Switch Mode

Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 314

Le désespoir de Lime

Tome 6 – Chapitre 314 – Le désespoir de Lime

Il n’y avait rien de plus de suspect que quelque chose de gratuit.bbb

Il n’y avait pas d’investissement sans arrière-pensée.

Les donations basées uniquement sur la bonne volonté me hérissaient le poil.

C’était les paroles que toutes personnes travaillant dans un orphelinat ont apprises.

Parmi les orphelinats gérés à Tsige, certains étaient soutenus par la ville et d’autres financés par des individus.

Les orphelinats gérés par pure bonté d’âme disparaissaient très rapidement.

C’était triste à dire, il était impossible d’en avoir avec un bon enseignement et sans interférence de leur soutien financier.

En d’autres mots, tous les orphelinats soutenus par la cité ou par un ou plusieurs mécènes existaient uniquement avec un but en tête.

Il y avait également des orphelinats avec un terrible environnement qui existait seulement pour extorquer l’argent de la ville.

C’était la raison pour laquelle ils s’attendaient à des retours sur les biens et sur les fonds, surtout dans les orphelinats privés.

Répondre au soutien de l’autre partie par gratitude et faire quelque chose quand on le demandera, tout en essayant de ne pas se créer de dette, était une chose commune.

Surtout dans les cas où sacrifier quelques enfants en sauveront beaucoup d’autres.

Si on ne pouvait pas voir le bon et le mauvais côté, on ne pourrait pas gérer un orphelinat.

Les idéaux perdaient normalement face à la réalité.

“Lime ! Bon retour. Quel est le problème ? Il semblerait que tu sois revenu plus vite qu’à la normale.”

Une femme, qui a remarqué l’identité du visiteur plus vite que tous les autres, l’a interpellé.

Lime a secoué la main et a franchi le portail, il a été entouré par des enfants en un instant, comme la femme à la tenue simple, mais propre.

L’orphelinat Weitz était soudainement plein de vie.

Il y avait quelques années, Lime était encore connu sous le nom le ‘Papa Longues Jambes’, mais après avoir rejoint la compagnie Kuzunoha, il leur a apporté son soutien sous son vrai nom.

Lime était issu de l’orphelinat Weitz, un modèle de réussite à Tsige. Pour les enfants, Lime était un héros.

“Seina, combien de fois dois-je te dire d’arrêter ce ‘Bon retour’… Eh bien, c’est bon pour le moment. Hé, les enfants ! Partagez-les équitablement entre vous, ok ?!” (Lime)

Lime a remis un sac contenant principalement des douceurs à l’un des plus âgés.

L’enfant, à qui on l’a donné, a regardé ce qu’il y avait à l’intérieur et ses yeux se sont mis à briller, et ensuite, a couru à l’intérieur avec les autres enfants à sa suite.

Pour ce genre de cadeaux, il était préférable de choisir du comestible.

En raison de sa propre expérience, Lime s’assurait toujours d’avoir des douceurs quand il venait.

“Tu sais, tu n’as rien besoin de ramener. Tu donnes tellement d’argent chaque mois. J’espère que tu as un bon mode de vie.” (Seina)

La femme, qui avait le même âge que Lime, s’appelait Seina.

Ces deux-là étaient des amis d’enfance de cet orphelinat, et quand Seina a grandi, elle est restée dans l’orphelinat pour continuer à s’occuper des enfants.

Lime a choisi la voie de l’aventurier, avec succès, et est devenu un mécène pour cet orphelinat.

Il respectait Seina pour ce mode de vie.

Il est simplement devenu ‘LE survivant sur cent’, tandis que Seina a choisi la voie sûre et stable pour soutenir l’orphelinat.

Le nombre d’enfants que vous pouvez sauver en restant dans l’orphelinat Weitz, un parmi tant d’autres, était extrêmement limité.

C’était ainsi que Lime pensait par le passé.

C’était la raison pour laquelle il a choisi de devenir un aventurier, c’était la meilleure possibilité pour gagner de l’argent dans cette cité.

Beaucoup de ses camarades également.

Mais le résultat a été tragique.

Leurs nombres diminuaient aussi vite qu’ils venaient, et les gens s’engageant dans la mauvaise voie apparaissaient les uns après les autres.

Au bout du compte, les seuls qui ont réussi à atteindre le sommet en tant qu’aventuriers, ont été Lime et quelques autres.

De plus, l’orphelinat avait besoin de bien plus d’argent que Lime s’attendait.

Former des groupes, entretenir correctement son équipement et acheter des nouveaux équipements nécessaires ; Il fallait que Lime fasse toutes ces choses tout en continuant son mécénat.

Même l’orphelinat Weitz, comparé à d’autres publics ou privés, était dans une situation où il ne pouvait pas échapper aux problèmes financiers.

