touda sur l’organisation de festivals comme celui-ci de temps en temps, bien sûr il ne sera pas aussi grand que celui-ci, et nous discutions des dates potentielles… Et pourtant, ce Shiki…” (Mio)
“Eh bien, il est certainement vrai qu’il manque de manières. Ouais.” (Makoto)
L’assommer est plutôt discutable.
En plus, elles parlent déjà de faire plus de festivals.
Tomoe se trouvait là où était Touda et les Gorgones il n’y a pas si longtemps.
Cela doit vouloir dire que Mio était là-bas il y a peu, hein.
Et, Mio a remarqué que Shiki planifiait d’aller dans la forêt.
“Cela dérangerait les autres personnes si on le laissait traîner sur le sol, je l’ai donc ramené ici où il y avait de l’espace, je vais le jeter dans un coin où les autres ne le verront pas.” (Mio)
Tu vas le jeter ?
Cela veut bien dire que tu vas le jeter un peu au hasard, non ?
Non attends, ne le fait pas.
L’abandonner est également un non.
“Non, je vais m’occuper de lui. Laissons-le se reposer ici.” (Makoto)
“Pas moyen, le laisser se reposer sur les genoux de Waka-sama est juste… !” (Mio)
Qui a dit que je le ferais se reposer sur mes genoux ?!
Je ne ferai pas ça !
Cela ne ferait que restreindre mes mouvements.
Je vois. Mio doit avoir pas mal bu.
À mon avis, elle ne sera pas du genre à se perdre dans l’alcool, mais son self-control pourrait se relâcher.
“Non, je vais juste le laisser se reposer.” (Makoto)
“Alors je vais prendre sa place !” (Mio)
Elle ne m’a pas du tout écouté.
Bon, c’était également un événement quotidien ici et une partie de ce que j’ai fait dans ce monde.
Mais la bonne humeur apportée par ma détermination s’est un peu atténuée.