Tome 5 – Chapitre 260 – Rencontre avec l’inconnu
“L’Étage Alt ? Il y avait une inscription marquée Alt au 3ᵉ étage… !!! Se pourrait-il que ce soit ‘Le Corridor Écarlate’ ?! De songer qu’il existe vraiment.” (Shougetsu)
“Nous avons confirmé l’existence du Corridor Écarlate… Je ne serai plus surprise. J’ai grandi.” (Iroha)
Après avoir rencontré la première Marikosan, j’ai pu retrouver tout le monde à l’étage suivant.
Nous avons décidé de terminer l’exploration pour aujourd’hui et sommes rentrés à l’hôtel.
3ᵉ étage réussi.
Nous pensions pouvoir descendre encore plus bas, mais pas après tout ses péripéties.
Nous faisions une sorte de réflexion commune, Iroha-chan et son groupe, qui s’étaient réfugiés ici, se sont mis à participer aussi à un moment donné.
Shougetsu-san a été surpris en ayant entendu parler du 3ᵉ étage et Iroha-chan semblait avoir renoncé.
“Selon Hokuto, nous avons un itinéraire jusqu’au 10ᵉ étage, donc s’il y a un problème à partir de demain, ça serait clairement ces étages Alt. Un lieu où même la télépathie ne fonctionne pas, quel genre de mécanisme est en œuvre là-bas ?” (Tomoe)
“Voilà le problème. Apparemment, il y a des conditions derrière tout ça. Il faut démontrer d’excellents résultats à l’étage précédent pour être envoyé à un étage Alt, alors il vaudrait éviter de se hâter et de se séparer.” (Makoto)
Je ne crois pas que la vitesse soit la seule condition.
Au Jardin des Drakes, la condition était le nombre de Drake vaincu, ou du moins l’une des conditions.
En me laissant de côté, si Beren, Hokuto ou Shii étaient envoyés dans un étage Alt, cela pourrait devenir dangereux.
Plus on descendrait, plus le danger augmenterait.
“Alors que diriez-vous si seulement Tomoe-san, Waka-sama et moi y allions demain ? Si c’est juste nous, peu importe qui sera envoyée dans cet étrange étage, il ne devrait pas y avoir de problème.” (Mio)
Mio a proposé la méthode la plus sûre.
Il est vrai qu’ainsi, il n’y aurait plus de danger.
S’il n’y avait que nous trois, ça devrait le faire.
Mais… Nous perdrions la cartographie d’Hokuto, le jugement de Beren et l’habilité de Shii.
Dans un donjon, où leurs aptitudes pourraient même plus adapter que les nôtres, surtout en allant de plus en plus profondément où nous n’aurions pas accès à une quantité décente d’informations, cela ne paraissait pas être une bonne idée.
Mouais.
La proposition de Mio a servi de déclencheur pour chacun propose une solution.
Évidemment, il y avait eu plusieurs nous proposant de les accompagner. Leur désir de continuer à nous accompagner était clairement visible.
Même s’ils n’allaient pas dans le labyrinthe, ils pouvaient faire des choses comme rassembler des informations à propos d’Iroha-chan, alors ce n’était pas comme s’ils n’avaient rien à faire.
Mais cette partie n’était pas l’objectif initial, ou plutôt, ce n’était pas prioritaire.
La priorité numéro une était de mobiliser tous nos efforts afin que la négociation avec le groupe de mercenaire fut un succès…
La réflexion, qui s’est poursuivi jusqu’à l’heure du dîner, a été également ponctué de bavardages et aucune conclusion n’a été atteinte.
“J’ai une idée. Puis-je l’exprimer ?”
Cette voix est venue de derrière moi.
Pour être plus précis, la voix se tenait derrière moi avec une main tenant une arme proche de mon cou et de l’autre, nous saluait.
“?!”
Tomoe, Mio et tous les autres ont remarqué la situation après sa salutation.
Eh bien, c’était la même pour moi.
C’était comme s’il était apparu en un instant.
Une vraie surprise.
Tellement surpris que je n’ai pas eu l’occasion d’être paniqué.
“Grand Maître ?!”
Mais dans cette situation où tout le monde était surpris, une personne a adressé les mots ‘Grand maître’.
Quelque chose à laquelle je n’étais pas familier.
Cela me donnait l’impression d’un robot sortant dans un jeu.
La propriétaire de la voix était Shougetsu-san.
