Tome 4 – Chapitre 229 – Se calmer, mais courir partout
Une période incroyablement tendue est passée, elle était incomparable par rapport aux rassemblements habituels des marchands.
Ce n’était pas une discussion avec des réponses encore très claires, alors les sujets de conversations étaient variés et… Pour le dire simplement, plus j’en entendais, plus mon esprit devenait vide.
Oui, j’avais l’impression que cette réunion était encore plus fatigante que tous les combats que j’ai pu expérimenter.
En regardant les notes que j’ai désespérément écrites dans un état d’esprit pratiquement absent, il y avait des informations sur les conversations avec tout le monde écrites dessus.
“Comme prévu… Des personnes qui se sont fait un nom dans Tsige. C’était impressionnant.” (Makoto)
Eh bien, il y avait également Sairitz-san et de nombreuses personnes externes à Tsige.
À tout le moins, j’ai écrit leurs caractéristiques et le contenu de leur auto-introduction.
Il y avait aussi beaucoup de gens que j’ai rencontrés pour la première fois, alors il serait préférable que je me rentre ces choses dans la tête le plus vite possible.
Même ainsi… La révolution d’Aion et l’indépendance de Tsige, hein.
Je suis impressionné par le fait que de nombreuses choses se produisent les unes après les autres.
En outre, les événements, avec lesquels j’ai été impliqué dernièrement, ont été d’une grande ampleur.
“Eh bien, ça ne change pas le fait que ce soit quelque chose d’insouciant, mais je pouvais comprendre qu’ils avaient une chance de réussir. Pour aujourd’hui, laissons ça ainsi. Je suis de retour~.” (Makoto)
“Waka ! Bienvenue !”
Je suis rentré dans le premier magasin de la compagnie Kuzunoha à l’intérieur du magasin de Rembrandt-san.
Cela me rendait heureux de voir qu’ils allaient bien, comme à leur habitude.
Les quatre employés en poste ici m’ont salué.
Tout le monde a crié ‘Waka’ d’une voix forte, ce qui a entraîné des regards intenses de la part des clients, je me suis ensuite dirigé vers le comptoir après leur avoir souri.
Quand j’ai atteint la porte derrière le comptoir donnant sur le comptoir, j’ai pu voir l’Ogre forestier et la Gorgone travailler énergétiquement.
L’envergure du magasin n’était pas grande, mais ça ne voulait pas dire que le bureau était également petit.
Et en réalité, ces deux-là semblaient occupés.
“Waka-sama, bon retour !”
“Je suis de retour. Vous n’avez pas à vous soucier de moi. Continuez votre travail.” (Makoto)
À ma vue, ils avaient arrêté de travailler pour me saluer, mais je ne voulais être une gêne, alors je leur ai dit de retourner au travail.
Même ainsi, lorsque je suis arrivé sur le siège de mon bureau que je n’utilisais pas beaucoup, la Gorgone m’a rapporté à boire.
Au bout du compte, juste en étant ici, j’accapare leur attention.
Je voudrais leur dire que ce n’était pas nécessaire, mais je n’y arrive juste pas.
“Merci.” (Makoto)
“Pas besoin. Après tout, nous songions aussi à boire du thé.”
“De toute façon, cet endroit est vraiment prospère. J’ai reçu des rapports selon lesquels depuis le moment où Tsige a eu une croissance soudaine, le nombre de client et les ventes ont continuellement augmenté, mas j’aimerais avoir votre point de vue, vous qui travaillez ici ?” (Makoto)
“Eh bien, évidemment, sans compter les rapports comptables, c’est également un métier valorisant. Outre les clients achetant dans le magasin, il y en a beaucoup qui prennent des rendez-vous ou passent commandes, nous sommes donc dans une situation où nous devons demander une augmentation de l’inventaire et des artisans.”
Augmentation de l’inventaire et des artisans, hein.
Il était certainement vrai que c’était une question qui a été abordée de nombreuses fois.
Peu importe le nombre de fois que j’y ai répondu, il y a eu toujours une autre requête, alors dernièrement, je l’ai mis de côté en attendant d’avoir vérifié la situation.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas marché dans Tsige et mes pensées ont un peu changé.
Ce n’était pas que la compagnie Kuzunoha fut la seule à avoir augmenté ses ventes et ses profits, la ville entière avait grandi à un rythme incroyable.
À chaque fois que je la visitais, la ville changeait … Pas d’exagération. L’actuel Tsige débordait d’animation.
De plus… Elle a déclaré : ‘C’est un métier valorisant’, hein.
D’après ce que je pouvais deviner avec son visage, ce n’était pas du sarcasme ou de la malice.
Cela me rendait encore plus heureux qu’entendre dire qu’ils étaient juste occupés.
