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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 303

Asora prend son envol

Tome 5 – Chapitre 303 – Asora prend son envol

Les aliments fermentés.

Cela existait dans de nombreuses cultures culinaires et il y avait de nombreuses histoires variées et particulières.

Les fromages, les yaourts, de nombreux alcools et… Bah, de nombreuses autres choses.

Au Japon, il allait sans dire qu’il y avait le natto et le miso, de nombreux assaisonnement étaient des produits fermentés ou en étaient issus.

Essais et erreurs se sont répétés à Asora en se fiant à mes souvenirs et un bon nombre de succès en ont découlé.

Par exemple ; Le natto a été réussi assez vite.

Maintenant que j’y réfléchissais, la méthode de production en lui-même n’était pas si compliquée.

Mais… Ça a pris mal de temps avant qu’on ne me l’eût reporté, ou pour être plus précis, jusqu’à ce que Tomoe fut sûre d’elle.

Ils se sont fiés à mon impression ‘Ouais, c’est du natto’, alors l’équipe de réplication mettait au rebut tout ce qu’ils considéraient comme un échec et il leur a fallu un certain temps avant de produire quelque chose d’assez bien pour me le montrer.

Puant, avec un puissant goût et visqueux.

Cela pourrait être évident, mais les gens aimant ou pas le natto dans Asora étaient grandement divisés sur la question et il était devenu un produit local du coin.

Même si l’odeur, la viscosité et la taille des grains ont subi de grandes modifications jusqu’à maintenant, le fossé ne s’est jamais comblé.

Ou plutôt, hormis la taille des grains, il y avait des passionnés qui essayaient de renforcer l’odeur, la viscosité et le goût. Pour les personnes ne mangeant pas, cela semblait être l’acte d’un démon.

En ce qui concernait les fromages et les yaourts, je ne savais pas comment les produire, mais on pouvait trouver à Tsige la méthode pour fabriquer du beurre et d’autres produits à base de lait déjà existant dans le monde de la Déesse, nous nous sommes donc débrouillés avec et cela a bien aidé dans la recherche de processus de fabrication.

C’était juste que le goût était différent du fromage que j’avais l’habitude de manger, comme le fromage fondu et le fromage à pizza.

Comment les produire ?

D’un autre côté, nous avons eu beaucoup de mal à retrouver le goût de la sauce soja, du miso, du vinaigre, du saké et du shochu.

Les trois derniers ont atteint un stade où ils étaient similaires, mais pas identiques, et ne pouvaient pas être considérés comme des produits finis. D’autant plus pour le saké, il y avait du doux, du sec et du moelleux. Pour le shochu, les ingrédients lui-même donnaient un goût différent.

Il était impossible d’avoir une base claire pour juger. Il y a eu un moment où un saké facile à boire avec de l’acide carbonique est apparu et j’étais sûr que ce n’était pas l’habituel que je connaissais.

Mais il y avait des variations comme le doburoku, alors je ne pouvais pas dire avec certitude qu’il ne rentrait pas dans cette catégorie.

Dans l’un ou l’autre cas, le point important était la ‘base’.

Que ce fut le saké ou l’assaisonnement, il y avait un certain nombre que je pouvais reconnaître comme tels.

Spécialement le saké, Tomoe m’a regardé avec des étincelants en attendant mon approbation.

Quand on en est venu aux assaisonnements nécessaires aux plats japonais, Mio était réservée et silencieuse, gardant une distance de trois pas en arrière et relâchant une forte pression.

Je me sentais mal, je ne pouvais pas donner un jugement clair, car je ne connaissais pas leurs goûts crus.

Cela ne sera pas considéré comme un produit fini à moins d’avoir mon acceptation, et les modifications à venir pour s’adapter aux goûts locaux ne pourront pas non plus commencer. La responsabilité était lourde, bien trop lourde.

“… Hmm.” (Makoto)

Même ainsi, c’était enfin fini.

La sauce soja, le miso et le vinaigre.

Nous avons trouvé des choses ‘similaires’ à eux.

De plus, nous avons trouvé quelque chose de similaire au saké.

En ce qui concernait le shochu, la chose incolore, que je venais de boire juste à l’instant, était à base de pommes de terres, mais mes souvenirs de quand je l’avais bu était flou, même ainsi, le picotement sur ma langue, le goût particulier et la douceur correspondaient.

Si nous combinons ceci et les autres produits, nous pourrions considérer que le premier projet de reproduction de produits fermentés est proche d’être accompli.

