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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 315

La Montagne Démoniaque et la station thermale

Tome 6 – Chapitre 315 – La Montagne Démoniaque et la station thermale

‘Kapon~’

Cette place où on avait l’impression d’entendre des sons venant du fin fond de la montagne de Kaleneon.

Tomoe a construit une station thermale à Kaleneon pendant les tempêtes de neige de l’hiver.

C’était la première station thermale de la compagnie Kuzunoha.

Il n’y avait pratiquement aucun projet pour une deuxième.

“Tu sais, Lime, quand beaucoup de choses inattendues s’accumulent, il y a des fois où l’on peut péter des câbles. Je comprends. Je comprends vraiment ce sentiment. Tu sais, j’ai tellement dire à ce sujet.” (Makoto)

“Ouais.” (Lime)

“C’est différent de Shiki, on peut sympathiser à un certain dégrée, Lime. En un sens, tu es l’un des rares employés masculins, donc avec ça en tête, je suis assez reconnaissant que tu sois là ? Mais j’aimerais éviter les dangers non obligatoires. Tu devrais donc être un peu plus prudent… S’il te plaît…” (Makoto)

“… Je suis vraiment désolé !!!” (Lime)

Lime a vigoureusement baissé la tête au sein de la vapeur.

Il y avait pas mal d’énergie dans ce geste, sa tête était plongée dans l’eau.

Son corps entraîné avait un certain nombre de vieilles blessures.

Un certain nombre était en voie de guérison, mais c’étaient surtout des cicatrices.

Il n’y avait pas eu de nouvelles blessures aujourd’hui.

Il a été miraculeusement épargné.

Lime a soudainement commencé à nous chercher dans la Rue du Crépuscule.

Il n’avait même pas pensé à être furtif, c’était comme s’il criait dans les rues ‘Je suis là !’.

De toute évidence, les actions de Lime ont plus rapidement attiré les yeux et les oreilles de Rio que Lime nous a trouvé.

Maintenant que j’y réfléchissais, il devait avoir agi de cette façon parce qu’il savait que ça finirait ainsi.

Kanta a amené Lime où nous étions peu de temps après.

Il était clair à mes yeux qu’il voulait dire quelque chose et il agissait étrangement.

Il semblait inquiet de la présence de Mio, je lui ai donc demandé de quitter la pièce.

… Tu comprends, n’est-ce pas ?

C’était Mio.

Même avec de la distance, elle pourrait toujours entendre dans une certaine mesure.

Et pourtant, au moment où le son de la fermeture de la porte s’est fait entendre et qu’il a confirmé qu’il était seul, il a pris une grande respiration et…

“Boss ! J’ai une femme que je veux que tu rencontres, pourrais-tu venir dans les bains avec moi ?! Allons-y !” (Lime)

Il n’y avait absolument aucune raison de prendre une profonde respiration…

Je me demandais ce qu’il voulait absolument me dire.

Femme.

Ensemble.

Bain.

Je ne comprends rien du tout.

“Je l’ai dit ! J’ai pu le faire !” (Lime)

“Est-ce tes dernières paroles ? Avant d’aller en enfer ?”

“?!!!”

Il n’y avait même pas eu le bruit de l’ouverture de la porte, et pourtant, juste derrière Lime… Il y avait Mio.

Évidement que cela arriverait…

“Grande Sœur Mio ! Non, ce n’est pas ce que tu crois ! Ce n’est pas du tout ça !” (Lime)

Il l’appelait aussi Sœur maintenant.

S’il utilisait ce terme pour s’adresser à ses supérieurs, alors il n’avait pas exactement tort.

“Oui, c’est ça, Lime. Il est impensable que tu enseignes de mauvais comportement à Waka-sama. Après tout, tu n’es pas suicidaire.” (Mio)

“Je ne le suis pas !!!” (Lime)

“… Donc ?” (Mio)

“Oui ! … Hein ?” (Lime)

“Quel est donc ton ex-cu-se ?” (Mio)

“O-Oui ! Je voulais qu’il vienne à l’orphelinat Weitz ! Mon amie d’enfance travaille là-bas !” (Lime)

“Est-ce la femme que tu veux qu’il rencontre ?” (Mio)

“Oui ! C’est ça !” (Lime)

“Et qu’en est-il de cette histoire de prendre un bain ensemble, hein ?” (Mio)

“J’ai pensé sans cesse que ça serait bien de prendre un bain avec Boss, non, prendre un bain entre hommes !” (Lime)

“Apprendre à se connaître entre hommes ?” (Mio)

“C’est ça !” (Lime)

“Prendre un bain avec une personne du même sexe est une forme de socialisation. Cela ne semble pas comme un mensonge… Dans ce cas…” (Mio)

“…..”

