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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 231

Le banquet annonciateur de tempête

Tome 4 – Chapitre 231 – Le banquet annonciateur de tempête

Tard dans la nuit.

À une heure où plus un bruit ne retentissait dans Tsige et devenait silencieuse.

Même ainsi, dans cette ville qui a récemment été surnommée la ville sans nuit, il y avait encore des places où les gens continuaient à être actifs quelque fut l’heure.

Ou du moins, cette pièce, où il y avait un seul homme, était plongée dans le silence.

Cet homme était Patrick Rembrandt.

Le propriétaire de la compagnie Rembrandt que tout le monde reconnaissait à Tsige.

“…” (Rembrandt)

Rembrandt était toujours silencieux. Son regard a parcouru la montagne de documents qui était empilée sur son bureau.

Avec sa main gauche, il prenait les documents. Avec sa main droite, il tenait un stylo qu’il utilisait pour écrire quelque chose de temps en temps.

Il allait sans dire qu’il réfléchissait aux informations qu’il recevait sur le royaume Aion et Tsige.

Et c’était le document le plus récent qu’il a reçu des yeux et des oreilles que la compagnie Rembrandt avait placé dans plusieurs endroits.

Bien sûr, il y avait toujours de nouvelles informations qui venaient ici tous les jours.

Alors qu’ils essayaient de prendre avantage de la révolution pour obtenir l’indépendance de Tsige, il était techniquement la figure centrale, il vivait donc des jours où le sommeil était un luxe.

“… Bien. Il y a encore quelques points qui posent problème, mais… Le chemin a été tracé.” (Rembrandt)

S’il s’agissait du directeur de la compagnie Kuzunoha, il aurait déjà été noyé depuis bien longtemps et aurait échappé à la réalité avec une telle quantité de travail.

C’était une telle charge que même si un miracle se produisait, tout organiser aurait été sa limite.

Mais Rembrandt, qui avait l’intelligence et l’expérience, s’est assuré d’avoir un peu de temps pour pouvoir dormir quotidiennement et être apte à appréhender correctement la situation, il avait déjà terminé sa compréhension de la révolution du royaume Aion et l’indépendance de Tsige.

“Tu es vraiment très prudent.”

“… Eh bien, eh bien, je suis surpris. D’imaginer que vous étiez quelqu’un sans savoir-vivre pour entrer ainsi ici, je ne m’attendais pas vraiment à ça.” (Rembrandt)

“On appelle ça une ‘surprise’. Je l’ai appris de Raidou-sama.”

La soudaine visiteuse a répondu au sarcasme de Rembrandt qui faisait remarquer son manque de savoir-vivre.

Il est certes vrai que rendre une visite aussi tard dans la nuit sans s’annoncer était quelque peu cavalier.

Ce n’était pas quelque chose qui pouvait être pardonné juste en prétextant une surprise.

“Pensez-vous que vraiment que je consentirais à ça, Sairitz-sama ? Venir aussi tard dans la nuit sans même frapper, et évidemment, sans s’annoncer. Cela ne peut être vu que comme une intrusion.” (Rembrandt)

“C’est vrai. Je m’excuse pour l’impolitesse. Je suis vraiment désolée. Mais, ne pensez-vous pas que nous devrions apprendre à mieux nous connaître l’un l’autre, Patrick-sama ?” (Sairitz)

La jeune femme nommée Sairitz, a conjuré le regard affûté et les paroles de Rembrandt en lui ayant répondu avec une voix séductrice et un regard coquin.

Elle était originaire d’un pays proche d’Aion, l’union Lorel, en outre, elle était une personne avec une position influente.

En repensant à sa position sociale, elle entreprenait une action incroyable dangereuse.

“Je crois que ce que vous comprenez déjà ce que nous avons tous les deux besoin.” (Rembrandt)

En revanche, Rembrandt ne s’était pas défait de son attitude habituelle.

Il attendait simplement la suite des paroles de Sairitz.

