Tome 1 – Chapitre 26.5 – Hyumain, la vérité et une rencontre
Zetsuya
C’est le nom de la ville où je vais vivre.
Il y avait aussi de nombreuses personnes vivants sur le lieu, qui était appelé la ‘dernière base’, elle est positionnée sur la bordure de la frontière.
Sur la ligne principale d’exploration et de récupération.
Bien que mes connaissances m’ont été transmises par ma onee-chan, elle est ma seule famille.
La bordure du monde était considérablement vaste et que même maintenant, il est dit que les Hyumains n’ont pas encore tout exploré.
Ceux qui habitent sur ces terres étaient des ‘manonos’ dont certains pourraient être si puissant que c’est devenu une tradition de traiter ces informations comme une blague, mais elles contenaient une dure réalité.
Même ainsi, en raison des ressources précieuses, d’ennemi formidable et des métiers qui ne se trouvent qu’ici, beaucoup d’aventuriers et marchands qui arrivent ici ne peuvent pas généralement partir à cause du charme diabolique de cette terre et restent ici.
À force d’acharnement, les personnes ont pu établir des bases malgré la rudesse du désert .
Il y avait naturellement beaucoup de campement qui se sont effondrés en chemin mais tant que la base existe, il n’y aura aucun soucis à se faire.
Les disputes entre les résidents étaient très fréquentes, ce n’était pas étonnant avec autant de gens avec le sang chaud.
Cet endroit, Zetsuya est estimé être une des plus grand places parmi celles établi dans les parties exploré du désert, il y a même des preuves qu’elle aurait été établie depuis plus de deux décennies.
En réalisant ce que Zetsuya avait pour objectif, c’était devenu aussi l’objectif majeur de ces aventuriers qui étaient une partie de la ville. Je ressens étrangement la même chose.
C’est parce que je l’ai entendu parler maintes et maintes fois que je suis capable de retenir tout cela.
Cependant, ceci est un endroit extrêmement dangereux.
Ma onee-chan, Toa est une aventurière dans un tel endroit.
Bien que le travail soit extrêmement dangereux, onee-chan avait son propre objectif.
Ainsi, même si nous en avons déjà discuté de nombreuse fois, nous sommes incapable de partir d désert et de retourner à la ville-frontière de Tsige.
“Encore…, nous n’avons pas d’argent. Un jour, j’essayerai d’apprendre vraiment à comprendre tes manies… Idiote d’onee-chan.” (Toa)
Je rumine mes plaintes tandis que je soupire en regardant à l’intérieur du portefeuille qui ne contient seulement que quelque pièces.
Elle a obtenu une énorme dette en échouant à la requête d’un de ses employeurs.
La dette a été établie quand onee-chan se préparait pour sa prochaine aventure. Bien qu’elle a sa façon de faire pour les requêtes mais elle a dépassé la limite de temps qui lui a été donnée.
Elle a été incapable de la finir.
Et pour finir durant la requête, elle a complètement perdu l’équilibre en marchant le long d’une falaise.
Les blessures de onee-chan étaient graves mais elle était déjà guérie et l’argent, qui lui restait, a pu couvrir les honoraires.
Finalement, elle n’a pas pu rentrer à la maison où nous vivions tous les deux.
Dans l’intérêt de repayer la dette, elle lui faut travailler, ce fut plus tard que je fus informée par une personne que je ne connaissais pas.
Et c’est ainsi que l’histoire s’arrête.
C’était l’histoire que j’ai réussi à constituer après avoir écouté les discussions des aventuriers qui étaient rentrés.
Apprendre la situation me fit trembler.
Parce que, j’ai estimé que je serais dans l’incapacité de rencontrer ma onee-chan de nouveau.
En outre, il est impossible pour moi de continuer à vivre par mes propres moyens dorénavant.
Je n’ai aucune compétence pratique que je puisse utiliser pour travailler, ni les habilités pour devenir aventurière.
Les seuls, qui travaillent ici, sont ceux en rapport avec les aventuriers.
Mais voilà, je ne peux compter que sur moi maintenant.
Quand onee-chan a disparu, cela signifiait que j’étais limitée dans le temps avant que je ne doive partir parte, c’était un compte à rebours.
Vivre ici est dangereux.
Il serait indispensable d’avoir de l’argent.
Je me suis cachée afin de ne pas attirer l’attention du public.
Je ne savais pas quoi faire pour apprendre la situation actuelle d’onee-chan et l’aider.
Mais j’étais inquiète, terrifié et seule.
La dernière chose qui me vient à l’esprit était ma onee-chan.
Mon unique et seule onee-chan. Bien que nous ayons parfois des querelles, peu importe ce qui arrive, j’ai compris qu’elle sera toujours la personne la plus importante pour moi.
Heureusement, j’économisais par moi-même pendant que je vivais seule.
Peu importe combien de jours ça prendra, je boirai petit à petit de l’eau pour tromper ma faim, et j’apprendrai à n’avoir besoin que d’un seul repas par jour au même moment.
Je serais capable, d’une certaine façon, de survivre tous les jours tout en collectant lentement des informations concernant l’état de onee-chan.
Et à un tel moment, c’est arrivé.
“ Toi, tu es la sœur de Toa. Ah Rinon, pas vrai ?”
“……..” (Rinon)
Je n’ai pas répondu puisque je pourrais rencontrer le même sort que onee-chan qui a été capturée.
C’est pourquoi malgré le fait que le nom de ma sœur soit sortie, je n’ai pas l’intention de montrer que je veuille répondre.
