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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 336

Le travail des gens est profond

Tome 6 – Chapitre 336 – Le travail des gens est profond

“Alors, allez-vous commander de l’Ambroise ?” (Makoto)

“S’il vous plaît.”

“Ok. Je pense que le Maître de Guilde vous l’a déjà dit, mais nous prenons un pré-paiement de 400 pièces d’or.” (Makoto)

“On m’a également dit que la procédure habituelle était de payer la moitié à la commande et l’autre partie à la réception.”

“… Vous êtes un nouveau client et avez essayé de nous menacer, disons qu’en termes de confiance, vous êtes malheureusement négatif. Si nous ne recevons pas le paiement pour les ingrédients et la fabrication du médicament, cela pourrait nous poser des ennuis. Veuillez le comprendre.” (Makoto)

“Nous sommes passés par Zara comme intermédiaire pour clarifier les intérêts dans cette affaire.”

“Hahaha, c’est seulement une formalité. Ceci est une question de confiance. Veuillez considérer ça comme l’acceptation du Maître de Guilde sur cette méthode de paiement anticipé.” (Makoto)

“…”

“…”

“Si vous nous aviez écouté nos conditions dès le début, nous n’aurions pas eu à faire venir l’Équipe d’Évaluation.”

“Vous avez été suspecté d’être là pour faire du lèche-vitrine puisque vous aviez caché votre véritable objectif, l’Ambroise.” (Makoto)

Des étincelles volaient dans la confrontation de nos regards.

Je faisais face à l’homme qui semblait être le commanditaire de l’Équipe d’Évaluation Nechikitos dans la salle de réception de la compagnie Kuzunoha.

Une discussion commercialle

J’ai essayé de poser des questions sur l’Équipe d’Évaluation à Zara-san et il semblerait que cette personne a fait de nombreux mouvements ici et là, mais sans réussite.

Essayant de rester dans l’ombre, puis utiliser sa plus puissante carte maîtresse pour créer un lien avec nous pour me faire apparaître.

C’est stupide.

Pourquoi est-ce les gros bonnets Hyumains sont-ils aussi cinglés que lui ?

S’il était venu nous le demander directement sans rien cacher, en fonction de l’importance, cela m’aurait été rapporté.

Et pourtant, parmi toutes ces ‘démarches poussées’, pas le moindre indice n’a été fuité sur sa situation.

Il avait pourtant l’intention de tout me dire.

S’il ne faisait pas confiance à mes employés, je n’avais aucune obligation d’écouter sa requête.

Zara-san lui a également fait remarquer cela.

S’il voulait faire affaire avec nous, il ne devrait pas nous cacher la situation.

Zara m’a même déclaré que s’il ne le faisait pas, il ne ferait pas l’intermédiaire.

Et ainsi, il a fait tout ceci de son propre chef et a fini par recourir à des menaces.

Comment pourrait-on faire affaire normalement avec une telle personne ?

J’avais l’impression qu’il y avait aussi la possibilité que, lorsque nous lui donnerons l’Ambroise, il se plaindra pour se dérober au reste de la facture.

C’était la raison pour laquelle je ne vais pas céder d’un pouce.

“Et ainsi, Chiback-san, nous allons accepter votre demande de cette manière. N’est-il pas temps de nous donner plus de détails ?” (Makoto)

“Il y a une autre chose que je souhaiterais demander.” (Chiback)

“…” (Makoto)

Au préalable, il a déclaré que c’était pour fournir un traitement médical à un certain aristocrate.

Je voulais hurler ‘Mais en quoi est-ce détaillé ?!’.

Je lui ai simplement dit sur un ton calme ‘Soit vous me le dites, soit vous partez’, et il m’a répondu que si j’acceptais, il me le dirait.

Ce type, qui est supposé vouloir sauver un patient, agissait comme s’il avait pris cette personne en otage.

Il m’agaçait grandement.

An d’autres mots, ce n’était une personne qu’il voulait absolument sauver du plus profond de son cœur, mais par intérêt.

