Tome 5 – Chapitre 287 – Puis-je en avoir une centaine ?
“Ah, si vous ne vous sentez pas bien, prévenez-moi dès que possible, ok ? Bon, c’est par ici.”
Je me sentais déjà mal.
Comme attendu, même moi je m’interrogeais à ce sujet.
Azu-san marchait devant nous avec insouciance comme s’il était un guide touristique.
C’était l’autre côté de la torsion du ballon. En d’autres mots, le monde des morts.
Quelque chose brillant d’une lueur rouge pâle dérivait dans les airs.
Ou peut-être pas ? Est-ce que c’était l’air lui-même qui changeait de couleur ?
Est-ce qu’on pouvait le respirer ?
D’après ce qu’il a pu déjà dire, tout devrait aller aussi longtemps que le Corps de Mana est déployé, mais… Bon, je ne me sentais pas à l’aise.
J’avais comme l’impression de marcher à la nuit tombée où le son s’est éteint.
Pour une obscure raison, il n’y avait pas un seul bruit de pas.
La sensation à mes pieds était moelle comme celle d’une éponge, une plage de sable fin ; Je ne trouvais pas d’autres mots pour être plus précis.
Le paysage devant Azu-san changeait constamment.
Il serait plus précis de dire que parfois il s’arrêtait et reprenait peu après la marche, quand cela arrivait, le paysage environnant changeait complètement.
Une voie pavée de pierres, une forêt, des dunes de sables, la surface d’un lac, le cœur d’une jungle, et également la vue d’une ville m’étant familière et… À quelques occasions, il y a eu la vision ironique d’un cimetière. Même si le sentiment du sol où je me tenais n’avait aucunement changé, la scène devant nous changeait constamment.
“Ce n’est pas une illusion, mais ce n’est pas non plus réel. Le monde des morts, hein. Quelle étrange place.” (Tomoe)
On dirait que Tomoe allait bien.
Juste au cas où, je l’avais renforcé et elle était en mode cheveux argentés.
Même ainsi, je n’avais aucune assurance me permettant de me détendre. Cela s’appliquait aussi à elle.
Les sentiments exprimés par sa voix n’étaient pas différents des miens.
Mais comme attendu d’une personne maniant les illusions, il semblerait qu’elle suspectait aussi que ce qu’il se passait pourrait être l’œuvre d’une illusion ou quelque chose du même genre.
Je vois, une illusion, hein.
Il était vrai que ce point de vue présentait quelques similitudes.
Je l’avais seulement expérimenté quelques fois par le passé. Cela m’a fait me souvenir de la fois où j’ai expérimenté le pouvoir de Tomoe.
Il y avait des similitudes entre ces deux événements.
Même si ce n’était pas une illusion, cela pourrait être lié à des souvenirs.
“Les appeler habitants serait étrange, mais n’y a-t-il aucun mort ici ? Je ne vois rien de tel par ici.” (Makoto)
J’ai essayé de dire ce qui me tracassait.
Apparemment, ce n’était pas la première fois pour Azu-san, alors ça valait le coup de lui demander.
“Disons… Que si tu imagines quelque chose comme des morts-vivants, il n’y a rien de tel ici.” (Aznoval)
“…” (Makoto)
Il était vrai que j’ai imaginé des choses comme des squelettes ou des zombies ; En d’autres mots, des êtres faites d’os ou des cadavres.
Alors il n’y en a pas ?
Maintenant que j’y réfléchissais, les morts-vivants etaient des cadavres, alors peut-être qu’ils étaient des personnes qui ne voulaient pas venir ici et sont restées dans le monde des vivants.
Ou peut-être qu’ils avaient de la rancune ou quelque chose à accomplir qui les liaient au monde des vivants ?
…
Ce n’était toujours pas ainsi dans la Bouddhisme, mais dans le Shintoïsme, cela donnait l’impression de les juger comme impur.
