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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 263

Cadeau de la regrettée Tueuse de Dragon

Tome 5 – Chapitre 263 – Cadeau de la regrettée Tueuse de Dragon

“On parle donc de ces filles…” (Makoto)

Je me suis tenu la tête.

Le problème, dont Rokuya-san m’a parlé précédemment, était grandement lié à moi.

C’était quelque chose qui s’était produit il n’y a peu.

La première fois où j’avais pu avoir une vraie discussion avec Shougetsu-san et son groupe, j’ai été attaqué par ce qui semblait être des espionnes de l’Empire.

Et à ma grande surprise, je les avais reconnues.

C’était la fois où j’étais en visite à Gritonia, c’était les filles que Tomoki m’avait proposé contre Tomoe. Elles étaient déjà imprégnées par son pouvoir de charme. Elles ne s’étaient pas opposées au fait d’être considérées comme des objets.

Selon Tomoki, leurs niveaux étaient décents.

Même si j’avais appris récemment que leur classe étaient en fait assassins, il y avait une chose que je pouvais dire d’après leurs yeux… Il était déjà trop tard.

C’était la raison pour laquelle je les ai éliminées.

Il y avait un certain nombre de personnes en dehors moi et avec leurs niveaux d’aptitudes, elles auraient pu devenir une menace pour Shougetsu-san et son groupe.

Même maintenant, je pensais que c’était le bon choix de les avoir rapidement tuées.

C’était ainsi que je voyais les choses, mais… Qui auraient cru qu’une de ces filles était une amie proche d’une des personnes que nous allons voir.

Je me suis fait avoir et c’est devenu problématique.

En d’autres mots, il avait une très mauvaise impression de moi.

“Et oui. J’ai entendu dire que tu lui as écrasé la tête ?” (Rokuya)

“… Ah bon ? Si je me souviens bien, j’ai brisé le cou d’entre elles et… Ah oui, j’ai écrasé la tête d’une autre. La dernière, je lui ai perforé le torse.” (Makoto)

Je ne m’en souvenais pas très bien, mais c’était sans doute ainsi.

Voyons, je les ai restreints avec mon corps de mana, je me suis débarrassé de deux d’entre-elles et j’ai fini la dernière avec des [Brid].

Yep, c’est ça.

En m’étant basé sur mes souvenirs, j’ai répondu à la question de Rokuya-san.

Maintenant que j’y réfléchissais, avec mon habitude d’être mêlée à ce type de situation, j’ai pu poursuivre cette discussion alors que j’étais en plein repas.

“Tu as été attaqué par un groupe de Sans Ombre de hauts niveaux, alors je ne crois pas que la manière avec laquelle tu as géré les choses soit à blâmer. Malheureusement, le groupe concerné est… Incapable de l’accepter. Cela faisait longtemps que je n’avais pas mangé une aussi bonne nourriture. Où avez-vous trouvé ça ?” (Rokuya)

Rokuya-san était d’accord avec moi.

Dans cette histoire, je crois que n’importe qui se revendiquant aventuriers devrait être en mesure de le comprendre.

La défunte était une amie proche, et pour couronner le tout, elle avait eu du mal à la ramener à ses compagnons pour la soigner, mais à cause d’une seconde de négligence, cette amie a réussi à s’échapper, et peu de temps après, l’incident s’était produit.

Ce n’était pas comme si je ne pouvais pas comprendre le fait qu’elle n’y arrivait pas.

“Je suis content d’entendre ça. Ah, le bento d’aujourd’hui a été fait par nous à la cuisine de l’hôtel, Rokuya-san.” (Makoto)

“C’est du fait maison de la Kuzunoha, hein…” (Rokuya)

Rokuya-san s’est soudainement tu et a regardé les autres à côté de moi.

“Et donc, qui l’a fait ?” (Rokuya)

Il m’a demandé ça avec un sourire sur les lèvres.

On dirait qu’il a apprécié.

En dehors des résidents d’Asora, personne n’a goûté à de la nourriture japonaise avec des choses comme de la sauce soja et du dashi.

C’était la raison pour laquelle j’étais un peu mal à l’aise, mais il semblerait que ce n’était superflu.

En raison des Sages dans Lorel, la culture japonaise est plus répandue que dans les autres pays, et pourtant, pour une obscure raison, c’était la nourriture chinoise qui avait pris le pas.

Il y avait un assaisonnement ici semblable à de la sauce soja, mais si je devais les comparer, je dirais qu’elles étaient différentes.

