Tome 6 – Chapitre 332 – L’expiation devrait être rapide et généreuse ①
“Hein… Ah, W-Waka-sama ?!”
Hmm ?
Je me suis tourné en direction de la personne m’ayant soudainement interpellé avec un titre utilisé que par les nôtres.
Plusieurs femmes dans des robes sensationnelles se tenaient là.
Oh ?
“Hatsuharu, hein. Tu es venue à Rotsgard ?” (Makoto)
“Oui ! Est-ce que vous êtes là pour enseigner, Waka-sama ?” (Hatsuharu)
Une des filles du groupe s’est avancée vers moi.
C’était l’une des Gorgones qui venait d’Asora.
Ces filles travaillaient à la fois dans les bordels et le magasin de cette ville.
“Quelque chose du genre. Vous ne causez aucun ennui à Ester-san, pas vrai ?” (Makoto)
Ce n’était pas seulement Hatsuharu, en général, les Gorgones se mêlaient aux colonies hyumaines.
Par le passé, elles n’avaient pas d’autres choix que de s’isoler en raison de leur regard pétrificateur, alors désormais qu’elles avaient la permission de sortir, elles étaient sociables et curieuses, elles appréciaient leur vie ici.
J’étais ravi de les voir s’intégrer aussi bien.
Elles s’occupaient de mieux en mieux des animaux du côté d’Asora.
“Pas de problème !” (Hatsuharu)
“Comme attendu de toi, Hatsuharu. Je suis soulagé.” (Makoto)
“Vous n’allez pas jouer, Waka-sama ?” (Hatsuharu)
“Ici ? Je n’en ai pas l’intention. On dirait que mon passe-droit ne servira qu’à vous faire gagner de l’argent.” (Makoto)
“Dommage ! Éventuellement, quand Tomoe-sama et les autres auront donné la permission, veuillez nous rejoindre s’il vous plaît !” (Hatsuharu)
“Ne dites pas quelque chose de ridicule comme si ce n’était rien. Je suis content de te voir heureuse.” (Makoto)
“Héhéhé.” (Hatsuharu)
La petite sœur de la Matriarche des Gorgones.
Cette femme dénommée Hatsuharu lorsqu’elle était à l’extérieur d’Asora, était du genre enjoué.
Mais c’était un peu différent d’être totalement niaise. Ses paroles, expressions et gestuelle avaient leur propre style.
Je ne savais pas si s’agissait d’un trait racial, ou ses propres traits personnels.
Ester-san disait que les Gorgones étaient très populaires.
Bien sûr, en tant qu’Hyumaine.
Apparemment, personne ne les avait encore démasquées et quand leurs clients disaient nonchalamment du mal sur les Demi-Humains et les mamonos, les Gorgones en ricanaient intérieurement.
Ils pensaient qu’Hatsuharu et les autres filles aux cheveux violets étaient un groupe de beautés venues de loin pour gagner de l’argent.
Comme s’il existait un groupe de beautés aussi peu naturel.
Il y avait même des Hyumains disant avec insouciance qu’ils voudraient se rendre dans leur village.
Il se trouvait au plus profond des Terres Dévastées. Allez-y, rendez-leur visite.
“… Exact, Hatsuharu, est-ce que l’une de vous connaît une femme du nom de Seiren ?” (Makoto)
“Seiren ?” (Hatsuharu)
“Ouais. Une Hyumaine de l’Académie.” (Makoto)
“Seiren Garmena ?” (Hatsuharu)
“Si tu connais son nom, c’est que tu dois la connaître Hatsuharu.” (Makoto)
“J’ai entendu dire que vous vous êtes confessé auprès d’elle, Waka-sama.” (Hatsuharu)
“C’est plus un malentendu qu’autre chose. Bien que la base soit vraie.” (Makoto)
Tomoe et Mio m’ont fixé dans les yeux et j’ai subi un interrogatoire assez poussé.
Déclarant qu’elles allaient en finir.
“Je ne la connais pas personnellement, mais est-ce que je peux aider avec elle ?” (Hatsuharu)
Les yeux d’Hatsuharu se sont plissés et elle dégageait une aura sinistre.
‘Aider’.
Effacer ou en finir ; Ces femmes pensaient de la même manière.
Encore un malentendu.