“Quand est-ce que cela sera prêt ?” (Chiback)

“… Une semaine.” (Makoto)

Lorsque j’ai dit ça, il a eu un sourire vulgaire.

“Je vois !” (Chiback)

“Oui. De plus, il faut prendre en compte le transport, il faudra donc entre 10 et 14 jours pour qu’il arrive ici.” (Makoto)

“10 jours je vous prie.” (Chiback)

“Nous allons essayer.” (Makoto)

“…”

“…”

“… Entendu.” (Chiback)

Tu as un patient qui en a besoin, pas vrai ?!

Bordel, devrais-je faire venir Tomoe ?!

Devrais-je lui demander de fouiller dans sa tête ?!

Je m’en fous contrefous de ce type, mais je suis inquiet pour le patient !

J’entends rarement parler de gens atteint par des maladies incurables ou maudites, alors ça m’inquiète encore plus !

“Une fois arrivé, je vous contacterai. Où dois-je vous prévenir ?” (Makoto)

“… À l’église.” (Chiback)

“L’église, hein.” (Makoto)

Il était donc du côté de la Déesse.

… Non non, un malade reste un malade, sa faction n’a pas d’importance.

“C’est vrai. J’ai entendu dire que la compagnie Kuzunoha a eu des liens avec l’église par le passé. J’enverrai quelqu’un faire le messager dès demain.” (Chiback)

L’affaire de la potion, hein.

J’y suis déjà allé avec Shiki.

Je me souvenais que la personne avec la position la plus élevée était une femme à la voix rauque.

Je leur ai expliqué la méthode de fabrication comme ils me l’avaient demandé et j’ai conclu ceci d’une manière relativement pacifique.

L’église ne nous a pas harcelé ou autre chose.

“Entendu. Dès que l’Ambroise sera délivré, la transaction sera finie, nous sommes d’accord ?” (Makoto)

Je voulais en être certain.

Évidemment, je n’avais pas l’intention de donner un faux.

Cependant, son objectif était le traitement médical, si l’Ambroise ne marchait pas, il y avait la possibilité qu’il continue à demander notre coopération.

Nous devons clairement définir les détails de cette transaction.

“? Bien sûr. Ce jour-là, moi et plusieurs évaluateurs seront présents, et une fois évalué, la requête sera complétée.” (Chiback)

“…” (Makoto)

“Qu’y a-t-il, Raidou ?” (Chiback)

“Non, je comprends. Maintenant, dites-moi tous les détails concernant l’affaire de cette fois.” (Makoto)

“… C’était une partie du marché. Très bien, je vais vous faire promettre de ne pas divulguer ça.” (Chiback)

“Je garde secret les histoires de mes clients. Veuillez ne vous pas inquiéter.” (Makoto)

“… Pfff. La personne ayant besoin de l’Ambroise fait partie d’une certaine et vieille famille de Gritonia…” (Chiback)

Racontez-moi tout… C’était le marché, Chiback-san.” (Makoto)

‘Une certaine vieille famille’, qu’il a dit. Est-ce que vous vous moquez de moi ?

“Aussi longtemps que vous comprenez les circonstances, il devrait pas y avoir de problèmes. Et donc…” (Chiback)

“… On dirait qu’il est impossible d’avoir une discussion avec vous. Pas grave, partez. Allez-voir ailleurs pour trouver ce que vous avez besoin. Et bien évidemment, je ne divulguerai pas le peu que vous avez révélé ici. Maintenant, bon vent.” (Makoto)

“Attendez.” (Chiback)

“Je ne le ferais pas. J’ai enduré par mal de vos tournures de phrases et gâché pas mal de mon temps.” (Makoto)

“Il y a des secrets nationaux ne pouvant être révélés à un simple marchand !” (Chiback)

“Et… !” (Makoto)

“?!” (Chiback)

“Ne vous fiez pas à un simple marchand. Il semblerait que vous soyez en bons termes avec l’Église, alors baissez la tête et je suis sûr qu’ils seront ravis de perdre leur temps avec vous.” (Makoto)

Il agissait comme s’il était au dessus des autres, alors qu’il n’était qu’un simple mandataire.

