Switch Mode

Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 251

Les innombrables hauts sommets millénaires d'un restaurant chinois

Tome 5 – Chapitre 251 – Les innombrables hauts sommets millénaires d’un restaurant chinois

“Allons vraiment nous rester ici cette nuit ?” (Iroha)

Iroha-chan était abasourdie.

Pas bon, j’ai le même sentiment.

Même au sein de cette place où se trouvaient plusieurs auberges, celle-là était clairement d’un autre niveau.

Tout comme Zenno dans les confins du monde, il y avait une auberge pas du tout fait pour les aventuriers devant nous.

Si nous parlions précisément de la différence par rapport les autres, c’était comme si cette zone avait été construite autour de cette auberge.

Ce n’était pas comme si l’auberge était vraiment au centre, mais c’était plutôt comme si la première à avoir été construite était celle-ci, et que plus tard, les autres s’étaient développées autour d’elle.

J’avais vu des villes se développer à Asora, alors on peut dire que j’ai quelques connaissances à ce sujet.

En d’autres mots, c’était une place de choix.

Son atmosphère était également incroyable.

C’était telle que cela intimidait de rentrer seul.

J’ai entendu dire qu’ils avaient déjà trouvé une auberge, mais qu’il s’agisse de Beren, Hokuto, ou Shii, je suis très impressionné qu’ils aient choisi de décider de rester ici.

Je n’en ai que de vagues souvenirs, mais son concept était comme celui d’un célèbre établissement de sources chaudes qui s’était encore agrandi et a créé de nombreux autres bâtiments dans les alentours.

C’était entièrement fabriqué en bois et cette partie me rendait nostalgique.

Mais d’imaginer qu’ils seraient capables de le façonner aussi bien. Pour parler franchement, on se croirait dans ce film où l’on se trouvait transporter dans une source thermale rempli de kami. (NTA : Référence au Voyage de Chihiro)

“Oh~, Shii a l’œil pour les auberges-ja na.” (Tomoe)

“Cela semble à un endroit où nous pourrons nous relaxer plus que dans celle de Mizuha-desu wa.” (Mio)

Sérieusement ?

Même si je commençais à penser qu’une simple chambre d’hôtel d’affaire ne serait pas trop mal. J’ai toujours dans l’idée que s’il y avait un grand bain au sous-sol ou à l’étage, je considérais ça comme du luxe.

Et pourtant, pourquoi est-ce que ces deux inhyumaines et cette Ogresse forestière sont plus habituées aux auberges de luxe ?

Dans mon cas, j’aurais pu me reposer confortablement dans la calèche que nous avons prise lors de notre voyage avec un simple oreiller.

“Senjin Banrai Hanten. C’est sans aucun doute l’auberge numéro un dans Kannaoi. Je n’ai jamais séjourné dans cet endroit…” (Iroha)

Si je ne fais pas erreur, le panneau ‘Chihiro Manrai Hanten’. (NTA: Les innombrables hauts sommets millénaires d’un restaurant chinois)

Restaurant ? Attends, c’est un restaurant chinois ?

Ne devrait-il pas être écrit ‘auberge’ ou ‘ryokan’ ?

J’ai aussi pensé à quelque chose d’inutile comme ‘Pourquoi ne pas dire myriade de clients ?’ à la place.

“Les chambres, les bains, la nourriture, le service qui répond à ce que souhaite le client; Bien sûr, le prix suit aussi. Quiconque dans Kannaoi la reconnaît comme la meilleure auberge-desu.” (Iroha)

“A-Autant ?” (Makoto)

Ils ont un service qui répond à ce que souhaitent les clients ? C’est quoi cette partie ? C’est effrayant.

Ont-ils également des grooms ?

Peut-être qu’ils ont des employés dédiés à la chambre VIP ?

Mais je veux juste qu’on me laisse tranquille.

Cependant, Iroha-chan a acquiescé avec un visage sérieux.

Je n’ai pas discuté avec Shougetsu-san ce que nous devrions être faire à partir de maintenant, mais cette fille… Ne devrait-on pas la ramener chez elle ?

Pour une obscure raison, sa voix tremblait, et pourtant, ses yeux brillaient.

Elle est décidée à rester.

Eh bien, nous avons de l’argent.

Il n’y a pas de problème à rajouter un enfant.

Il vaut mieux que je ne demande pas, ni entend le prix, j’aurais sans doute une crise cardiaque. Je vais laisser quelqu’un d’autre sans charger.

Je n’ai pas l’habitude de payer des sommes aussi importantes.