“Je te pardonne.” (Mio)

“Je suis désolé !!!” (Lime)

“…” (Mio)

“Je ne ferais en aucun cas… Hein ? Ah ? Euh…” (Lime)

“J’ai dit que je te pardonne. Reviens avec Waka-sama pour l’heure du dîner.” (Mio)

“Ah, hum, je n’ai pas vraiment…” (Makoto)

“S’il te plaît ! Juste une fois, Boss ! Puisque nous en avons la chance, pourquoi ne pas aller à la station thermale dans les Montagnes Démoniaques que Grande Sœur Tomoe nous a parlé ! Et si on y allait ensemble ?!” (Lime)

“Se donner la peine d’aller jusqu’à Kaleneon ?” (Makoto)

Nous pouvions nous téléporter, donc que ce fut Tsige, Asora, ou Kaleneon, cela équivaudrait au même, mais c’était une sacrée proposition.

Y a-t-il des problèmes avec l’orphelinat ?

J’ai laissé à Tomoe cette charge, les Ogres Forestiers et les Anciens-Nains ne semblaient pas vouloir causer d’histoire à ce sujet.

Mais bon, c’était inhabituel de sa part.

“Ok, nous devons être de retour pour le dîner, il faut donc faire vite-ssu ! Allez allez !” (Lime)

“O-Oui, entendu !” (Makoto)

“Allez allez !” (Lime)

Et ainsi, je me suis rendu à la station thermale avec un Lime me poussant.

Et donc, nous avions maintenant une conversation dans le plus simple appareil.

Nettoyer la saleté de mon corps et plonger mon corps dans l’eau chaude me faisait me sentir vraiment bien.

C’était encore plus plaisant dans une place aussi grande.

Le printemps commençait à se faire sentir à Kaleneon. Le climat devenait visiblement plus clément.

Le contraste entre le soleil couchant et la neige était saisissant.

En temps voulu, les fleurs s’épanouiront et le vert apparaîtra ici et là.

On pourra alors profiter dès lors du meilleur des bains de plein air dans les montagnes.

Tomoe s’enthousiasmera à nouveau à ce sujet.

Elle n’a eu de cesse d’essayer une place dans Asora pour des sources chaudes, alors celle-ci viendrait en premier, hein.

Il y avait déjà un certain nombre de grands bains dans Asora, alors la baignade en elle-même était plutôt une pratique décente, mais… Il semblerait qu’elle fut troublée car le mot ‘source thermale’ avait une sorte de magie.

Apparemment, il y avait pas mal de gens ambitieux.

“Cette façon de le dire était vraiment foireuse, tu es bien conscient ?” (Makoto)

“… Oui. Hum, Boss…” (Lime)

“Hmm ?” (Makoto)

“Grande Sœur Mio est un peu… Tu sais…” (Lime)

“Quoi ?” (Makoto)

“Elle est devenue un peu plus douce, non… ?” (Lime)

“Plus douce… ? Hmm…” (Makoto)

Son drastique changement émotionnel était un peu comme cocote minute lâchant la pression.

Il était vrai que Mio et Tomoe avaient un peu changé.

“Si c’était la Grande Sœur du passé, qui aurait pu savoir ce qui se serait passé. Et pourtant, elle a dit ‘Je te pardonne’. Et elle n’a pas montré le genre d’aura qu’elle aurait eu avant.” (Lime)

“On ne peut pas dire avec certitudes les changements qu’il y a eu, mais ces deux-là dégagent une aura différente.” (Makoto)

“D’un autre côté, j’avais l’impression que Grande Sœur Tomoe est devenue plus stricte…” (Lime)

“Cela dépend de ce que tu as dit, Lime, non ?” (Makoto)

“…C’est en partie vrai, mais…” (Lime)

“Eh bien, tu pourrais avoir raison. Par le passé, des choses qu’elle aurait balayées d’un revers de manche, elle les prend en compte. Cela dépend du sujet quand qu’il s’agit de Mio, mais elle prend plus souvent une profonde respiration avant d’agir. Du moins, c’est ainsi que je vois les choses.” (Makoto)

C’étaient simplement mes impressions sur le comportement de Tomoe et Mio avec moi.