Sur ce point, le niveau de reproduction des choses d’Asora était assez élevé.

C’était une vision objective, je pensais vraiment que c’était ainsi.

“La majeure partie a été faite par Mio, mais Shii l’a aidé.” (Makoto)

“Oh, Mio-dono. Veuillez m’excuser un instant.” (Rokuya)

Rokuya-san, qui était à ma gauche, est allé à la droite de Mio et il a placé sa tête à côté de son épaule pour se mettre à la sentir.

Je pouvais le dire à la façon dont son nez réagissait.

“Vraiment une odeur délicieuse. Même nostalgique.” (Rokuya)

De l’autre côté, le visage sans émotion de Mio s’est instantanément changé en un sourire proche de la folie et s’est levée.

J’ai placé une main sur son épaule en toute hâte pour l’arrêter.

Avec un peu de force, je l’ai forcé à s’asseoir.

Cela serait un autre problème si c’était dans une conversation, mais la violence en plein repas était à éviter.

“Rokuya-san, qu’est-ce qui te prends soudainement ?” (Makoto)

Je lui ai demandé ses intentions.

Ce n’était pas comme s’il voulait soudainement une femme sachant cuisiner.

“Eh bien, c’était tellement un splendide dashi que j’ai fini par le faire sans m’en rendre compte. Comme je le supposais, tu es une excellente cuisinière. Tu as ce parfum caractéristique des différents ingrédients avec laquelle les excellents cuisiniers travaillent. Vraiment splendide.” (Rokuya)

“Parfum, hein.” (Makoto)

Est-ce que Mio a ce genre d’odeur ?

C’est triste à dire, mais je ne le sens pas.

Mais appeler ça un parfum pique mon intérêt. Cela doit être une odeur agréable.

Ouais.

“Halala. Hormis le côté grossier, on dirait que tu es un connaisseur. Si c’était pour confirmer mes compétences culinaires, je peux fermer les yeux pour cette fois-ci.” (Mio)

La colère de Mio s’est évanouie en un instant.

Peut-être du fait parce qu’il n’y a pas eu beaucoup d’occasion pour sa cuisine d’être louée par des personnes externes à Asora.

Et en vérité, ses compétences ont pas mal augmenté, et si elle était bénie par la chance de les démontrer, le nombre de fois qu’elle pourrait être louée ainsi ne ferait que grandir.

En tout cas, elle paraissait heureuse.

J’avais comme l’impression qu’au moment où elle baisserait sa garde, son expression se détendrait.

“Non, j’ai été grossier. Je suis soulagé d’être pardonné. Alors Raidou-kun le préfère légèrement relevé, à la place du kombu, tu es plutôt katsuobushi, hein. Avoir quelqu’un comme elle qui te cuisine les choses que tu aimes. Tu es vraiment un homme chanceux.” (Rokuya)

Rokuya-san a dirigé un regard incroyablement attendri, qu’il me montrait parfois, vers moi.

Il disait ça en regardant droit dans les yeux.

C’est vrai, mais…

“Ouais, je suis vraiment reconnaissant.” (Makoto)

Maintenant que j’y réfléchissais, Rokuya-san se catégorisait lui-même comme assassin.

Il s’est présenté avec quelque chose de dangereux comme une arme blanche pointée sur la gorge, et pourtant, pourquoi dégage t-il un sentiment si apaisant ?

Est-ce un trait de caractères des gens ayant surpassé leur métier ?

“Nous n’avons personne parmi nos compagnons avec comme métier principal la cuisine. Nous faisons notre propre nourriture avec chacun ses caprices, mais les bases restent vraiment importantes…” (Rokuya)

“…”

C’était sans doute un sujet que je ne devrais pas aborder.

En cuisine, les bases devaient passer avant les caprices de chacun.

Sinon des choses terrifiantes pourraient se produire.

C’était comme les Nabes.

Le Nabe, les choses sucrées et la crème sont délicieux ; Même ainsi, cela ne voulait pas dire que les trois ensembles seraient une bonne idée.

Ce n’était pas ainsi que ça fonctionnait.

En aucune façon, ce n’était une amélioration.