“Même si tu gardes le silence, nous avons déjà enquêté sur toi alors abandonne. Habituellement, les enfants d’ici n’arriveraient même pas à s’enfuir, pas vrai ?”
“En continuant à vivre médiocrement, c’est seulement une question de temps avant que tu ne meurs de froid. Il y a déjà une formation magique qui tracée sur le sol par sécurité donc même si tu te faufiles aussi discrètement que tu le peux. Ça sera seulement une question de temps avant que nous ne te trouvions de nouveau. ”
Je mords mes lèvres.
Ça fait mal mais c’est frustrant.
Certainement, vivre seul, sans être vu par personne ne constitue pas une bonne chose.
Comme il l’a déclaré, vivre à l’extérieur dans un climat si difficile. Je ne suis pas sur de vivre une journée de plus dans ces conditions.
Tant que j’étais dans la base, même durant la nuit, c’était presque supportable si quelques préparatifs ont été faits.
De penser que je pourrais être attrapée à cause d’une formation magique. Si je m’en étais approchée par négligence, je me serais plongée dans une situation où j’aurais pu être tuée.
Je n’avais pas pensé à tout cela.
Mais…. d’être simplement découverte ainsi, c’était quelque chose que je ne m’attendais pas.
“Ne me regarde pas fixement avec ce visage qui est au bord des larmes. Tu vois, je pense vraiment qu’ojou-chan (NTF: princesse) a bien fait tenu jusqu’ici. Hein ?”
“…….” (Rinon)
Donc, qu’est-ce que tu dis ?
Vas tu me donner quelque chose, comme une récompense ?
Allez-vous me rendre ma sœur ?
“Pour l’instant, tu n’as nulle part où aller. Tu m’as déjà été confiée d’une certaine façon. Ne veux-tu pas rencontrer Toa ? Ta onee-chan n’a pas encore atteint le montant nécessaire pour la dette et nous ne pouvons pas vraiment fermer les yeux sur ton cas alors nous avons décidé de te prendre avec nous.”
“Aaah ! Onee-chan va bien ?” (Rinon)
“Ooh ? Tu as finalement ouvert la bouche. C’est vrai, Toa est encore en lieu sûr. Mais tu le savais ? Que ta sœur était impliquée dans quelque chose de mauvais ? Je suis venu ici moi-même surtout pour t’en informer.”
“Quelque chose de mauvais ? Quel genre de mal ? Qu’adviendra-t-il de onee-chan ?” (Rinon)
L’effrayant sentiment, que j’avais quand je suis sortie de la maison, était de retour.
Dans ma tête, il y avait une possibilité de ne pas pouvoir la rencontrer à nouveau, c’était ce que j’avais ressentie. Mais si ce qu’il disait était vrai alors je pense …….Hum, n’y pensons pas.
“…….Écoute moi bien, elle ne peut plus déjà ouvrir les yeux. Dans le pire des cas, c’est la mort qui ne viendra dans pas longtemps. Mais je peux te conduire à l’endroit où elle est actuellement.”
“ ! ! ” (Rinon)
C-C’est impossible !
Non !
Non, NOn, NON !
“Toutefois !”
“???” (Rinon)
“Sauver ta onee-chan ne dépend que de toi, je vais t’expliquer en détail comment tu peux réaliser ceci.”
“…….. Hein ?” (Rinon)
“Rinon, tu es une gamine futée. Ainsi, tu peux faire de ton mieux en tant que mioche……. Ne veux-tu pas sauver ta onee-chan ?”
Le vieil homme s’est interrompu avec un sourire lorsqu’il m’évaluait avec de tels yeux détestables.
Tu veux la sauver ?
La réponse à cela avait déjà été décidée.
“Je veux la sauver !” (Rinon)
“Bien sûr que oui. Cela veut dire que tu écouteras ma requête, n’est-ce pas ? Ce n’est pas vraiment un travail difficile en fait. Si c’est une petite enfant, ceci pourrait même devenir plus simple.”
Si c’est quelque chose que je peux faire facilement, je veux savoir ce que c’est.
J’aimais dessiner et peindre des choses mais j’ai compris que c’était impossible d’en faire un métier.
C’était pas rentable.
C’était mon intuition.
E-Et si…… Même la pensée que j’ai toujours l’apparence d’une enfant, je suis techniquement encore une femme.
Je me suis rappelée de ma sœur me disant une telle chose, ce genre d’hommes avec de telles passions existe vraiment ?
Mais, si une telle chose peut faire revenir onee-chan…. Je vais le supporter.
Je dois le supporter.
Bien que ma respiration devienne d’une certaine façon pénible, je ne parvenais pas à faire sortir de mot pour le dire.
J’ai naturellement serré mes dents et durci mon visage parce que je comprends ce qu’il faut faire.
“……Rinon, tu fais traîner les choses… Quoi ? Si j’essaye de vendre ton corps, des personnes vont certainement me tuer. Je ne commettrais pas une chose pareille alors il n’y a rien à craindre. Relax, relax.”
Quel genre de figure étais-je en train de faire quand je réfléchissais à tout ça ?
Mais cela m’a apaisé.
Cet homme est probablement un sale type mais il m’a dit que je peux secourir onee-chan.
Tu peux deviner ce que je peux penser d’après mon visage alors la raison de pourquoi il était venu ici, c’était sûrement la même raison.
Je ne sais pas à quel point je dois croire en ce vieil homme mais rien de bon ne sortira de tout ça si je m’oppose à lui pour le moment.