“C’est triste à dire… Ah, c’est vrai.” (Makoto)
“Waka-sama ?” (Hatsuharu)
J’ai réfléchi quelque peu.
Si elles connaissaient son nom, peut-être que nous pourrions les faire agir comme nous l’avions fait avec les rumeurs sur Tsige.
“En ce qui concerne Seiren, il paraît qu’elle est ostracisée à Rotsgard.” (Makoto)
“Exact. Après tout, elle a rejeté Waka-sama. Elle est pointée du tout où qu’elle aille.” (Hatsuharu)
Hatsuharu a acquiescé comme s’il s’agissait d’un fait.
Cela me dérangeait que cela lui paraisse si naturel.
Très bien, je vais lui demander de l’aider.
“Ceci me dérange. La confession est un malentendu et je n’ai aucune intention de nuire à cette femme. Je m’en fiche que ce soit lors de votre travail ou de votre pause à Rotsgard, mais pouvez-vous passer le mot que Seiren et moi sommes en bons termes ?” (Makoto)
“Vous allez l’aider ?” (Hatsuharu)
“Bien sûr.” (Makoto)
S’il vous plaît, ne me regardez pas avec des vissages aussi surpris.
Évidemment, il était normal de rien faire si je ne le savais pas. Mais maintenant, je le savais.
“Compris. Si c’est l’ordre de Waka-sama. En ce qui concerne la participation en tant qu’invité aux cours de vos élèves qu’il a été demandé auparavant, ceci serait-il possible de le faire pendant vous soyez toujours ici, Waka-sama ? Shiki-sama a demandé aussi de le faire si possible pendant votre présence, Waka-sama.” (Hatsuharu)
“C’est vrai qu’il est temps… De leur apprendre à quel point il est effrayant d’affronter un type d’ennemi avec un style de combat spécial… Je n’ai pas encore décidé de qui viendrait, mais c’est pour bientôt. Je vous préviendrai dès que ça sera le cas.” (Makoto)
“Je viendrai~ ! Avec Kuro-chan !” (Hatsuharu)
“Hatsuharu et Kuro ? … Les adversaires seront des étudiants, alors si vous les affronter, merci de ne pas trop les traumatiser.” (Makoto)
Un Demi-Humain chat et une Gorgone.
J’ai immédiatement compris ce qu’Hatsuharu voulait faire.
Même lors des derniers entraînements, pas mal se sont retirés, alors je me demande si ça va le faire ?
J’ai même entendu dire que dans le tas, certains se sont retirés suite à l’enseignement passionné de Daena.
Cela ne serait pas drôle de ne voir personne de la seconde génération restée.
“Ok ! Alors, Waka-sama, prenez soin de vous !” (Hatsuharu)
“Merci. Toi aussi, Hatsuharu.” (Makoto)
C’était une rencontre inattendue.
Mais néanmoins impressionnant.
Elles avaient pleinement maîtrisé leur regard pétrificateur.
Au cas où, elle avait quand même des lunettes dans leur proche.
Mais de ce que j’ai pu voir, ces lunettes servaient plus de porte-bonheur.
Je devrais vérifier comment les autres allaient.
Et ainsi, je me suis dépêché.
Il n’y aurait problème à en finir le plus vite possible.
“C’est inattendu.”
“Izumo.” (Makoto)
“Vous êtes aussi un homme, hein, Sensei.” (Izumo)
“Très bon timing. Accordez-moi un peu de ton temps.” (Makoto)
J’ai entraîné Izumo dans l’un des établissements proche.
“Est-ce que ce votre genre de fille ?” (Izumo)
“Comme si… J’estime qu’Hatsuharu est une femme attirante, mais ce n’était pas une relation péripatéticienne et son client.” (Makoto)
“… Vraiment ?” (Izumo)
“Cette femme est une employée de la compagnie Kuzunoha. En d’autres mots, c’est une employée.” (Makoto)
“La Compagnie. Je vois. Après tout, elle n’est pas comme Seiren.” (Izumo)
Hé.
Pourquoi est-ce que tu mentionnes même le nom de Seiren dans cette situation ?
Se pourrait-il qu’elle soit plus célèbre que je ne pensais ?
On ne pourrait pas faire ça en une seule journée, pas vrai ?
Je ne voudrais pas que cela dure sur plusieurs jours.