Ou plutôt, tout était pratiquement ainsi.
Dans ce cas, ma manière de voir le monde des morts pourrait être proche du Shintoïste.
“Apparemment, ils circulent sous forme d’âmes. Je ne suis pas très bon dans l’aptitude à percevoir les choses, je ne peux donc pas les distinguer, mais il y a des âmes ici et là. Il paraît que les gens qui sont bons dans ce domaine, meurent normalement ici.” (Aznoval)
“Hé~.” (Makoto)
J’étais complètement dépassé par les événements, ce qui limitait grandement ma capacité à répondre.
J’ai essayé de déployer [Sakai] en mode recherche.
Dès cet instant, je ne pouvais plus voir que des réactions partout dans la zone.
Je vois. Cela ne fonctionne pas du tout.
Je devrais ajuster pour qu’il puisse être utilisé dans ce monde. Je me demande si c’est possible.
“Il semble que le paysage d’ici est dû à l’omniprésence des âmes ou quelque chose du même genre. Si vous voulez en savoir plus, Futsu, qui nous attend à l’arrivée, vous en dira plus, mais… Si vous ne comprenez pas les explications de Root, ça ne sera pas mieux avec elle ? Du moins, moi je n’y arrive pas.” (Aznoval)
“Dans ce cas, ça serait impossible pour moi aussi.” (Makoto)
“Tu as eu envie de dormir en plein milieu, hein. Je ne me souviens pas d’une fois où j’ai réussi et l’interrogatoire suivait durait aussi plusieurs heures . Il n’y a pas avoir honte. Après tout, C’était une expérience plaisante.” (Aznoval)
Azu-san a ri de bon cœur.
Ce rire enjoué sonnait bizarre dans ce lieu.
Ou plutôt, expérience plaisante ?
“…” (Makoto)
“Root raconte ce qui semblerait à une blague anodine à la plupart des Sages rencontrés, mais qui ne l’est pas. Se pourrait-il que cela eusse été la première fois de Makoto-kun ?” (Aznoval) (NTA : Root avait dit à Makoto qu’il le ‘mangerait’ s’il n’arrivait pas à suivre ses explications jusqu’à la fin.)
“… Quoi ?” (Makoto)
“Si on parle de ses explications, nous étions présentes et avons écouté jusqu’à la fin. Et c’est pour ça que Waka… N’a pas été attaqué, Aznoval.” (Tomoe)
“…Oh, c’est assez rare. Il n’y en a qu’une seule personne qui a pu suivre jusqu’à la fin et ils ont discuté dans une langue mystérieuse. Par contre, si la personne est du sexe opposée, voir aussi du même sexe, elle les attaquera et ira jusqu’au bout. Makoto-kun n’a pas été en mesure de suivre ses explications, mais n’a pas été attaque, hein. À la manière de comment tu te comportes, je pencherais sur le fait que tu sois né lors de la période Heisei (Ere moderne), mais peut-être que tu es né à la fin de la période Showa (1926-1989) ?” (Aznoval)
“Pourquoi est-ce que la discussion a tourné dur mon âge ?” (Makoto)
Je n’en comprenais pas la raison.
“La repousser prouve que tu dois avoir une forte personnalité, non ? Tu vois, j’ai simplement pensé que la période Showa a produit de fortes personnalités. Ou peut-être qu’une femme a déjà pris ton cœur ?” (Aznoval)
“…Ah.” (Makoto)
Le visage de deux femmes est apparue dans ma tête.
… Hein ?
Sans même qu’une seconde ne se fût écoulée, les visages de Tomoe et Mio sont apparues aussi.
…
C’est grave.
Est-ce que je suis si facile à manipuler ? Ce n’est pas bon.