“Halala, même si vous allez agir aussi astucieusement que vous l’avez fait par le passé, vous êtes plutôt franc. Apparemment, l’image que j’avais de vous est légèrement différente de maintenant.” (Sairitz)

“Vous avez l’intention de me montrer l’efficacité de la collecte d’informations au sein de l’union Lorel et me mettre la pression ? Même si je me démontrais ces capacités autrefois, il serait anormal de conserver le même état d’esprit qu’à l’époque. Vous avez déjà mené une enquête poussée, alors ne faites pas de blagues idiotes.” (Rembrandt)

“Vous n’avez d’yeux que pour votre femme et vos filles, hein. Je ne peux pas m’empêcher de considérer ça comme étrange à mes yeux. Cela concorde avec votre histoire et votre personnalité, cela peut paraître comme une piètre excuse, mais il y a quelque chose qui me dérange. Nous sommes dans une relation où nous deviendrons être camarades. Je ne ferais pas quelque chose comme ça sur juste une impression. C’est l’une des raisons pour lesquelles je vous rends visite.” (Sairitz)

“Vous dites ça comme si unir nos corps, nous rendrait capables de se faire confiance l’un l’autre ? Bon… J’admets que c’est une méthode valable pour approfondir les liens. Mais c’est une illusion qui fonctionne seulement qu’avec les personnes y croyant. Ce n’est pas du tout quelque chose que je m’attendrais de la part de la régente de Lorel.” (Rembrandt)

“…” (Sairitz)

“L’ampleur de cette affaire est bien trop grande pour y croire. Je ne sais pas ce qui vous rend si impatiente, mais si vous avez besoin de consulter quelqu’un, selon l’affaire, je pourrais aider.” (Rembrandt)

“Bon sang. Ma fierté en tant que femme a été salement blessée, mais je comprends que vous aimez vraiment votre femme et votre famille. Bien que je susse que mon objectif serait atteint peu importe comment les dés roulent, ça fait toujours mal. Je m’abstiendrai de le faire à l’avenir.” (Sairitz)

Sairitz a prononcé des paroles qui pouvaient être interprétées comme un abandon.

C’était une attitude où l’on pouvait affirmer que ce malaise, qu’elle avait envers Rembrandt, s’était évanoui.

“Sérieusement. Si ma femme avait le moindre soupçon, ma vie quotidienne devrait un enfer. Vous semblez l’avoir déjà remarqué, mais j’aimerais que vous cessiez complètement ce genre de chose qui ne m’apporte que des soucis.” (Rembrandt)

Tout en ayant soupiré, Rembrandt a réprimandé le comportement de Saritz.

C’était inévitable.

Aussi tard dans la nuit, dans une pièce où il était supposé travailler seule, il y avait une jeune femme.

C’était clairement une situation qui n’était pas bonne pour cet homme.

“Après tout, cette affaire est incroyablement importante pour Lorel. Même si c’est mon impression personnelle, je voulais quand même m’assurer du malaise que je ressentais. Je suis dans une situation où je ne peux pas m’approcher du facteur le plus incertain qui est la compagnie Kuzunoha.” (Sairitz)

“Kuzunoha et Raidou-dono sont des existences assez simples. Ce n’est pas comme si je ne comprenais pas ce que vous ressentiez, mais ces personnes rendent ce qu’on leur donne, sincérité pour sincérité, violence pour violence. Ils agissent assez simplement.” (Rembrandt)

“Il y a des fois où il est effrayant de ne pas savoir jusqu’où cette simple logique peut aller. Surtout pour quelqu’un comme moi qui s’occupe du futur de son pays.” (Sairitz)

“Eh bien, cela peut probablement aller très loin. C’est vraiment un sentiment agréable.” (Rembrandt)

“En tant que personne suivant la religion de la Déesse et servant les Esprits, c’est quelque chose que quelqu’un comme vous ne peut pas comprendre.” (Sairitz)

Cette fois, Sairitz était celle qui a soupiré et a retourné les reproches de Rembrandt.