“Oui, ça fait un moment, Shougetsu-kun. Tu as acquis une certaine prestance maintenant.” (Grand maître)
“O-Oui. Rokuya-sama n’a pas vraiment changé.” (Shougetsu)
“Après tout, je suis un éternel vieillard de 20 ans.” (Rokuya)
Pointer soudainement son épée sur moi, parler avec nonchalance et blaguer ; Je ne connaissais pas ces intentions, mais cet homme était une connaissance de Shougetsu-san.
Il a retiré son arme de mon cou, et sans faire de bruit, il a rejoint le mure pour s’y adosser.
Est-il un assassin ?
Je pouvais clairement dire qu’il était incroyablement habille.
Je ne savais pas quelle compétence c’était, mais pas une seule personne dans cette pièce n’avait été capable de le détecter.
J’avais pu voir à quoi ils ressemblaient vu qu’il ne me collait plus.
Il avait une taille semblable à moi, ce qui était plutôt rare dans ce monde, des cheveux blancs qui n’étaient ni long, ni court, des membres envers laquelle je pouvais ressentir une certaine flexibilité et fermeté.
À ma grande surprise, il était bien loin des standards de beauté de ce monde, même plus que moi.
L’arme proche de mon cou il n’y avait si longtemps était une paire de katar.
Il ne les tenait pas, il les avait jusqu’avec lui.
“… Shougetsu-san, qui est-il ?” (Makoto)
“Il… Rokuya-sama est le… Maître de mon maître.” (Shougetsu)
Le maître du son maître ?
Ah, d’où le grand, hein.
Comme quand on parle de grand-parent.
Shougetsu-san, qui était déjà un vieil homme, disait qu’il était le maître de son maître; Comment devrais-je vraiment interpréter ‘un éternel vieillard de 20 ans’?
Hmm, il donnait l’impression d’avoir dans les 20 ans.
Aurait-il vu son vieillissement se stopper par une quelconque méthode ?
“Je suis un assassin de passage, mon nom est Rokuya. Ravi de nous rencontrer.” (Rokuya)
“Je suis Raidou. Le directeur de la compagnie Kuzunoha. Le plaisir est pour moi.” (Makoto)
“Désolé d’avoir quelque chose d’aussi dangereux il y a quelques instants. Je voulais rencontrer la personne ayant réussi l’étage du Corridor Écarlate et je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelque chose d’aussi stupide. Même en s’approchant aussi près, tu n’as même pas sourciller. Cela faisait longtemps que ce n’était pas arrivé… Cela était… Remarquable.” (Rokuya)
“Rokuya… L’assassin Rokuya. Êtes-vous le vrai ? Vous êtes toujours en vie ?! Ce n’est pas une blague ?”
“Je pensais que Shougetsu-sama était capable de faire de bonnes blagues, et pourtant… Sérieusement, ce n’est pas drôle du tout.”
Les deux gardes du corps d’Iroha-chan étaient stupéfaites.
D’ailleurs, Tomoe et Mio étaient prêtes à combattre, je leur ai donc ordonné de se calmer d’un signe de la main.
S’il a pris la peine nous parler, cela veut dire qu’il n’est pas venu ici avec l’intention de tuer.
Mais il reste toujours un facteur inconnu.
“Rokuya-san, c’est bien ça ?” (Makoto)
“Ouais. Les personnes ici présentes sont tes subordonnés et… Ceux-ci sont ceux servant Iroha, pas vrai ?” (Rokuya)
“C’est exact. Et donc, il est correct de présumer que tu n’es pas notre ennemi ?” (Makoto)
J’ai entendu le mot ‘assassin’.
Dernièrement, j’ai été attaqué par eux sans arrêt.
Même moi je ne pouvais pas être sûr qu’il ne faisait pas partie.
“Eh bien, actuellement, la réponse à cette question serait… Que je ne le suis pas.” (Rokuya)
Après un court silence, Rokuya-san m’a fait face pour me répondre ainsi.
“… Alors, pourquoi être venu ?” (Makoto)
“J’étais un peu intéressé par ton objectif, j’ai entendu dire que vous visiez le 20ᵉ étage, pur être plus précis, le groupe de mercenaire se trouvant là-bas. Est-ce vrai ?” (Rokuya)
“… Oui, c’est vrai. Mais ça ne me répond pas à ma question.” (Makoto)
“Bien sûr, je sais. Mais répondons dans l’ordre. Voyons… En ce qui me concerne, cela aiderait beaucoup si vous le demandez ça à Shougetsu-kun un peu plus tard. De cette manière, cela sera plus précis que si je le racontais moi-même.” (Rokuya)
…
Ça sera bien plus précis si une autre personne parle de lui ?