“Hmm, mais même si tu as une telle femme se trouvant au Japon, tu es dans ce monde. Cela ne servira à rien d’inhiber tes désirs. D’aille… Aah…” (Aznoval)
“… Quoi-ja, Aznoval ? Tu fais une tête indigne d’un chevalier.” (Tomoe)
“Alors c’était donc ça. Ce n’était pas Mio-san, tu avais déjà ce genre de relation avec Tomoe-san, hein. Ah, Root a dû le remarquer et a n’a donc rien tentée.” (Aznoval)
“… Je suis impressionné par ton sens de l’observation. Oui, c’est assez proche de la réalité, mais pas totalement-ja na. Il est vrai que Root n’a rien fait à cause de moi-ja yo.” (Tomoe)
C’est loin de la réalité.
Nous n’avons pas ce genre de relation.
D’ailleurs pour la deuxième partie, Tomoe a suivi jusqu’au bout, nous avons donc pu réussir son défi. Dans un sens, il avait raison.
“… Est-ce que Nee-san est une dame de la cour ? Je vois… C’est plausible. Mais Makoto-kun, Mio-san est aussi adorable. Cette femme est clairement du genre à rester à tes côtés quoi qu’il arrive, tu le sais ? Heureusement, ce monde accepte la polygamie, alors…” (Aznoval)
Alors que des pensées auto dérisoire sur un harem venait dans ma tête, la conversation entre Azu-san et Tomoe partait vraiment très loin.
Sérieusement, ces deux-là partaient bien trop loin dans leur délire.
“Une fois l’épouse légale décidée, les choses vont évoluer incroyablement rapidement. Oui, maintenant que j’y réfléchis, nous avons à peine effleurer le sujet. On dirait qu’un chevalier pénible comme toi peut être utile dans une certaine mesure.” (Tomoe)
“Hé, est-ce que Tomoe-san n’est pas l’épouse légale ?” (Aznoval)
“Hmm ? Je suppose. L’ordre n’a pas vraiment d’importance.” (Tomoe)
“Mais si vous vous mariez au plus vite, cela permettra d’avoir plus d’enfants, non ? Donner naissance à l’enfant de l’homme que tu aimes ; C’est le privilège de la femme. Il y a même un Japonais que j’ai connu qui s’est marié à une femme à moitié Dragon et ont vécu une vie heureuse.” (Aznoval)
“… Des enfants, hein. L’enfant sacré de Waka… Huhuhuhu… Huhuhu… C’est vrai. C’est ce que je souhaite. Je le veux le plus rapidement possible.” (Tomoe)
Le visage de Tomoe s’est transformé en un ‘visage souriant’ qu’elle montrait rarement.
Mais cela ne paraissait pas être le visage d’une femme se réjouissant de comprendre le privilège d’être une femme.
La plus proche comparaison serait d’une grand-mère attendant ses petits-enfants.
Cela dépassait probablement le niveau de celui d’un parent.
“C’est quelque chose de naturel.” (Aznoval)
Azu-san a hoché la tête en signe de compréhension.
Non, n’acquiesce pas.
Dans la tête de Tomoe, je vais sans doute épouser je ne sais combien de femmes à l’avenir.
…
Qu’est-ce que c’est ?
Juste à l’instant, j’ai ressenti un frisson parcourir mon corps.
De plus, je sentais… Un regard étrange que je n’avais jamais ressenti auparavant.
Ce n’était pas le regard de quelqu’un. J’avais comme l’impression d’être observé par le monde entier. Cela ne devrait pas être possible, mais je n’avais pas d’autres moyens de le décrire.
“J’avais l’intention de tout arranger avant, j’ai donc laissé ça à plus tard, mais c’était peut-être une grosse erreur. Mio et moi sommes différentes des Hyumains, alors qui sait ce qui arrivera dans le futur. Est-ce que tu dis que nous aurions dû nous y atteler au plus tôt ?!” (Tomoe)
“Tu es toujours jeune, en outre, votre compagnie se porte bien. Dans ce cas, il n’y a aucun souci à se faire en termes d’actifs. Si tu ne peux pas compter sur le soutien de ton entourage, ce chevalier pénible propose une idée saugrenue où si tu ne vises pas soudainement à avoir un enfant, tu devrais t’entraîner pour les étapes précédentes, Princesse Tomoe.” (Aznoval)
Les étapes précédentes…
Ah, je vois. C’était donc ça.