“… Est-ce que ça sera suffisant d’augmenter le nombre d’artisans ? La quantité de travail au sein du magasin n’est-elle pas compatible avec notre nombre actuel ?” (Makoto)
“Lors des journées où il y a plus de clients que la normale, nous aidons aussi dans le magasin, il n’est donc pas vraiment nécessaire d’augmenter le personnel pour le moment, mais…”
“Oui, je vais y réfléchir.” (Makoto)
“Merci beaucoup !”
Il y avait une clientèle fidèle au magasin de Rotsgard, mais j’avais laissé Tsige aux autres.
Je dois y réfléchir.
“Je vais voir jusqu’à quel point je devrais l’augmenter. Je veux également entendre la situation actuelle pour en savoir plus, ainsi… Pouvez-vous demander à quelqu’un de rassembler les documents et de faire venir cette personne chez moi après le dîner ?” (Makoto)
“C-Compris !”
J’ai consulté Shiki et j’ai utilisé les rapports quotidiens de Rotsgard comme référence, il est donc préférable que je ne décide pas des détails pour le moment.
En songeant que je devrais participer aux réunions que Rembrandt-san organise, j’estime que c’est le bon moment pour augmenter les ventes d’un cran.
Même si nous n’étions pas un restaurant, nous recevions des personnes ordinaires et des aventuriers la nuit et le jour, ce qui était un fait rare pour un magasin.
La compagnie Kuzunoha a été capable d’avancer aussi loin tout en gardant ce genre de position jusqu’à maintenant.
Même si nous avions l’avantage de recevoir des clients qui venaient à la compagnie Rembrandt, ça restait impressionnant.
“Bon, continuez de travailler dur. Je n’étais que de passage, je vais donc rentrer maintenant. Je compte sur vous pour les rapports.” (Makoto)
“Passez une bonne journée !”
D’après ce que j’ai vu avec ce bref aperçu, il n’y avait pas d’aptitude méprisante au sein du magasin juste parce qu’il était des Demi-Humains.
Mais Rembrandt-san m’a conseillé de prendre enfin des employés Hyumains.
J’ai pensé à le faire en cas d’urgence, mais si nous employons des Hyumains dans Tsige…
Si c’était simplement une sorte de contre-mesure, je peux demander à Rembrandt-san de transférer quelqu’un à cette place.
Si c’était bon aussi longtemps que se fut un Hyumain, je pouvais simplement demander à cette personne de tenir debout sans rien faire comme ferait un épouvantail. Pour parler franchement, ça serait l’idéal.
Il n’était pas nécessaire que l’Hyumain fusse compétent ou le devienne.
Si nous suivions la politique habituelle, nous pouvions former des personnes à Asora à un niveau raisonnable et les poster dans les magasins, alors je ne crois pas qu’il y ait besoin d’embaucher des Hyumains et les éduquer à partir de zéro.
Il n’y avait rien de semblable à une agence d’emploi dans ce monde, cela rendait donc la tache plus difficile.
Les emplois temporaires des étudiants que nous avions dans Rotsgard, en d’autres mots, un travail à temps partiel, semblait être vu comme quelque chose de plutôt étrange.
Rotsgard était actuellement en pleine reconstruction et ils étaient assez tolérants pour ce genre de choses, alors c’était magnifique qu’il n’y ait pas eu autant d’opposition que je ne le pensais.
Parce que j’ai utilisé une partie des étudiants que je connaissais bien et à qui j’enseignais, leur introduction à ce job temporaire s’est bien déroulée.
…
Comme je pensais. Quand je ne pense qu’à une chose, mon esprit a commencé à se disperser ici et là, ça devient de plus en plus compliqué pour réfléchir.
On m’a dit de réfléchir plus simplement et c’était une mauvaise habitude de ma part.
Pour le moment, je dois trier les informations que j’ai reçues, rentrons à Asora.
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Ayant fini de manger, mes quatre serviteurs s’étaient rassemblés dans ma chambre.
“La compagnie Milliono et la compagnie Eleor, hein. Il est certes vrai qu’elles sont deux compagnies qui ont pris de l’ampleur dans Tsige. Tous les deux faisaient partie de la colonne vertébrale de Tsige bien avant la création de la compagnie Kuzunoha et j’ai souvenir qu’elles ont grandi brusquement avec Tsige.” (Shiki)
“Hmph, je vois. C’était ma première rencontre avec eux, mais comme attendu, ce sont des personnes incroyables, hein. Les deux directeurs étaient très amicales, alors ils ont donné une bonne impression. La compagnie Milliono est un magasin en gros de matières premières issues du désert et la compagnie Eleor est spécialisé dans la vente de terres et de bâtiments. C’est formidable qu’ils ne soient pas en concurrence avec nous. J’ai l’impression que nous pourrons avoir une sincère relation amicale.” (Makoto)
En termes de matières premières, Tomoe et Mio n’y étaient pas étrangères.
Et en vérité, le directeur de la compagnie Milliono a présenté ses remerciements à Tomoe, Mio et moi pour la circulation des matières premières du désert.
Mais la compagnie Milliono achetait aux places qui les vendaient, il n’y avait donc probablement pas de lien direct avec nous.