“Seiren… Je vois, vous la connaissez aussi.” (Makoto)
“Il est probable que tout le monde de l’Académie la connaisse. Seiren Garmena a été la seule reconnue par Sensei.” (Izumo)
“…” (Makoto)
Pas moyen…
Personne ne m’a rien dit.
Et pourtant, son nom et prénom étaient de notoriété publique.
C’était comme un cauchemar.
“Une fille noble de l’Empire qui est restée à l’Académie pour se spécialiser dans les bases de l’incantation. Bon, elle est un peu trop vieille, donc femme serait plus adaptée. Elle n’est pas mariée et n’a plus de lien avec sa famille. C’est une femme inintéressante dont le seul but est la recherche.” (Izumo)
Izumo, tu me parles d’âge alors tu es toi-même lolicon…
C’est Iroha-chan, tu le sais ?
Bref, d’après ce que j’ai entendu d’Izumo, je pouvais ressentir une certaine malice envers elle.
J’ai cru qu’il n’y aurait aucun inconvénient à ce que la réputation de la compagnie Kuzunoha et la mienne grimpe, mais apparemment chaque médaille à son revers.
J’ai appris que, par conséquent, beaucoup de choses et de situations problématiques pouvaient se dérouler à cause de nous sans que nous en soyons conscients.
“Pour moi, elle très belle. Bon, je dois admettre qu’elle aurait l’air plus vieille comparée à votre fiancée.” (Makoto)
“… Sensei.” (Izumo)
“Quoi ?” (Makoto)
“Je ne suis pas un lolicon.” (Izumo)
Il a lu dans mon esprit.
“… Vous savez que cette excuse ne fonctionnera pas sur moi.” (Makoto)
Combien de personnes as-tu pu convaincre par cette déclaration après avoir été présenté à Iroha-chan ?
“C’est juste que je suis tombé amoureux d’une personne plus jeune que moi !” (Izumo)
“…” (Makoto)
Mais tu sais, quand on vous met l’un à côté de l’autre, il y en a qui penseront à un frère et sa sœur… D’autres que vous avez un âge assez éloigné.
“De plus !” (Izumo)
“Hmm ?” (Makoto)
“C’est une affaire privée, mais nous avons fini avec l’échange de bague et la cérémonie ! Iroha est déjà ma femme !” (Izumo)
“… Hein ? Cela ne fait même pas une semaine que vous vous êtes rencontrés. Sérieusement ?” (Makoto)
“Si vous rencontrez la femme de votre vie, ne souhaiteriez-vous pas être avec elle le plus rapidement possible ?” (Izumo)
“Mais la maison Ikusabe et Osakabe sont des familles influentes, pas vrai ? C’est quelque chose qui peut être réglé en si peu de temps ?” (Makoto)
C’était incroyablement rapide, même pour des gens normaux.
“J’ai servi la Régente de Lorel, Sairitz-sama. En raison de ce lien, elle a utilisé ce pouvoir pour m’aider.” (Izumo)
“Sairitz-san l’a fait ?” (Makoto)
“Oui. Grâce à ça, Iroha-chan et moi sommes officiellement mariés. Cependant, il faudra atteindre l’annonce officielle, et je pensais le dire à Jin et aux autres pour le célébrer quelque part, mais nous devrions peut-être aussi attendre un peu plus longtemps.” (Izumo)
“J-Je vois. Peu importe, félicitations. J’espère votre bonheur à tous les deux.” (Makoto)
“Merci beaucoup. Iroha et moi, nous vous sommes tous les deux reconnaissants.” (Izumo)
Aider au mariage de l’un de ses anciens subordonnés, hein.
Sairitz-san était une supérieure plutôt chevaleresque.
J’aimerais également être comme ça.
“Vous et Iroha, hein. Merci pour ce propos authentique. En dépit de votre façon de le dire, vous êtes plutôt dévoué.” (Makoto)
“?” (Izumo)
“Vous avez agi en tant qu’agent d’exécution, pas vrai ?” (Makoto)
“!!!” (Izumo)
“Secrètement, silencieusement, radicalement ; Tomoe et moi avons été impressionnés par votre habilité.” (Makoto)
“… Même mon père l’a vu, j’étais sûr que si vous aviez regardé, vous l’auriez vu aussi.” (Izumo)
“Vous avez été bon. Cette incantation dont vous avez fait votre arme à l’Académie, vous l’avez complètement maîtrisé maintenant.” (Makoto)
Incantation de mouvement.
