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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 352

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Chapitre 352 : +1

 

Il y avait une étrange atmosphère difficile à expliquer dans la salle de réunion après le départ de Raidou.

Une personne en face d’eux s’était ouverte, et pourtant, c’était comme s’ils craignaient un retour de flamme en ayant rétorqué quelque chose.

C’était ce genre d’atmosphère difficile à expliquer avec des mots.

“Hmm, c’est une heureuse nouvelle d’avoir pu obtenir de nouvelles informations sur la Ville Mirage sans nous y attendre, mais… Nous devons maintenant finir cette guerre ennuyante le plus rapidement possible. Alors que tout le monde a déjà une montagne de travail… Que c’est pénible.” (Rembrandt)

Le seul à se montrer enjoué était Patrick Rembrandt.

La raison derrière ceci était pour afficher la proximité entre la compagnie Kuzunoha et la compagnie Rembrandt.

Il faisait comprendre ainsi à son entourage qu’il n’était pas choqué par les informations révélées et qu’il voyait bien plus que ceci et n’avait pas lieu de s’en plaindre.

“… C’est juste pour confirmer, mais ils cachent certainement quelque chose d’encore plus incroyable. La relation entre la compagnie Kuzunoha et la Ville Mirage reste un mystère. Même en sachant ceci, vous continuez à toujours sourire ainsi, Rembrandt-san ?” (Muzo)

“Bien sûr, Muzo-san. Mais à l’heure actuelle, Raidou-kun est le seul intermédiaire que nous autres marchands avons pour connaître la volonté de la Ville Mirage. De plus, les informations rapportées sont très précises. Cela en est presque effrayant, mais… D’après les informations qui ont été rapportées à Tsige et à moi, pas une seule n’était eronnée.” (Rembrandt)

Tandis qu’ils écoutaient les explications de Raidou, la première chose, qu’ils ont ressenti, était l’étrangeté de la teneur.

Il a donné des informations internes sur un endroit où ils ne pouvaient pas obtenir d’information comme si c’était naturel, alors il était normal qu’ils ont eu l’impression que quelque chose clochait.

De plus, comparé aux informations qu’ils avaient progressivement obtenu auprès des aventuriers, les détails et la précision étaient d’une toute autre ampleur.

Le directeur de la compagnie Muzo grommelait suite aux dires de Rembrandt, c’était une chose naturelle car la réponse de Rembrandt était redoutable.

“Exact. Même le groupe de Bir-kun, que j’ai approché dernièrement, n’ont pas pu beaucoup explorer. Une ville divisée en quartier par des murs, une arène où ils ont pu faire rivaliser leur force, l’anormalité de plusieurs espèces vivant ensemble avec harmonie et l’existence d’un seigneur. Pour parler franchement, ce garçon en sait trop. C’était comme s’il disait ‘C’est tout ce que je peux dire, mais j’en garde toujours plus sous le coude’. Si c’était fait à dessein, j’en serais impressionnée, mais…Raidou-kun l’a fait sans doute inconsciemment.” (Couple)

“Hein ? La dame Couple a donc des vues sur Birgit, hein. Alors il vaudrait mieux de ne pas trop s’impliquer avec eux…” (Bronzeman)

“Oh, ne vous inquiétez pas. L’arme, qu’il utilise, est spécial et il est très important pour les aventuriers d’avoir des relations avec des artisans qualifiés. Entendons-nous et travaillons ensemble.” (Couple)

“Désolé pour ça. C’est un spécialiste du katana d’un tout autre niveau. Il est une bonne référence pour leur entretien et l’apprentissage de leur utilisation. Merci.” (Bronzeman)

La directrice de la compagnie Couple a remarqué que Raidou n’a pas révélé ces informations parce qu’il avait un plan, il le faisait juste sans arrière-pensée, ce qui l’a étonné et troublé.