Mon impression sur lui était qu’il était une personne intègre.
Concernant la compagnie Eleor, si je me souviens bien, les terres pour les magasins sont fournies suite au parrainage de la guilde Marchande.
Comme escompté de Shiki.
Il connaissait les deux compagnies.
“Hmm… Compagnie Eleor. Si je me souviens bien…” (Tomoe)
Tomoe semblait chercher dans ses souvenirs.
Ah, maintenant que j’y réfléchis, j’avais demandé à Tomoe d’acheter les terres.
“Est-ce une compagnie que tu connais ?” (Makoto)
“… Ah, oui. Le propriétaire terrien, auquel j’ai acheté les terres et qui était intime avec quelqu’un, appartenait sans doute à une compagnie avec un tel nom.” (Tomoe)
“Tu dis que le propriétaire terrien était intime avec quelqu’un. Cela n’a rien à voir avec nous.” (Makoto)
“… Exact. Eh bien, même s’ils ont des terres, aucun vrai problème n’est apparu, et il n’y a pas eu une seule fois où nous avons pu leur venir en aide.” (Tomoe)
“Est-ce tout ?” (Makoto)
J’ai comme l’impression qu’il y a plus derrière ça, je vais donc essayer d’en savoir plus.
“Sans doute. En ce moment, j’arrive seulement à me souvenir de ça.” (Tomoe)
Mais la réponse était une vague réponse.
“On m’avait conseillé d’acheter un terrain à la compagnie Eleor. Le terrain, que nous possédons, est adjacent à celui qui m’a été recommandé. Il a déclaré : ‘Étant donné que votre compagnie se porte si bien, vous allez créer un magasin dans un proche futur, alors inspectez la place’.” (Makoto)
Il était vraiment bon dans son domaine.
Il est vrai que louer un emplacement chez Rembrandt-san tout le temps va juste lui causer des problèmes et j’ai déjà un terrain à cet effet de toute façon.
Si le terrain était éloigné du nôtre, j’aurais refusé immédiatement, mais s’il était adjacent à celui que nous possédions déjà, nous serions en mesure d’augmenter l’envergure de notre magasin.
Peut-être qu’il croyait que je n’avais pas encore construit un magasin parce que je voulais aussi acheter ce terrain adjacent ?
Il était difficile de croire qu’il avait un terrain de libre jusqu’à côté par un pur hasard.
Par le passé, il y avait un magasin à cet endroit. Au départ de son propriétaire, le terrain était resté vide, ce qui était étrange.
J’ai comme l’impression qu’il visait mon portefeuille.
J’ai donné à Tomoe les informations sur la parcelle de terrain que j’avais reçues du vendeur.
Acheter des terres à Tsige coûtait cher.
J’aurais compris si c’était simplement cher, mais je n’avais pas les standards pour savoir à quel point cela peut être considéré comme coûteux.
Je le savais juste vaguement.
Je connais seulement que des concepts comme les endroits proches des gares coûtent cher et que les zones rurales ne le sont pas. Ce genre de perception.
C’était la raison pour laquelle j’ai demandé à Tomoe et à Shiki d’aller d’abord vérifier et entendre leurs opinions avant de décider.
Abstraction faite de si un pourcentage sera prélevé sur la vente, la compagnie Eleor envisageait d’étendre les murs extérieurs de la ville ; En d’autres termes, il réfléchissait à agrandir la superficie de Tsige.
Et c’était la raison pour laquelle avait besoin d’un certain montant d’argent pour acheter les terres qui allaient augmenter.
Peut-être qu’il était en fait celui qui a financé le coût de cette manœuvre politique, ou pour le dire plus simplement, un pot-de-vin, et avait également participé au coût des travaux de construction du mur extérieur.
Dans ce cas, il y avait de fortes chances que le terrain, qui m’a été présenté, fut à un prix incroyablement élevé.
“C’est…” (Shiki)
“Bien.” (Tomoe)
Ces deux-là avaient regardé le prix et ont écarquillé les yeux de surprise.
Surpris ?
Dans ce cas… C’est plutôt cher, ou au contraire, assez bon marché ?
“Comparé à Rotsgard et en réfléchissant à la zone, j’ai l’impression que le prix est étrangement élevé, mais qu’en pensez-vous ?” (Makoto)
Je sais que le prix d’une ville ne peut pas être comparé à une autre.
Mais avec ce même prix, je pourrais acheter un terrain dix fois plus grand à Rotsgard.
Apparemment, Tsige avait une valeur foncière plus élevé par rapport aux autres villes, mais honnêtement, je me demandais si la différence était vraiment si haute.
Même si le terrain, que je possédais, avait pratiquement la même taille, c’était cinq fois plus cher que lorsque nous l’avions acheté.
On ne me prendrait pas pour un pigeon.
Peu importe si la première impression fût bonne, je ne pourrais pas faire confiance à tout ce que les marchands racontent.
