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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 239

Enfin, une ouverture…

Tome 5 – Chapitre 239 – Enfin, une ouverture…

“Hein ?! Vous allez vous rendre à l’union Lorel ?!”

“Oui, j’ai une petite affaire à régler là-bas.” (Makoto)

Ah…

J’en suis à combien maintenant ?

Juste au cas où, je suis allé avertir mes connaissances dans la ville Académique que j’allais me rendre à l’Union Lorel, en commençant par le directeur Zara, mais…

Comme je l’ai reporté à chacun d’eux, je leur ai aussi dit que ça n’affecterait pas mon travail ici. J’avais en quelque sorte fini ma tournée de salutation, mais pour une quelconque raison, les autres personnes, que je n’avais pas encore rencontrées, sont venus à la compagnie en sachant que je m’y rendais. Cela faisait une quantité faramineuse de gens ayant envahi le magasin.

… Parmi ceux-ci, le personnel administratif de l’académie était le pire.

Quand il m’avait remarqué, il s’est frayé un chemin par m’atteindre avec une expression dévastée sur le visage.

Et ensuite, il s’est soudainement mis à genoux et s’est traîné jusqu’à mes pieds plutôt que ceux de Shiki qui était à côté de moi. Il s’y est cramponné en hurlant : ‘Menteur !’.

Dans cette ville académique où la reconstruction se poursuivait et qu’une grande partie des habitants était de retour, un événement comme celui-ci se produisait en plein jour. En outre, ce n’était pas une femme, mais un homme.

C’était une situation qui ne pouvait que semer le doute.

Pendant une seconde, j’ai cru que j’étais allé trop loin et qu’un étudiant s’était plaint, mais bon, utiliser le terme ‘menteur’ me dérange.

Après l’avoir calmé, je lui ai demandé de m’expliquer. Il a déclaré qu’il avait reçu des informations d’une certaine source et un tiers aurait dit : ‘Il se rend à Lorel et sera absent pendant plusieurs mois’.

… C’est juste mon avis personnel, mais… Les informations d’une ‘certaine source’ et les ‘dires’ d’un tiers ne sont clairement pas de confiance.

C’en est au niveau des news de ‘certains’ journaux sportif qui sautent a des conclusions à partir de presque rien.

De plus, il n’a reçu aucune notification d’annulation de cours de Shiki ou de moi. Pour commencer, même s’ils avaient reçu une telle notification, ils ne l’auraient pas accepté de toute façon et comme son stress atteignait des sommets, il s’est dit que ça créerait beaucoup de problèmes, alors il s’est précipité ici comme si la mort était à ses trousses.

Tout comme il l’avait déclaré, il n’a reçu aucune notification d’annulation de cours et il n’y avait pas non plus d’erreur.

Il est vrai que j’allais me rendre à Lorel, mais c’est une affaire qui n’avait rien à voir avec l’académie, alors je ne prévois pas d’annuler de classes.

Après que je lui ai expliqué que ‘peu importe ma méthode transport’, j’ai l’intention de poursuivre les cours comme c’était prévu’, je l’ai quitté.

J’ai dû donner la même explication maintes et maintes fois et après que avoir cru que j’en avais enfin fini, c’était le tour de Jin.

Ne travailles-tu pas ici à mi-temps ?

Pas bon ça, je n’ai pas vécu ce genre de travail, mais tu sais, puisque tu travailles pour moi, ton comportement devrait un peu changer, non ? Je suis ton boss, tu le sais ?

N’est-ce pas ainsi que ça fonctionne ?

“Euh… Qu’en est-il de la clas… ?!” (Jin)

Un léger bruit de ‘claque’ a résonné sur la tête de Jin.

“Jin ! Tu es au milieu du travail !” (Amélia)

L’éventail en papier d’Amélia a frappé l’arrière de la tête de Jin et l’a interrompu.

Quand j’ai regardé l’éventail en papier qu’elle tenait, le mot ‘douleur’ était écrit dessus.

Ah, c’est celui qui fait mal.

Je me souviens qu’ils avaient fabriqué trois types d’éventail : Le premier produisait simplement un bruit fort mais ne faisait pas mal; Le deuxième produisait un bruit ne correspondant pas à un éventail et faisait mal; Le troisième ne produisait aucun bruit, mais faisait le plus mal.

Évidemment, c’était pour de bonnes blagues.

… Le premier en tout cas.