Une méthode pour réutiliser les fragments fugaces d’incantations venant de remplir leur rôle.
Cela réduisait la durée d’incantation, et plus le combat durait, plus cela réduisait le coût des incantations.
Même s’il a commencé à développer cette technique parce qu’il voulait maintenir ses incantations tout en se déplaçant, cela a débouché sur un développement des longs combats.
Il semblerait que cela a servi dans un bon nombre de courts combats comme le souhaitait Izumo, ce qui était amusant.
Il ne faisait aucun doute que c’était une technique utile et c’était ça la partie importante.
“Oui. Je pouvais l’utiliser comme s’il s’agissait d’une partie de mon corps, même à Kannaoi. Ce combat m’a changé de bien des manières.” (Izumo)
“… Assurez-vous de remercier Shiki. Après tout, je ne voulais pas que vous soyez là.” (Makoto)
“Non, si Sensei n’avait pas été là, nous aurions pu avoir progressé, mais nous serions morts. Vous nous avez sauvé la vie, Raidou-sensei.” (Izumo)
…
Je pouvais deviner que son ‘nous’ faisait référence à lui et à Iroha-chan.
Quelle passion de sa part.
Bon, d’accord.
J’ai demandé à Izumo de m’aider avec Seiren-san et…
Ooh.
Aujourd’hui était un jour de bonnes rencontres et d’idées.
J’ai pensé à quelque chose de bien.
“Hé, Izumo.” (Makoto)
“Qu’y a-t-il ?” (Izumo)
“Tu as dit que tu as déjà fait tienne l’incantation de mouvement, n’est-ce pas ?” (Makoto)
“Oui !” (Izumo)
“Alors, ça ne serait pas un atout caché, mais une de vos techniques régulières.” (Makoto)
“… ? Oui ?” (Izumo)
“Cela peut paraître sournois juste après que vous avez dit que j’étais votre sauveur, mais…” (Makoto)
“…” (Izumo)
“Si je vous demandais d’accepter d’expliquer cette technique à une certaine fille, seriez-vous capable de le faire ?” (Makoto)
Seiren-san était une chercheuse et était spécialisée dans la base des incantations.
C’était ce que m’avait dit Izumo.
J’ai entendu dire par le Maître de Rabidoll qu’elle était spécialisée dans la magie, l’information devrait donc être vraie.
Ensuite, le principe de la technique d’Izumo devrait être utile à ses recherches d’une manière ou d’une autre.
Quelque chose qui n’était pas anormal que les recherches de Shiki, Mio et les autres chercheurs d’Asora.
“Sensei, avez-vous encore des sentiments pour Seiren ?” (Izumo)
“Nop ! Tout d’abord… Non, ce n’est rien. J’ai entendu dire qu’elle est dans une situation compliquée à cause de moi. C’est la raison pour laquelle je voulais lui donner un coup de main pour surmonter tous ces problèmes.” (Makoto)
“C’est louable. Mais… C’est ma technique importante, alors la divulguer tout à coup pour l’étudier est quelque peu troublant. De plus, je ne suis pas aussi gentil que vous, Sensei. Je pense honnêtement qu’elle a fait quelque chose d’horrible envers le professeur que je respecte.” (Izumo)
“Tout ceci n’est qu’un horrible malentendu. Je comprends que vous ayez de l’attachement envers la technique que vous avez conçue par vous-même, mais voyez ça comme un moyen de sauver quelqu’un.” (Makoto)
J’ai incliné la tête envers Izumo qui se trouvait de l’autre côté de la table.
“… Bordel. Je ne peux pas vous le refuser si vous faites ceci. Bien, si c’est à la demande de Sensei. En plus, j’ai déjà une nouvelle idée de carte maîtresse.” (Izumo)
“Désolé pour ça. Mais je ne peux pas autoriser cette technique de puisement dans l’âme que vous avez en tête. Réfléchissez à quelque chose d’autre.” (Makoto)
“?!” (Izumo)
Avant qu’Izumo et moi nous nous rencontrions, il essayait de mettre au point une technique qui aurait coûté la vie de son lanceur.
Izumo essayait de forcer l’activation de plusieurs sorts en même temps au péril de sa vie.
C’était un acte pouvant clairement surpasser ses propres limites.