C’était juste que les déclarations de Lime cette fois-ci dataient du moment où il était lui-même désespéré et Mio lui a simplement dit ‘d’attendre’ un peu.

Je connaissais Lime depuis un moment et il était l’un des rares hommes avec qui je pouvais parler librement.

“Bien, maintenant que nous nous sommes nettoyés, avons profité du bain et avons eu une discussion entre hommes… Que fait-on maintenant ? Appelle-t-on Shiki, Mondo, ou Beren également ? Si tu veux parler de quelque chose juste entre nous deux, je t’écoute.” (Makoto)

Est-ce que l’amie d’enfance de Lime de l’orphelinat a des ennuis ?

… Je ne crois pas qu’il y ait un si gros problème requérant mon aide.

Peut-être que cette femme et Lime se cherchent et vont se marier ?

Je n’ai jamais agi comme entremetteur, et en plus, je ne suis moi-même pas marié.

“En fait, mon amie d’enfance a grandi dans le même orphelinat que moi, et elle s’occupe actuellement des enfants là-bas. Elle s’appelle Seina.” (Lime)

“Ok ?” (Makoto)

Une employée de l’orphelinat.

Il y avait une telle possibilité pour un orphelin, hein.

La voie d’aventurier, que Lime a emprunté, était vraiment impulsif, mais j’avais comme l’impression que c’était la possibilité la plus choisie.

Il y avait également certains qui rejoignaient des compagnies.

La compagnie de Rembrandt-san employait pas mal d’orphelins.

“Elle a déclaré vouloir rencontrer le directeur de la compagnie Kuzunoha au moins une fois.” (Lime)

“Moi ? Pourquoi ?” (Makoto)

L’orphelinat… Weitz, non ?

Je ne savais pas dans quelle mesure les autres compagnies soutenaient les orphelinats, mais le genre de soutien apporté par la compagnie Rembrandt devrait être une méthode populaire.

De plus, c’était l’endroit où Lime avait grandi, c’était donc un peu sa ville natale. C’était donc la raison pour laquelle nous leur avons donné des cadeaux de temps en temps.

Si elle devait demander encore plus de soutien que ce qui leur donné, pas comme si nous ne pouvions pas, serait juste problématique.

Cela le deviendrait car les autres compagnies se mettraient à suspecter quelque chose avec autant d’aide.

“Elle a dit qu’il serait impoli de ne pas rencontrer le directeur de la compagnie qui apporte un soutien si généreux. Hum, je sais que tu es occupé. Si tu le souhaites, je peux faire venir Seina et la directrice de l’orphelinat à la compagnie.” (Lime)

“… Hmm, Lime.” (Makoto)

“Oui ?” (Lime)

“L’orphelinat Weitz, c’est bien ça ? J’ai souvenir que notre soutien pour eux est assez généreux.” (Makoto)

“Aucun doute là-dessus.” (Lime)

“S’ils en demandent encore plus, cela deviendrait problématique, tu le sais ?” (Makoto)

“Non, Boss. Ce n’est pas comme s’ils essayaient d’avoir plus d’argent ou de montrer un état désastreux de l’établissement pour avoir plus de soutien.” (Lime)

“Ok.” (Makoto)

C’était la seule chose qui me venait à l’esprit.

Et puis, si je devais me montrer et que je voyais un bâtiment délabré et des enfants en haillon, je pourrais finir par promettre de les soutenir encore plus.

Je l’ignorais encore, mais il serait triste s’il me voyait comme un pigeon.

“C’est en fait le contraire.” (Lime)

“Le contraire ?” (Makoto)

Hein ?

… En d’autres termes, le soutien est bien trop important ?

Alors il n’y avait pas vraiment besoin de me rencontrer, non ?

Parce qu’après tout, même s’ils restaient silencieux, ils obtiendraient suffisamment de soutien avec un sponsor ne demandant pas grand-chose en retour.

N’est-ce pas une bonne chose pour eux ?

“J’ai à nouveau vérifié le soutien apporté par la compagnie Kuzunoha et c’est écrasant. À un point où l’orphelinat Weitz pourrait subvenir à leur besoin avec juste ce seul soutien.” (Lime)

L’orphelinat pouvait œuvrer sans avoir à s’inquiéter de l’œil inquisiteur du sponsor et les enfants ne mourraient pas de faim.