Faire des tsukkomis en plein milieu du travail est aussi discutable, mais nous sommes dans l’arrière du magasin.

Ces deux-là organisaient l’inventaire.

C’est la raison pour laquelle ça reste tout juste convenable.

“!!! Amé… lia ! Tu… ça… mal.” (Jin)

Jin tenait sa tête dans ses deux mains.

C’était tellement douloureux qu’il ne pouvait pas s’exprimer correctement.

Selon les dires d’Eris, celui qui produit un bruit et de la douleur reste toujours ‘trop doux’.

… C’est parce qu’elle a déclaré quelque chose comme ça que le troisième type a été créé.

Cette fille était en fait plutôt intelligente…

Apparemment, cela semblait silencieux et douloureux, il a créé avec la devise ‘Ne produit pas de sang ou de larmes’.

Dire qu’au début il avait été créé comme un outil de punition pour Eris.

Alors ça ne servait à rien si c’était ‘trop doux’.

Au passage, la dernière version n’avait pas le mot ‘douleur’ écrit dessus, c’était un crâne.

“Je suis désolée, directeur, nous allons tout de suite reprendre le travail.” (Amélia)

“Pas grave, je vais lui répondre. Laissez-moi vous dire ceci. Jin, il n’y a pas de changement dans le déroulement des cours. C’est la raison pour laquelle vous pouvez continuer de faire de votre mieux sans avoir à s’inquiéter.” (Makoto)

“M-Merci-ssu !” (Jin)

“… Ne te laisse pas trop intoxiqué par la manière de parler de Lime, ok ? Si tu dois apprendre de quelqu’un, prends exemple sur Akua. Ça serait mieux.” (Makoto)

La sécurité est le mieux.

La sécurité est importante.

C’est une vérité que les personnes ne réalisent généralement pas.

“Oui !” (Jin)

“Waka~, Waka~”

“Ne prenez SURTOUT pas exemple sur la petite qui arrive. Ou il sera trop tard.” (Makoto)

Trop tard n’est pas une bonne chose, clairement pas.

J’ai remarqué la propriétaire de cette voix criant : ‘Waka’ et a un petit sourire ironique est apparu sur mon visage.

Peut-être que Jin et Amélia ressentaient la même chose, ils avaient une expression quelque peu troublée.

Eh bien, même quand elle était ainsi, elle était capable et également leur senpai.

“Quoi de neuf, Eris ?” (Makoto)

“Ah, Waka~. D’imaginer que tu accordes ton attention aux jeunes pousses à mi-temps. Quel directeur admirable ! Un modèle en tant que marchand !” (Eris)

“Cela devient étouffant ici et j’ai comme l’impression d’être calomnié. Soit dit en passant, tes loisirs ne ressemblent pas de plus en plus à ceux de Tomoe ?” (Makoto)

“Au début, c’était forcé, mais… Plus elle forçait, plus je me suis habituée~~.” (Eris)

“Hé hé.”

“Mais dernièrement, elle a sorti des choses comme des dramas, des PC et d’autres trucs occidentaux. J’ai maintenant saisi sa profondeur et j’ai ouvert les yeux~~.” (Eris)

“…” (Makoto)

“Eh bien, l’écran est encore rustique et au lieu d’appeler ça un PC, c’est plutôt comme un traitement de texte. Cela s’épanouit d’une manière que j’aime.” (Eris)

“… Je vois.” (Makoto)

“C’est bien ainsi~~, héhé.” (Eris)

“Et donc ? Pourquoi es-tu ici ?” (Makoto)

A-t-elle une quelconque grosse affaire à régler quelque part ?

C’est Eris dont nous parlons, alors elle s’est sans doute focalisée sur des choses étranges comme des techniques pour tuer les acteurs.

Je comprends que vous ayez hâte d’en parler, mais j’ai décidé de ne pas aborder ce sujet pour aujourd’hui.

“Hmm, quelle froideur. Mais cette partie me fait craquer, c’est ce qu’une des Gorgones a dit, tu le savais ? Ah, il y a un invité.” (Eris)

“Je n’attendais personne. Qui est-ce ?” (Makoto)

Bien sûr, je n’ai pas répliqué au passage sur la Gorgone.

Jin et Amélia n’ont pas encore rencontré les Gorgones… Normalement.

À l’avenir, j’avais l’intention de les faire combattre les Gorgones en tant qu’adversaires pouvant vous battre à l’instant de votre rencontre.