Évidemment, cela avait un prix.
Un jour viendra où il devra l’utiliser, mais ça ne sera qu’une seule fois.
Ce n’était pas quelque chose qu’il fallait perfectionner pour le moment.
“Même si vous parveniez à la mettre au point, je ne peux pas vous conseiller de poursuivre où une technique où vous ne pourrez pas confirmer la viabilité.” (Makoto)
“Démasqué, hein.” (Izumo)
“Bien sûr. Je ne vois pas d’inconvénient à ce que vous poursuiviez jusqu’à la mettre au point, mais vous vous êtes finalement mariés. C’est peut-être le moment où vous devez penser à ce que voudrait aussi la personne que vous souhaitez protéger.” (Makoto)
“… Exact. C’est un point de vue que je n’avais pas il n’y a pas encore si longtemps.” (Izumo)
“Mais j’ai pas l’intention de vous laisser m’aider sans rien en retour. Acceptez ceci.” (Makoto)
“… Une vidéo ? Puis-je la regarder ?” (Izumo)
Les minéraux avec les sceaux gravés pour implanter une vidéo étaient bien plus répandus à Rotsgard qu’ailleurs.
Izumo pouvait le reconnaître en un regard la chose que je lui ai présentée.
En fait, il était assez rare que les gens les reconnaissent du premier coup d’oeil, à part ici et Tsige.
“Oui. Ce n’est pas quelque chose qui vous aidera en dehors des combats, mais je suis sûr que vous apprécierez.” (Makoto)
“Oh, je me demande ce que c’est. C’est… !” (Izumo)
“…” (Makoto)
“Hein ?! Uooooh ? C’est quoi ça ? Je ne savais pas que c’était possible ! On peut accomplir la plomberie lors de cette phase ?! La division des matériaux est folle !!!” (Izumo)
Je n’en attendais pas moins du travail des Anciens-Nains.
Izumo a été envoûté en un instant.
Il semblerait que quelque chose lie les gens ayant les mêmes idées.
Izumo devait comprendre un paquet de choses que moi-même je ne comprenais pas la moitié.
Il était quand même un peu bruyant.
On se trouve dans un établissement, tu le sais ?
Au milieu de tout ceci, il regardait la vidéo tout en poussant des petits cris jusqu’à la fin de celle-ci.
Les personnes environnantes nous fixaient.
“Sensei, est-ce qu’il en y a d’autres ?! Toute une série !” (Izumo)
“Il y en a seulement une pour le moment.” (Makoto)
“C’est à Tsige, pas vrai ?” (Izumo)
“Ouais. Comme tu peux le voir, c’est un orphelinat.” (Makoto)
“Un orphelinat ? … Pas une forteresse ?” (Izumo)
“Il y avait un sous-titre au début précisant que c’était la reconstruction de l’orphelinat Weitz. Bon, un dernier élément a été rajouté, mais il n’a pas été enregistré.” (Makoto)
“Le bâtiment réalisé est à Tsige… Je veux le voir.” (Izumo)
“Allez voir une fois que vous aurez du temps ? Peut-être pendant votre lune de miel ?” (Makoto)
“C’est décidé. Notre lune de miel sera à Tsige.” (Izumo)
… Je me demande si Iroha-chan va apprécier.
Je me demande si je devrais lui faire une remarque après ma blague.
J’aurais dû me taire, hein.
Je ne pense pas que ce soit un lieu réputé pour son romantisme.
Mais il y avait des couples mariés comme celui de Daena.
J’ai de la pitié pour l’enfant.
Je prie que son grand-père et grand-mère soient de bonnes personnes.
“Sensei, s’il y a une deuxième partie, montrez-la-moi s’il vous plaît. Je suis prêt à vendre un autre atout pour l’obtenir !” (Izumo)
Deuxième partie.
Carte maîtresse.
… Pourquoi penses-tu que ça fonctionne ainsi désormais ?
Même si je demandais quelque de déraisonnable à Izumo en dévoilant une de ses techniques, il a quitté l’endroit de bonne humeur avec la vidéo en main.
Ce qui restait était Zara-san et les membres du personnel de l’Académie.
J’aimerais également demander à Zara-san s’il y avait des informations sur l’équipe d’évaluation.
Dépêchons-nous.
Je veux avoir terminé avant que le soleil ne soit couché.