J’en avais pas envie, mais… Clouons un autre pieu.

Allons-y avec le sentiment d’être en première ligne.

Cette personne, qui est venue à la compagnie Kuzunoha et qui savait que rien ne sortirait de l’église, reviendra certainement si la situation empirait.

Cela me faisait de la peine de demander ça Tomoe à chaque fois, mais j’étais inquiet pour le patient.

Cependant, je ne voulais pas passer un marché avec un mur.

Si en cas de besoin, ce type était la seule personne à pouvoir sauver le patient, je suis désolé, mais je vais considérer cette personne comme finie.

“Espèce de bâtard… Je suis même venu ici en personne, et pourtant, pour qui vous prenez-vous ?” (Chiback)

“Je pourrais dire de même. Même si vous êtes un simple garçon de course, pourquoi vous montez sur vos grands chevaux ? Je ne sais pas qui est derrière vous, mais la compagnie Kuzunoha n’a aucune intention de s’impliquer dans des histoires importantes sans en connaître les tenants et aboutissants. Si les choses peuvent être résolues avec des produits standard du magasin, alors je n’ai rien besoin de savoir, mais se donner la peine de créer un élixir rare alors que vous n’êtes qu’un étranger, c’est une histoire différente.” (Makoto)

“Vous allez donc vous saisir avidement de la moindre chose que vous pouvez obtenir, hein ?! Comme on pourrait s’attendre d’un marchand !” (Chiback)

“Désolé de dire ça, mais vous êtes le plus cupide de nous deux.” (Makoto)

“Arrêtez de dire n’importe quoi !” (Chiback)

“’Vous saisir avidement de la moindre chose que vous pouvez obtenir’ ? Je signale juste que votre façon de décrire les choses vous correspond assez bien.” (Makoto)

“Vous… ! Juste parce que les gens de la ville vous flattent un peu, vous vous croyez plus beau que vous ne l’êtes ! Je vous le ferai regretter assurément ! Ne l’oubliez pas !” (Chiback)

“Ouais, je m’en souviendrais.” (Makoto)

Il s’est mis joliment en colère.

Celui le soutenant dans l’ombre devrait agir.

Comme si j’allais signer un contrat rempli de trous.

Je ne voulais pas être lié à une influence politique sans même le savoir.

Dans cette période où nous déployons nos efforts dans Tsige et sommes occupés, bordel…

J’ai regardé Chiback partir tout en crachant des jurons et j’ai soupiré.

Bon, de l’Ambroise seul pourrait ne pas suffire.

Une situation requérant un puissant élixir devait signifier qu’ils étaient au pied du mur.

Si l’église est impliquée, cela devait être une sacrée affaire.

“… Shiki et moi devrions voir si nous pouvons faire quelque chose.” (Makoto)

Je vais énumérer un certain nombre d’élixir efficaces contre divers symptômes et je les ajouterai ensuite à la demande de production des médicaments.

Nous allons en produire le plus possible lors de ces 10 jours.

Ils reviendront sans doute avant cette date.

“Excusez-moi.” (Beren)

“Ah, Beren. N’étiez-vous pas à Tsige ?” (Makoto)

L’Ancien Nain Beren est entré dans la salle de réception.

J’ai entendu dire qu’il était à Tsige pour la construction magique.

“J’avais des affaires à régler ici. Cet homme à l’instant avait l’air visiblement énervé.” (Beren)

“Ouais, si on souhaite nous demander quelque chose, pas de secret. Il ne semble pas aimer cette règle.” (Makoto)

“… Il va certainement revenir.” (Beren)

“Je le pense aussi… Je suis surpris que tu sois arrivé à cette conclusion.” (Makoto)

“Il y avait également des signes de désespoirs sur son visage.” (Beren)

Je vois.