“C’est anormal.” (Shiki)
“Oui. Cela ne peut même pas être considéré comme une transaction.” (Tomoe)
Hein ?
Tomoe et Shiki m’ont donné une réponse inattendue.
“Vous sous-entendez que le prix est donné ?” (Makoto)
“Ouais. Au point qu’il est difficile de croire que ce devis nous a été fourni par la compagnie Eleor.” (Tomoe)
“Tsige est une ville qui se développe à un rythme effréné. Cela pourrait dépendre du moment auquel la compagnie Eleor a acheté le terrain, mais avec ce prix, leur groupe ne fera aucun profit. Après tout, un lopin de terre nécessite une gestion et des frais fiscales à prévoir.” (Shiki)
“Eh bien… Il est vrai que je pense qu’il est temps d’avoir un magasin, nous devrions donc considérer ça comme une bonne nouvelle pour nous ?” (Makoto)
Devrions-nous l’acheter ?
J’ai utilisé un peu d’argent pour les affaires liées à Kaleneon, mais actuellement, nous en avions plus qu’assez.
“… Mais c’est… Tomoe-dono.” (Shiki)
“Hmm. Il est vrai que c’est quelque peu étrange-ja na. Waka, ne décidons pas immédiatement et ayons d’abord une discussion d’affaire avec l’autre partie. Le plus tôt possible, un jour où Shiki ou moi serons disponibles. Il y a quelque chose que je veux confirmer.” (Tomoe)
“… Entendu.” (Makoto)
“Waka-sama, j’ai visité un bon nombre de fois la compagnie Milliono dans le cadre de demande de la guilde des Aventuriers. Obtention de matières premières en gros, des requêtes pour rassembler un montant précis de matériaux ; Ce genre de demande. C’est une supposition basée sur la quantité de requêtes et leurs récompenses, mais il semblerait que cette compagnie soit assez influente.” (Mio)
“Si Mio se souvient d’eux, ils ont probablement fait un bon nombre de demandes. Le directeur a adressé ses remerciements à Tomoe et à Mio. Il a déclaré que c’était grâce à nous deux que la circulation des matières premières issue du désert a augmenté.” (Makoto)
Le directeur de la compagnie Eleor et le directeur de la compagnie Millionor sont tous les deux habille avec les mots.
Ils sont bons pour les louanges.
Il était indéniable que Tomoe et Mio ont grandement contribué dans la circulation des matières premières du désert, mais ceux qui les ramenaient réellement, c’était des gens comme Toa et les autres.
Et pourtant, il a déclaré que c’était grâce à ces deux-là.
Les louanges sont gratuites, hein.
“Je ne me suis pas occupée d’aventuriers dernièrement, mais… Si Tamaki concentre son attention sur Asora, nous aurons plus du temps libre. Veux-tu que je fasse à nouveau acte de présence là-bas ?” (Mio)
Mio n’avait pas l’impression de plaisanter.
On dirait que les louanges ont marché.
“Du temps libre n’est pas quelque chose que nous aurons pendant un bon moment. Après tout, nous ne pouvons pas juste la laisser s’occuper soudainement d’Asora.” (Tomoe)
Tomoe semblait aussi voir de manière positive le fait de s’occuper des aventuriers.
Toi aussi ?
Eh bien, j’étais également heureux d’entendre que Tomoe et Mio avaient été louées.
La miko devenue récemment ma servante, Tamaki. Si elle apprenait rapidement son boulot, celui qui en profiterait le plus serait Shiki, mais ça réduirait aussi le fardeau de Tomoe et de Mio, alors ces deux-là allaient sans doute s’occuper d’aventuriers dans Tsige.
“Je ferai de mon mieux pour que vous puissiez avoir du temps libre.” (Tamaki)
Et Tamaki a répondu à nos regards par un sourire.
“Exact. Il semblerait qu’il n’y a pas de problèmes avec les portes connectant le sanctuaire Shinto avec la ville, mais combien de personnes auras-tu besoin pour gérer cet endroit ? Cette place est assez grande et personne ne connaît ce genre d’endroit…” (Makoto)
“Pouvoir aller et venir de cette ville au sanctuaire Shinto est la définition même du confort. Nous prévoyons d’entamer la discussion sur les travaux de construction avec les gens vivants au bord de la mer. Concernant les personnes qui vont contribuer aux activités dans le sanctuaire Shinto…” (Tamaki)
Le rapport de Tamaki avait débuté.
J’acquiesçais tout en écoutant.
Pour commencer, même s’il n’y avait pas de Divinités ici, le sanctuaire Shinto était un lieu pour les vénérer, alors au lieu d’ouvriers, elle voulait des gens compétents qui auront officiellement la fonction de prêtre.
Je peux comprendre.
Je l’accepte.
Ensuite, en ce qui concerne les connaissances du sanctuaire Shinto, il semblerait qu’elle veuille utiliser une partie des livres avec mes souvenirs que Tomoe a constitué.
Eh bien, c’était aussi acceptable.
