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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 245

La princesse d'Osakabe

Tome 5 – Chapitre 245 – La princesse d’Osakabe

Conclusion.

Avec un enfant rajouté un groupe, le charme du bain s’est envolé.

On dirait bien qu’un enfant a un pouvoir destructeur bien plus grand de celui d’un bain mixte.

Grâce à ça, je ne me suis pas évanoui et j’ai pu prendre mon bain normalement.

… C’est juste que même si j’ai pu garder un peu la tête froide, j’ai fini par voir pas mal de choses.

Comme je le pensais, ils flottaient.

Ouais, ces deux étaient incroyables.

J’ai simplement pensé que c’était plutôt impressionnant, mais ce n’était pas la raison pour laquelle je n’arrivais pas à fermer l’œil.

Normalement, je devrais être en train de dormir à cette heure-là. Il y avait deux raisons à ça, mais fondamentalement, il n’y en avait qu’une.

La première était l’identité d’Iroha-chan que Tomoe nous a révélée après qu’Iroha-chan fut partie dormir.

La seconde, la surveillance des gardes du corps.

“Cette fille est la princesse d’une famille ayant une influence militaire, Osakabe de Kannaoi.” (Tomoe)

Je m’y attendais un peu.

L’homme âgé… Je crois que son nom était Shougetsu.

Il a aussi parlé de Kannaoi et j’avais des sueurs froides en songeant que nous avons fait quelque chose d’incorrigible dès notre premier jour à Mizuha.

“Mais elle n’est pas une princesse avec un grand pouvoir. Osakabe est une grande maison, alors il y a beaucoup de princesses et de princes.” (Tomoe)

Il semblerait que cette partie fut une bonne chose pour nous.

S’il y en avait pas mal et qu’elle n’avait pas un grand pouvoir, cela nous laisse une certaine marge de manœuvre.

Et ainsi, dans cet intérêt, nous ne devons pas nous mettre à dos Iroha-chan et trouver un moyen de discuter avec ses gardes du corps.

Elle paraît être attachée à Tomoe, alors la première condition semble facile à réaliser, nous devons donc avoir une discussion avec Shougetsu-san et les autres.

L’ordre écrit de Sairitz-san pourrait nous servir comme une preuve de notre identité.

En mettant de côté les relations entre les familles, j’estime pouvoir m’atteindre à une certaine efficacité pour pouvoir engager le dialogue.

En plus, on dirait qu’Iroha-chan elle-même ne le savait pas, mais Sairitz-san a sans doute parlé aux familles influentes de la compagnie Kuzunoha et de Raidou.

En se basant sur sa personnalité, elle ne me laisserait pas me balader à l’intérieur du pays sans avoir pris un minimum de mesures.

Je suis désolé pour Tomoe, mais ça serait un peu difficile pour moi de jouer le rôle de Koumon-sama tout en portant une bombe.

Peut-être que nous devrions rapidement trouver ces types pour en finir avec cette discussion.

“… Comme attendu, tu vas y aller ?” (Tomoe)

“Tu étais réveillée, hein.” (Makoto)

“Je prête attention à notre environnement. S’ils nous attaquaient ici, je songeais à m’amuser avec eux.” (Tomoe)

“Ils sont donc dans les alentours, hein.” (Makoto)

“Après tout, elle est leur princesse. Ils doivent désespérément investiguer. Hmm ?” (Tomoe)

“Hein ?” (Makoto)

Apparemment, Tomoe a remarqué quelque chose, son regard s’est tourné sur le côté.

Tch, nous attaquent-ils ?

Ils nous ont devancé, hein.

“Waka, là.” (Tomoe)

“… Le katana d’Iroha-chan ? Pour une épée possédée par un enfant, elle possède son propre mana.” (Makoto)

Elle brillait.

Eh bien, même si je le disais, ce n’était qu’un peu, car elle était toujours au fourreau.

Cette teinte était si douce que cela m’a rappelé la lumière produite par les lucioles.

Quand elle l’avait dans les mains un peu plus tôt, elle brillait aussi, mais dans quel but ?