En conséquence, c’était une situation où personne ne pouvait répliquer, ce qui pouvait être attribué à l’excellence du cerveau de la compagnie Kuzunoha, mais ils en ressentaient aussi un peu de danger.

La personne ayant réagi au nom de Bir était le directeur de la compagnie Bronzeman.

Bir Sheet.

Ayant fait l’amère expérience de revenir vivant à l’annihilation de trois groupes lors d’une requête, il a réussi à reformer un groupe et était l’un des aventuriers qui avait connu une forte croissance récemment.

Il a choisi le métier rare ‘Samouraï’, il a pris le katana comme arme favorite, et quand il avait besoin de maintenance et d’améliorer son katana auprès d’un forgeron, la compagnie Bronzeman en bénéficiait grandement.

Il n’était donc pas étrange pour elle qu’elle eut demandée à la compagnie Bronzeman d’améliorer leur capacité pour qu’il vive plus longtemps.

Plusieurs compagnies soutenant le même groupe n’étaient pas courant, mais cette fois-ci, il était rare de ne pas constater de dispute et tout soit réglé ainsi.

“Il ne se rendait même pas compte de la menace sous-jacent de cette force militaire si nous leur cherchions des noises. Vous vous accoquinez avec une personne dangereuse, directeur Rembrandt. Sérieusement, je n’arrive pas à savoir si vous êtes un homme au grand cœur ou une tête brûlée.” (Batoma)

“Je vous assure qu’il n’a pas de mauvaises intensions. Mais ce n’est pas comme si ne je comprenais pas ce que vous ressentiez, directeur Batoma. Si des gens comme nous, méfiant de nature, entendaient de telles choses, nous craindrions assurément l’éventuel pouvoir détenu par la compagnie Kuzunoha.” (Rembrandt)

Le directeur de la compagnie Batoma se plaignait de la façon d’agir de Raidou avec une expression amère.

Pour lui qui a réussi à gravir tous les échelons de l’industrie alimentaire à partir d’un seul chariot alimentaire, il était le genre de personne qui méprisait les groupes assurant leur dominance par la violence.

C’était la raison pour laquelle il a joint ses forces à des gens du même métier, et en priorisant les connexions annexes, il a créé un système appelé ‘alliance de compagnie’.

Il l’a fait reconnaître par la Guilde et a consacré beaucoup de temps à développer l’industrie alimentaire dans la cité pour éviter toute tentation à la violence.

Même si c’était inconscient ou sans mauvaises intentions, il ne pouvait pas s’empêcher de ressentir du mécontentement devant les dires de Raidou.

Rembrandt était au courant du passé de la compagnie et c’était la raison pour laquelle il n’a rien dit à propos du terme ‘méfiant’.

“Ne malmène pas trop Batoma-kun. Hé, Rembrandt-kun, la réalité est que seule la compagnie Kuzunoha est en mesure d’obtenir un approvisionnement stable en marchandises auprès de la Ville Mirage. S’est-il ouvert sur la méthode de distribution des marchandises ? C’est ce que cette vieille dame voudrait savoir~.” (Couple)

“En ce qui nous concerne, ça serait les techniques épatantes de fabrications d’armes des artisans de là-bas. Ils vivent clairement reclus, et pourtant, leurs techniques nous dépassent de loin, ce qui rend la pilule difficile à avaler. Ils se proclament d’une race ancienne telle que les Anciens-Nains, mais que ce soit vrai ou non, leur capacité est clairement de ce niveau. Que cela soit le produit de la Ville Mirage ou leur niveau initial, j’aimerais qu’ils prennent des disciples si possible.” (Bronzeman)

“En ce qui concerne la compagnie Muzo, nous n’attendons rien de particulier d’eux, mais… Quant à la compagnie Kuzunoha qui a magnifiquement fait ses preuves dans cet endroit, ne devrait-on pas l’accepter officiellement dans nos rangs ? Je présume que Rembrandt-san y songe depuis longtemps.” (Muzo)

Les requêtes de chaque compagnie pour la compagnie Kuzunoha transitaient par Rembrandt.