Elle a été plutôt surprise quand elle a été amenée à l’endroit où nous stockions les livres. On pouvait voir clairement deviner son intérêt tandis qu’elle parlait avec Tomoe, alors qu’en temps normal, son visage était proche du poker face.
Pour acquérir les connaissances de mon monde, les livres étaient la méthode la plus rapide, et au cas où, Tomoe et moi avons vérifié le contenu des livres, il ne devrait pas y avoir de problèmes.
Récemment dans Asora, il y a des gens qui voulaient devenir cuisiniers, et dernièrement, des emplois spécialisés, qui n’existaient pas auparavant au sein de leur espèce, ont commencé à apparaître dans Asora.
C’est un peu réconfortant.
“Grâce à Makoto-sama qui a organisé une fête pour la floraison des cerisiers, leur première impression a été plutôt bonne et une religion n’est pas quelque chose que l’on peut forcer.” (Tamaki)
Apparemment, il n’y avait pas eu de sentiment négatif développé suite à l’apparition soudaine des temples.
Je n’avais pas vraiment prévu de les éduquer.
C’était génial qu’aucun problème ne fut survenu.
En commençant par Shiki, elle soulagera la charge de travail de Tomoe et Mio. Nous allons observer les capacités de Tamaki, mais on dirait qu’elle prévoit d’apprendre immédiatement.
Apprendre comment faire ton métier aussi rapidement que possible est une bonne chose.
Évidemment, nous allons observer et constater la quantité de travail qu’elle pouvait accomplir dans le même temps.
Si on lui en imposait trop, il était naturel que ça échoue.
Je l’ai déjà expérimenté plusieurs fois.
“C’est ce que j’avais à dire. Ainsi, après que je serai devenue capable de faire correctement mon travail, je pourrais aider avec la compagnie en assistant Shiki-san…” (Tamaki)
“Pas besoin. Après tout, Shiki fait du bon travail. Tamaki se concentrera sur les affaires d’Asora. Je voudrais que tu discutes et échange avec les nombreuses espèces d’Asora, qu’elles soient terrestres ou marine.” (Makoto)
Actuellement, par rapport à mes serviteurs, j’ai demandé à Tomoe et Shiki de contrôler la première ville ; Pour la ville qui a été construite au bord de la mer, j’ai demandé à Mio et Shiki de s’en occuper.
Je vais demander à Tamaki de s’occuper des deux villes pour réduire le fardeau de Shiki.
“Compris. Je me suis emballée un peu vite. Désolée.” (Tamaki)
“Non, je suis content d’entendre ton opinion. Continue à t’exprimer. Et donc, en ce qui concerne l’affaire que je t’ai parlée auparavant… Shiki. Je songe à augmenter le quota maximum de vente de marchandises à Tsige. En ayant constaté le dynamisme de l’actuel Tsige, je ne crois pas que la quantité en elle-même n’est pas le problème, mais… De combien penses-tu qu’il serait préférable ?” (Makoto)
Ayant tourné mon attention sur de Tamaki à Shiki, j’ai changé de sujet.
Mais alors, quelqu’un a frappé à la porte avant que Shiki ne pût répondre.
“Pardon pour l’intrusion.”
Permettant l’entrée de la personne, un jeune Ancien-Nain, qui était visiblement nerveux, est entré dans la pièce avec une voix tremblante.
… Il marchait bizarrement, le bras gauche suivant la jambe gauche et vice versa.
Je n’avais pas vu ce genre de démarche raide depuis l’époque la présentation à l’école primaire.
Cela pourrait être la première fois que je vois quelqu’un agir ainsi par nervosité.
“Merci pour le travail acharné. J’ai un certain nombre de choses que je voulais te demander. Veuillez rester ici pendant un moment.” (Tomoe)
“O-Oui !!!”
Tomoe a reçu des rapports et s’est adressée à lui.
J’ai déjà dit à tout le monde que l’un des employés du magasin de Tsige viendrait ici, il n’y avait donc pas de problème.
“… Pas besoin d’être aussi raide. Si tu le désires, que dirais-tu d’humidifier ton gosier avec du saké ? Cela pourrait t’aider à parler.” (Tomoe)
“Je vais bien !!!”
Mais l’Ancien-Nain ne donnait pas cette impression.
Quand j’ai regardé Tomoe et les autres, je pouvais constater que tout le monde pensait pareil.
Est-ce que c’était une mauvaise idée d’avoir demandé à un employé de venir ?
Ont-ils décidé de qui viendrait par une sorte de jeu de punition ?
Apparemment, Beren-san se présentait assez souvent dans le magasin, alors peut-être qu’il aurait été préférable si je lui avais demandé de désigner la personne.
Cependant… Est-ce que c’est vraiment quelque chose d’aussi stressant ?
On dirait que Tomoe avait des doutes sur le fait de pouvoir entendre quoi que ce soit à cette allure, alors elle a choisi l’une des boissons contenant un peu d’alcool.