J’ai relâchée la pression, j’ai écoutée à la lettre et j’ai acquiescé.
“Quelle bonne gamine. Maintenant, Rinon. Il n’y a pas si longtemps, il y a eu un incident qui a causé un tumulte dans la base. Le savais-tu ?”
“…….Oui, une chose vraiment forte est venue pour nous attaquer mais elle a battu en retraite sans rien faire.” (Rinon)
“ C’est vrai. C’est déplorable de ne pas garder une gamine intelligente comme toi. Cet incident précis est déjà passé mais aujourd’hui… Savais tu qu’il y a eu un autre incident qui s’est déroulé dans la guilde des aventuriers ?”
“Ceci, je l’ignorais.” (Rinon)
“Un ordre de non-divulgation a été ordonné immédiatement……. Ne pas le savoir n’est pas déraisonnable. C’est de justesse que j’ai pu avoir l’information, il y avait deux femmes vraiment fortes et elles sont visiblement venues pour s’inscrire.”
“Une femme et elles sont deux.” (Rinon)
“Correct, je ne suis pas sur si c’est lié à l’incident cité plus tôt mais il y a des gens qui s’inquiètent sur l’homme qu’elles suivent, il porte un masque et a une apparence douteuse. Je veux que tu prennes ma place et que tu enquêtes sur les trois.”
“M-Moi !?” (Rinon)
“C’est vrai. Quoi ? Je ne t’ai pas dit de combattre, je veux juste que tu coopères avec nous. C’est pourquoi je veux que toi, Rinon, tu t’infiltres à leur groupe. Je m’en fiche de la méthode que tu utiliseras tant que tu peux obtenir des informations sur eux. Un enfant qui leur demande soudainement s’ils peuvent lui donner un coup de main, ça ne serait pas trop suspect et les rassureraient, pas vrai ?”
Il est hors de question que je fasse cela.
J’ai entendu dire que les aventuriers ayant de très hauts niveaux possèdent une incroyable intuition, ils avaient même cessé d’être des Hyumains et que même mentir serait inutile.
C’est quelque chose de formidable, quelque chose qui est terriblement fort.
Si je leur mentais, je serais certainement découverte…….
“Je, une telle situation, je vais…….” (Rinon)
“ Ta onee-chan va mourir, es-tu sur ?”
“!? ” (Rinon)
Comme j’étais sur le point de refuser, mes mots se sont soudainement arrêtés lorsque je me suis dit de n’absolument pas prononcer les mots restants.
Je vois … Je n’ai pas le choix.
Bien sûr, même si je refuse, je serais……
Pourquoi moi, pourquoi je suis dans un telle situation.
Je veux crier.
Je veux tout laisser tomber et crier.
Mais alors je me suis dit, ils ont pris la peine de chercher un enfant alors si je refuse, ils prendront un autre enfant comme substitut.
C’est définitivement ça.
“…….le faire, je vais le faire !” (Rinon)
“Alors c’est décidé ! Je te promets Rinon. Si tu travailles dur, nous te permettrons sûrement de rencontrer ta sœur.”
“Sûrement ? Vous allez me laisser rencontrer onee-chan ?” (Rinon)
“Oui, je ne te mens pas. Tu vas sûrement la rencontrer.”
“Je vais faire de mon mieux. Je m’assurerai de recueillir des informations pour vous.” (Rinon)
“C’est l’esprit. Bon alors viens par ici. Je te montrerai à quoi ils ressemblent.”
“Maintenant ?” (Rinon)
“N’est-ce pas évident. Il te faudra commencer tout de suite. Ce type est actuellement en train de manger. Nos hommes ont été enclins à sauter les détails à connaître sur le type. Regarde le, souviens toi de son visage, une fois qu’il retourne à l’auberge, tu devras prendre contact avec lui, compris ?”
“J’-Je dois le faire aujourd’hui ?!” (Rinon)
“Quoi ? Nous t’envoyons travailler rapidement, ne veux-tu pas rencontrer ta onee-chan ?”
“……..c’est bon, j’ai compris.” (Rinon)
J’ai été guidée à l’intérieur d’un bâtiment ressemblant à un entrepôt….
Ce qu’il y avait à l’intérieur, c’était un bureau avec au-dessus un grand cristal sphérique qui reflétait intégralement mon visage.
J’ai regardé le vieil homme, il l’a pointé et tient ensuite son menton.
Alors j’ai besoin de regarder à l’intérieur de cette chose.
Onee-chan, je vais définitivement faire de mon mieux.
———————————
Deux personnes mangent leurs repas en se faisant face.
Waouh, cet endroit est terriblement luxueux.
Au lieu de trois personnes, il y en avait seulement deux d’entre eux, je dois absolument obtenir des informations sur eux.
La priorité devrait être, cet homme.
Il est silencieux, à l’exception du repas, tout le reste était normal.
Bien que je n’ai pas eu vent d’une telle utilisation de fourchettes et de couteaux, comme si c’était naturel pour lui de les utiliser avec deux mains pour manger un repas.
Mais son apparence était terriblement étrange.
Je ne suis pas sur si c’est sa passion ou un goût douteux mais il porte une étrange tunique et un masque qui recouvre son visage au niveau des yeux, cela ne correspond pas à une personne qui possède un magasin.
Il y avait un sentiment de calme mais en tout cas je pense que cette personne est définitivement suspecte. Je ne suis pas sûr de son âge.
Par contre, l’autre personne était très ravissante.
Elle avait des cheveux noirs joliment ajusté et portait des jolis vêtements que je n’avais jamais vu avant.