La raison pour laquelle ils ne le faisaient pas alors que la personne elle-même était présente, c’était dû à la crainte.

Tout le monde l’évaluait pour voir dans quelle mesure ils pouvaient entrer en contact avec lui.

C’était également dû au fait qu’ils le ressentaient instinctivement, cela pouvait être dangereux.

Parmi tout ceci, la compagnie Muzo n’avait pas de demande particulière, et a juste proposé l’idée de reconnaître la compagnie Kuzunoha comme l’une des meilleures compagnies de Tsige.

Évidemment, il y avait une raison à ça.

La compagnie Kuzunoha était devenue l’une des plateformes incontournables d’échange pour la compagnie Muzo.

Qu’il s’agissait d’une matière première dont ils avaient besoin en toute urgence ou originaire de la Ville Mirage, il était conscient qu’il leur demandait des requêtes assez difficiles.

Bien sûr, il leur demandait une grande somme d’argent en retour, mais s’il faisait la même demande à d’autres endroits, il y avait un bon nombre de fois où ça n’était tout simplement pas possible.

Un magasin de produits divers était en un sens présent dans toutes les compagnies, mais la compagnie Kuzunoha était en mesure de coexister avec la compagnie Muzo sans animosité jusqu’à présent.

Par exemple ; La compagnie Batoma semblait être sur le point d’entrer en conflit avec la compagnie Kuzunoha, mais la compagnie Muzo a clairement indiqué qu’en cas de conflit entre les deux compagnies, il prendrait le parti de la deuxième.

Cela démontrait le sens du devoir qu’il ressentait envers la compagnie Kuzunoha.

S’il l’avait fait, Raidou aurait été admiratif et aurait considéré ça comme une base commune pour l’avenir.

Ce qui était triste, c’était que ces requêtes urgentes étaient traitées comme un travail d’appoint pour Akua, Eris et Komoe.

Bien sûr, l’Ogresse Forestière Eris, qui était une employée compétente et loyale, a créé une relation positive avec la compagnie Muzo avec sa profonde vision des choses et il n’y avait aucun doute qu’elle était restée ainsi en raison de cela.

Mais en bref, Raidou laissait ça à leur soin.

“… Je m’interroge à ce sujet. Vous pouvez avoir votre propre point de vie à ce sujet, mais il est du genre à ne pas trouver l’attribution d’un poste comme attrayant et ne pas vouloir se lier qu’à une seule cité. Je ne crois pas qu’il soit nécessaire qu’il fasse partie de ce comité.” (Rembrandt)

“Je pense que c’est une sage décision, directeur Rembrandt.” (Batoma)

“Merci, directeur Batoma. Sachez que je ne veux pas non plus être détesté par lui. Je souhaite toujours avoir une amitié sincère avec lui. C’est vrai… Raidou-kun est un ami important pour Tsige et une personne qui peut être un +1.” (Rembrandt)

Ces paroles ont plongé la pièce dans le silence pendant un court moment.

“… Je vois. Je vais garder ça à l’esprit.” (Batoma)

“Une amitié sincère, hein. Je serais aussi plus vigilant à présent.” (Muzo)

“Cela sonne bien. Peut-être que je devrais le surprendre dans sa compagnie la prochaine fois avec du thé et des douceurs ?” (Couple)

“À ce moment-là, emmenez moi avec vous, madame. Je voudrais jeter un coup d’œil à leur atelier au moins une fois.” (Bronzeman)

Comprenant la manière d’interagir avec la compagnie Kuzunoha, chaque directeur de compagnie a donné son propre avis.

Ils ont immédiatement compris ce que le directeur de la compagnie Rembrandt voulait dire quand il a déclaré ne pas vouloir être détesté.

‘Même si la relation se dégradait, réfléchissez à un moyen de réparer la faute’.

Pour un marchand, pour une compagnie, c’était une chose importante à savoir.