Il s’est même fait un ennemi de la compagnie Rembrandt à cause de son empressement.

Le Lime de cette époque était toujours en colère.

Si on lui demandait la raison de sa colère, cela serait envers tout ce qu’il l’entourait.

La raison pour laquelle Lime se sentait nostalgique en ce moment, c’était probablement dû au fait que c’était le bon moment de révéler la vérité à son amie d’enfance Seina.

Lime a fait face à Seina avec un air sérieux.

“… Quoi ? Ne me dis pas que tu es tellement démuni financièrement que tu ne peux plus vivre correctement ? Veux-tu manger ici ?” (Seina)

“Ne sois pas stupide. Je travaille pour le top du top, la compagnie Kuzunoha, tu connais ? J’ai plutôt un bon salaire, alors ne t’inquiète pas.” (Lime)

“Le Top du top ? Tu veux dire, le top du top dans le douteux ?” (Seina)

“Hé, je te le dis à chaque fois, mais ne dis pas de mal sur la compagnie. Ce n’est pas le genre d’endroit que tu penses que c’est, sérieusement.” (Lime)

“… Je me le demande. Je ne comprends pas très bien cette personne du nom de Tomoe. Le directeur-san ne s’est même pas montré une seule fois ici.” (Seina)

“Après tout, Boss est occupé. Il est actuellement dans Tsige, mais la Rue du Cré… Ah, il est pris par une autre affaire. Grande Soeur Tomoe n’a rien dit de déraisonnable, n’est-ce pas ?” (Lime)

“Rue du Cré… Est-ce que tu parles de la Rue du Crépuscule ? Ce n’est pas une face. La compagnie Kuzunoha y fait des aller-retours ?” (Seina)

Seina crachait ça d’un air débité.

C’était naturel.

Pour les habitants de Tsige, la Rue du Crépuscule était l’un des tabous.

Tout comme les Bêtes Démoniaques attaquant le bétail dans les fermes la nuit, les gens de la Rue du Crépuscule enlevaient parfois des orphelins ou des enfants avec parents.

Il n’y avait pas de contre-mesures possibles.

S’ils engageaient des aventuriers pour augmenter la sécurité, ça arriverait moins souvent, mais la plupart des orphelinats n’avaient pas cette possibilité.

En outre, contre les personnes de la Rue du Crépuscule, il faudrait de puissants aventuriers comme ceux pénétrant dans les Terres Dévastées.

Ainsi, même s’ils remarquaient leur intrusion, ils ne pouvaient pas riposter.

Parce que s’ils combattaient, non seulement les enfants seraient enlevés, mais même leurs employeurs pourraient être tués.

Ils n’avaient pas d’autre choix que de serrer les dents et de les laisser faire.

Afin de survivre.

C’était pourquoi, plus une personne était proche d’un orphelinat, plus forte était la haine envers la Rue du Crépuscule.

“Ce n’est pas comme s’ils allaient et venaient. Avant toute chose, je donne toujours de ma propre poche, mais la compagnie Kuzunoha fournit bien des fonds et des biens à cet orphelinat, non ? Je ne comprends pas la raison pour laquelle tu ne les aimes pas.” (Lime)

Lime détestait également la Rue du Crépuscule.

Il aimerait bien la détruire s’il pouvait.

Mais ce n’était pas possible.

Même si on le faisait, ça reprendrait sûrement ailleurs.

Et ensuite, comme pour se moquer de leur ennemi, ils blesseraient tes biens et les personnes importantes pour toi.

Il n’y avait pas de meilleures contre-mesures que de les ignorer.

En plus, Lime travaillait maintenant pour la compagnie Kuzunoha.

Avec eux, même la Rue du Crépuscule semblait dérisoire en comparaison, alors il les a moins surveillés qu’avant.

Ou plutôt, en mettant de côté son opinion sur Raidou qu’elle n’a pas encore rencontré, la raison pour laquelle elle n’aimait pas Tomoe le dérangeait davantage.

“Cette personne a déclaré que ‘elle aurait bien sûr quelque chose en retour’, on doit donc déclarer tout enfant démontrant un talent.” (Seina)

“… Eh bien, n’est-ce pas une chose naturelle en recevant autant de l’argent ?” (Lime)

C’était un peu le minimum demander par toutes les compagnies donnant de l’argent.

Lime n’a pas directement abordé la relation entre la compagnie Kuzunoha et l’orphelinat Weitz.

Il savait que Tomoe, les Ogres Forestiers et les Nains venaient parfois ici, mais Lime avait confiance en Tomoe, alors il n’avait pas approfondi le sujet.

De plus, s’il voulait le savoir, il pourrait juste le demander à Seina, avec qui il s’entendait bien, et la directrice de l’orphelinat.