Un liquide vert émeraude brillant a été versé dans une coupe par Tomoe, l’Ancien-Nain l’a pris avec des mains tremblantes et l’a bu d’une traite.
Selon les standards des Ancien-Nains, c’était un alcool faible avec au mieux un léger parfum, il ne s’effondrera pas avec ça. Ce n’était pas suffisant pour le calmer complètement, mais il était toujours en mesure de se relaxer un peu, ou du moins, il en avait l’air.
“À présent… Je vais e-e-e-expliquer le contenu des r-r-r-rapports.” (Ancien-Nain)
Pas bon.
Cela ne semblait pas marcher.
“Non, attends. Les rapports sont vraiment bien écrits. Nous serons ceux poseront les questions, contente-toi de répondre.” (Tomoe)
…Tomoe lui a envoyé une bouée de sauvetage.
Oh, je peux apprendre de ça.
“Il est vrai que c’est bien fait. C’était sans écrit par la Gorgone Yumemi. Après tout, elle fait un excellent travail administratif.” (Shiki)
“C’est comme vous le dites, Shiki-sama !” (Ancien-Nain)
Gorgone.
Ouais, en effet, il y en avait une dans le bureau.
Yumemi.
J’ai pu me souvenir d’elle en détail maintenant que j’ai entendu son nom.
Elle était la troisième fille à être allée à Tsige.
Elle semblait être plus vivante maintenant, mais… Elle ressemblait à la Gorgone dans mes souvenirs.
Les femmes pouvaient changer de bien des manières en changeant de maquillage et des vêtements.
J’ai vérifié les rapports qui m’ont été transmis.
D’ailleurs, j’ai été le dernier à les consulter.
Hein~, ces documents étaient écrits avec une belle écriture et étaient facile à lire.
Je pouvais comprendre la raison pour laquelle elle était louée.
Il y avait beaucoup de comparaisons de chiffres, je pouvais donc comprendre la situation actuelle et comprendre la raison derrière cette demande.
… Je devrais la garder comme modèle.
“Alors, concernant la clientèle actuelle de la compagnie Kuzunoha…” (Tomoe)
Tomoe a commencé de poser les questions, et parfois, Shiki en posait aussi. L’Ancien-Nain leur répondait.
Au bout de 15 minutes…
L’Ancien-Nain, qui avait fini de répondre aux questions, affichait des signes de fatigue et a quitté la pièce.
Il avait l’air épuisé jusqu’au plus profond de son âme.
Après ça, nous avons discuté de chiffres spécifiques et avons décidé que le magasin les utiliserait à partir d’après-demain.
Ensuite, nous pouvions finalement entrer dans le cœur du problème.
“Ouais, avec ça, j’estime que le magasin de Tsige progressera. Pff… Bon, à propos de la révolution du royaume et les mouvements de Tsige…” (Makoto)
“Si Rembrandt dit que ceci se produira, il n’y a aucun doute qu’une révolution se produira en Aion.” (Tomoe)
“Je plussoie.” (Shiki)
“Je le pense également.” (Mio)
“…” (Tamaki)
En dehors de Tamaki, tout le monde approuvait les dires de Tomoe.
Tamaki ne comprenait pas la situation et les circonstances, il était donc naturel qu’elle garde le silence.
“Alors, que pensez-vous de l’indépendance de Tsige ? Aussi longtemps qu’une installation de la compagnie Kuzunoha se trouve là-bas, il est impossible que nous puissions rester hors de cette histoire.” (Makoto)
“À condition que ce soit cet homme, Rembrandt, qui essaie de le faire, ceci sera houleux, mais j’estime que l’histoire suivra son cours.” (Tomoe)
Tomoe semblait penser pareil que moi.
Honnêtement, puisque Rembrandt-san est celui qui est à la manœuvre, je crois qu’il y a une très grande chance de succès.
“Jusqu’à maintenant, au lieu d’être Tsige du royaume d’Aion, c’était plus comme Tsige la ville indépendante de l’entrée du désert. Si Aion n’est d’aucune utilité pour cette ville, je pense qu’il n’est pas étrange du tout qu’ils songent à l’indépendance.” (Mio)
Mio a souligné l’impression de Tsige en tant que ville.
Mais j’imagine que nous sommes pas loin de la réalité.
Tsige pourrait ne pas être considérée comme une base, mais c’était une ville avec un esprit de pionner.
Depuis l’époque où je suis arrivé à Tsige, le lien de ces habitants avec le royaume d’Aion était à peine existante.
“S’ils pouvaient se protéger par eux-mêmes, il n’y aurait que des intérêts à l’indépendance. Mais…” (Shiki)
“Quoi ?” (Makoto)
“Concernant l’auto-défense de cette ville, comme on pouvait s’y attendre, la protection fournit par l’une des quatre puissances majeures joue un grand rôle. Même ainsi, que ce soit Rotsgard ou Tsige, les villes, où Waka-sama a implanté un commerce, deviennent vraiment vivantes.” (Shiki)
…
C-C’est juste une coïncidence.