“Sa personnalité ne correspond pas pour ce genre de tâche.” (Makoto)

“Hahaha ! Si Waka a pu deviner ça, il n’y a doute à avoir alors.” (Beren)

“Et donc, qu’est-ce qui te ramène ici, Beren ?” (Makoto)

“Oh, c’est vrai. J’avais un rendez-vous avec le groupe de Nains ici. Mais je suis venu ici en tant que messager.” (Beren)

“Vas-y.” (Makoto)

“Seiren et Hatsuharu sont venues et attendent en bas. Akua m’a demandé si je pouvais les laisser passer.” (Beren)

“… C’est un duo singulier. Ok, fais-les venir.” (Makoto)

“Bien, je vais maintenant prendre congé.” (Beren)

“Merci pour le travail.” (Makoto)

“Chaque journée est tellement amusant que cela ne donne pas l’impression d’un travail.” (Beren)

L’âme d’un artisan.

Il a dit ça, mais il y avait des jours où il s’effondrait d’épuisement.

La plupart du temps au bar.

On m’a transmis plusieurs plaintes à ce sujet.

“Ah, merci pour le travail, Waka-sama.” (Hatsuharu)

“Désolée pour l’intrusion.” (Seiren)

Il s’agissait d’Hatsuharu et Seiren-san.

Comment se connaissaient-elles ?

Après tout, je ne crois pas que Seiren-san travail aussi comme péripatéticien.

“C’est un duo plutôt étrange je dois dire.” (Makoto)

“Nous nous sommes rencontrées par hasard devant le magasin.” (Hatsuharu)

“J’ai été invitée à venir avec elle vu que j’avais à parler avec Sensei.” (Seiren)

Alors ce n’était pas l’adage ‘le monde est petit’, hein.

“Hum, écoutons-donc ce qu’a à dire, Seiren-san. Qu’est-ce qui t’amène ici ?” (Makoto)

“Pourquoi seulement Izumo-kun ?” (Seiren)

“Hein ?” (Makoto)

J’ai parlé de nombreuses fois avec Seiren-san et je devais qu’elle était crue et directe.

Elle était attentionnée envers les autres et réfléchissait longuement, et au bout d’un moment de cette rumination sans fin de sa tête, elle pouvait dire quelque chose sans queue ni tête.

Comme à l’instant.

“Au début, vous deux veniez ensemble, et pourtant, dernièrement, seulement Izumo-kun vient à mon laboratoire. Pourquoi ?” (Seiren)

Même si tu me demandes la raison, expliquer l’incantation de déplacement peut être accomplie avec juste Izumo.

Puisque je les ai présentés, j’ai tenu à être avec eux de nombreuses fois et a participé à leurs discussions.

J’ai estimé que c’était suffisant et je laissais maintenant Izumo s’y rendre seul.

Y avait un problème avec ça ?

J’ai déjà donné l’argent à l’Académie sous prétexte de soutenir ses recherches.

“Pourquoi, vous demandez… L’incantation de déplacement est quelque chose qu’Izumo a mis en pratique depuis le début, et moi-même, je n’ai pas été très impliqué là-dessus. J’estime que lui seul suffira à vos recherches.” (Makoto)

“C’était vraiment impressionnant. Plus j’entendais parler et plus je trouvais ça révolutionnaire. J’ai senti que grâce à mes conseils, son incantation de déplacement a franchi une étape supplémentaire et nous avons noué une très bonne relation !” (Seiren)

N’est-ce pas du gagnant-gagnant ?

Puisque que mon plan a fonctionné, on pourrait le considérer comme gagnant-gagnant–gagnant.

“C’est bien.” (Makoto)

“Mais vous ! Vous ne venez plus, Sensei !” (Seiren)

“Je n’étais là que pour accompagner.” (Makoto)

“Si vous êtes là également ! Nous allons y arriver ! Encore plus ! Encore plus loin !” (Seiren)

Quoi ?

Qu’est-ce qu’elle voulait dire par ‘encore plus loin’ ?

Je ne comprends pas les scientifiques…

“Même si vous me dites ça, je me rends peut-être à mes cours, mais je suis personne assez occupée.” (Makoto)

Aucun mensonge là-dessus.