“C’est la première fois qu’elle est venue, elle a déclaré ça et a laissé 100 pièces d’or.” (Seina)

“100… Je vois.” (Lime)

“C’était la première fois que je rencontrais cette compagnie, alors je ne pouvais pas leur faire confiance avec juste ta bonne foi, non ? À ce moment-là, je leur ai présenté quelques enfants intelligents qui pourraient travailler pour eux.” (Seina)

“Je vois.” (Lime)

Et pourtant, il n’y avait pas d’enfant issu de l’orphelinat Weitz dans la compagnie Kuzunoha.

Ou plutôt, il n’y avait pas d’employés Hyumains.

Grâce à la proposition de Tomoe, Lime lui-même a pu mettre la main sur un pouvoir inhyumain.

À première vue, il ressemblait à un Hyumain et personne de la cité n’avait vu à travers, mais il était fondamentalement devenu un Demi-Humain.

Alors, qu’est-il arrivé aux enfants qui ont été présentés à Tomoe ?

‘C’était là le cœur des doutes de Seina envers Tomoe’, c’était la pensée de Lime alors qu’il attendait qu’elle poursuive.

“Et ensuite, Tomoe-san a dit ‘est-ce qu’il ne serait pas plutôt fait pour cette voie ?’, ‘cet enfant devrait suivre cette voie’, ‘celui d’avant plutôt celle-ci’, et leur proposa des métiers.” (Seina)

“Hmm ?” (Lime)

“Puis, elle dit qu’elle allait voir pour des endroits pouvant les engager. Au bout du compte, elle n’a amené aucun avec elle.” (Seina)

“…” (Lime)

“J’ai pris peur, alors j’ai essayé d’enquêter un peu, mais aucun des endroits suggérés n’était lié à la compagnie Kuzunoha.” (Seina)

“Aah… Je vois.” (Lime)

‘Une habitude des orphelinats, hein’, pensait Lime tout en riant.

Elle a dû les voir comme inadapté pour la compagnie Kuzunoha ou elle a réellement pensé à ce qu’ils leur correspondraient le mieux.

Il ne connaissait pas les intentions de Tomoe, mais Lime a finalement compris la source des doutes et suspicions de Seina.

La compagnie Kuzunoha voudrait ceci, elle demandait cela en retour, elle demanderait de faire ça ; Ils donnaient des demandes similaires, et pourtant, elle ne cherchait rien au bout du compte.

Ne tirant aucun bénéfice, n’ayant aucune intention cachée ; C’était une situation où ils soutenaient purement l’orphelinat Weitz.

Cependant, si Tomoe était ici, elle aurait sans doute dit que Lime était bien suffisant sans une once d’hésitation.

“On m’a dit qu’il y avait qu’il y avait de la nourriture et des vêtements en excédant, et donc de les récupérer, mais quand je suis allé pour les récupérer, il y avait trois chariots pleins à ras bord de nourriture séchée, de légumes frais et de vêtements n’ayant pas l’air d’avoir été utilisés.” (Seina)

“… C’est… Ah, c’est ça. Grande Sœur m’a dit qu’elle a donné des présents à l’orphelinat en tant que prime pour moi.” (Lime)

“À un autre moment, elle a ramené cinq cuisiniers professionnels qui sont restés trois mois pour apprendre aux enfants et cuisinier pour eux. Merci, Lime.” (Seina)

“J-Je vois. Tant que vous êtes heureux.” (Lime)

C’était compliquer pour Lime de lui expliquer.

Au passage, ces deux n’étaient aucunement dans une relation romantique.

Le terme le plus proche pour décrire leur relation serait ‘frère et sœur’.

‘Peu importe notre sang, nous avons grandi dans le même endroit’, ce genre de choses.

“Quel est l’objectif de Tomoe-san, non, de la compagnie Kuzunoha ? Se pourrait-il qu’il y ait un enfant avec un incroyable talent dans cet orphelinat ? Ou visent-ils notre terrain ? Ou peut-être que la cible soit la directrice ou une employée comme moi ?” (Seina)

Les suspicions de Seina étaient naturelles.

Tomoe supportait et finançait l’orphelinat, alors elle devait rester courtoise.

Mais il était inutile de se donner la peine d’élaborer un plan minutieux effaçant toutes doutes et suspicion de l’orphelinat.

C’était la raison pour laquelle elle leur a fourni des fonds et des biens avec une excuse aléatoire selon le moment.

L’orphelinat Weitz aux yeux de Tomoe et la compagnie Kuzunoha aux yeux de Seina ; Lime comprenait le point de vue des deux côtés, c’était la raison pour laquelle il était difficile pour lui de trouver une explication convaincante…

“… En fait…” (Lime)

“Oui ?” (Seina)

“Tu vois, la compagnie Kuzunoha a d’énormes attentes sur moi. Boss a appris que je viens de l’orphelinat Weitz, il a donc décidé d’en faire plus.” (Lime)

“Tu sais… J’étais vraiment sérieuse quand je te demandais ça.” (Seina)

Lime a donné une explication ne posant pas trop des questions, mais pas complètement un mensonge, mais avant d’avoir pu fini ce qu’il voulait dire, Seina l’a complètement réfuté.