“Pénible j’ai dit ? J’étais simplement ignorante de ta considération. Pardonne-moi, Aznoval. Maintenant que j’y réfléchis, c’est exactement ce que tu craignais-ja. Des femmes le visent, même parmi les Gorgones et sa réticence envers nous pourrait lui faire souhaiter avoir un enfant avec Tamaki.” (Tomoe)
…
M-Mais comment la situation a pu tourner ainsi ?
Je ne sais même plus quoi répondre !
“Il paraît que tes connaissances sur le Japon viennent de Makoto-kun, il n’y a donc probablement pas besoin de le dire, mais au Japon, peu importe l’apparence ou l’excellence d’un homme ou d’une femme, tu ne peux te marier qu’à une seule personne.” (Aznoval)
“Oui, je le sais.” (Tomoe)
“C’est la raison pour laquelle il se peut que tu ne soucies pas au début d’être la seconde épouse ou encore plus bas. Les hommes qui sont devenus les maris de Root s’habitue assez vite aux harems, mais Makoto-kun est très probablement différent.” (Aznoval)
“Bien, Bien.” (Tomoe)
“C’est exactement pourquoi être la première épouse est important. En fonction d’elle, cela affectera sa vision d’une seconde épouse.” (Aznoval)
“E-Effectivement.” (Tomoe)
“D’après ce que j’ai vu, Il n’y a aucun doute que sa première épouse sera Tomoe-san ou Mio-san. Un mariage heureux vous attend clairement ! Dans ce cas, quand est-ce que tu vas faire le premier pas ? Je ne devrais même pas avoir à le dire ! Pas vrai ?” (Aznoval)
“Tu as raison ! C’est le bon moment-ja !!!” (Tomoe)
Non non, ça ne faisait qu’une journée qu’on avait rencontrée Azu-san pour la première fois…
Dire des choses comme ‘ Pas vrai ?’ et ‘Quand est-ce que tu vas faire le premier pas ?’, tu étais vendeur au Japon avant ?!
En plus, non, ce n’est pas le bon moment-ja.
“Ouais, ouais, Je suis heureux de voir que tu comprends. Je veux que Makoto-kun vive une vie d’Isekai épanouie et sans regret.” (Aznoval)
C’est un mensonge !
Tu essaies juste de détruire ma vie paisible avec tout ce que tu as !
“D’ailleurs-ja ga, combien d’épouses peut supporter un Japonas-ja ?” (Tomoe)
“… Cela dépend des personnes. De ce que j’ai connu, le plus grand nombre a été de 60, mais j’en connais un qui a craqué avec 4.” (Aznoval)
“Hmmm, même en partant du plus grand nombre, il faut que chacune donne au moins deux naissances pour atteindre la centaine. E-Et qu’en est-il de l’âge-ja ? Est-il possible de faire des enfants à n’importe quel âge ?” (Tomoe)
“…”
T-Tomoe a sombré !!!
Non, elle a définitivement sombré !!!
Ma gorge était sèche.
En rejetant la partie sur le nombre d’épouses… Une centaine d’enfants tu dis ?!
En outre, tu ne paraissais pas satisfaite avec un tel nombre ?!
Était-ce même une conversation que l’on devrait avoir dans le monde des morts ?
Ou plutôt, ce n’est pas juste une blague, pas vrai ? Vous allez vous retourner et me dire ‘On t’a eu’, n’est-ce pas ?!