“Hahahaha ! Vous ne pouvez pas comprendre, hein. Et pourtant, vous avez offert votre coopération et vous essayez de faire en sorte que la compagnie Kuzunoha vous soit redevable. Vous l’avez dit auparavant ‘peu importe comment les dés roulent’, avec ce genre de principe dans vos actions, vous possédez encore cette impressionnante aptitude de prendre des décisions. Vous êtes vraiment redoutable.” (Rembrandt)

“Pas autant que vous. Même si vous devez tout abandonner, votre bon sens vous dicte de vous concentrer sur Raidou-dono. Nous sommes aux frontières de la folie.” (Sairitz)

“Non non. Contrairement aux attentes, nous pourrions être plus semblables que nous pensions. Indépendamment de la confiance, c’est la raison pour laquelle je suis en mesure de croire en vous. J’apprécie énormément votre obstination et je peux accorder foi en votre jugement.” (Rembrandt)

“… Je crois aussi… En votre folie… Et la conviction qui la soutient. Cette conviction de ne jamais trahir la compagnie Kuzunoha peu importe ce qu’il se passe. C’est la raison pour laquelle quelqu’un comme moi, qui veut éviter la confrontation avec eux, est capable de croire en vous.” (Sairitz)

“Sérieusement. En d’autres mots, il n’y a absolument aucun problème. Nous…” (Rembrandt)

“‘Pouvons former une bonne relation’, n’est-ce pas ?” (Sairitz)

“Ouais.” (Rembrandt)

“Entendu. Je suis désolée d’avoir fait intrusion aussi tard dans la nuit. Je m’excuse encore une fois à ce propos, Patrick-sama.” (Sairitz)

“Cela ne fait rien. Je vous demande la prochaine fois de prendre rendez-vous au préalable pour que je puisse vous accueillir convenablement. Ah oui. Puisque que nous en avons la chance, puis-je vous demander autre chose ?” (Rembrandt)

“Bien sûr. Demandez-moi.” (Sairitz)

“Vous voyez, j’avais quelques légers doutes par rapport à vos actions et vos propositions. Je me demande quel genre d’existence est une prêtresse pour vous ?” (Rembrandt)

“… Alors vous en êtes venu à ce sujet.” (Sairitz)

“Démontrer l’efficacité de Lorel pour collecter les informations, cela semble injuste.” (Rembrandt)

Rembrandt avait également rassemblé des informations sur Sairitz.

Dire : ‘Par rapport à vos actions et vos propositions’, n’était qu’un simple excuse.

C’était parce qu’il avait rassemblé des informations sur Sairitz qu’il avait des doutes sur elle.

Rembrandt l’avait interrogé sur l’une d’entre elles.

“… Pour moi, cette personne est…” (Sairitz)

“‘Cette personne est…’” (Rembrandt)

“Une sœur, une fille et aussi une dirigeante. Non… Ce n’est pas ça.” (Sairitz)

“…” (Rembrandt)

Rembrandt attendait silencieusement la suite des paroles lentement prononcées par Sairitz.

“Elle est probablement… Quelqu’un que nous… Voulons protéger quoi qu’il arrive.” (Sairitz)

Et ensuite, sa révision a fait apparaître une légère surprise dans les yeux de Rembrandt.

“Oh~. Pour la régente, la prêtresse était évidemment une existence importante, mais quand je l’ai sondé, j’ai estimé qu’elle était une existence qui pouvait être remplacée.” (Rembrandt)

“Remplacée ? Il est certainement vrai que cela se passe ainsi. Mais pour moi, elle est la seule prêtresse. Huhuhu, c’est une réponse qui ferait remettre en doute mon statut de dirigeante si cela se savait. Veuillez garder ça secret.” (Sairitz)

“Bien sûr. Tout de même, je comprends mieux. Ainsi, j’ai éclairci quelques-uns de des doutes que j’avais sur vous. J’ai aussi pu profiter de votre visite. C’est appréciable.” (Rembrandt)

“C’est une bonne chose à entendre. Eh bien, passez une bonne nuit.” (Sairitz)

“De même.” (Rembrandt)

Sairitz est partie de la manière qu’elle est venue, sans faire de bruit.

Le silence est revenu dans la pièce.

“Pff~. Être à la limite de la folie est valable pour nous deux. Si le fondement de son jugement est la sécurité de la présente prêtresse, je peux comprendre son très net parti. C’était une découverte inattendue.” (Rembrandt)

Il a murmuré ces mots dans la pièce où il ne restait plus que lui.