Comme onee-chan mais en un peu plus vieille.
Elle était si élégante, même ceux à l’intérieur du restaurant seraient d’accord.
Mais cependant, c’était seulement en apparence.
Même si vous pensez cela, votre impression changerait avec sa façon de manger pendant que vous l’observerez.
Le couteau est resté seul sur la table.
Elle utilise seulement la fourchette, les serveur s’alternent en faisant des allers-retours pour transporter les plats à leurs tables pendant qu’elle fourre la nourriture dans sa bouche avec ardeur.
Ça a l’air très bon mais…..d’une certaine manière, c’était excessif.
Bien qu’elle ait probablement eu une éducation correcte, elle n’avait aucune manière pour se tenir à table.
Mais l’homme semble bien les connaître, je renonce à essayer de les comprendre.
Ces deux-là avaient chuchoté quelque chose entre eux mais je n’ai pas vraiment pu saisir de quoi il s’agissait.
J’ai pu voir un spectacle différent sous mes yeux mais le bruit qui résonnait ici, c’était différent d’une situation normale alors tu as vraiment besoin de te concentrer pour écouter leurs conversations, autrement vous ne pourriez pas vraiment comprendre ce qu’ils disaient.
Inopinément, mon estomac gargouille.
Je frappe inconsciemment mon estomac avec ma main en réponse à cela.
Parce que je ne peux pas vraiment m’en empêcher……
Honnêtement, ça fait déjà deux jours depuis que j’ai eu un repas correct. Si quelqu’un voyait cette scène avec de la délicieuse nourriture, je suis sûr que même eux……
Je secoue ma tête pour garder les idées claires.
Dans cette base, c’est vraiment rare de voir quelqu’un qui était bien vêtu.
Ceux qui le font occasionnellement, ce sont les marchands qui sont venus pour faire du commerce, ils donnent le sentiment de faire partie du groupe des marchands.
De prendre leurs repas dans un tel endroit, comme je pensais, ne s’agit-il pas de deux personnes riches ?
Si oui, on m’a dit de les approcher mais après les avoir voir vu par moi-même, je portais des vêtements sales et en lambeaux.
Que dois-je faire ?
Suite à ce que le vieil homme m’a dit, cela aurait été vraiment meilleur si j’avais demandé quelque vêtements……..
J’essayais de rester concentrer, cependant je ne peux pas m’en empêcher mais je regarde fixement la scène de l’homme masqué et de la femme aux cheveux noirs qui étaient en train de manger.
?
L’homme avec le masque fait quelque chose.
Ses mains se sont figées et la femme semblait faire pareil.
Je pense que ça aurait été bien s’ils parlaient pourtant……..
Le silence a poursuivi pendant quelque temps.
Elle semble être perturbée, déprimée, d’une certaine manière, c’était très mignon sur elle.
Aah… Je vois
Ce pourrait-il que…
Qu’ils écrivent ?
Serait-il possible qu’au lieu communiquer verbalement, ils utilisent l’écriture à la place ?
À moins que je regarde ceci sous un angle différent, je ne serais pas capable de voir ce qu’il dit avec exactitude et si je le fait alors, peut être que je pourrais découvrir pourquoi la femme aux cheveux noirs changeait fréquemment d’expressions faciales.
Je me demande ce qui arriverait si je faisais du bruit, auront ils vent de ma présence?
En quelque sorte, je sens que l’humeur de l’homme était devenue mauvaise.
Il n’a pas l’air ravi de son entourage car il faisait toutes sortes d’expressions.
Aaah, ils se sont levés.
Après avoir mangé leurs délicieuses crèmes glacées, ces deux-là se lèvent de leurs sièges.
Même si l’homme avec le masque était du genre à ne boire pratiquement que de l’eau, la femme aux cheveux noirs a bu une boisson colorée pendant et après le repas.
Probablement que c’était de l’alcool.
Elle a continué de boire une substance analogue à l’eau puis après elle a mangé de la crème glacée et alors elle a soulevé le dernier verre rempli de la substance analogue à l’eau et l’a bu.
Chaque fois qu’il était vide, le serveur venait et le remplissait pour elle, je ne peux pas m’en empêcher mais je pense qu’ils peuvent avoir bu plus que la bouteille.
Seulement voilà, quand ces deux-là se sont levés, l’homme avec le masque n’était pas ivre et pouvait encore marcher par ses propres moyens.
Certainement que cet homme était l’une de ces personnes qui peuvent boire de l’alcool sans s’enivrer.
Onee-chan est de ce genre, elle est consciente de la quantité d’alcool qu’elle peut supporter mais je me rappelle encore quand elle rentrait ivre et s’effondrait sur son lit.
Même si c’était juste un peu, je me suis souvenue soudainement d’onee-chan.
“Finalement, ils sont sortis. La femme ressent probablement plus les effets de l’alcool, bien qu’il en ait bu lui aussi. Elle est capable d’utiliser habillement ses bras pour garder son équilibre.”
“Vieil homme. Serais-je acceptable avec ces vêtements ? En tant que partenaire, Vous n’allez pas m’en prêter ?” (Rinon)
“Vêtements …….. Ce n’est pas bon. Si tu dis ‘Cela fait un moment que je cherche ma sœur.’, ceci serait anormal pour toi de porter des vêtements propres. Donc c’est bien comme cela.”
“Je comprends.” (Rinon)
Nous allons les voir.
En fait, monter la garde aurait une autre signification.
J’ai des frissons qui descendent le long du dos.