Ce n’était pas comme si un changement de propriétaire était chose courante avec les compagnies avec laquelle ils commerçaient.

Il était extrêmement important de savoir comment modifier l’humeur d’un autre groupe.

Si on savait comment le faire, cela pourrait amener parfois à obtenir des informations et effectuer des transactions dans une situation plus avantageuse.

En un sens, on pourrait dire que c’était sa faiblesse.

Cependant, le directeur de la compagnie Rembrandt, qui pourrait faire presque n’importe quoi dans cette cité sans conséquence, ne voulait pas être détesté par lui.

Il déclarait vouloir avoir une amitié sincère, mais il comprenait également comment les gens autour de lui le prendraient.

Il était un homme mauvais.

En d’autres mots, Rembrandt était la personne avec la longue et profonde relation avec Raidou, mais il ne savait pas comment arranger la relation si elle se dégradait, alors il avait peur d’être détesté.

Il savait que c’était ainsi que son entourage allait le prendre, et c’était bien pour cela qu’il avait déclaré ‘Je ne veux pas être détesté’.

“Eh bien, il a été surpris par le plan de Néo Tsige dont nous allions parler plus tard, disons juste que les deux groupes ont eu leur part de chocs.” (Rembrandt)

“… On dirait bien qu’il était déjà au courant pour les murs au loin.” (Muzo)

Rembrandt a soudainement changé de sujet et le directeur Muzo a calmement rétorqué.

“Cela m’a surpris également. Quel genre de réseau d’information rend ça possible ?” (Rembrandt)

“J’ai entendu dire que l’un des matériaux utilisés pour le mur a été fourni par la compagnie Kuzunoha. Ne croyez-vous pas que cela pourrait être la raison ?” (Couple)

“Couple-san… L’idée d’utiliser ce matériau dans le mur défensif, j’ai honnêtement pensé que c’était une idée brillante, même pour moi, vous le savez ? Pourquoi est-il donc soudainement apparu ?” (Rembrandt)

“C’est un matériau rare qui a été apporté par les aventuriers de la Ville Mirage à un moment donné, n’est-ce pas ? C’est similaire à l’amiante, mais ses performances sont clairement d’une toute autre dimension, même comparé à nos produits tests fabriqués à partir de verre et d’autres matériaux mélangés. Quand j’ai eu une poignée pour en faire une analyse, j’ai eu l’impression de devenir fou. Mais le fait de penser à le mettre dans tout le mur extérieur de la cité me dit que vous êtes vous même assez fou.” (Bronzeman)

“C’est vrai. ‘Si nous pouvions obtenir un approvisionnement stable et en grande quantité…’, cela a été ma pensée lorsque j’ai secrètement fait la demande à des aventuriers, mais… Quand j’ai assisté à la reconstruction de l’orphelinat de l’orphelinat Weitz, Raidou-kun le faisait utiliser en grandes quantités. J’ai à peine pu me retenir tellement la surprise a été grande. Apparemment, c’est un matériau crée en recyclant les restes des joyaux utilisés comme catalyseur magique.” (Rembrandt)

Rembrandt n’a pas réagi à la remarque du directeur Bronzeman ‘me dit que vous êtes vous même assez fou’.

Son origine et sa façon de le fabriquer, il l’a clairement divulgué à dessein.

“Sérieusement ?! L’orphelinat dont on a parlé a été fabriqué avec un matériau aussi incroyable ?! …Hein ? Hé, hé, vous venez nonchalamment de divulguer la méthode de fabrication, n’est-ce pas ?!” (Bronzeman)

“Après tout, ils ont un jardin au 3eme étage. Je crois qu’ils l’ont nommé ‘Jardin du Ciel, non ? … Je pense que si les gens de l’orphelinat acceptaient des visiteurs, ils pourraient en tirer de gros bénéfices. Ils ont même également installé un ascenseur à l’usage de la compagnie Kuzunoha, ce qui est contrariant.” (Rembrandt)