“C’est un des compagnons des jeunes ici. Gizumo…ou était-ce Rizumo ?” (Eris)

“Izumo.” (Makoto)

“Huhuhu, comment c’était Waka ? Juste en ajoutant une lettre, j’ai été en mesure de changer son nom en un monstre terrifiant et mignon en même temps et en un aliment blanc et magnifique.” (Eris) (NTF : Pour Gizumo, je suppose que c’est Gizmo des Gremlins.)

“Ne déforme pas le nom des gens pour ton bon plaisir. Izumo, hein. C’est inhabituel. Eh bien, je vais aller voir ce qu’il a à dire.” (Makoto)

“Alors je vais te guider~.” (Eris)

“Eris, pas besoin. Aide-ces de…” (Makoto)

“Puisqu’ils étaient lents, j’en ai déjà fait la moitié. Le reste peut être accompli par ces deux-là. À ce rythme, ils devraient pouvoir le faire en une heure.” (Eris)

“… Rien ne t’échappe.” (Makoto)

“Immanquablement. Une banane ?” (Eris)

“Ok ok. Et donc, Jin et Amélia, je compte sur vous pour terminer ce qu’il reste. Ouvre la voie.” (Makoto)

“Yep ! Hé, faites de votre mieux les jeunes !” (Eris)

Eris allait de l’avant avec bon entrain et en mettant ses deux mains derrière la tête.

“Pas moyen. Elle a vraiment accompli tout ce boulot…” (Amélia)

“Es-tu en train de me dire que l’on aura le niveau d’Eris-san, on pourra organiser l’inventaire en continuant de parler ? C’est d’une toute autre ampleur. C’est vraiment effrayant cette loi de la copie.” (Jin)

“C’est une loi ? Juste pas le nom d’une aptitude ?” (Amélia)

J’ai laissé ces deux-là tremblant devant l’accomplissement du travail d’Eris et me dirigeait vers l’endroit du magasin où se trouvait Izumo.

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“Et alors, de quoi voulais-tu parler avec moi sans la présence de Shiki ?” (Makoto)

Izumo avait un visage crispé tandis qu’il attendait.

Apparemment, ça concernait l’union Lorel.

Je pensais que bien que cela reviendrait sur le tapis, il m’a demandé de parler seul à seul avec une expression songeuse.

C’était quelque chose de vraiment inhabituel.

Car Izumo se fiait clairement plus à Shiki qu’à moi.

Mais la famille d’Izumo se trouvait à l’union Lorel et il était un étudiant à l’académie envers lequel nous partagions aucune hostilité.

Puisqu’il a pris la peine de venir ici, j’ai décidé d’écouter ce qu’il avait à dire.

Nous ne pouvions pas simplement avoir une discussion dans le magasin, nous sommes donc allés dans ma chambre.

“Vous allez à l’union Lorel, n’est-ce pas ?” (Izumo)

“Pour une négociation. Laisse-moi être clair sur une chose, il n’y a aucun changement dans les cours.” (Makoto)

“Ah, oui. Dans quelle partie de Lorel allez-vous vous rendre ?” (Izumo)

… Il me semblait agité.

Izumo était le genre de personnes à demander beaucoup de choses comme : ‘Comment allez-vous assurer les cours en partant à Lorel ?’ et ‘Comment allez-vous revenir ici ?’.

“… Nous allons nous diriger vers une cité dénommée Kannaoi. Ensuite, à partir de là, nous allons nous diriger vers le donjon.” (Makoto)

“?!!! Se pourrait-il que… Vous vous dirigiez vers le grand donjon Yaso-Katsui ?!” (Izumo)

“Comme attendu d’un lieu célèbre de Lorel. C’est exact. Dans Rotsgard, personne ne connaissait ce nom en dehors des aventuriers.” (Makoto)

Sans acquiescer ou réagir à mes paroles, Izumo a gardé le silence.

Toutefois… En y repensant, serait-il lié d’une quelconque façon au donjon ?

Maintenant que j’y réfléchis, Shiki a déjà parlé de la famille d’Izumo.

“… Est-ce que cette négociation sera avec…Les Ikusabe ou les Osakabe ?” (Izumo)

“Aucun, c’est avec une bande de mercenaire dénommée Pique-nique au Jardin des Roses.” (Makoto)

“…” (Izumo)

“… Qu’est-ce qui ne va pas ?” (Makoto)

Le visage crispé d’Izumo s’était soudainement transformé en un visage sans émotion.