Je n’ai pas d’autre choix que de le faire.
“Ça va aller.” (Rinon)
“Alors allons y. Nous allons à l’endroit où nous devons les rencontrer. C’est par là.”
Comme on me l’a dit, je marchais à travers la rue vêtue de haillons.
C’était une place où il n’y avait pas grand monde.
J’ai été abandonnée au bout de la route et je me tenais là.
J’étais surveillée à distance alors l’échec n’était pas une option.
Bien que j’avais peur d’être dans la rue pendant la nuit, il y a pas de temps pour cela. J’avais déjà oublié tout ça et je sentais que je commençais à avoir peur de quelque chose d’autre à la place.
Ils arrivent.
Ces deux-là arrivent enfin.
Leurs silhouettes ressemblent exactement à celles prévues alors il n’y pas de doute que c’est bien eux.
Je quitte le bout de la route et je marche vers eux.
Afin qu’ils s’arrêtent à coup sûr. Je me suis positionnée, par anticipation, où ils passeraient.
La femme et l’homme au masque s’arrêtent devant moi avec juste une petite distance entre nous.
Comme si elle chuchotait quelque chose à l’homme, la femme s’approchait et parlait à l’homme masqué.
Comme je pensais, je ne peux pas entendre de quoi ils discutent.
Un instant plus tard, mes jambes commencent à trembler.
Mais être dans l’incapacité de communiquer, la femme a déjà fini de lui parler et me regarde.
Je sens que la sensation dans mes jambes disparaît lorsque nos regards se croisent
Je sens qu’une partie de mon corps, de ma taille à mes pieds, a complètement disparu.
Je suis terrorisée.
Cette femme est terrifiante.
J’ai essayé de la regarder.
Et pour la première fois, nos regards se croisent.
Ses yeux étaient quelque chose qui ne montrait que je n’avais aucun intérêt pour elle, comme si elle voyait une chose sans aucune valeur, c’était ce genre de regard. Je n’ai pas été vue en tant que personne, je l’ai su immédiatement.
“Enfant. As-tu besoin de quelque chose ?” (Mio)
“J-J’aur-aurais…”(Rinon)
“ Tu es dans le chemin, bouge de là.”(Mio)
“Hiii !!!” (Rinon)
Ce n’était ni glacial ni chaleureux.
Aucun de ces mots n’était douloureux pour moi.
Ma résolution est partie en un instant et quand j’ai repris connaissance, je ne savais même pas combien de temps était passé.
La sensation de mes jambes n’était toujours pas revenue que j’ai dû confirmer en les touchant. Je suis toujours vivant, c’est ce que je me suis dit.
Même si personne ne m’avait dit cela, j’avais échoué et j’étais terriblement triste.
Mais, avant que la femme n’ait pu dire quelque chose, l’homme avec le masque a rapidement frappé la tête de la femme en produisant un bruit comme “Spam”.
J’ai vraiment entendu un bruit comme ça.
Ce n’est pas vraiment important de toute façon mais j’étais vraiment surprise.
L’homme masqué disait quelque chose à la femme pendant qu’il pointait sa main droite dans les air.
Ohh, comme je le pensais, il écrit dans les air.
C’était celui que les Hyumains utilisent.
Tant que c’est à travers la conversation, je peux communiquer du moment que l’autre est un Humains avec la bénédiction de la déesse.
Malgré le fait que je ne suis pas bonne en lecture et en écriture vu que je ne l’ai pas beaucoup étudié, c’est déjà en soi quelque chose que je peux peut être tenter.
Dans ce cas…
[Une fille aussi petite… Quand bien même tu es ma partenaire, qu’as-tu essayée de faire en l’intimidant ?] (Makoto)
“D-De l’intimidation… Une chose pareille, je l’ai pas fait Waka-sama. J’essayais juste de la retirer du ch…” (Mio)
[Je voulais juste savoir si elle avait une affaire pour nous. Comment c’est devenu une discussion sur le fait de retirer une personne ?] (Makoto)
“Parce qu’elle n’a aucun intérêt……En plus de cela, que notre promenade soit dérangée……” (Mio)
La femme utilisait le langage commun pour répondre à l’écriture de l’homme masqué.
L’impression que la femme dégageait envers moi était quelque peu différent maintenant, une sensation de chaleur mais aussi un sentiment troublant.
Bizarrement, c’était le même sentiment qu’elle donnait que lorsqu’elle mangeait.
“Huhuhu” (Mio)
Ça alors, avant que je puisse réfléchir à propos de ceci, j’avais soudainement changée en un sourire.
J’ai ri en observant ces deux-là.
La personne, dont j’avais été terriblement effrayée, était à l’instant risible, une telle chose comme la peur avait disparu.
Avec le recul, je fus assez stupide pour croire que c’était déjà trop tard pour y arriver.
“Qu’est ce qui te fais autant rire ?” (Mio)
[Arrête ça Mio. C’est déjà bon de toute façon.] (Makoto)
L’homme et la femme s’approchent de moi.
[Il semblerait que tu aies eu peur plus tôt, je m’en excuse. Cette écriture, es-tu capable de la lire ?] (Makoto)
J’ai acquiescé.
Je m’interroge sur ce qui s’est passé avec cette personne suspecte.
Bizarrement ses yeux ne sont pas cachés par son masque et donnent une étrange impression.
[J’en suis ravi. As-tu besoin de quelque chose de notre part.] (Makoto)
Je peux sentir que l’homme masqué écrivait ses paroles dans les air avec délicatesse.