“… Je suis également très sérieux.” (Lime)

‘C’était difficile à avaler, hein’, Lime s’était dit que ça ne serait pas assez convaincant.

Mais, comment l’expliquer ?

Comment faire pour effacer toutes les suspicions de Seina et lui faire comprendre à quel point cette compagnie était hors-norme ?

(Ou plutôt, dans cette situation, je ne crois pas pouvoir évoquer la Ville Mirage et Asora.) (Lime)

C’était pourtant son objectif initial.

Lime se tenait la tête due à la migraine causée par ce dilemme.

Il n’y avait pas de complot.

Seina a reconnu qu’ils recevaient un grand soutien, mais la compagnie n’était pas du tout affectée financièrement par cela.

Et en réalité, pour Tomoe, le soutien apporté à l’orphelinat Weitz était simplement une récompense pour Lime pour son bon travail. C’était tout ce qu’il y avait à faire.

Lime comprenait bien qu’il s’agissait d’une somme dérisoire aux yeux de Raidou, c’était un montant qu’il ne servirait à rien d’inscrire dans les livres de compte.

Mais pour l’amie d’enfance devant lui, la compagnie Kuzunoha n’était rien d’autre qu’une existence inconnue.

“J’aurais dû en dire plus sur la compagnie Kuzunoha et le Boss…” (Lime)

“Par Boss, tu te réfères à Raidou-san, pas vrai ?” (Seina)

“Ouais, il n’est pas le genre de personne à laquelle tu t’imagines. Je te l’assure.” (Lime)

“Actuellement nous avons plus de 200 enfants. Pour être précis, 216 depuis hier. Peu importe que ça vienne de toi, Lime, je ne peux pas me fier sur paroles.” (Seina)

“Même si tu me dis ça…” (Lime)

“Bien, j’ai compris.” (Seina)

“Oh, vraiment ?” (Lime)

“Ramène ce Raidou-san ici au moins une fois.” (Seina)

“… Hein ?” (Lime)

“Je dois m’entretenir avec lui personnellement. Cela serait une chose si les intentions de cette compagnie était si facile à comprendre, mais ils font des dons par pure bonne volonté.” (Seina)

“Ramener Boss ici ? Tu…” (Lime)

“Parce que tu sais, si je demandais ça à Tomoe-san, mon instinct me dit qu’elle refusera instantanément sans négociation possible.” (Seina)

Lime a plussoyé.

Il n’y avait pas moyen que Tomoe put approuver une affaire faisant perdre du temps à Raidou, ou d’une petite affaire comme celle de Lime.

En outre, il n’y avait absolument aucun avantage pour Raidou ou la compagnie.

Que pourrait-il faire même si on lui demandait ?

“Il est vraiment occupé ! Je te dis la vérité !” (Lime)

“Mais il est actuellement dans Tsige, pas vrai ?” (Seina)

“De plus, si tu te montres grossière auprès de Boss, je serais dans la panade.” (Lime)

“C’est bon. Tu sais, je n’aurai pas les enfants là-bas et je sais prendre soin de moi.” (Seina)

“C’est pourtant vrai qu’ils font des dons par pure bonne volonté…” (Lime)

Lime a murmuré ces mots à peine audibles.

C’était comme si son âme sortait de son corps. Une silhouette pitoyable.

“C’est impossible.” (Seina)

“Ce n’est pas…” (Lime)

“Alors pourquoi ne demandent-ils rien an retour et n’annoncent pas leurs soutiens généreux ? Quel est l’intention derrière cette bonne volonté si ce n’est pour de la publicité ? Non seulement ici, mais également les autres places ?” (Seina)

“Boss n’est pas du genre à vouloir justifier toutes ses actions…” (Lime)

“De toute façon ! C’est quelque chose que je peux seulement te demander, Lime. Je compte sur toi !!! Si tu as quelque chose à me dire, assure-toi de le faire avec ton directeur-san derrière toi !!!” (Seina)

Seina a tapé dans ses mains et est allée à l’intérieur de l’orphelinat.

Elle a dit implicitement à Lime de partir.

Son âme était sur le point de quitter son corps et son visage sans peur n’était plus présent.

Lime, qui était rempli d’espoir, a fini par porter un lourd fardeau sur les épaules.

“… C’est vrai, allons à la Guilde des Aventuriers.” (Lime)

Les paroles de Lime pouvaient être prises comme une routine quotidienne, ou de lui échappant à la réalité, alors qu’ils déambulaient dans Tsige.

Commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Options

not work with dark mode
Reset