Je n’arrive vraiment pas à m’y faire.

“C’est le ryokan le plus ancien et réputé dans Kannaoi qui a plusieurs légendes à son sujet-na no desu. Une raconte qu’un certain homme riche voulait voir le jardin potager situé au troisième étage souterrain du labyrinthe, et le lendemain, un groupe d’aventurier a escorté indemne la famille de l’homme riche jusqu’à là-bas.” (Iroha)

C’était à un tout autre niveau à celui d’avoir des employés dédiés à la chambre VIP.

Eh bien… C’était évidemment quelque chose que l’auberge a arrangé après une demande déraisonnable et idiote de l’homme riche… Mais un service qui te fait faire le voyage indemne dans le labyrinthe ?!

Se pourrait que ce soit ‘ça’ ?

Ce genre de commerce qui ne dit jamais non à ses clients ? Ont-ils une politique déraisonnable où les clients doivent être pleinement satisfaits ?

La nature de l’union Lorel… Je dois le reconnaître.

Cela sent les Sages.

C’est une manière de penser qui empeste clairement le Japon.

Le sentiment de mettre en jeu sa vie pour la satisfaction du client.

Il y a également l’histoire du mari de Root, le légendaire épéiste, Iori-san…

Cela ne serait pas étrange que des Japonais soient impliqués dedans.

Mais, pourquoi un restaurant chinois ?

Quel mystère.

“J’ai entendu dire qu’il y a un menu secret que seuls peu de personnes connaissent. Ce repas serait fait de riz, d’huile et d’œuf qui ferait revenir toutes personnes l’ayant mangé.” (Iroha)

Quel genre de riz frit est-ce donc ?

Est-ce que la recette ne serait-elle pas celle avec du filet de porc rôti, de la laitue, des crevettes et toutes autres aliments selon le cuisinier, puis assaisonner avec du sel et de la sauce soja ?

Cela faisait un moment que j’avais envie de le faire.

Quand j’étais au Japon, nous cuisinions à tour de rôle et il m’arrivait d’en faire, et pourtant, pour une curieuse raison, je l’avais oublié jusqu’à maintenant.

“Un régal, hein. Je vois, un régal…” (Mio)

Le regard de Mio brillait de manière suspecte.

Sa cible était claire comme de l’eau de roche

“Mais ce plat n’est pas dans le menu et seuls ceux qui connaissent son nom ont les qualifications pour le commander. Ou du moins, c’est ce qu’il parait-desu. C’est vraiment un plat légendaire. J’aime aussi le riz, c’est donc quelque chose que j’aimerais manger au moins une fois.” (Iroha)

Iroha-chan a hoché de la tête avec des ‘Oui Oui’.

Au coin de sa bouche, je pouvais voir quelque chose qui brillait légèrement… J’ai dû mal voir. Ouais j’ai dû mal voir.

Mais dans mon esprit, la seule possibilité derrière cette légende devrait être du riz frit.

Cette place étant un restaurant chinois, cela pourrait être ça.

La nourriture de Lorel paraissait être un peu différente, mais le riz était très apprécié, alors un plat avec une base de riz était assez convaincant.

Ah, si je me souvenais bien, un restaurant chinois peut aussi se référer à un hôtel en Chine.

Alors on peut le considérer comme un hôtel.

“Si c’est mets délicats à base de riz, j’aimerais y goûter-ja na.” (Tomoe)

Tomoe voulait également en manger

Si c’était elle, elle pouvait juste lire les souvenirs des personnes dans l’hôtel et le commander. Le secret n’empêchera pas Tomoe de mettre la main dessus.

À ce rythme, Mio ne se souciera pas des méthodes pour obtenir le nom de cette recette.

Aucun doute là-dessus.

Jusqu’à maintenant, les plats à base de riz, que nous avons mangés, étaient normalement peu collants, alors le riz frit serait un peu original.

Il existait une rumeur mystérieuse selon laquelle le curry, le riz frit et le karaage, étaient la nourriture la plus délicieuse de leur menu.

Et tout cela compliquait les choses.

Pourquoi est-ce que je suppose que c’est du riz frit ?

Pas bon, pas bon.

“Eh bien, en mettant de côté le riz… Euh je veux dire cette recette. Regroupons-nous avec tout le monde.” (Makoto)

Rester ici tout le temps à réfléchir à des choses étranges m’a intimidé à rentrer dedans.

Alors que j’exhortais les autres à se recentrer, Beren et les autres sont sortis pour nous accueillir.