Il se fichait si sa cape touchait le sol et s’accroupit alors qu’il devrait pouvoir voir mon visage.
Je vois.
Cette personne est…….
“J’-Je m’appelle Rinon.” (Rinon)
[Donc c’est Rinon-chan. Je m’appelle Raidou, cette personne s’appelle Mio. Nous sommes des marchands ambulants.] (Makoto)
Il fait légèrement signe avec sa tête et pointe la femme avec sa main.
D’une quelconque façon, le mouvement semblait un peu grandiloquent.
Cette personne, même si je suis une enfant, me traitait néanmoins comme quelqu’un qui faisait affaire avec lui.
Voilà, cette affaire était très inconcevable.
Même si c’est un fait que je suis juste une faible gamine et sans argent.
Raidou-san était très gentil et je peux dire que la plupart des choses qu’il a dit, ce sont ses vrais sentiments. Je peux voir qu’il était une bonne personne.
Pouvoir rencontrer une telle personne chaleureuse dans Zetsuya était comme je pensais, très improbable.
“Bien, j’ai une requête.” (Rinon)
[Pour moi ?] (Makoto)
“Oui. C’est ça” (Rinon)
[Tu peux me redire ça lentement. Calme toi en premier et parle.]
Je ne peux pas comprendre ses motivations.
Et d’ici, je voyais son écriture.
Soudainement, je me souviens le sentiment d’être incapable de revoir onee-chan, c’était quelque chose que j’avais toujours supporté et s’était accumulée en moi.
“Uuu, fue……” (Rinon)
[Rinon-chan ?] (Makoto)
“U, Uuuuu….. Rinon va très bien.” (Rinon)
Je jette mes bras autour de l’homme que je rencontrais pour la première fois.
Non, s’accrocher à lui serait une meilleure description.
Mais je n’avais aucune force dans mes jambes et je pouvais seulement m’accrocher aux genoux de Raidou pendant que j’utilise mon autre main pour essuyer les larmes de mon visage.
Une partie de moi gisait lamentablement sur le sol.
“Quoi !? Va-t’en, hein !? Mais Waka-sama, tes vêtements vont être salis, faire une chose pareille pour cette fille inconnue, oui……. Je comprends. Si ça te convient !”
Mio, elle disait quelque chose pour nous deux mais ça paraissait si loin.
Raidou semblait être en train de dire quelque chose mais j’étais incapable de l’entendre et je pouvais seulement entendre mes pleures.
Je voulais rechercher ma sœur, j’ai tout laissée s’échapper pendant que je criais si j’ai dit quelque chose d’autre, je ne m’en souviens plus.
Et donc c’est comme ça que j’ai rencontré le curieux mais chaleureux et mystérieux Raidou-san.
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Je retourne à l’auberge où Raidou-san logeait.
L’ambiance ne semblait pas être bonne.
C’est pire.
J’ai eu vraiment eu l’air lamentable hier soir avec tous ses pleurs et ses hurlements. J’ai décidé de cesser cela dans la luxueuse chambre où Raidou-san était logée.
Là-bas était une des fameuses femmes du récit que j’ai entendu parler.
Elle s’appelait Tomoe, une autre personne semblait également être allongée sur le lit.
En regardant autour de moi, je peux voir que c’était une chambre fantastique.
Je deviens soudainement nerveuse une fois être entrée dans l’auberge et je devais avoir l’air d’une idiote avec ma bouche grand ouverte.
En regardant la chambre, même si tu la décomposes en plusieurs parties, c’était toujours plus grand que l’endroit où moi et onee-chan vivions.
De plus, la chambre était étincelante et on peut voir des décorations que j’estimais similaire à la celles d’une chambre de princesse.
Je regardais Raidou-san pour qui c’était si c’était naturel de rester dans cette chambre, Je ne savais toujours rien à son sujet.
En ce moment, je pensais qu’il était définitivement une personne riche.
On m’a dit que Raidou-san à une pathologie, ensuite on m’a raconté l’histoire qui s’est produite jadis où il a été maudit. À cause de ça, il était incapable de parler le langage commun.
Au début, je pensais que c’était le travail de Mazoku mais il semble que ce soit différent.
Mais pour une curieuse raison, j’étais remerciée par Tomoe.
Je me demande ce qui l’avait irritée au milieu du récit de l’histoire.
D’une certaine manière, C’était comme si elle prêchait.
Ces deux-là mentent et parlent d’autres choses en regardant une personne qui n’était pas un homme mais une femme.
Ensuite, j’ai été amenée à une autre chambre et on m’a demandé l’apparence physique de onee-chan et après on m’a demandé de me laver.
Curieusement après ça je me suis endormie rapidement.
La raison principale à cela était l’eau chaude.
C’est vraiment bien mais……
Je ne veux pas vraiment me souvenir de la couleur de l’eau après que j’ai fini de me nettoyer.
Je m’étais assurée de nettoyer proprement la serviette que j’ai utilisé pour m’essuyer pour qu’elle ne soit pas découverte dans cet état.
Maintenant que j’y pense…… J’étais félicitée pour la qualité de mes dessins quand on m’a demandé un dessin de onee-chan.
C’est seulement une esquisse que j’ai dessiné mais lorsque j’ai été louée pour mon dessin, j’ai pu y mettre tout mon cœur et dessiner le meilleur portrait que je pouvais faire.
J’étais réellement contente d’être louée pour quelque chose que j’aimais vraiment faire.
Quand Raidou-san a vu le portrait que j’ai dessiné, il a montré un visage surpris et il a fixé le portrait de ma sœur pendant un bon moment.