Je ne pouvais même pas dire qu’il était surpris.

Et il a parlé de quelque chose qui me dérangeait aussi.

Ikusabe ? Osakabe ?

C’était des noms que Sairitz-san n’avait pas évoqué.

Maintenant que j’y réfléchis, je vais recevoir un ordre écrit qui me laissera aller où je veux, mais je n’ai pas vraiment été informé des détails sur le pays en lui-même.

Tout ce que je me suis souvenu, c’est qu’il n’y avait pas de guerre civile et que c’était paisible.

Quand je lui ai demandé s’il y avait quelques tempêtes là-bas, elle m’a répondu : ‘Sur notre territoire, seulement quelques-unes’, et a rigolé.

Ce genre de ‘territoire’ est vraiment effrayant. (NTA : Cela sous entend des conflits politiques.)

Mais bon, chaque grand pays doit avoir sa part de conflit politique, et si ce n’est que ça, cela peut être considéré comme paisible.

Hmm, exact.

Ikusabe est le nom de famille Izumo.

Ah !

Si je me souviens bien, Shiki a parlé de quelque à propos d’Izumo et de la branche familiale principale se trouvant à Lorel.

Je vois.

Est-ce que Kannaoi et Yaso-Katsui sont des lieux où sa famille possède une forte influence ?

C’était la raison pour laquelle Izumo était ennuyé par notre destination.

Attends, des places où sa famille possède une forte influence ?

Si c’est vraiment le cas… Est-ce que ça veut dire qu’Izumo fait partie d’une illustre famille ?

Se pourrait-il qu’il… Soit un vrai ‘Waka-sama’ ?!

“ Pique-nique… Au Jardin des Roses…” (Izumo)

“Oui.” (Makoto)

“Les gardes-fou du donjon Yaso-Katsui. Ce groupe de mercenaire ?” (Izumo)

“C’est exact. Je suis surpris que tu le saches.” (Makoto)

“Sensei !!!” (Izumo)

“Hé, qu’est-ce qui ne va pas, Izumo ?” (Makoto)

“Veuillez ne pas vous embêter avec moi… Quelqu’un comme moi !!!” (Izumo)

“Ah ?” (Makoto)

“C’est bon ! Peu importe si Sensei est du côté d’Ikusabe ou d’Osakabe, ça n’a aucune importance !!! Après tout, je commence à comprendre pourquoi Sairitz-sama est passée à l’action !” (Izumo)

Izumo s’est soudainement levé et a pratiquement crié des paroles.

Je ne comprends rien du tout.

Je suis désolé, mais je ne suis en rien impliqué dans ce qu’il a dit.

Non pas que j’y réfléchis , mais j’ai comme l’impression d’être maintenant assez habitué à faire correspondre mon ton à mon discours, comme à l’époque où je m’exprime avec d’autres professeurs. Cela pourrait être imprudent pour moi de songer à ça en ce moment.

“Calme-toi. Je vais le dire clairement, je ne comprends rien à ce que tu dis. Il est vrai que Sairitz-sama m’a parlé, mais c’est juste une négociation avec le groupe mentionné précédemment. C’est la première fois que j’entends parler d’Ikusabe ou d’Osakabe.” (Makoto)

En outre, elle ne m’a pas demandé de garder ça secret.

Apparemment, le groupe de mercenaire était vraisemblablement un grand ponte dans Lorel, il n’était donc pas étrange pour lui de les connaître. En mettant ça de côté, elle n’a pas dit un seul mot sur Izumo.

“…” (Izumo)

“On m’a dit que j’étais la personne ayant le plus de chances de les convaincre. Je vais amener quelques compagnons et négocier un peu avec ce groupe de mercenaire. C’est tout.” (Makoto)

“Hum, Sensei, vous dites ‘un peu’, mais… Est-ce que vous savez où ils se trouvent ?” (Izumo)

Izumo était plongé dans un maelstrom d’émotions, mais il semblait apathique et m’a demandé ça avec une expression sérieuse.