“… Je pense que c’est le bon moment pour une révolution. Mais Tsige est une ville inspirant la crainte. Le royaume Aion et l’union Lorel ; Je ne crois pas que ces deux puissances majeures toléraient un gouvernement libre d’une nation de petite taille dans leur voisinage.” (Tamaki)
Tamaki parlait de la difficulté à maintenir l’indépendance par rapport à l’économie et leur emplacement géographique.
Pour commencer, le royaume Aion ne lâcherait pas si facilement ces avantages.
“Apparemment, le travail préparatoire a déjà été réalisé par Rembrandt-san et les personnes influentes du secteur.” (Makoto)
“Oui, puisque Tomoe a reconnu les aptitudes le marchand dénommé Rembrandt, il n’a probablement pas fait l’erreur d’oublier ces points. C’est la raison pour laquelle j’estime que l’indépendance est possible, mais quand je songe à la façon dont ils pourraient conserver l’indépendance, il n’y a pas beaucoup de bons scénarios. Les Hyumains ne veulent pas de distraction alors qu’ils sont en plein combat avec la race des Démons. Qui sait si le royaume de Limia et l’empire Gritonia observeront ça sans rien faire.” (Tamaki)
“Oui.” (Makoto)
Il est vrai que la race des Démons pourrait utiliser la confusion provoquée par la révolution dans Aion et les conséquences de la déclaration d’indépendance de Tsige.
Si leur ennemi démontrait une faille en plein milieu de la guerre, ne pas en profiter serait du gâchis.
Dans ce cas, Tsige sera sévèrement critiquée par chaque nation.
Réfléchissons-y un peu plus…
J’ai comme l’impression que cela apporterait plus de problèmes.
“En premier lieu, même si c’est secrètement, pourquoi est-ce que l’union Lorel contribue à l’indépendance de Tsige ? Je ne comprends pas leur raison. Si les choses tournent mal, ça ne finirait-il pas en un changement d’affiliation du royaume d’Aion en l’union Lorel ?” (Tamaki)
“La raison pour laquelle Sairitz-san s’est exprimée était dû au fait que Tsige les a beaucoup aidés récemment.” (Makoto)
Dans un passé pas si lointain, il y a eu un incident avec un nuage pourpre venu du désert et a causé de lourd dommages à Lorel.
Cela a été résolu après l’aide apportée par Lime, ou plutôt, j’étais celui qui a géré le nuage. Officiellement, c’était Hibiki-senpai qui était parvenue à l’arrêter.
À ce moment-là, l’union Lorel avait requis l’aide d’Aion, ce qui avait fini avec l’assistance de Tsige. Rembrandt-san était celui qui avait travaillé directement sur les contres-mesures à apporter, ce qui avait grandement aidé selon elle.
C’était leur façon de remercier.
Maintenant que j’y réfléchis, j’ai comme l’impression que la coopération de Lorel dans cette histoire comporte plus de risques que d’avantages.
De toute façon, Tamaki estimait que Lorel visait Tsige.
C’est possible, mais…
“Bien que ce soit l’ordre de la régente de Lorel, je pense que c’est une raison incroyablement étrange pour une puissance majeure d’agir ainsi.” (Tamaki)
“Tamaki, même si tu n’es pas allée encore une fois à l’extérieur, tu t’exprimes comme si tu connaissais très bien la manière dont tourne le monde-ja na.” (Tomoe)
“Je n’ai pas reçu la permission d’aller à l’extérieur, mais pour compenser, je me suis appliqué à lire tous les rapports et j’ai regardé tous les enregistrements jusqu’à maintenant. Évidemment, je n’ai pas les connaissances des spécifiées de ce monde, alors s’il y a une quelconque partie sur laquelle je me trompe, je serais ravie que vous me l’indiquiez.” (Tamaki)
“Oh~, tu es passionnée par les études-ja no.” (Tomoe)
“Je veux pouvoir aider Makoto-sama dès que possible.” (Tamaki)
… Des étincelles virevoltent entre elles à nouveau.
Ces deux-là ont un sourire dangereux sur le visage et c’est un peu effrayant.
Mais rien qu’en consultant les rapports et enregistrements, elle a été capable d’en dire autant. C’est impressionnant.
C’est vrai. Tamaki parle sans connaître Tsige, Aion, Lorel et Rotsgard.
Gardant ça à l’esprit, je dois souligner les parties où elle a de curieux malentendus.
“Ok ok. Tomoe et Tamaki, arrêtez ça. Le plan détaillé de l’indépendance n’a pas été divulgué lors de cette réunion. Je vais essayer de demander plusieurs choses et je verais en conséquences. Aux moments où j’aurais besoin que vous veniez avec moi, ça serait bien si vous trouviez assez de temps libre.” (Makoto)
Compte tenu de la manière dont nous allions coopérer, c’est une période où je dois encore saisir encore plus d’informations.