N’est-ce pas idéal pour eux ?

…Non, au moment où j’ai pensé à ‘idéal’… Une idée a traversé mon esprit.

“… Se pourrait-il…” (Makoto)

“…” (Lime

“Ils nous suspectent ? Ils croient que nous avons une idée derrière la tête ou à un piège de notre part ?” (Makoto)

“… Je suis vraiment désolé pour cela, mais… c’est exactement ça. Désolé.” (Lime)

En d’autres mots, faire un don par pure bonne volonté était impossible.

Il n’y avait de rien de plus suspect que quelqu’un ne demandant rien en retour.

Rien de plus d’effrayant que quelque chose de gratuit.

Cela devait quelque chose dans ce genre ?

Plus on était bas dans la société, plus on se méfiait de tout.

C’était une des leçons que Rembrandt-san m’a enseigné.

Remercier les dons non intéressés.

Louer le soutien ne demandant rien en retour.

La gratuité était ce qu’il y avait de mieux.

Cela ne fonctionnait pas ainsi.

“En d’autres termes, le fait que Tomoe se porte garant de ton emploi a finir par avoir un effet contre-productif ?” (Makoto)

“… Ouais.” (Lime)

“Je suppose que c’est pareil après avoir envoyé des cuisiniers comme prime ?” (Makoto)

“… C’était vraiment une bonne chose, merci beaucoup.” (Lime)

“C’était ta propre décision, alors n’y prête pas attention. Je vois. Alors donner plus de nourritures et de vêtements était une mauvaise idée, hein. Je pensais que c’était convenable.” (Makoto)

“… C’était une aide incroyablement utile. Mais les légumes frais n’étaient pas quelque chose pouvant passer juste pour un extra. La viande séchée peut être stockée, alors ce n’est pas un problème d’en avoir trop. Pour couronner le tout, les vêtements avaient des tailles variées et étaient propres. C’est compréhensible que Seina ait des doutes.” (Lime)

Puisque que nous les soutenions, j’ai cru qu’il serait bon d’avoir des vêtements de tailles variées vu que les enfants grandissent vite, de la viande séchée pour tenir plus longtemps et les légumes frais avaient plus de nutriments.

Après tout, nous avions beaucoup de légumes frais à Asora, alors nous pouvions nous le permettre.

Même pour la viande séchée, nous avions envoyé des produits d’essais pouvant être massivement produits.

Les vêtements ont été fabriqués lorsque les Gorgones et les Orques s’entraînaient.

Ce n’était pas comme si nous les avions achetés !

De plus, l’orphelinat Weitz était également utile à Asora.

C’était complètement à notre convenance.

Les employés Demi-humains s’y rendaient justement pour voir les réactions des enfants et des membres du personnel.

J’ai reçu des rapports de Tomoe à ce sujet de temps en temps.

La plupart d’entre-eux était heureux de constater qu’il n’y avait pratiquement aucun signe de mépris.

Il y en avait eu pas mal au début.

En repensant à la relation entre la compagnie Kuzunoha et l’orphelinat Weitz, ça pourrait être naturel, mais traiter les Demi-Humains en tant qu’esclaves et animaux alors qu’ils étaient bien plus faibles qu’eux était vraiment un trait hyumain.

“…”

“En tant que personne connaissant personnellement Boss, je comprends que ce n’est rien pour Boss et la compagnie Kuzunoha. Mais aux yeux de la populace, comment allons-nous en tirer profit ? Moins les gens en savent, plus ils sont soupçonneux…” (Lime)

Attends.

Ne pouvons-nous pas utiliser ça ?

L’orphelinat pourrait avoir sa propre vision des choses, mais cela ne serait pas étrange, non ?

“… Notre but derrière tout ceci pourrait être la réhabilitation des criminels.” (Makoto)

“Criminels ? Boss ?” (Lime)

J’ai comme l’impression que cela pourrait marcher.

Cela pourrait marcher.

En plus, si on disait que le soutien de la compagnie Kuzunoha était excessif, il serait plus simple faire croire à Seina-san et à Directrice-san une telle demande lors de la rencontre.

“Il s’agit d’une histoire que Tomoe m’a déjà parlé.” (Makoto)

“Grande Sœur ?” (Lime)

Edo et Onihei. (NTA : Onihei de “Heizō le Démon. Il mène une bande de policier samouraïs et réhabilitait des criminels pour résoudre des crimes difficiles.)