“Cela ne semble pas dangereux, devrions-nous la sortir du fourreau ?” (Tomoe)

“Ne réveille pas Mio et Iroha-chan, ok ?” (Makoto)

“Je sais.” (Tomoe)

Tomoe a dégainé le katana sans aucune retenue.

Il semblerait qu’il ne soit pas du genre à pouvoir n’être manié que par son propriétaire.

Hmph~.

Le côté tranchant laissait sortir une faible lumière ici, comme pour s’enrôler autour.

Cela donnait l’impression que ce n’était pas le katana lui-même qui brillait.

C’était comme si de nombreuses petites lumières se superposaient conjointement…

“Qu’est-ce que ça pourrait être ? Le mana, qu’il dégage, est si faible que je n’arrive pas à le saisir… Je peux comprendre que ce n’est pas un katana orienté pour le combat, mais… C’est plutôt de bonne facture pour une œuvre artistique.” (Tomoe)

“Tomoe, à propos de la zone où la lumière est la plus forte…” (Makoto)

“Oui ?” (Tomoe)

“Est-ce que le bord n’est pas ébréché ?” (Makoto)

“Le bord serait ébréché ? Oh, maintenant que tu le mentionnes, il y a une petite fêlure.” (Tomoe)

Je pense que c’est différent de ce que je pensais.

Quelqu’un connaissait l’original et l’a répliqué.

C’était assurément le cas.

En premier lieu, il est impossible qu’il puisse exister dans ce monde, il n’aurait pas la taille d’une épée courte et utilisé par un enfant pour se protéger.

C’était un malentendu de ma part.

“Je vois. Bon… Remets-le dans son fourreau.” (Makoto)

“À tes ordres.” (Tomoe)

Après m’avoir observé, Tomoe a incliné la tête et a acquiescé.

“Quoi qu’il en soit, je vais y aller.” (Makoto)

“De mon point de vue, je préférais que tu restes ici jusqu’à ce que Beren et les autre nous rejoignent…” (Tomoe)

“Nope. Je vais y aller.” (Makoto)

“Si Waka le dit, alors qu’il en soit ainsi. Faites de votre mieux pour combler le fossé.” (Tomoe)

“Tu sais, nous ne savons pas ce qui pourrait arriver à l’avenir. Il vaut mieux ne pas nous créer des ennuis inutiles.” (Makoto)

“C’est vrai. Comme tu le souhaites. Lorel paraît être un pays plus amusant que je ne l’aurais cru, alors je vais renoncer à cette affaire.” (Tomoe)

“Ouais ouais.” (Makoto)

Nous avons toujours le labyrinthe qui nous attend.

De plus ‘Futsu’. (NTA : De nombreuses suggestions inclinerait à une référence à Futsu-no-Mitama,)

Dans Lorel, il y avait pas mal de gens qui le connaissaient.

Même si c’était un Dragon que je n’avais pas du tout entendu parler à Rotsgard.

Je ne pouvais pas dire quel genre d’existence il était.

Je n’avais même pas entendu ce nom dans la bouche de Root.

Mais bon, je n’ai pas envie de me casser la tête à revenir là-bas pour lui demander pour le moment.

Je pourrais toujours le faire quand je reviendrai à la ville Académique pour donner des cours.

À l’heure actuelle, ce qui était le plus important, c’était Shougetsu-san.

D’après ce que m’a raconté Tomoe, ils étaient proches de l’auberge, alors ça ne devrait pas poser de problème aux autres.

Si je quittais l’auberge seul, il était pratiquement sûr qu’ils prendraient contact avec moi.

À cette occasion, on n’y peut rien si je finis par être attaqué.

Cela serait juste comme d’habitude.

=====

Par exemple; Si on était dans un jeu de pêche, il y aurait un appât nommé ‘Misumi Makoto’, sa rareté serait la plus élevée.

Tous les poissons y mordraient.

Si on était dans un RPG, il y aurait un accessoire avec le nom ‘Misumi Makoto’, donc seul le taux des rencontres des ennemis problématiques augmenterait considérablement.

La rareté… Serait au niveau des déchets.