Asora a évolué !

“Je crois que c’est sans aucun doute du shochu à la pomme de terre.” (Makoto)

“! Alors avec ça, nous avons de l’alcool japonais, du saké nigori et du shochu. C’est un progrès splendide.”

“À propos de ce saké, qu’en est-il de ceux au riz et à l’orge ?” (Makoto)

Aujourd’hui, Mio et moi explorions Kannaoi pour goûter aux produits.

Après avoir fini notre shopping, toutes nos affaires avec Lorel sont réglées.

La partie sur l’assaisonnement a beaucoup progressé, mais la partie sur le saké a aussi grandement progressé.

Comme attendu de Lorel, le lieu où les Sages se rendaient.

La mode ici était des plus questionnables, mais en termes de nourriture, ils n’étaient pas à l’avant garde et étaient plutôt traditionaliste en essayant de reproduire le plus fidèlement possible le goût japonais.

Honnêtement, je n’avais pas un grand attachement à la nourriture, mais quand j’ai goûté aux graines de soja noires bouilles dans du sucre, j’en ai été ému. Bon, j’exagérais un peu.

Leur goût correspondait exactement à celui de mes souvenirs…

Pour une raison quelconque, des larmes en sont sorties.

Alors que ce n’était pas le genre de nourriture à m’émouvoir aux larmes et je n’avais non plus des souvenirs importants liés à ceci.

“Nous avons les deux. De songer que vous connaîtriez le shoshu au riz et à l’orge, vous êtes un connaisseur en dépit de votre jeune âge.” (Vendeur)

“Il y a des clients désirant boire du shochu. Pour cette raison, j’ai bien quelques connaissances sur ce sujet mais superficielles.” (Makoto)

C’était un petit mensonge.

Ceux qui désiraient en boire, c’était principalement Tomoe et les Anciens-Nains.

Aujourd’hui, je déambulais avec Mio dans les magasins.

Nous entrions dans les magasins attirant notre attention si on en croisait un sur le chemin, mais sinon je suivais Mio.

Mio s’était peut-être déjà présentée comme faisant partie de la compagnie Kuzunoha.

Cela devrait être la raison pour laquelle l’employé de ce magasin extravagant de liqueur flattait un jeune garçon comme moi qui était accompagné d’une femme.

S’il était au courant de ce que nous avions fait ici, et qu’il faisait le lien avec la compagnie Kuzunoha, Raidou, et moi, il ne serait pas étrange que cela se tourne en situation comme celle dans Mito Koumon, mais à en juger son accueil calme et tout en douceur, comme n’importe quel client, probablement pas.

Ou peut-être qu’il a simplement remarqué que j’étais aussi du métier et qu’il voulait que j’achète son stock, possible aussi que c’était sa façon de saluer un autre marchand.

Pas bon. Je finissais toujours par m’inquiéter de la moindre parole d’un marchand.

À Kannaoi, le saké était plus répandu que le shochu, alors peut-être qu’il agissait amicalement car un client lui parlait des différents types de shochu.

“Ceux-ci sont faits à base de riz, je vous le recommande : Ukai et Kishihakatarazu. Et pour ceux à la base d’orge, le transparent est du Yaso, l’ambré a été laissé maturer pendant trois ans, le Sankaido.” (Vendeur)

À un endroit un peu plus éloigné de la réception des clients normaux, nous nous sommes assis et avons écouté les explications en détails sur les alcools.

Kishihakatarazu ?

Sankaido ?

Il y avait pas mal de noms pour les liqueurs sonnant comme une blague, alors il n’y avait pas de raison de s’en faire, hein.

Pour être honnête, je trouvais qu’ils étaient tous raids.

Il y avait des différences de goût, mais était-ce normal de boire le shoshu ainsi ?

“Ils ont tous un puissant arôme. Ce sont de grandes liqueurs. J’apprécie grandement.” (Makoto)

À propos, je les ai goûtées en partant du principe que je les achèterais.

Je lui ai fait verser un verre pour moi et je le sirotais petit à petit. Évidemment, je ne pouvais pas boire les quatre verres déjà versés.

Mio les a bus d’une traite, comme si c’était un shot.

Il était clair pour moi, que d’après ses yeux, elle savourait chacun de ses verres, nous ne pouvions donc rien dire de mal.

Puis j’ai regardé le reste d’alcool dans mon verre.

J’avais comme l’impression que je ne pourrai pas négocier.