Depuis mon arrivée à Rotsgard, j’ai été assailli par une quantité phénoménale de paperasse, rencontres et cours.

De plus, il y avait le groupe d’étudiants avec un objectif inconnu, l’affaire liée à l’Équipe d’Évaluation, alors je n’avais pas le temps de m’asseoir et d’écouter les recherches de Seiren-san.

“S’il vous plaît, encore une fois ! Ce n’est pas grave si c’est juste encore une fois ! Venez au laboratoire ! S’il vous plaît !!!” (Seiren)

“…” (Makoto)

“Sensei !” (Seiren)

En un sens, Shiki était plus occupé que moi.

Seulement pour une fois, je peux bien le faire.

“Bien, j’accompagnerai une fois Izumo.” (Makoto)

“Merci beaucoup ! Désolée pour l’intrusion !” (Seiren)

Elle est partie comme elle est venue.

“… Ah, quel est le problème, Hatsuharu ?” (Makoto)

“Huhuhuhu, cette femme à l’instant, c’était Seiren-san ? Elle aime Waka-sama. Un authentique amour.” (Hatsuharu)

“Pas moyen. Le malentendu commence enfin à s’éclaircir, mais je dirais qu’au mieux nous sommes des connaissances.” (Makoto)

“Je m’interroge à ce sujet. Une femme s’étant isolée dans les profondeurs de l’Académie pour faire des recherches qui vient jusqu’à ici pour se plaindre que vous ne venez plus.” (Hatsuharu)

“Ouais, elle en est capable. Elle vient de le faire à l’instant. Si elle m’aimait, elle ne dirait pas ‘Juste une fois’, non ?” (Makoto)

“… Soyez prudent à ne pas vous faire attaquer et vous faire passer une corde au cou que vous ne pourrez plus vous défaire, Waka-sama.” (Hatsuharu)

“Tu me dis ça en tout état de cause, pas vrai, Hatsuharu ?” (Makoto)

Je n’essayais pas de me vanter ici, mais j’étais sûr qu’il n’y avait aucun moyen réaliste de me forcer à faire quelque chose.

Est-ce qu’elle dirait que je suis jetée sur elle ?

Nope nope.

“Héhéhé.” (Hatsuharu)

“Bordel, laissez-moi respirer.” (Makoto)

“Désolée~.” (Hatsuharu)

“Et donc, aujourd’hui n’est pas un jour de travail dans la compagnie, n’est-ce pas ? Quel est le problème ?” (Makoto)

“En fait, je suis troublée par quelque chose.” (Hatsuharu)

“Oui ?” (Makoto)

“Je travaille dans le bordel d’Ester-san, et après le combat amical l’autre jour, les étudiants ont été vus ici et là depuis lors.” (Hatsuharu)

… Sérieusement ?

À quoi ils pensaient ?

Est-ce qu’ils se sont pris d’affection pour Hatsuharu après avoir été autant battu à plat de couture ?

… Vraiment ?

“À l’heure où le soleil est encore levé, un grand nombre d’étudiants errant dans les environs de l’établissement serait un inconvénient pour les affaires.” (Hatsuharu)

Un grand nombre ?!

Je ne savais pas si c’était Jin, Daena, Misura, Izumo, ou quelqu’un de la 2eme génération, mais… Ces étudiants de Rotsgard avaient des couilles.

De bien des sens.

“Après tout, il y a aussi des dames de haut rang dans le groupe… Il y a beaucoup d’hommes qui sont conscients du regard des femmes dans ce genre d’endroit.” (Hatsuharu)

Des dames.

Hein ?

Ce n’était pas au niveau du courage à ce stade. Elles sont mêmes allés à s’ouvrir à de nouvelles possibilités ?

Se sont-elles égarées à ce point ?

“Des hommes et des femmes en grand nombre… Péripatéticiennes et étudiants. Cela devrait être une sacrée situation là-bas.” (Makoto)

“Hein ?” (Hatsuharu)

“Hein ?” (Makoto)

“…” (Hatsuharu)

“…” (Makoto)

Le temps s’est arrêté un instant.