Ces deux-là étaient les deux favoris de Tomoe.

Elle serait heureuse d’y participer, non, elle voudrait même être le fer de lance.

Il n’y en avait pas vraiment besoin dans Asora.

“Plus d’ennemis pourraient apparaître, mais y mettre un peu plus d’énergie pourrait donner des résultats. Cela pourrait être considéré, hein…” (Makoto)

“Hum, Boss ? Qu’est-ce que tu…” (Lime)

J’ai décidé.

Il était temps de quitter le bain.

Si je tombais dans les pommes dans les bains entre hommes, je ne finirais pas d’entendre cette histoire par ces deux-là.

… Tamaki pourrait même s’en mêler, alors ça ferait trois, hein.

Bref, on va éviter ça.

“Travailleurs… Non, créons un yoseba.” (Makoto) (NTA : Yoseba est un endroit où se rassemble un grand nombre de travailleurs journaliers et demandeurs d’emploi. Il a aussi comme surnom ‘la halte’. En outre, c’est un mot aussi employé par les yakuzas en prison.)

“Travailleurs ? Yoseba ?” (Lime)

“Lime.” (Makoto)

“Oui ?” (Lime)

“Je vais rencontrer Seina-san demain. C’est moi qui me rendrai à l’orphelinat.” (Makoto)

“! V-Vraiment ?!” (Lime)

“Bien sûr. J’irai avec Tomoe, alors demande leurs disponibilités.” (Makoto)

“Cela serait pour le mieux que Boss fixe la date. Ils s’adapteront en conséquence. Après tout, tu es actuellement occupé par la Rue du Crépuscule, Boss.” (Lime)

“… Non, tu es celui ayant débarqué à la Rue du Crépuscule, Lime.” (Makoto)

“Ah, oui… Désolé pour ça.” (Lime)

“C’est bon. Ce n’était pas quelque chose que nous pouvons régler en juste un ou deux jours. Nous avons parlé à leur chef, mais on ne sait pas encore à quel point nous pouvons lui faire confiance. Puisque c’est ce genre d’endroit, nous devons réfléchir avant d’entreprendre quoi que ce soit. Dans ce cas, je vais m’aligner à la convenance de l’orphelinat.” (Makoto)

Notre position était originalement plus élevée.

Si nous leur laissons choisir la date, cette discussion tournerait à notre avantage.

Je mettrai autant d’avantages que possible de mon côté.

Cet orphelinat Weitz.

S’ils s’étaient contentés de recevoir silencieusement notre soutien, aussi longtemps qu’ils ne parlaient pas de nous en mal ou autres, ils auraient pu œuvrer sans rencontrer de problèmes.

Vous vous ne sortirez pas ainsi, nous allons vous restructurer.

“Je vais organiser ça pour aujourd’hui !” (Lime)

“Je compte sur toi. À présent, rentrons.” (Makoto)

“Hum… !” (Lime)

“?” (Makoto)

“C’est bon si tu me le dis pendant que nous nous habillons. Il y a quelque chose dont j’aimerais discuter à propos de ta technique secrète !” (Lime)

“Qu’est-ce que tu veux dire par ma technique secrète ?” (Makoto)

Mais de quoi il parle ?

Le Lime d’aujourd’hui était un véritable mystère.

“J’ai déjà pas mal observé, alors s’il te plaît, raconte-moi juste assez pour que Grande Sœur ne me tue pas-ssu !!!” (Lime)

Observé ?

Il a bien poussé un petit cri et a fait claquer ses deux mains ensemble quand je me suis lavé les cheveux.

Je n’arrivais pas vraiment à le comprendre.

“Les discussions impliquant Tomoe et Mio sont un vrai champ de mines actuellement. Alors, s’il te plaît Lime, assure-toi bien de rien dire. Car en fonction de ça, ce n’est pas seulement la parole qui te sera coupée, mais ta vie aussi ! Je n’assume aucune responsabilité de résurrection, ok ?!” (Makoto)

“Mes lèvres sont scellées !” (Lime)

J’avais comme l’impression que ça ne tournerait pas bien.

Le retour de la station thermale de la Montagne Démoniaque.

Cette fois-ci, je n’ai pas fini dans les pommes à la suite d’une insolation.

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