En d’autres mots, quand j’ai quitté l’auberge pour que Shougetsu-san et les autres m’attaquent, j’ai reçu un nombre d’attaques surpassant les deux chiffes.

Même dans une grosse cité… Non, c’était justement parce que j’étais ici et que je déambulais seul.

Pour couronner le tout, je suis clairement sorti de la meilleure auberge de Mizuha.

Hahahaha, je comprends que je le mérite.

Même ainsi ! Vous auriez dû m’attaquer bien plus tôt vous autres !

C’était ma pensée pendant un court instant.

“De quelle maison venez-vous ?!”

“La famille Misumi.” (Makoto)

J’ai dit ça pour les tester.

Après tout, cela serait problématique si je me présentais et qu’il existait aussi une famille Misumi dans ce monde.

Peu importe à quel point l’influence de Sairitz-san est grande, elle ne serait pas capable de changer le nom de toute une famille à cause de moi.

“Misumi ? Hum…”

“… Je n’ai pas entendu parler.”

“Ce n’est pas un nom que je connais.”

Les gardes du corps, le vieil homme et les gens qui ressemblaient à des serviteurs bougeaient leurs têtes de gauche à droite.

Alors il n’y avait pas de problème à me présenter comme je le fais d’habitude.

J’ai été traîné dans un bâtiment qui ne semblait pas être utilisé, j’ai été attaché sur une chaise et placé au milieu de la pièce.

C’était une salle sans fenêtre.

“Pourquoi avez-vous kidnappé Iroha-sama ?”

Celle en charge de mon interrogatoire semblait être une femme du nom d’Akashi-san.

Yuduki-san était également à sa droite, Shougetsu-san et les autres femmes se tenaient légèrement en retrait.

“C’est… L’une de mes compagnonnes qui a cru que vous autres étiez des vauriens voulant kidnapper un enfant.” (Makoto)

“Il y avait des circonstances derrière tout ça et nous avons déjà dit que c’était un malentendu.” (Akashi)

“Oui, vous avez raison. Ah, est-ce que vos brûlures vont mieux ?” (Makoto)

“!!! Ce n’est pas quelque chose dont vous devriez vous soucier, bâtard…” (Akashi)

“… Nous allons bien. Nous avons fini le traitement.”

Akashi-san semblait être en colère, mais Yuduki-san avait un visage calme tandis qu’elle me répondait.

J’en étais secrètement inquiet comme elles étaient des femmes.

“C’est génial. J’avais peur que cela laisse des cicatrices.” (Makoto)

“…Et donc, vous allez nous retourner Iroha-sama, n’est-ce pas ?” (Akashi)

“Évidemment. Nous n’avons aucune intention de blesser cette princesse-sama.” (Makoto)

“?!”

“À présent, je pense que nous pouvons revenir à votre première question, qui était ‘Qui suis-je’. Ah, Akashi-san, pouvez-vous fouiller dans la poche gauche de mon manteau ?” (Makoto)

“…’Fouillez dans l’endroit que vous n’avez pas pu faire auparavant’, c’est ce que vous me dites ?!” (Akashi)

Avant d’être attaché, j’ai été minutieusement fouillé sur tout le corps par Akashi-san et Yuduki-san.

Mon manteau était un article spécial que tu ne peux ouvrir les boutons à moins que ce soit moi, alors elles ont passé un moment désagréable.

“Je suis un marchand, il y a donc des choses que je préfère que les autres ne voient pas. Vous deux m’avez tâtonné tout le corps tout à l’heure, alors dans cette situation… Je ne pouvais pas faire grand-chose.” (Makoto)

“Qui voudrait toucher votre corps de son propre gré ?!” (Akashi)

“… Akashi, changement. Votre poche gauche, n’est-ce pas ? C’est… Un ordre écrit ?” (Yuduki)

“Oui, je crois que ceci servira comme preuve de mon identité.” (Makoto)

“Attendez, c’est…” (Yuduki)

Yuduki-san a éclairé sa main avec de la magie et lisait l’ordre écrit avec attention.

Yuduki-san était une intellectuelle avec qui on pouvait raisonner.

Akashi-san était impulsive, et lorsqu’elle était hostile, cela rendait la conversation des plus difficiles.