Oh, on dirait bien que nous avons discuté trop longtemps pour qu’ils viennent nous rejoindre.

Ces trois-là ont dû en avoir marre de nous attendre.

“Enfin sortis. Sérieusement… Vous en avez mis du temps pour nous accueillir.” (Tomoe)

“Il semblerait que vous n’étiez pas attentif. Quelle honte.” (Mio)

Eeeuh.

Tomoe et Mio ont craché ses mots comme si elles attendaient que Beren et les autres viennent nous accueillir.

Alors ces deux-là discutaient ici pour tuer le temps ?

Je croyais qu’on allait se regrouper dans la chambre.

“Waka-sama, Tomoe-sama, Mio-sama, nous vous attendions !” (Beren)

Beren s’est approché au petit trot.

“Tout le monde, bon travail pour votre travail. Désolé de vous avoir fait chercher également le logement.” (Makoto)

“Qu’est-ce que vous dites ! Cela faisait longtemps que nous ne sommes pas allés aussi loin, nous sommes tous motivés pour nous atteler à nos taches ! Veuillez ne pas vous soucier des détails !!! Maintenant entrer, entrer !” (Beren)

Oh, Beren déborde d’enthousiasme.

Même le silencieux Hokuto était visiblement excité.

Shii faisait… Je ne sais pas où elle l’a appris, mais elle a fait la salutation d’un policier, cela donnait une atmosphère sérieuse avec son petit corps.

Menés par ces trois-là, nous sommes entrés dans le luxueux hôtel.

Euh…

“Bienvenue Raidou-sama, Tomoe-sama et Mio-sama de la compagnie Kuzunoha, nous attendions votre arrivée.”

Les employés étaient alignés des deux-côtés ?!

J’ai arrêté ma progression pendant un instant.

Un accueil de bienvenue oppressant… Réussissant d’une certaine manière à m’y opposer, j’ai repris ma marche.

Des paroles sans hésitation et des têtes inclinées.

Une vision que j’avais seulement vu à la TV.

La première chose, que j’ai vu en entrant, était le grand hall, il y avait pas mal de gens, mais ce n’était pas bruyant. Contrairement à l’apparence extérieure, son style était occidental. Peut-être que c’était dû à l’égard des touristes.

C’était un peu plus relaxant d’y entrer de cette manière que de devoir retirer ses chaussures avec un hall intégralement en tatamis.

La zone, où se trouvait la réception, était facilement localisable avec ses employés.

C’était presque dire ‘C’est par là’.

Entendu.

Tomoe et Mio paraissait imperturbable et s’en était mortifiant.

Apparemment, Iroha-chan faisait aussi face à la situation calmement.

… Bon, elle est une princesse après tout.

Elle était le genre de fille à te demander de retirer ses vêtements lorsqu’elle entrait dans le bain. Cette aptitude pourrait être en fait plus proche de sa véritable nature que quand elle était dans la calèche.

Il y avait quelques instants, elle parlait comme une plébéienne, alors je l’ai cru de mon côté, bordel.

Alors je suis la seule personne du peuple, hein.

J’ai compris~.

“Bienvenue, Raidou-sama.” (Employée)

“Je suis Raidou de la compagnie Kuzunoha. Nous allons être à vos soins pendant quelque temps. Hun y a-t-il une quelconque procédure à compléter ?” (Makoto)

Il paraît qu’ils ont déjà réservé une chambre pour nous, c’est sans doute bon.

Mais je préfère confirmer au cas où.

“Votre chambre a été louée pour les dix jours à venir. Tout est déjà arrangé, il n’y a donc pas de problème. Mais… la demoiselle ici présente, nous n’avons pas reçu de notification pour elle, désolée pour le dérangement, mais je voudrais vous poser quelques questions…” (Employée)

Une magnifique onee-san vêtue à la japonaise m’a demandé plus d’informations sur Iroha-chan en s’inclinant très bas.

Elle s’était un peu figée à la vue d’Iroha-chan.

Elle connaissait sans doute déjà son nom.

Elle était une des princesses d’une famille distinguée de cette cité, alors ce n’était pas si étrange. Mais bon, ses questions sont probablement une sorte de formalité.

…Sans doute.

Comme demandé, nous avons donné des informations supplémentaires et avons rempli quelques documents.

(Waka, en ce qui concerne la durée du séjour, étendons-la à un mois. Après tout, nous avons l’affaire Iroha.) (Tomoe)

J’ai regardé Tomoe.

J’imagine que tu veux te balader un peu partout, pas vrai ?