“Oups, mettons de côté mes affaires pour le moment. Quoi qu’il en soit, c’est triste à dire, mais le nom de la fille proche de la défunte est Pione. D’ailleurs elle prévoit de se venger de toi. Et donc, le concepteur de ce labyrinthe, les Marikosans, et pour couronner le tout, les membres de Pique-Nique au Jardin des Roses de toutes parts afin de résoudre le problème.” (Rokuya)

“… Je vois.” (Makoto)

Un certain nombre d’aventuriers du niveau de Rokuya-san, le concepteur de ce donjon et les Marikosans… En mettant ça de côté pour l’instant. Puisque que nous sommes venus ici avec eux comme objectif, nous pouvons pas tuer le groupe de mercenaire.

… Mais les chances que cela se termine en combat inévitable sont grandes.

Ah… N’est-ce pas que la difficulté n’est pas trop élevée ? De bien des manières.

Pione-san, pourquoi devais-tu être impliquée dans un tel groupe ? Sérieusement.

“… La fille dénommée Pione a été d’une grande aide quand cet endroit a perdu Doma et beaucoup de choses se sont passées. Raidou-kun, tu es sous né sous une mauvaise étoile.” (Rokuya)

La perte de Doma et beaucoup de choses produites ?

Cela voulait dire… C’est que Sofia est à l’origine de tout ceci.

Gnnnnnn, elle est vraiment lourde.

“Cette foutue Sofia.” (Makoto)

“C’était une femme dont la présence ressemblait à celle de Root. Est-ce que tu la connais ?” (Rokuya)

“Elle m’a combattu, deux fois… Et il n’y aura pas de prochaine fois.” (Makoto)

“Je vois. Au moment où elle a dévoré Doma, elle avait déjà la puissance de plusieurs Dragons supérieurs… Raidou-kun l’a vaincu, hein.” (Rokuya)

“Tout comme l’affaire avec les Sans Ombres, elle était celle qui a cherché le combat, alors je n’ai pas eu le choix.” (Makoto)

“Elle était en partie une femme pitoyable. Si elle est morte, je prierai au moins pour son bonheur dans l’autre monde.” (Rokuya)

“Tu es gentil, Rokuya-san.” (Makoto)

Que Doma fut tué ou dévoré, cela a créé un paquet de problème ici, et pourtant, il était attristé de la mort de Sofia ?

“Attends.” (Tomoe)

“Hmm ? Y a-t-il un problème, Tomoe-dono ?” (Rokuya)

“Pourquoi est-ce que tu connais le nom de Root et pourquoi tu le dis comme si c’était naturel ? Pourrais-je en savoir plus ?” (Tomoe)

“Bien, ce n’est pas vraiment quelque chose de secret. Cela ne me dérange pas. Je suis une connaissance de cette fille, Root.” (Rokuya)

“Fille ?” (Makoto)

Je l’ai involontairement coupé.

Root était généralement un homme.

Il m’a dit que si je me déshabillais, il deviendrait une femme quand je le souhaitais. Au passage, je n’avais pas l’intention de faire ça de mon vivant.

Mais… Root était un homme ‘depuis peu’, une échelle de temps d’un Dragon supérieur.

En d’autres mots…

“On dirait que ta relation avec Root, le Dragon aux Myriades de Couleurs, date d’il y a bien longtemps-ja na. Dans ce cas, je me demande à quel point les légendes sur les Aventuriers Originels sont véridiques. J’ai envie de savoir plus.” (Tomoe)

“… Ce que Shougetsu vous a dit, c’est… Eh bien, c’est la vérité. Huhuhu, je me demande bien pourquoi, lorsque vous arriverez au 20ᵉ étage, nous allons probablement nous affronter, ce sera sans doute un combat désavantageux pour vous autres et on dirait bien que notre relation ne durera pas. C’est ainsi que je vois les choses, mais… Une partie de mon cœur est persuadée de quelque chose : ‘Notre relation avec Raidou-kun se poursuivra encore à l’avenir’. Que c’est mystérieux.” (Rokuya)

“Nous n’avons pas non plus l’intention de le perdre. Peu importe la situation, nous avons l’intention de l’amener à des négociations.” (Makoto)

“Même cette insouciance, il y a une partie de moi qui ai hâte d’y être et c’est surprenant. Dans ce cas, je répondrai également de la même façon. Bien sûr, je vais maintenant répondre à la question de Tomoe-dono.” (Rokuya)

Et ensuite, Rokuya-san a siroté son thé d’après-repas.

L’histoire des Aventuriers Originels.

L’origine.

Qui étaient-ils vraiment ? Qui était ce Rokuya-san se tenant devant nous.

Tout en profitant d’un thé, on s’attaquait à un sacré sujet de conversation.

J’ai décidé d’écouter docilement ce que Rokuya-san avait à dire.

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