J’ai tourné mon regard vers Mio.

Les quatre verres étaient maintenant vides.

“Merci beaucoup !” (Mio)

Une honnête et très bonne évaluation.

Eh bien, il est acté que nous allions acheter une quantité décente et variée de liqueur.

Il ne faisait aucun doute que le vendeur expert avait dû le sentir.

Si c’était le cas, nous étions des invités de marque.

“La couleur ambrée est également magnifique. Se pourrait-il que vous l’ayez laissé mûrir avec un tonneau ayant déjà servi pour une autre liqueur ?” (Makoto)

“?! Je pensais que vous étiez un marchand du même métier, mais vous faites aussi dans la fabrication d’alcool ?” (Vendeur)

Quand j’étais dans le royaume Limia, au moment où j’étais allé voir dans les entrepôts de distillage d’alcool, ils faisaient quelque chose de similaire et la couleur était la même, alors j’ai un peu bluffé ici et on dirait que j’ai fait mouche.

Même si je m’étais trompé, je pouvais être le genre de marchand avec lequel il serait facile de traiter et qui payait bien, ce qui serait bien s’il se méfiait de moi. Mais apparemment, j’avais raison sur ce coup.

“J’ai appris qu’il y avait ce genre de liqueur brassé quand je me suis approvisionné dans les entrepôts de Limia. Nous sommes des marchands, mais nous sommes ceux qui ne faisont que stocker. Il est impossible que je puisse avoir plus de connaissances sur vous qui la fabriquez.” (Makoto)

Maintenant, voyons comment il va jouer.

Est-ce qu’il va me sortir un produit précieux, ou un nouveau produit incroyable ?

Cet endroit était un magasin de liqueur avec une excellente position, la variété des barils dans le magasin était incroyable et le vendeur recevait bien un garçon comme moi.

Il ne faisait aucun doute que c’était un magasin avec une excellente réputation.

Il y avait certainement beaucoup de saké ici, mais il y avait également une belle variété de shochu.

En tant que personne qui ne connaissait que les variantes à base de pommes de terre, de riz et d’orge, cela me donnait envie de découvrir les grandes entreprises des Sages.

“Alors, puisque vous demandez du shochu, le premier a été fabriqué à partir de la pomme de la terre, Haou ; Celui avec du riz, Ukai ; Le dernier à l’orge, Sankaido ; Ce sont ceux dont je suis le plus confiant. Mais si vous avez le temps, je peux vous présenter un certain nombre d’excentriqués.” (Vendeur)

“S’il vous plaît, faites-le. Par ailleurs, le shochu est une boisson assez forte pour moi. Je m’excuse par avance si cela peut sembler grossier, mais serait-il possible d’avoir de l’eau ?” (Makoto)

“En aucune façon c’est grossier. Le shochu est utilisé dans de nombreux cocktails, et il est généralement dilué avec de l’eau. Surtout avec les clients appréciant l’arôme, ils préfèrent boire les deux séparément. Évidemment, je vais en préparer pour vous.” (Vendeur)

Lorel, banzai !

Quel soulagement. Apparemment, c’était une façon normale de boire.

Son explication a bien fait son boulot pour me convaincre, mais il était vrai qu’en le diluant avec de l’eau, j’avais l’impression que l’arôme était plus marqué.

Peut-être était-ce simplement dû au fait qu’un professionnel me l’a expliqué ?

Bah, repensons-y après l’avoir bu.

D’ailleurs, le Haou devait provenir du nom Maou. (NTA : Le nom de l’actuel shochu.)

Je saurai un jour lequel des deux était le plus savoureux quand je boirai également le Maou.

“Oh, lesquels avez-vous donc ?” (Makoto)

“Des choses comme : Du sésame, du champignon, de l’huître, du raisin, de la tomate et de la chicorée. Ah, ramenez les trois shochu, le raisin et la tomate pour les clients ici.” (Vendeur)

“Oui, tout de suite !” (Employé)

Champignon et tomate ?!

Ça ne serait pas du vin en utilisant du raisin ?!

Il a parlé d’huître, mais ne voulait-il pas dire kaki ? (NTA : Les deux se prononcent pareils.)

C’était mauvais. Shochu pourrait être plus marécageux que je ne le pensais.

Je ne pouvais pas imaginer leur couleur ou leur goût en dehors de celui à la base de sésame.

Ou plutôt, quels champignons utilisent-ils pour leur shochu ?