“Si une personne manque de considération pour la prêtresse, elle pourrait ne pas se réveiller après être partie dormir ; mais si nous retournons ça dans l’autre sens, cela veut aussi dire que tant que cette personne n’est pas négligente dans sa considération envers la prêtresse, on peut croire en la régente dans les limites du raisonnable. Je devrais être reconnaissant qu’il soit devenu plus facile de saisir ses vraies motivations.” (Rembrandt)

Lorsque Rembrandt a reçu une offre de coopération de la part de la régente de Lorel, il a été incroyablement prudent.

Évidemment, il n’a toujours pas fait preuve de la prudence nécessaire envers Sairitz.

Cependant, il était maintenant capable d’appréhender une partie du mode d’action de Sairitz, il pouvait comprendre ses agissements.

C’était un grand pas en avant.

“Mais, ‘Peu importe comment le dé roule’ hein. Il est vrai que dans cette affaire, il n’y aura que très peu de chance que Lorel subisse des pertes. C’est vraiment un choix de positionnement ingénieux. Cette femme aurait aussi très bien réussi en tant que marchande. Si un tel bureaucrate existait ce pays… C’est une question que je me pose encore…” (Rembrandt)

Néanmoins, il n’y avait aucun doute que Sairitz n’était pas du tout une personne imprudente.

Elle était fiable et pouvait œuvrer comme une bonne partenaire. C’était le genre de personne qu’elle était, c’était ce que Rembrandt avait à nouveau reconnu en elle.

“De toute façon, j’ai fini ce que j’avais à faire. J’ai aussi pu me vanter. Maintenant, je dois juste continuer sur cette mince corde raide, mais c’est le bon chemin. Après tout. C’est tout ce que je peux faire…” (Rembrandt)

Avant que la lumière ne fut éteinte dans la pièce, les derniers mots de Rembrandt ont été prononcés avec une émotion palpable.

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Une nuit après quelques jours se soient passés suite l’ouverture du magasin de la compagnie Kuzunoha à Tsige.

Dans le magasin de Rembrandt, il y avait un certain nombre de marchands rassemblés là-bas.

Pour les personnes qui faisaient des échanges dans Tsige, une invitation de Rembrandt équivalait à une obligation.

En outre, dans le libellé de cette invitation, il y avait une partie qui disait : ‘Si possible, assurez que le directeur vienne’. C’était ce genre de fête nocturne.

Dans cette sale luxueuse, il y avait une nourriture qui ne perdrait pas contre elle.

En contemplant ça, il y avait de nombreux marchands qui devenaient pâles.

“Hé, Raidou est également ici.”

“C’est évident, non ? Cela ne fait pas longtemps qu’il a ouvert son magasin. Il ne peut pas tout simplement revenir à Rotsgard aussi vite. Peu importe qu’il soit le favori de Rembrandt-san.”

“Quoi ? Alors il a déjà l’intention de l’apprivoiser ? Il change de favori aussi rapidement que d’habitude, hein.”

“Tu es le seul à le dire.”

De nombreuses personnes jetaient des coups d’œils et parlaient à voix bases sur Raidou qui avait une conversation amicale dans le hall.

Ils étaient perplexes quant à la raison pour laquelle Raidou, qui n’assistait pas aux réunions des marchands de Tsige, se trouvait maintenant ici et ils en étaient également mécontentent.

En d’autres mots, un groupe qui n’avait pas une bonne impression de la compagnie Kuzunoha.

En termes de pourcentage, c’était environ 20-30% des gens présents ici.

C’était aussi de jeunes personnes avec un peu de talent et de fortes ambitions qui cherchaient à faire des affaires dans cette ville sans avoir rencontré suffisamment de bonnes opportunités pour les aider.

“Eh bien, même ainsi, la compagnie Milliono m’a complètement écrasé il n’y a pas si longtemps. Je n’ai rien pu faire contre.”

“Déesse merci, nous sommes bien traités par la guilde et les aventuriers. Mais il y a une raison pour laquelle nous avons le vent en poupe…”

“Comme attendu, c’est parce que nous entretenons une bonne relation avec une bonne relation avec la compagnie Rembrandt ?”