“Désolé, cela dépend aussi de la personne. L’âge le plus élevé que je connaisse est de 82 ans, mais le plus bas a été de 40, il a été incapable d’avoir des enfants peu importe ce qu’il a essayé…” (Aznoval)
“Q-Quoi ?! Si nous partons du pire des scénarios, cela voudrait dire qu’il ne reste que 20 ans à Waka ?!” (Tomoe)
De quoi tu parles avec un tel sérieux, Azu-san ?
L’homme, qui a été capable de faire un enfant à 82 ans devait être une sorte de surhumain, et quant à l’homme de 40 qui n’a pas pu avoir d’enfants, il devait y avoir des circonstances derrière !
Une maladie, une blessure ou peut-être quelque chose qui est arrivée lors d’une aventure, il y avait aussi la possibilité qu’il ait mené une vie sexuelle excessive et que cela l’ait tari avant l’heure.
Je refuse totalement un style de vie comme le dernier, ok ?!
De plus, ne dis pas des choses comme ‘il ne reste que 20 ans’, c’est incroyablement déplacé !
“Ah…” (Makoto)
Au moment où j’ai ouvert la bouche parce que j’avais l’impression que ma vie était en train d’être récrite…
“Aznoval, à quoi tu joues ? Je croyais que tu allais les guider ici en tant qu’invités, mais tu n’as fait que bruyamment parler de leurs vies. Ne vois-tu pas que les âmes perdent patience et commencent à être bruyantes ?” (???)
J’ai pu entendre une voix résonné dans ma tête.
C’était une voix qui était à l’encontre d’Azu-san, mais je l’ai clairement entendu aussi.
Tomoe devait également l’avoir entendu, mais…
“Faire des bébés… Quelle bourde. Faire des bébés…” (Tomoe)
Ouais, elle l’a probablement entendu.
J’avais une idée du propriétaire de cette voix.
Après tout, il y avait seulement une possibilité.
“Futsu, cela fait un bye. Mais je ne plaisantais aucunement.” (Aznoval)
Les dires d’Azu-san a confirmé mon hypothèse.
Des hitodamas bleu sous une forme similaire aux âmes apparaissaient constamment autour de nous pour se rassembler et ne former qu’un.
C’était un Dragon, mais un Dragon de type occidental.
Quelle vision rafraîchissante.
Il flottait, et comparé à son gros corps, ses bras étaient petits, et dans ses mains, il tenait des sphères.
Les contours de sa tête devenaient de plus en plus clairs.
Sa corne était incroyable.
Une corne extravagante avec des ramifications comme celle d’un renne, et à chaque section, elle s’élargissait à mesure qu’elle s’élevait.
“Alors c’est l’existence qui est un pied d’égalité avec Root… Futsu.” (Makoto)
“Je ne suis plus que la manageuse des âmes. Ravi de te rencontrer, l’être exceptionne Misumi Makoto-kun.” (Futsu)
Une belle voix a retenti dans ma tête.
À l’endroit où je regardais, il y avait Futsu.
Elle avait pris forme avec un corps recouvert d’écailles argentées.
Mais ce n’était pas comme si sa forme était fixée à celle-ci.
Par moments, Futsu se transformait en un Dragon pâle comme si elle était faite d’ectoplasme, et à d’autres moments, elle devenait encore plus pâle, voir transparente. Et parfois, elle était à mi-chemin entre la matérialisation et la transparence.
Mais la forme avec laquelle Futsu nous a salué, celle où elle était complètement matérialisée en un corps recouvert d’écailles argentés, était une vision mystérieuse comme nulle autre.
“…”
Les yeux de Tomoe étaient grands ouverts.
Il était facile de dire que c’était de la surprise.
Ce genre de présence ne pouvait être simulé.
Cela signifiait qu’il existait au moins un Dragon dont la force était comparable à celle des Dragons supérieurs.
L’apparence d’une camarade qui n’existait pas dans les vastes connaissances qu’elle avait sur ce monde.
Cela serait bien qu’avec elle on puisse retourner sur une discussion plus saine.