J’estime que 10 jours est suffisant, mais… Eh bien, si nous pouvons avoir plus de temps, ça ne serait pas une mauvaise chose.

Nous pouvons utiliser ce lieu comme zone sure pour laisser Iroha-chan si quelque chose arrive.

“Désolé, mais en ce qui concerne la durée de séjour, nos plans pourraient prendre plus de temps, alors je songeais à la prolonger. Est-ce possible ?” (Makoto)

J’avais comme l’impression qu’un hôtel de luxe aussi populaire que celui-ci ne pourra pas s’adapter à ce genre de choses.

Si cela était bien ainsi, devrions-nous ramener Iroha avec nous dans le donjon ?

Si possible, je voudrais l’éviter.

Il vaudrait mieux que Shougetsu-san reprenne la relève, mais à moins que d’en parler d’abord, il n’y a aucune garantie.

… Même moi je pouvais dire que j’étais un peu trop tendre avec Iroha-chan.

Elle avait le même âge que Rinon et Komoe-chan, ainsi que la fiancée d’Izumo.

Comment le dire… C’est comme si je finissais par m’attacher à elle et que je devenais trop laxiste avec elle.

“Oui, si la chambre attribuée convient aux personnes de la compagnie Kuzunoha-sama, nous pourrons arranger ceci.” (Employée)

Oh, comme c’est inattendu.

Non, elle a dit ‘si la chambre attribuée convient’.

Ah, c’est pareil que la fois à Mizuha, hein.

C’est donc ainsi.

“Alors veuillez prolonger le séjour à un mois.” (Makoto)

“… Un mois donc. Entendu. Pouvez-vous me montrer l’ordre écrit en votre possession ? C’est pour rédiger le formulaire.” (Employée)

C’est possible.

Y a-t-il une différence notable entre une période de 10 jours ou d’un mois ?

Les hôtels ont également la vie dure, hein.

J’ai montré l’ordre écrit avec la signature de Sairitz-san dessus.

Peut-être qu’elle le savait déjà ou qu’elle était professionnelle, l’onee-san n’avait pas bronché alors qu’elle écrivait comme si de rien n’était dans ce qui était sans doute le formulaire d’enregistrement.

“En outre, concernant le prix du séjour…” (Employée)

L’onee-san nous a regardé à nouveau pour aborder le prix du séjour.

“Tomoe.” (Makoto)

En ce qui concerne l’argent, je laisse ça à Tomoe.

“Oui. Vous avez ma gratitude pour avoir accepté notre demande. Nous réglerons le payement en avance, alors je vous demanderai de calculer le prix.” (Tomoe)

“En une seule fois ?” (Employée)

“Bien sûr. Évidemment, s’il y a des frais supplémentaires, vous pourrez les rajouter à la fin de notre séjour. Nous prévoyons d’aller dans le labyrinthe, alors nous ne séjournerons pas longtemps dans l’hôtel, mais nous serons à votre charge pendant cette période.” (Tomoe)

“Afin que chacun d’entre vous passe à un agréable moment, tous les employés feront de leur mieux.” (Employée)

L’onee-san a incliné la tête avec solennité.

Dans le même temps, pas seulement elle, mais l’onee-san à la réception et les autres personnes, qui n’étaient pas des clients, ont également fait de même.

“Eh bien, désolée pour l’empressement, mais est-ce que mon maître et les autres peuvent se rendre à la chambre ? Vous voyez, nous voudrions pouvoir nous reposer après ce long voyage.” (Tomoe)

“Oh, désolée pour le manque de tact.” (Employée)

Pendant un instant, l’onee-san a jeté un regard dans une direction où personne de notre groupe se trouvait.

“S’il vous plaît, veuillez me suivre.” (Guide)

Peu de temps après, une autre personne s’est adressée à nous.

Ils sont allés jusqu’à nous allouer une guide, hein.

Beren et les autres étaient déjà ici, alors nous aurions pu les laisser nous amener à notre chambre.

Eh bien, suivons simplement la guide à la chambre pour être libéré de cette tension, ce sont mes vrais sentiments.

Nous avons quitté Tomoe et après avoir salué la guide, nous lui avons demandé de nous montrer le chemin.

Peu de temps après nous ayons commencé à marcher, pour une raison inconnue, Mio s’est tournée dans la direction de Tomoe.