“N’est-ce pas la même chose pour tout le monde ? Mais j’ai comme l’impression qu’un nouveau vent se lève.”

“… Oh.”

“J’aimerais aussi m’entendre avec Raidou dès à présent. Il n’est pas nécessairede s’anéantir les uns les autres, n’est-ce pas ?”

“Cela serait formidable si vous nous disiez comment.”

“Bien sûr. C’est plutôt facile. Je vais également vous apprendre une règle que vous devez absolument garder à l’esprit. Écoutez-moi bien. Essayez de développer une relation SINCÈRE avec la compagnie Kuzunoha.”

“Kuzunoha ?”

L’homme a baissé la voix et parlait avec quelqu’un qui était un ancien rival.

Dans la salle où des groupes de gens se formaient ici et là, c’était l’une des conversations qui pouvait être entendue.

Tout le monde avait une particularité commune qu’ils partageaient tous.

C’était que ces compagnies avaient connu une croissance rapide, les personnes ici étaient au centre de ceux-là.

Ils s’étaient regroupés selon les personnes qu’ils voulaient rencontrer pour mener certaines discussions.

Le nom de la compagnie Kuzunoha.

Normalement, ils suspecteraient le plan d’un autre groupe.

Mais ce soir, les circonstances étaient un peu différentes.

La personne qui menait la discussion et celle l’ayant débuté, savaient que quelque chose soutenait la compagnie Kuzunoha.

Et à l’inverse des marchands novices, ils savaient aussi par essence que Rembrandt était la personne qui avait la main mise sur cette ville.

La compagnie Kuzunoha avait récemment ouvert un magasin d’une ampleur incroyable.

Évidemment, ça ne pouvait être rendu possible que par un soutien.

Il était difficile de croire que celui dirigeant cette compagnie était un jeune marchand qui ne séjournait que peu de temps en ville. Mais Rembrandt a même changé le nom d’une rue pour son bien.

C’était un fait acté.

“A-Alors, est-ce que tu me dis que le terrain que la compagnie Eleor se gardait… C’était pour l’offrir à Raidou ?”

“C’est ça. Bon, c’était un pari sur le fait que ça serait très rentable, mais… Il a construit un magasin d’une telle ampleur. Tout le monde, vous le comprenez bien, n’est-ce pas ?” (Directeur de la compagnie Eleor)

“Oui. Honnêtement… C’est une plaisanterie dont je ne peux en rire.”

“C’est en effet quelqu’un qui se débrouille bien dans cette ville, mais il est impossible qu’il ait mis suffisamment de côté pour construire un bâtiment de cette taille. Cela veut dire qu’il gagne beaucoup plus à Rotsgard.”

“Je n’ai d’informations que sur la vente et les achats des terres, mais Raidou-dono a payé la totalité de la somme quand l’affaire a été conclue. C’est vraiment une manière inhabituelle d’acheter payer.” (Directeur de la compagnie Eleor)

“Sérieusement ?”

“Un terrain d’une telle ampleur ? Plutôt de voir ça comme inhabituel, cela serait impossible.”

À un endroit légèrement écarté des autres, le directeur de la compagnie Eleor menait une conversation similaire.

Les deux directeurs de la compagnie Milliono et Eleor ont été invités par Rembrandt à créer un lien fort avec Raidou dans l’intérêt de l’avenir.

Il n’y avait pas de doute que le lien étroit avec la compagnie Rembrandt a joué un grand rôle dans leur récent succès.

Les marchands qui faisaient partie de ce groupe, étaient la colonne vertébrale de Tsige et c’était des personnes auxquels Rembrandt accordait une certaine attention.

Rembrandt avait jugé que même s’il était quelque peu en retard, Raidou apparaissait dans les conversations.

En regardant la situation dans son ensemble, il y avait environ 30% de jeunes présents au banquet qui ne voyaient pas Raidou de manière positive.

En outre, il existait des compagnies spéciales répondant à une petite quantité de demandes et des compagnies privées qui n’avaient pas de grandes ambitions ; En résumé, il y avait environ 40% de personnes dans cet endroit qui n’accordait pas beaucoup d’attention à la Kuzunoha.