“Évidemment. À l’intérieur du donjon labyrinthe Yaso-Katsui, non ?” (Makoto)

“… C’est tout ?” (Izumo)

“On m’a dit aussi qu’il y avait 20 étages souterrains.” (Makoto)

“Oui, c’est correct.” (Izumo)

“Je pense honnêtement que c’est véritablement emmerdant de le faire, mais comme c’est nous qui voulons négocier avec eux, alors on n’y peut rien.” (Makoto)

“… Sensei, combien de doigts ai-je ici ?” (Izumo)

Il a levé deux doigts devant moi.

“Deux.” (Makoto)

“Et là ?” (Izumo)

“Cinq.” (Makoto)

“Et maintenant ?” (Izumo)

“Dix. Soyons clairs, qu’est-ce que tu essaies de prouver, Izumo-kun ? Même moi je sais que le double de dix fait vingt.” (Makoto)

“Le 20ᵉ étage de ce labyrinthe !!! Ce n’est pas un endroit où vous pouvez aller simplement pour négocier, vous le savez ?!!” (Izumo)

“Je comprends. C’est obscur, confiné, et pour être honnête, je n’ai pas envie de le faire.” (Makoto)

“Obscur et confiné ?!!” (Izumo)

“Cela pourrait prendre deux jours ; Si je prends en compte la négociation, probablement trois jours.” (Makoto)

“Impossible Impossible Impossible Impossible Impossible !!!” (Izumo)

C’est quoi cette avalanche du même mot, comme si c’était une série d’attaque.

 

Il prononçait rapidement et sans heurt.

Il pourrait faire un bon vendeur.

“Je vais le répéter encore et encore, calme-toi.” (Makoto)

“Impossible !!! Je refuse ! Il n’y a pas moyen que je puisse me calmer ! La partie Est de Lorel, l’ancienne capitale : Kannaoi ! Et ce qui existe depuis l’antiquité et qui a élevé Kannaoi, la vallée Yaso-Katsui et son labyrinthe qui s’étend dans les profondeurs de la terre !” (Izumo)

“Oh~.” (Makoto)

“Et aussi, il y a le légendaire groupe de mercenaire qui a été créé par un Sage pour protéger nos ancêtres, Pique-nique au Jardin des Roses !” (Izumo)

Ce nom… Est vraiment en décalage.

C’est bien pour ça que je suis sûr qu’un Japonais a été impliqué dans la création de ce groupe de mercenaire.

Pas comme des légendes, mais comme des personnes qui ont réellement existées.

“… On dirait bien que Sensei ne le connaissait pas. Ok alors, je vais vous l’apprendre. L’ignorance est parfois un péché, mais il y a des fois où il est facile de l’expier. Il est préférable de le savoir avant qu’il ne soit trop tard.” (Izumo)

“Pas bon, j’ai déjà reçu assez d’informations…” (Makoto)

En réalité, je pense même qu’on n’a pas besoin d’en savoir plus que le nécessaire pour les négociations.

Peu importe à quel point tu me décris l’endroit comme confiné, lugubre et obscur, je ne vais pas me mettre à être content d’aller là-bas de toute façon.

Je peux créer une lumière à l’intérieur, contrairement aux jeux, je n’ai pas besoin de m’occuper de la cartographie de l’endroit et je peux juste simplement descendre sans me soucier des trésors.

Pour commencer, ce type devrait arrêter d’avoir ce regard.

Arrête ces yeux de fou.

J’aimerais qu’il soit plus énergique.

Argh, aurais-je marché sur un genre de mine ? Je ne peux pas en être sûr.

S’agissait-il de sa famille ? Ou serait-ce lié au groupe de mercenaire Pique-nique ? Peut-être que c’était à cause du 20e étage souterrain ?

Ou plutôt, ces mercenaires seraient-ils vraiment adorés ?

Est-ce vraiment une bonne idée de les amener à Tsige ?

De la façon dont Sairitz-san en parlait, ils donnaient l’impression d’être des personnes problématiques…

“Veuillez ne pas être réservé. Sensei a pris soin de moi, alors c’est seulement dans ce genre de moment où je peux vous rendre la pareille. Des informations sur Kannaoi, le Yaso-Katsui, le labyrinthe, les familles Ikusabe et Osakabe, les Sages et le légendaire groupe de mercenaire. Je vais tous vous raconter en détails, ok ?!” (Izumo)

Ouais.

Plutôt d’appeler ça un retour de faveur, c’était plus comme l’entendre se plaindre.

J’avais pensé à écouter mes élèves s’ils s’ouvraient à moi, mais… Ce genre de début n’est pas à mon goût !

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