Dans cette situation, Yuduki-san était la personne la plus adaptée, mais… À mon avis, Akashi-san était celle qui m’a donné la meilleure impression.

Elle ne semblait pas avoir deux visages, voila où en était mon analyse.

Je pourrais être un sérieux cas de double facette.

“Shougetsu-sama.” (Yuduki)

“Oui. Qu’y a-t-il ? Le blason de la maison Kahara ?! En plus, cette forme… La plus haute accréditation ?” (Shougetsu)

Comme je le pensais, c’était des plus efficaces.

Il s’agissait d’un ordre écrit qu’une personne influente de Lorel a donné à un visiteur étranger, je pouvais donc m’attendre à un effet immédiat sur le plan diplomatique.

Les seigneurs féodaux et les maisons militaires étaient soumis à ce genre de chose.

Eh bien, plutôt que soumis, c’était plutôt qu’ils pouvaient traiter au mieux ce genre d’histoire.

“Le nom à l’arrière est celui de… Sairitz elle-même. Se pourrait-il…” (Shougetsu)

“Shougetsu-sama ?”

“Akashi, Yuduki, détachez-le.” (Shougetsu)

“P-Pourquoi ?!” (Akashi)

“Cet ordre écrit ne justifie pas de le détacher. Ils ont kidnappé Iroha-sama !” (Yuduki)

“Cette personne, Raidou-dono… Est un Sage.” (Shougetsu)

?

Il le prétendait ?

Maintenant que j’y réfléchissais, ce soldat l’a également fait, mais… Est-ce quelque chose qui pouvait être supposé juste par des caractéristiques physiques.

Cependant, Akashi-san et Yuduki-san m’ont traité assez rudement.

En d’autres mots, je ne faisais pas partie des plus beaux, mais même ainsi, avec seulement quelques caractéristiques physiques similaires, on ne pouvait pas juste deviner avec ça qu’une personne était un Sage.

Le point commun entre ce soldat et Shougetsu-san…

Ils ont eu l’ordre écrit dans les mains.

Mais Yuduki-san également.

Non, il y avait eu aussi Tomoe, Mio et moi qu’ils l’ont lu.

Nous trois n’avons vu ou lu quoique ce fut qui me désignait comme Sage dans cet ordre écrit.

Dans ce cas…

“Vous pouvez deviner que la personne est un Sage par ce document ou il y a des informations à l’intérieur qui le fait suggérer ?” (Makoto)

Une partie que seuls les gens avec une position officielle peuvent comprendre.

C’était la possibilité la plus probable.

“C’est comme vous l’avez deviné. De songer que vous étiez le Raidou-dono de la compagnie Kuzunoha. Il est certes vrai que le nom de cette renarde rusée n’est pas suffisant, mais il semblerait que je n’ai pas d’autres choix que de voir ça comme un malentendu des deux côtés.” (Shougetsu)

Shougetsu-san a poussé un petit soupir et a affiché un sourire sur son visage.

Un doux sourire.

On dirait que le premier compromis a été atteint. Du moins, je suppose…

Bordel, cet ordre écrit.

Pour quelle raison a-t-il été rédigée pour qu’on me traite comme un Sage ?

Est-ce pour aider à la rencontre du groupe de mercenaire ?

Plutôt que me percevoir comme un Demi-Humain, ils me traiteraient mieux s’ils me voyaient comme un Sage. Cela n’a pas beaucoup de démérites pour moi, ce qui rend les choses encore plus déplaisantes pour moi.

“Mais je n’y ai pas encore consenti !” (Akashi)

“Moi non plus. Je sais qu’Iroha-sama n’a pas suffisamment attiré l’attention du monde pour qu’un Sage-sama veuille l’assassiner, mais…” (Yuduki)

Akashi-san et Yuduki-san étaient toujours sur leurs gardes.

Si je devais dire la position des serviteurs, je dirais qu’elles ne sont pas plus d’accord.

Il y avait seulement Shougetsu-san qui pouvait comprendre une variété de choses et a renoncé à faire quoi que ce soit.