Qu’est-ce que voulait par là ?
“Et donc, quelle est ta réponse à la question de Waka-ja ? Parle tant que nous sommes encore polis.” (Tomoe)
“C’est ce que j’allais faire, dragon samurai. Les raisons pour lesquelles j’ai rendu visite à Raidou-kun… L’un d’entre elles est, comme je l’ai déjà dit avant, mon intérêt pour la personne qui a été en mesure de passer le 3ᵉ étage Alt; La deuxième était de confirmer son objectif, quant à la dernière, lui laisser un message.” (Rokuya)
“Un message ?” (Tomoe)
D’après le ton de la voix de Tomoe, je pouvais dire qu’elle était plutôt remontée contre Rokuya-san.
C’était pareil avec Mio et tous les autres membres d’Asora ici présent.
Tout le monde du côté d’Iroha semblait ressentir une sorte de révérence envers cette personne dénommée Rokuya-san.
C’était la raison pour laquelle ils n’avaient pas du tout participé à cette conversation à moins que Rokuya-san leur adresse directement la parole.
“Actuellement, mes camarades et moi sommes avec le groupe de mercenaire que tu vises. Au passage, l’actuelle cheffe de ce groupe mercenaire est ma disciple. Son nom est Vivi… Euh non c’est Bibi, ok ? Elle se met en colère sur ce sujet, faites-y attention. En plus, elle peut être aussi considérée comme la mentore directe de Shougetsu-kun.” (Rokuya)
?!
La cheffe de ce groupe de mercenaire est la mentore de Shougetsu-san ?!
Cela ne ferait-il pas d’elle une vieille femme ?!
Est-elle toujours en service actif ?
Apparemment, elle tient à ce qu’on appelle Bibi à la place de Vivi… Bien que j’aie l’impression que ce soit pareil, soyons prévenants quand nous en serons là.
Mon nom est Makoto, mais si nous jouons un peu sur les mots, on peut le tourner en ‘Maggot’ (NTA :Magotto en anglais) et je n’aimerais pas ça non plus.
“Oui, Vivi-sama est ma mentore. Elle est sans doute la personne qui a les aptitudes les plus éminentes pour la traque et les attaques surprises. Une pro des raids.” (Shougetsu)
…
Quelle surprise déplaisante.
Ouais, je n’aime pas ça du tout.
Je commence avoir un mauvais pressentiment pour ses négociations à venir.
Avant même de la rencontrer, je pouvais le dire.
En ayant observé Shougetsu-san, je pouvais dire qu’il était fier de sa mentore. Pas l’ombre d’un doute dans son regard. Il n’avait aucun ressentiment envers elle.
Je ne pouvais pas considérer autres choses qu’une excellente relation professeur/élève.
“Je vois. Alors à propos de ce message qui m’est destiné…” (Makoto)
Se pourrait-il que ce soit de Vivi-san ?
“Non, ce n’est pas d’elle. Cela vient d’une autre personne du même étage. C’était l’un de mes camarades qui me l’a demandé comme une faveur, j’ai accepté puisque que je devais sortir de toute façon. Grace à ça, j’ai pu rencontrer… Un talent remarquable comme toi.” (Rokuya)
“Une personne différente…” (Makoto)
“Je ne connais pas les détails derrière cette histoire ou ses plans, mais selon lui : ‘Partir maintenant serait le pire timing pour les deux parties’. Si vous voulez négocier avec Pique-Nique au jardin des Roses, je voudrais que vous attendiez un peu’.” (Rokuya)
Le pire timing, hein.
Je ne connaissais pas la situation actuelle au 20ᵉ étage, mais ça ne ressemblait pas à un message mal intentionné.
Attends, hein.
Cela dépend de la durée.
Je pense pouvoir attendre dans une certaine mesure.
“Cette ‘attente’ serait pour combien de temps ?” (Makoto)
“On ne m’a pas dit les détails. Je ne peux que donner un avis subjectif.” (Rokuya)
“Pas grave.” (Makoto)
“Je vois. Pour moi, on partirait sur une durée de plusieurs années.” (Rokuya)
Nope.
Trop long.
Et ce ne sont pas les paroles du groupe de mercenaire de Vivi-san, mais de quelqu’un d’autre.
En d’autres mots, c’était la mise en garde d’une tierce personne.
Ils ne connaissaient pas nos circonstances non plus.