“Tomoe-san.” (Mio)

“Je sais. Je suis désolée de vous demander des choses les unes après les autres et cela ne me soucie pas si c’est demain, mais je voudrais demander au moins un repas.” (Tomoe)

“Il n’y a pas de lieu de s’inquiéter, demandez-nous ce que vous souhaitez.” (Employée)

“Bien. Pour être honnête, la Régente, Sairitz-dono, nous a parlé d’un sublime plat de cet hôtel. Nous aimerions essayer ce ‘riz frit’.” (Tomoe)

Tu as déjà lu sa mémoire, hein, Tomoe.

Dans ce genre de moment, les capacités de Tomoe et Mio étaient vraiment admirables.

Et elle a nonchalamment sorti le nom de Sairitz-san.

Alors Sairitz-san en a aussi mangé ici ?

Et c’était donc bien du riz frit, hein.

Tomoe avait déjà lu mes souvenirs, elle aurait déjà dû le savoir.

Je pouvais facilement l’imaginer dire ‘Oh, alors c’est du riz frit, hein’.

“… Je vais faire en sorte que vous puissiez l’apprécier au dîner.” (Employée)

“Vous êtes rapide-ja na. C’est plaisant.” (Tomoe)

“Merci pour vos louanges.” (Employée)

Tout comme le prix du séjour, je vais essayer de ne pas songer aux coûts de ce repas.

Iroha-chan, qui avait un visage impassible du début à la fin, a esquissé un sourire… Ou du moins elle essayait désespérément de se retenir.

À quel point es-tu excitée ?

Bon, dans quelle partie de ce bâtiment se trouve dans notre chambre ?

Pour de bon cette fois, nous laissons Tomoe derrière et parcourons le bâtiment.

C’est… Sûr que je vais me perdre.

Le plan du bâtiment affiché sur le mur était pratiquement semblable à un labyrinthe.

Est-ce que un échauffement avant le grand labyrinthe ?

Hé~, il y a même une cour.

… Attends, on est déjà au 2e étage ?

Si je me souviens bien, ce bâtiment lui-même était assez élevé…

Il se trouvait à un endroit plutôt éloigné du labyrinthe, alors la vue ne sera pas gâchée par ce mur extérieur imposant.

Tsige avait un grand mur, alors il pourrait aussi être intéressant. Quand j’aurais le temps, j’irais l’examiner.

“Cette partie de l’hôtel a été construite sur un versant. Je suis sûre que pendant votre séjour, vous apprécierez le cadre du bain et la vue nocturne.” (Guide)

Comme si on lisait dans mon esprit, j’ai reçu une explication sur la cour.

Nous marchions dans cette cour en étant guidés.

Nous sommes sortis à l’extérieur.

Une chambre où nous pourrions apprécier la vue nocturne, hein.

“Sérieusement ?” (Makoto)

“La salle est celle-ci. Évidemment, cette cour en fait partie, la sécurité est stricte, il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter de personne suspecte. Par le passé, des personnes comme Sairitz-sama et la Prêtresse-sama ont été accueillies, la chambre fessant la fierté de cet hôtel.” (Guide)

C’est exact.

Il semblerait qu’il y avait 5 personnes comme agents de sécurité ici.

Ils sont suffisamment compétents pour que j’aie besoin de [Sakai] pour les trouver.

“Allez-y s’il vous plaît. Prenez votre temps. Nous expliquerons les informations détaillées de cette chambre à Tomoe-sama lorsqu’elle en aura fini.” (Guide)

Elle a ouvert la porte de la salle, s’est silencieusement mise sur le côté pour nous laisser entrer.

Elle s’est inclinée et est partie.

Élégante jusqu’à la fin.

“D’imaginer que c’est la chambre dans laquelle ont séjourné Sairitz-sama et la Prêtresse-sama… ~” (Iroha)

Ah, elle ne l’a pas dit ‘desu’.

Dès le moment où il n’y a eu que nous, Iroha-chan a murmuré ça d’une voix tremblotante et est tombée à l’entrée.

Elle n’avait plus de forces dans ses jambes et se cramponnait au porte-chaussures.

“Hmm, riz frit. J’ai l’impression d’avoir déjà entendu ça…” (Mio)

Cette Mio… Elle était étrangement silencieuse, car elle était obnubilée par le riz frit.

En tout cas, même si nous sommes arrivés ici alors que la nuit tombait, ils allaient écouter notre demande et allaient préparer le dîner.

Avec seulement ça, je peux dire que c’est un excellent service.

Nous sommes venus dans un lieu magnifique.

Pouvons-nous vraiment aller dans un donjon tout en séjournant dans un hôtel aussi incroyable ?

Un donjon sombre et confiné.

Ah, il n’y a que cette partie qui me motive.

Commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Options

not work with dark mode
Reset