“Waka-sama.” (Hatsuharu)

“Oui ?” (Makoto)

“Ils ne viennent pas en tant que clients. Ils me voient comme l’une de leurs professeurs et cela me dérange.” (Hatsuharu)

“O-Oui ! J’avais aussi cette possibilité en tête. On dirait que mon imagination s’est enflammée. Désolé !” (Makoto)

“À l’inverse des autres, je travaille à Rotsgard.” (Hatsuharu)

“C’est vrai. L’équipe des Hommes-Lézards et Ema ont été invoqués et ils n’ont pas de rien de relation avec eux en dehors des cours. Bordel, je n’avais pas du tout prévu ça.” (Makoto)

Exact.

Hatsuharu était la seule personne qu’ils pouvaient rencontrer dans la ville.

Et ainsi, ils ont cherché à entrer en contact avec elle en se promenant dans la rue du bordel.

Quel bordel vous m’avez créé…

Et si cette situation devait se propager de bouche à bouche et atteindre les oreilles de Rembrandt-san… Encore plus de problèmes en vue !

Surtout pour moi !

Et également Misura !

Tu es toi-même dans une position assez dangereuse, tu devrais déjà le savoir !

“Comme ce sont les étudiants de Waka-sama et Shiki-sama, je ne peux pas les ignorer. Mais si je les entraînais, je me sentirais mal pour les Hommes-Lézards qui étaient là les premiers.” (Hatsuharu)

“… Entendu. Je vais consulter Shiki et faire quelque chose à ce sujet. Désolé pour les ennuis causés.” (Makoto)

“C’est bon. Mon mode de vie dans cette ville est devenu bien plus intéressant à sa manière grâce à ça. C’est tout ce que j’avais à dire !” (Hatsuharu)

“Merci. Ah, Hatsuharu.” (Makoto)

“Oui ?” (Hatsuharu)

“Est-ce que tu connais quelqu’un du nom Chiback ?” (Makoto)

“Chiback… Ah, l’évaluateur Chiback ?” (Hatsuharu)

“C’est ça. Quel genre de personne est-il ?” (Makoto)

Est-ce qu’elle avait des informations ?

“… Je n’ai pas grand-chose à dire, mais je pourrais vous raconter ce que j’ai entendu par d’autres ?” (Hatsuharu)

“Bien sûr.” (Makoto)

“C’est un Évaluateur compétent dirigeant une célèbre équipe d’évaluateur. Il était originellement un marchand, mais après être devenu une autorité en évaluation, on lui a octroyé un titre de noblesse et des terres en Aion, et il s’est fait un nom en tant que noble d’Aion.” (Hatsuharu)

Aion ?

… Ce bâtard.

Il a dit qu’il s’agissait d’une certaine vieille famille de Gritonia. Est-ce que même le pays était un mensonge ?!

“J’ai entendu dire qu’il se rendait à l’église ces derniers temps. Je l’ai vu être déconcerté par une amie proche ayant fait quelque chose d’inhabituelle.” (Hatsuharu)

“Hmm, Aion. S’est rendu à l’église ces derniers temps, hein.” (Makoto)

“C’est tout ce que je sais. Est-ce que cela vous a aidé ?” (Hatsuharu)

“Cela m’a bien aidé. Je suis désolé pour les ennuis apportés par mes étudiants dans ton travail en dehors de la compagnie. Tu peux y aller maintenant.” (Makoto)

“J’attends toujours vos ordres. Utilisez-moi à votre convenance.” (Hatsuharu)

De la façon qu’Hatsuharu l’a dit, j’avais l’impression d’un sens obscène.

Après tout, ces femmes aimaient agir comme des kunoichis. (NTA : Des femmes ninjas)

Hmmm.

Le travail n’arrêtait pas de s’accumuler.

Je devrais terminer les choses ici et rentrer à Tsige. Après avoir traité les problèmes enracinés ici dans une certaine mesure.

Mais quel bordel.

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