Il restait assez de place pour négocier directement.
“… Ton visage dit que c’est beaucoup trop long.” (Rokuya)
“C’est comme tu le dis. Nous voulons requérir le soutien de Pique-Nique au Jardin des Roses aussi vite que possible.” (Makoto)
“Je ne comprends pas. C’est peut-être grossier pour moi de dire ça, mais je ne crois pas que vous ayez besoin d’eux. Si c’est pour des combats au 20ᵉ étage, il est certes vrai qu’ils pourraient être suffisamment puissants pour être à la hauteur, mais… Hormis ça, je ne crois pas qu’ils puissent vous concurrencer. Vous autres êtes assez forts.” (Rokuya)
“Ceux qui ont besoin d’aide d’expert en bataille défensive, ce n’est pas nous, mais Tsige.” (Makoto)
J’ai décidé de parler des circonstances derrière tout ça.
Comment le dire, c’est parce que je sentais qu’il valait tout lui expliquer.
“Tsige. La ville des gens challengeant les Confins du Monde, hein. Non, cela pourrait ne plus être le cas maintenant.” (Rokuya)
“Non, tu as raison. Actuellement, Tsige vise à devenir indépendante d’Aion et se retrouve à combattre deux forces. Bien sûr, dans l’apologie de la guerre, il y a des négociations et des contestations, mais renforcer les défenses est un problème urgent pour Tsige qui en manque cruellement.” (Makoto)
“… Est-ce que tu me dis que Pique-Nique au Jardin des Roses peut remplir ce manque ?” (Rokuya)
L’attitude de Rokuya-san démontrait son scepticisme.
La compagnie Kuzunoha et Pique-Nique au Jardin des Roses.
En les connaissant dans une certaine mesure, il devait nous comparer et semblait nous considérer comme ayant la plus grande puissance.
“Nous pensions avoir besoin d’aide temporairement pour Tsige.” (Makoto)
“Un groupe de mercenaire travaillant pour de l’argent est la définition même du temporaire, Tu le sais ?” (Rokuya)
“Mais ceci deviendra certainement un exemple pour de nombreux combattants de Tsige en leur prodiguant des leçons.” (Makoto)
“… Est-ce ta définition de ‘temporaire’ ?” (Rokuya)
“… Oui. Après tout, moi… La compagnie Kuzunoha est perçue comme anormale et monstrueuse par pas mal de gens.” (Makoto)
“Huhuhu !!! Anormale et monstrueuse, hein ! C’est assez malheureux. Beaucoup de gens doivent s’appuyer sur vous pour leur propre convenance.” (Rokuya)
Le visage calme de Rokuya-san a changé pour afficher un large sourire pendant un instant.
C’était bref, mais il avait montré de l’amusement envers cette situation.
“Cela ne me dérange pas vraiment qu’on s’appuie sur nous. Après tout, Tsige a pris soin de nous.” (Makoto)
“… Oh. Si tu ne considères pas comme ça comme une plaie ou contraignant, alors, pourquoi ne pas les aider dans ce cas ?” (Rokuya)
“Pas mal de gens nous considère comme des monstres, c’est pourquoi personne ne voudrait apprendre de telles personnes. Le mot monstre lui-même est mot qui place arbitrairement ces personnes comme une existence différente d’eux-mêmes. Presque un réflexe.” (Makoto)
“…” (Rokuya)
“Cela n’ira pas. C’est la raison pour laquelle je voudrais que Tsige soit capable de se protéger après avoir obtenu son indépendance. Dans cet intérêt, je voudrais semer les graines. Si c’est eux qui l’ont protégé jusqu’au bout en œuvrant comme une seule entité, ces graines germeront. Même si un jour nous devons quitter Tsige, je serais soulagé.” (Makoto)
“… Vraiment… Intéressant. Bien. Maintenant que j’ai entendu ceci, l’histoire change. J’ai déjà mentionné la ‘Pire situation’, et si Vivi et les autres se rendent à Tsige, cela serait génial.” (Rokuya)
Ayant entendu mes paroles, Rokuya-san s’est mis à murmurer tout seul et à se déplacer de gauche à droite.
Cependant, il ne montrait aucune ouverture.
Il était le genre de personne à être toujours sur le qui vive.
“Si tu avais juste l’intention de faire une excursion, j’aurais dû te contraindre à partir, mais on dirait que c’était complètement différent. Tu as obtenu une permission d’entrée officielle de la Régente, et ta puissance… Ta manière de voir les choses… Ouais, sympa !” (Rokuya)
“Hein ? Sympa ?” (Makoto)
C’était un mot auquel je ne m’attendais pas.