Il y avait des gens qui se différenciaient dans le type d’activité et des personnes qui avait des types de clients différents, alors même s’ils étaient tous dans la même Tsige, il était naturel d’avoir beaucoup de compagnies qui n’avaient pratiquement pas de lien avec la compagnie Kuzunoha.

“… Pff.” (Raidou)

En desserrant la cravate qu’il n’avait pas l’habitude de porter, Raidou a pris un verre auprès du serveur et s’est posé dans un endroit un peu distant des autres.

Il y avait de nombreux regards qui scrutaient ses mouvements, mais ils se retenaient et personne ne l’approchait.

Dans ce lieu où tout le monde l’observait, Raidou ne pouvait montrer de comportement disgracieux.

Il s’était relaxé tout en connaissant les limites à ne pas franchir.

“On devrait être aux alentours où Rembrandt-san devrait sans doute avoir eu les derniers soutiens des compagnies de longue date, hein.” (Raidou)

Environ 10% des marchands dans la salle étaient des directeurs de compagnie faisant affaires depuis long date à Tsige.

Ces gens ont été de supporter la prospérité de la ville et ont pu garder une renommée sans tache.

En titre et en public, ils côtoyaient Rembrandt. En d’autres mots, il y avait un grand nombre de compagnie qui figuraient au premier rang.

Peu de temps après avoir été invités, ils ont été conduits dans une pièce séparée par la compagnie, et pour le moment, ils n’ont pu voir les personnes présentes.

Aujourd’hui, Rembrandt prévoyait de révéler les mouvements du royaume Aion aux marchands.

Cela signifiait que la phase de préparation du terrain était déjà terminée.

Mais bon, la position de la compagnie Kuzunoha et la participation de l’union Lorel ne seraient pas révélées.

“…” (Rembrandt)

Raidou a réprimé un soupir et a refixé son attention.

Et ensuite, après avoir vidé le verre qu’il avait dans sa main, il est retourné dans la salle.

Il était temps.

Quelques minutes après son retour dans le hall où les marchands se rassemblaient, l’hôte de cette soirée : Patrick Rembrandt, est apparu avec les autres grands pontes que tout le monde reconnaissait et l’atmosphère a complètement changé.

Voyant que le nombre de gens était le même de celui entré dans la pièce isolée, Raidou a légèrement froncé les sourcils.

Parce que même si Rembrandt lui avait affirmé qu’ils discutaient avec eux depuis bien longtemps, c’était toujours difficile de croire qu’il avait vraiment pu tous les convaincre.

Mais bon, aux yeux de Raidou, Rembrandt était un Hyumain sans faille.

Plutôt que de réfléchir aux détails de la conversation confidentielle qu’ils avaient eue, Raidou s’est simplement étonné que Rembrandt ait réussi.

“… À présent.” (Rembrandt)

En ayant présenté ses remerciements d’avoir accepté l’invitation, en ayant loué chaque marchand pour la prospérité de Tsige et en ayant fini son entrée en terme général; une lumière vive est apparue dans les yeux de Rembrandt et il est entré dans le vif su sujet.

“Malheureusement, il est devenu certain que les feux de la révolution vont se répandre dans le royaume Aion. Comment allez-vous… Comment allons-NOUS agir ?” (Rembrandt)

Avec un ton interrogateur, le vrai discours de Rembrandt a commencé.

La révolution en Aion.

L’indépendance de Tsige.

“… Je ne crois pas que ceci se réalisera, mais si possible… Je souhaite que le royaume, l’empire et la race des Démons ne s’impliqueront pas dans cette affaire.” (Raidou)

Ayant ressenti que le discours de Rembrandt réchauffait l’atmosphère, Raidou a murmuré ça.

Il était déjà clair pour lui qu’ils y participeraient aussi.

Ce murmure n’était pas par manque de résolution, mais bien l’inverse.

À quel point cette révolution allait-elle entraîner de changement ?

C’était quelque chose que même la Déesse ne pourra pas en prédire la conclusion.

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