‘Puisque nous le transformons en liqueur, le poison sera éliminé, alors nous utilisons des champignons empoisonnés’, ça sonnait plausible.

Comme pour la préparation des ovaires du poisson globe.

Pour la chicorée, je ne savais même ce que c’était.

Je ne savais même pas si c’était un légume ou un fruit.

Même ainsi, six types, hein.

J’avais comme l’impression que j’allais beaucoup boire.

Je pouvais utiliser la magie pour ne pas être ivre, mais cela annulerait le goût.

Je pouvais boire autant que je voulais de cette manière, mais cela serait tellement insipide.

C’était comme un poker ou une course de cheval où l’on ne paraît rien du tout.

C’était une sensation avec laquelle je ne savais pas à quoi la comparer.

De toute façon, je dégustais actuellement de l’alcool pour l’acheter, ce n’était donc pas le moment pour faire de la magie.

“Désolé pour l’attente !” (Employé)

“Bon boulot. Désolé pour l’attente. Voici celui le mélange de champignons que nous nous avons réussi à façonner l’année dernière et…” (Vendeur)

““Me revoilà !””

“?”

Alors que le vendeur détaillait le shochu aux champignons et me le versait dans un verre, quelqu’un l’a interrompu de par son arrivée fracassante.

Cependant, il n’avait pas renversé la boisson.

Il a relevé le bec doseur avec des gestes d’expert et a tourné son regard vers l’entrée.

J’ai également suivi son regard.

Celui qui est entré dans le magasin était un homme avec une respiration laborieuse.

?!

Un kimono fabriqué de la soie luxueuse et portant un pseudo hanten ?!

Noir comme base avec des broderies argentées et dorées, le dessin était… Une myriade de fleurs, hein. Un motif où une bouteille blanche de saké était accrochée à l’arrière de son cou, et de là, une quantité phénoménale de fleurs en sortait, couvrant tout son dos.

C’était probablement fait sur mesure.

Il s’était mis à vaciller tandis qu’il recevait de l’eau d’un employé et l’a bu d’une traite.

Le vendeur avec nous ne l’a pas salué comme le reste des employés, il semblait être abasourdi par l’homme avec le pseudo hanten.

“D-Danna-sama(NTA : Maître), entrer par la porte d’entrée, qu’est-ce qu’il se passe… ?”

Il a exprimé sa surprise.

Danna-sama, hein.

Cela voulait dire qu’il était le propriétaire de ce magasin.

Hmm… Se pourrait-il que ce pseudo hanten était une sorte de tenue officielle pour les marchands ? Quelle bonne blague, hein ?

“Haaah haaah… Rassembler immédiatement tous le personnel dans mon bureau. C’est urgent !” (Danna-sama)

Le propriétaire a jeté un regard dans tous le magasin et a ordonné ça d’une voix qui portait bien.

Le magasin s’est animé en un instant.

Est-ce que quelque chose s’est produit ?

Le propriétaire du magasin a enlevé ses chaussures et il nous a aperçu alors qu’il allait se diriger précipitamment vers son bureau.

Le vendeur a acquiescé et je me suis légèrement incliné.

Mio a imité mon geste.

C’était notre première fois en tant que clients, mais il l’a sans doute compris que nous étions au milieu d’une négociation, il a affiché un sourire et a incliné la tête… Puis ses mouvements se sont soudainement arrêtés.

Une posture des plus amusantes de là où je me tenais.

“Quoiiiiiiiiii ?!” (Danna-sama)

Et ensuite, un étrange cri.

Hé hé, je suis ici pour m’amuser tout en baladant en ville et m’assurant que ‘Asora a évolué !’. Et voila que quelque chose va tout chambouler soudainement ?

Les événements de Kannaoi devraient déjà être réglés, pas vrai ?!

“Danna-sama ?!”

Le propriétaire avait repris ses esprits et avec l’un de ses tabi blancs encore sur l’un de ses pieds, il a couru à toute vitesse dans notre direction.

Et ensuite, sa ruée s’est muée en dogeza.

Un dogeza d’un niveau artistique.

“J-Je m’excuse pour la grossièreté, mais êtes-vous Raidou-sama de la compagnie Kuzunoha ?!” (Danna-sama)

Une situation comme celle de Koumon-like est apparue.

Comme on pourrait s’attendre d’un propriétaire d’un grand magasin, il semblerait disposer d’un réseau d’informations correct.

J’aurais cru que les informations sur moi ne circulerait pas d’un jour à l’autre, mais on dirait que je les avais sous-estimés.