“Plus tard, je voudrais que tu me montres à quel point vous autres êtes anormaux et monstrueux. Si tu es capable de le faire, je deviendrai ton intermédiaire. Le dire moi-même est discutable, mais je pourrais devenir un allié fiable. Vivi est une femme étr… Singulière, mais moi, son maître, sera ton allié, ce seul point sera à ton avantage. J’imagine que tu le comprends, pas vrai ?” (Rokuya)
Il n’était pas certain qu’elle respectait son mentor. Après tout, des choses comme le confucianisme étaient également discutables.
J’ai observé Shougetsu-san.
Si c’était lui qui la connaissait, il devrait pouvoir servir de jauge.
Le résultat de ce contact visuel a été un acquiescement en retour.
Ok, acceptons-le.
“C’est une proposition intéressante. Alors est-ce que ça vous va de combattre maintenant ? Ou as-tu un quelconque défi en tête ?” (Makoto)
“Hahaha. Je suis un assassin, tu le sais ? Avec autant de puissance en face, il est clair que je serais vaincu à mi-parcours. C’est donc l’autre possibilité. Je veux que tu atteignes le 10ᵉ étage demain. Tu le peux, pas vrai ? Après tout, tu as suffisamment de puissance pour être considéré comme un monstre.” (Rokuya)
“Avec les étages Alt et tout le reste ?” (Makoto)
“… Hahaha, c’est vrai. Je comprends. Je vais les éteindre. Nul besoin de s’en inquiéter.” (Rokuya)
“Éteindre ?!” (Makoto)
“Si c’est quelque chose de ce genre, il n’y a aucun problème à les éteindre temporairement. Après tout, celui qui voulait que je te laisse ce message était le concepteur du grand labyrinthe Yaso-Katsui. Le fait qu’il soit là signifie que la dernière sécurité s’est activée, en d’autres mots, le grand labyrinthe est une crise, mais pour te dire la vérité, je ne ressens rien de négatif à propos de cette situation. Cet extrême reclus peut être un bon interlocuteur lorsqu’on lui parle seul à seul. Sérieusement.” (Rokuya)
“Je vois… Hein ?” (Makoto)
Le concepteur du grand labyrinthe ?!
Je ne veux vraiment pas la rencontrer ?!
Je ne crois pas avoir une bonne conversation avec quelqu’un qui s’enferme sous terre depuis toujours (probablement).
Attends, Rokuya-san n’est plus ici.
D-Depuis quand ?
Je ne l’avais pas vu partir.
Il a nonchalamment dit quelque chose de dangereux comme ‘le grand donjon est en crise’.
J’avais un mauvais sentiment à ce propos.
“… Il est effrayant-ja na. En fonction de la situation, il peut interférer avec notre télépathie, s’infiltrer dans une pièce sans que personne ne le remarque et disparaître. On dirait que ça ne se finira pas avec un simple visite touristique. Eh bien, Waka, il nous a bien eu.” (Tomoe)
Tomoe, qui ne semblait pas apprécier la tournure des choses, a parlé de son entrée d’une voix pesante.
Bien que la dernière moitié semblait être amusée.
“Shougetsu, décrit cette personne. Sans rien dissimuler et soit concis. Maintenant.” (Mio)
Mio ne paraissait pas être de bonne humeur.
Apparemment, elle ne voyait pas Rokuya-san d’un air favorable.
Cela n’a pas d’importance, mais j’ai comme l’impression que tout expliquer sans rien dissimuler, tout en étant concis, est une requête très difficile.
En outre, sans aucune question.
“Ah, oui. Bien sûr, je vais raconter tout ce que je sais. Après tout, Rokuya-sama l’a lui-même demandé.” (Shougetsu)
“J’ai dit CONCIS !!!” (Mio)
Tellement stricte.
Apparemment, elle n’acceptera aucune digression.
Toutefois, dans l’explication apportée par Shougetsu-san après avoir exhorté par Mio, il y avait quelque chose de… Shougequant… Je veux dire choquant.
“Rokuya-sama est l’une des personnes surnommées ‘Aventuriers Originels’. Il paraît que dans un lointain passé, il y avait des légendes sur eux dans chaque pays, mais maintenant, la plupart de ces légendes ont disparu en dehors de Lorel. À présent, je vais parler de ces légendes et de mon expérience.” (Shougetsu)