Sur le moment, je pensais que ma sœur était son type de femme mais j’ai commencé à penser différemment.
Le lendemain, ou ce matin en somme, la douce atmosphère était de retour mais…….
Raidou-san, quand j’ai essayé de devenir plus amicale avec lui en l’appelant Onii-chan, il m’a dit soudainement que ceci lui rappelait ses sœurs.
Mais il avait un visage qui trahissait le fait qu’il n’aimait pas ça, pourtant je lui ai dit que c’était plus facile si je l’appelais ainsi.
À ce moment-là, nous nous habituions déjà à échanger des conversations par communication écrite-verbale et je décida de l’appeler avec onii-chan, avec insistance s’il faudra.
En fait, j’ai eu des difficultés à essayer de l’appeler onii-chan la première fois mais je me suis habituée à l’appeler ainsi après plusieurs essais.
Il m’a dit alors que cela importait peu concernant la façon dont on l’appelle.
Les deux femmes l’accompagnant n’étaient déjà plus là.
Onii-chan et moi, nous préparèrent et nous sommes allés à la Guilde des marchands.
J’ai transporté les bagages dans le chariot et je dus les monter à l’intérieur mais d’une certaine façon, onii-chan ne semblait pas savoir comment se servir d’un attelage de chariot pour cheval malgré qu’il soit un marchand.
C’était incroyable.
D’après son attitude, je pensais qu’il était riche mais maintenant je pense qu’il était incroyablement riche.
Je tiens les rênes à contrecœur et on se dirige vers la guilde marchande.
Il y avait un endroit où tu peux aller si tu veux vendre des choses cependant la guilde marchande à la tache de vendre et d’acheter conjointement.
J’avais été confondue en tant qu’esclave là-bas à cause des vêtements en lambeaux que je portais mais onii-chan a rapidement réfuté ça et je m’en fichais de ce que le marchand avait dit.
En général, j’étais méprisée donc j’étais vraiment surprise de voir le marchand baisser la tête pour s’excuser.
Plus tard je…….. Dans ce lieu où onii-chan séjournait, je reviendrais de nouveau avec enthousiasme.
Mais j’ai ensuite rencontré le vieil homme
Si onii-chan devait entendre ce dont nous allions parler, il apprendra tout.
J’avais ce très désagréable sentiment, c’était en train de grandir à l’intérieur de moi, pendant tout ce temps je me suis dit que c’était pour le bien d’onee-chan. Mais bon les informations, que j’ai donné au vieil homme, ne suffisaient pas, il m’a dit que je n’aurais pas la possibilité de rencontrer onee-chan.
C’était différent de la promesse !
Je l’ai supplié désespérément.
Onii-chan et onee-chan.
Même si j’aime ces deux-là, puisque je dois seulement choisir un seul et ça sera définitivement onee-chan.
Onii-chan était réellement gentil et doux mais il n’est pas vraiment mon frère.
Onee-chan était la seule famille que j’avais et elle était dans un endroit où elle n’avait aucun espoir.
Si onii-chan entendait tout ça, je devrais lui en parler et l’abandonner mais quand même, je dois continuer de supplier le vieil homme.
“Si tu insistes tellement, tu ne me pas laisse pas le choix. Fais un dernier travail. Alors je te laisserai voir ta onee-chan, j’oublierai également ta dette.”
“!!! Vous êtes capable de faire quelque comme ça ?!” (Rinon)
“Oui, c’est en fait assez simple. Écoute-moi bien, actuellement Raidou-san transporte 500 pièces d’or. Je veux que tu me les ramènes. Il y a également une chance pour que tu aies des problèmes mais nous pouvons aisément nous en occuper. En fait, le seul problème ingérable sont les deux personnes qui sont ses compagnes, il ne semble pas être capable de faire autre chose que des affaires, avec juste lui, ceci devrait être simple.”
“J-Je ne peux faire ça ! C’est du vol!” (Rinon)
Lorsque j’ai dit ça, j’ai mis mes mains devant ma bouche.
J-Je ne peux….. Je ne peux pas lui dire cela.
“Encore, tu es incapable de le faire hein ? Ça ne me dérange pas mais….”
“……. Vous voulez que je lui vole tout ?” (Rinon)
“L’or va être mis certainement dans la valise, ça devrait être assez simple. Porte le sac et ramène le moi.”
“Mais, si Mio ou Tome reviennent, ceci finira sur quelque chose d’assez sérieux……” (Rinon)
“Alors à ce moment, pourquoi ne pas faire juste des excuses ? Assure toi qu’après avoir volé la valise, tu l’abandonneras à cet endroit où je pourrais la ramasser plus tard.”
“Une telle chose…….” (Rinon)
C’est injuste.
Cette personne est la pire.
Pourquoi onee-chan ?
Comment as-tu pu acquérir une énorme dette dans un tel endroit ?
Quand bien même, c’était pour le bien de nos ancêtres, cela ne nous concerne plus !
Pour moi voler de l’argent d’une personne très gentil et chaleureuse, c’est vraiment horrible.
Parfaitement, horrible et pourtant……..!
“Je vais devoir retourner au manoir d’un instant à l’autre. Rinon, que vas-tu faire ?”
“Je vais y retourner immédiatement.” (Rinon)
“Tu es vraaaaaiiiiiment une BONNE GAMINE, Rinon.”
Ferme là !
Je voulais lui crier ça.
Mais je peux seulement le garder pour moi.
Et puis, je me dirige maintenant vers la chambre de Raidou.