Par ailleurs, c’était une situation que Tomoe envierait.

“Ooh… L’information a vite circulé.” (Makoto)

“Quand Waka-sama a ordonné à Iroha quelque chose s’apparentant à de l’intérêt à travailler avec eux, je m’attendais effectivement à ce que cela hâte le processus, mais je ne m’attendais pas à une telle vitesse. Leur réseau d’information est du même acabit de celui de Rembrandt. Waka-sama.” (Mio)

Il semblerait que Mio l’avait prédit dans une certaine mesure.

J’aurais aimé que tu choisisses un peu mieux tes mots en public.

Je ne me souvenais pas d’avoir ordonné quelque chose à Iroha-chan, mais… Était-ce ça ?

Le fait de recevoir des informations sur les produits locaux et tout le reste ?

Que si elle avait des affaires, nous ferions ce que nous pouvions pour les traiter si elle nous appelait ?

C’était basiquement la formalité habituelle.

Comme si un marchand comme moi pouvait donner des ordres à une des grandes pontes d’une puissance majeure.

“En cet instant propice, je tiens à vous féliciter en personne pour votre promotion au rang de Dieu de la Richesse de la Guilde Marchande !” (Danna-sama)

“Eh bien, Waka-sama, félicitation.” (Mio)

““?!?!””

Le titre étrange et la louange désinvolte de Mio, comme si elle savait quelque chose.

Le vendeur… Non, tous les employés du magasin avaient les yeux grands ouverts.

P-Promotion au rang de Dieu de la Richesse ?

Le propriétaire n’a pas remarqué ma confusion, et a levé les yeux, et il a constaté le verre d’alcool dans ma main.

“Merci beaucoup de goûter la liqueur de notre magasin ! Faites-nous l’honneur de vous divertir ! Par ici, par ici !” (Danna-sama)

Le propriétaire s’est levé pour m’inviter à aller plus loin dans le magasin.

Ou plutôt, à chaque fois qu’il prononçait un ‘Par ici’, de plus en plus d’employés nous entourait.

D’où est-ce qu’ils sortaient tous ?!

“Mio, pourquoi ne viens-tu pas? Tu sais que c’est leur manière d’être poli.” (Makoto)

“Le propriétaire semble vouloir donner à Waka-sama un accueil long et chaleureux. Je voudrais t’accompagner, mais…” (Mio)

“Mais…?” (Makoto)

“Le magasin à quelques rues vend du soja no… Je veux dire, vends des informations. Je me suis souvenue que j’avais un problème insignifiant à régler.” (Mio)

“Alors tu aimes aussi beaucoup le soja noir, hein.” (Makoto)

C’était inattendu.

Tomoe et Shiki étaient ceux qui aimaient les choses douces.

Par rapport au goût du soja noir, j’aurais cru que seul Tomoe aimerait, mais Mio aussi ?

“C’C’était savoureux. Mais plus que ça, le visage Waka-sama quand tu en mangeais… Tu donnais l’impression d’être aux anges, alors…” (Mio)

“…” (Makoto)

“S’il te plaît, achète autant de délicieux alcool que tu le souhaites, ok ? Tout le monde en sera heureux et tu peux aussi utiliser autant d’argent que tu désires. Tomoe-san a déclaré qu’il n’y avait pas de limite de budget.” (Mio)

“Entendu. Je ferai de mon mieux.” (Makoto)

Je vois, c’était donc pour moi.

Je suis vraiment aimé.

C’était tellement normal que j’en avais pris l’habitude.

Mais ce n’était pas bon.

Je devais faire de même pour Mio.

De même pour tout le monde à Asora.

“Alors Raidou-sama, il y a bien des choses avec lesquels je souhaiterais discuter avec vous. Je suis désolé pour cette présentation tardive, je suis Sugidama Yamidou.” (Yamidou)

Sugidama Yamidou-san.

Sugidama était cette chose apparaissant dans les caves à vin à la venue de l’automne, non ?

Quand il était brun clair, cela signifiait qu’un nouveau brassage de saké a été réalisé, ou peut-être que c’était pour dire qu’ils étaient prêts à être consommé ?

Il s’appelait littéralement ainsi ?

Yamidou sonnait comme un nom de famille ou était-ce son prénom ?

Au bout du compte, je ne suis pas retourné à l’hôtel ou Asora jusqu’à tard dans la nuit et j’ai eu droit à une réception vraiment exemplaire, comme il l’avait déclaré.

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