“Cela n’est parvenu qu’à un nombre limité de personnes, mais j’ai eu aussi accès à la notification. Il y a une compagnie qui se rendra dans le labyrinthe Yaso-Katsui, alors si ce groupe montre l’ordre écrit de la maison Kahara, nous devrions coopérer.” (Shougetsu)

“C’est exactement ce que nous sommes.” (Makoto)

“Exact. Akashi, Yuduki !” (Shougetsu)

“Compris !” (Akashi)

“… Compris.” (Yuduki)

En raison du ton sévère de Shougetsu-san, j’ai finalement été libéré.

Mais le mécontentent de ces deux-là était encore grand.

Elles ne paressaient pas du tout apprécier.

Pour le moment, on m’avait rendu l’ordre écrit.

Eh bien, c’est ainsi, hein. C’est agréable d’être traité comme un Sage pendant la durée de mon séjour dans ce pays.

Cela serait pénible d’essayer de le nier… Ah !

Se pourrait-il que ça fasse partie du plan de Sairitz-san ?

Non, arrêtons-nous là.

Je ne ferais que de creuser de plus en plus si je continue à y réfléchir.

“Nous sommes dans une situation problématique à bien des égards. Veuillez nous pardonner pour notre comportement excessif.” (Shougetsu)

“La même ici. Iroha-sama se repose paisiblement, veuillez ne pas vous inquiéter.” (Makoto)

“Alors, demain… Bien, non…” (Shougetsu)

Okay, le problème a été résolu.

C’est ainsi que ça devrait être.

Rien de bon ne peut sortir d’un problème qu’on repousse.

Il doit être réglé dès que possible.

C’est ce qu’on appelle grandir.

“Oui, dans la matinée, je dirai à Iroha-sama que c’était un malentendu et…” (Makoto)

“Raidou-dono.” (Shougetsu)

“Oui ?” (Makoto)

Qu’y a-t-il ?

“Il y a quelque chose que je souhaiterais vous demander. Puisque que vous êtes parti à une heure aussi tardive, cela doit signifier que vous aviez l’intention de nous prodiguer de votre temps, n’est-ce pas ?” (Shougetsu)

“Eh bien, évidemment. Hum, je pensais que notre discussion venait de se terminer il y a quelques instants.” (Makoto)

“Pour vous dire la vérité, il y a des raisons impliquant la présence d’Iroha-sama Mizuha.” (Shougetsu)

“Shougetsu-sama ?!”

Le vieil homme venait de s’exprimer et les quatre personnes le regardaient avec une expression surprise.

Je me souvenais des paroles maudites de Tomoe.

Non, je ne me souviendrai pas.

Je ne veux pas.

Ma progression, ma progression est… !

“Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas comme si Raidou-dono et Iroha-sama étaient des inconnus complets. Izumo-sama n’est-il pas votre étudiant ?” (Shougetsu)

“?!”

“…”

Nous allons donc dans cette direction, hein.

Cela serait une histoire différente si c’était pour m’épargner cette visite dans le labyrinthe !!! Mais c’est juste une charge en plus dans mon boulot !!!

C-Ce n’est pas drôle.

À ce rythme, mes autres étudiants vont aussi me rapporter leurs problèmes. Jin… Je ne trouve rien pour l’instant ; Amélia, bon, si c’est lié à Shiki, je n’aurais rien besoin de faire ; Le problème de Misura concerne l’église, le numéro un des choses que je déteste ; Dans le cas de Daena, les problèmes du mariage, je demande à ne pas être embêté par ceux-là ; Le problème avec les sœurs Rembrandt a été résolu.

Même ainsi, j’ai l’impression que Jin et Amélia pourraient être encore des bombes à retardements.

Même Izumo ne m’a pas causé de tels problèmes jusqu’à maintenant.

Je vois.

Iroha-chan est sa…

Ils n’ont même pas envisagé la différence d’âge, hein.

Cela ressemblait au scénario où deux vieillards buvaient du thé tout en décidant de marier leur prochain enfant à l’autre.

Ok, je vais écouter ce qu’ils ont à dire.

Et comme c’est lié à moi.

Ce n’est pas du tout assuré que tout ça se passe sans problème !!!

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