De plus… Ouais.
Auto-défense, hein.
La présente condition est qu’Aion ne fournissait aucune force de défense de Tsige.
C’était la raison pour laquelle je n’avais pas d’inquiétude à ce sujet.
J’ai pensé que ça ne changerait pas grand-chose de la situation actuelle, alors ça devrait aller.
Mais le nom ‘Royaume d’Aion’ créait une défense invisible pour Tsige que je ne prenais pas beaucoup en compte.
Si on devait comparer une ville prospère d’une puissance majeure à celle d’une ville prospère autogouvernée.
Si une force extérieure voulait s’en mêler, la dernière serait une cible plus facile.
Tsige fournissait des matières premières qui étaient indispensables à l’extérieur et possédait des informations détaillées sur le désert, mais cela n’avait pas d’effet dissuasif.
Ou plutôt, il serait plus naturel pour les autres puissances de songer à une manière d’obtenir ces avantages.
Au lieu de coopérer ou de s’allier, si possible, il n’y a aucun doute sur le fait que s’en emparer soi-même est l’option avec le plus de profit.
“Demande-nous ce que tu souhaites.” (Tomoe)
Les trois autres ont acquiescé aux paroles de Tomoe.
Merci.
J’avais envie de les remercier, mais parce que c’était embarrassant , je l’avais simplement chuchoté dans mon esprit.
La réflexion de Rembrandt-san et les plans de Sairitz-san.
Je me demande ce que souhaitent vraiment ces deux-là à propos de cette histoire.
Réfléchir à ce genre de choses pourrait aussi servir de leçon.
La déclaration de l’indépendance de Tsige. Je suis intéressé par la manière dont le royaume Aion va traiter cette affaire.
De plus, le fait qu’une ville d’une puissance majeure essaye de gagner son indépendance; C’est sans aucun doute d’un conflit entre Hyumains.
La Déesse n’aura probablement l’occasion de mettre son grain de sel dans cette histoire, et même si elle le désirait, en réfléchissant à sa situation, je doute qu’elle puisse faire quelque chose.
Pas besoin de s’inquiéter pour la Blatte.
J’ai pas mal voyagé à travers le monde dernièrement, mais je vais sans doute arrêter pendant un moment.
C’est vrai, se calmer et…
Hmm ?
Même si je reste en retrait de cette histoire d’indépendance et de révolution… J’ai toujours mon travail en tant que professeur dans Rotsgard et je ne peux pas juste non plus délaisser le magasin et je dois aussi aller à Kaleneon de temps en temps.
Cela signifie… Je vais courir comme d’habitude.
“En tout cas, Waka, au bout du compte, nous n’avons pas pu visiter l’union Lorel. Alors notre ‘conquête’ des quatre puissances majeures devra être reportée jusqu’à notre prochain voyage d’agrément, hein. Quel dommage. Mais quand le moment viendra, laisse-moi t’accompagner s’il te plaît.” (Tomoe)
“Attends ! Attends Tomoe-san, qu’est-ce que tu dis soudainement ?! Tu as carrément sauté le sujet ?! Hormis la nouvelle qui est interdite de sortie et Shiki le favori, nous devrions avoir une petite discussion à ce sujet pour que J’Y aille!” (Mio)
… Je ne crois pas que je le favorise.
En plus ‘La nouvelle qui est interdite de sortie’, elle l’a dit comme si c’était une enfant.
Mio m’a éclaboussé sans vraiment le vouloir.
“Cela ne me dérange pas d’avoir une petite discussion, mais celle qui ira là-bas, c’est moi-ja. J’ai entendu dire que Lorel est un endroit où la culture de Waka a été transmise et vit encore. Il est évident que Waka et moi devrions être ceux qui iront là-bas !” (Tomoe)
… Ah.
Disant qu’elles devraient avoir une petite discussion, mais ensuite dire ‘je serais celle qui ira’. N’est-ce pas étrange ?
Il n’y a aucune conversation là-dedans.
Cependant, Tomoe ne reculait pas non plus.
Je ne savais pas qu’elle avait un tel attachement à Lorel.
Eh bien, il est certainement vrai que j’ai voyagé dans un certain nombre de grands pays, mais je ne dirais pas que j’étais en voyage d’agrément.
Appeler ça ainsi, ça blesse…
J’étais relativement sérieux lors de ces visites et j’étais également nerveux !
“Ok. Ayons une petite DISCUSSION !” (Mio)
“C’est ce que je souhaitais !” (Tomoe)
Faites juste ce que vous voulez.
Lorsque ces deux personnes s’exprimaient, les chances, que je sois pris là-dedans, sont assez élevées, mais je n’ai pas juste l’énergie pour les arrêter.
Shiki et Tamaki ne semblaient pas avoir non plus l’intention d’intervenir et ne faisaient qu’observer.
Même si le nombre de serviteurs augmentaient, même si les probabilités, que Tsige devînt indépendante, augmentaient, Asora sera toujours la même.