Voler de l’argent à la personne qui m’aide à trouver ma sœur et mon bienfaiteur est incontestablement la pire chose que je puisse faire.
La pire.
Je suis la pire.
“Quoi ?” (Rinon)
Le sol, je sens que le sol se met à trembler soudainement.
Un tremblement de terre ?
Mais un tremblement de terre se produisant à Zetsuya était quelque chose qui n’étais jamais arrivé.
Encore.
Cette fois, c’était juste une secousse.
C’était comme si j’avais été éjectée sur le côté, c’était une énorme secousse.
Je regarde par la fenêtre immédiatement.
Afin de ne pas tomber, j’attrape le bord de la fenêtre avec mes deux mains.
“Hein ?” (Rinon)
Il y a quelque chose d’étrange.
Ce que j’ai vu, c’était quelque chose que je ne pouvais pas croire.
J’ai rapidement réalisé que c’était l’étrange pressentiment que j’ai eu.
Il y avait un bâtiment dans la ville qui avait été réduit en poussière en un instant.
Encore une secousse.
Aaaah.
J’ai finalement trouver la raison de tout ceci.
Il y avait des ténèbres qui recouvraient un bâtiment, l’avalaient lentement et l’écrasaient.
C’était les vibrations du puissant broyage s’étendaient jusqu’ici.
Pas seulement cela.
Après que les ténèbres soit passées à un autre bâtiment, un autre bâtiment a été coupé en deux.
Il avait été coupé tellement nettement comme s’il avait été coupé par une épée.
Après, le bâtiment est devenu complètement blanc, il s’est effondré et c’est transformer en poussière.
Cette fois il n’y avait eu aucune secousse.
Bizarrement, je me sentais pas effrayée.
Ce n’était pas que j’avais peur mais parce que j’étais sans doute trop paniquée.
À ce moment, je m’étais soudainement rappelée les deux femmes accompagnant onii-chan, Tomoe-san et Mio-san.
Si c’est ces deux femmes, je pensais que ça serait possible pour elles.
On m’a retrouvé.
Voilà ce que je pensais et dans le même temps, je fermais les yeux.
La raison n’est pas parce que tu volais de l’argent.
Ça ne marchera pas même si tu t’excuse. Zetsuya sera quand même détruite !
Je me suis précipitée vers l’auberge.
J’ai couru vers l’entrée, ensuite je suis restée immobile.
“Il n’y a rien ?” (Rinon)
Ce que j’ai vu en premier, à l’emplacement où le vieil homme était supposé attendre, il n’y avait déjà plus personne.
À l’endroit de l’auberge où je devrais voir de nombreux bâtiments, maintenant, il n’y avait presque plus rien à voir désormais.
Il n’y avait même plus de gens ici.
C’était comme si je regardais pour la première fois Zetsuya.
Mes pieds s’arrêtent quand j’atteins l’entrée de l’auberge et j’examine les environs.
J’ai vu une silhouette bouger.
Ce que j’avais vu, c’était plus que ça.
En examinant de plus près, il y en avait plusieurs.
Il y avait une personne qui semblait ressembler à onee-chan.
D’autres personnes étaient avec mais mes jambes étaient encore immobilisées par la peur.
Les seules qui pouvaient bouger, c’étaient ces deux-là.
Tomoe-san et Mio-san.
Comme je pensais, c’était ces personnes qui l’ont fait.
Pendant les vingt ans d’existence de cette base, dans une endroit qui n’a jamais connu la dévastation, cela a complément changé.
Je ne peux pas stopper les tremblements de mon corps.
Elles avançaient droit vers moi.
A l’endroit où onii-chan séjournait, ces deux-là sont désormais de retour.
Aussitôt que j’ai remarqué qu’il s’agissait bien d’onee-chan qu’elles portaient, je me suis mise à courir vers elles.
“Onee-chan, je suis contente……. Que tu aille bien.” (Rinon)
Finalement à ce moment, j’étais dorénavant sur de la sécurité d’onee-chan.
J’étais si contente.
J’étais contente mais je pensais à ce qui m’arriverais après, je commençais à devenir vraiment anxieuse.
Je me demande ce que dira onii-chan après avoir examiné ce que s’était produit.
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Je suis actuellement dans un chariot et je manipule les rênes.
Celle étant à côté de moi était Mio-onee-chan.
Et de l’autre côté, il y avait Raidou-onii-chan.
Et actuellement, je suis au milieu d’eux.
À l’intérieur du chariot, il y avait ma sœur couchée sur le lit avec une autre aventurière qui avait été retenue avec elle.
Tomoe-onee-chan était la seule qui soit partie, hurlant après qu’onii-chan qui lui a dit de se diriger vers le désert.
Peu importe à quel point j’y réfléchis, c’était inutile.
Onee-chan était certainement vivante.
Onii-chan était avec nous pour nous renvoyer à Tsige.
Puisque Mio-onee-chan était aussi là, alors il n’y avait absolument pas de raison d’avoir peur.
Je sens que nous avons été très chanceuses.
C’est parce que nous allions vers la ville dans l’espoir de changer nos vies.
Merci ! Raidou onii-chan, Mio onee-chan, Tomoe onee-chan.
Même si je suis trop timide pour le dire personnellement, j’ai vraiment la plus grande gratitude envers eux.
Je pensais alors au dessin et la peinture de portrait comme une façon de gagner de l’argent même si c’était petit à petit.
Alors en manipulant les rênes du chariot, nous nous déplaçons désormais dans la direction de Tsige.