“Hé, hé, êtes-vous sérieux ?! Vous êtes vraiment un bon gars aujourd’hui ! Très bien, l’orphelinat Weitz, n’est-ce pas ? Si nous envoyons un certain nombre de nos artisans pour fournir une maintenance régulière… Héhéhé. Si nous leur disons que c’est gratuit, l’orphelinat ne pourra pas refuser.” (Bronzeman)

Tout en affichant le visage d’un artisan et d’un marchand, le directeur Bronzeman a joint ses deux mains ensemble tout en réfléchissant à la manière de procéder à l’avenir.

“Oh ? Ils ont également un jardin ? J’ai entendu dire qu’ils ont créé quelque chose d’incroyable, mais c’est bien au-delà. L’orphelinat Weitz, hein ? Je vais préparer des cadeaux et leur rendre visite un de ces jours.” (Couple)

“Je suis sûr que ça sera une bonne expérience, Couple-san.” (Rembrandt)

“Maintenant que j’y réfléchis, Rembrandt-san, cette Ginebia-san, vous l’avez fait coopérer très tôt et nous avons sécurisé sans aucun problème une route d’approvisionnement pour le mur, mais…” (Couple)

“… Oui.” (Rembrandt)

Juste après cette déclaration, les yeux de ma diretrice Couple se sont illuminés d’une lumière vive en regardant Rembrandt.

Son regard ne correspondait pas à celui d’une vieille dame.

C’était pour ça que certaines personnes diraient qu’elle était un loup déguisé en mouton.

“Il y a pas mal de marchandises qui ont été envoyées là-bas, pas vrai ? Je vais prendre en charge le transport… Mais il y a des médicaments, des vêtements et de la nourriture ; Et en grande quantité. Je suis de la vieille garde, mais… Je méprise vraiment ceux qui gaspillent les vivres.” (Couple)

“J’en suis conscient.” (Rembrandt)

“Il est possible de continuer à transporter les marchandises au même rythme et la même quantité, n’est-ce pas ? Il n’y aura rien d’aussi affligeant que d’avoir les biens volés par des bandits, je ne me trompe pas ?” (Couple)

“Bien sûr. Je comprends que c’est quantité préoccupante, mais c’est parce que c’est nécessaire que nous le faisons.” (Rembrandt)

“… C’est donc ainsi. Désolée pour ça. L’âge me rattrape. Je deviens plus anxieuse. Il est rare de voir Rembrandt-kun s’investir autant dans son travail. Après tout, vous êtes plutôt du genre à écraser les autres avec beaucoup de liberté.” (Couple)

Avec un sourire en coin, Rembrandt s’est gratté le crâne.

“Je démontre juste comme j’ai beaucoup de liberté, Couple-san. Si vous pouviez observer de près, vous seriez en mesure de dire que je ne suis pas aussi grand que les gens croient.” (Rembrandt)

“C’est surprenant. Je me sens plus soulagée maintenant. Dans ce cas… Peut-être qu’il est temps pour moi de me résoudre aussi à ouvrir le porte-monnaie ?” (Couple)

“…” (Rembrandt)

“?”

Seul le sourire de Rembrandt est resté sur son visage.

Son regard était devenu celui d’un marchand.

Les trois autres compagnies semblaient ne comprendre la signification des dires de la directrice de la compagnie Couple, ils paraissaient confus.

Après tout, dans la proposition folle de Néo Tsige, Rembrandt était l’instigateur et Couple la première à s’allier.

À moins qu’elle ne révèle la signification, les gens ici ne seront pas en mesure de connaître les plans de la future Tsige.

Ceux qui visaient un but, ceux qui regardaient plus loin qu’un objectif, ceux pouvant le comprendre dans une certaine mesure et ceux ayant l’impression que tout ceci n’était qu’utopique ; On pouvait clairement voir cette différence ici.

“La compagnie Rembrandt investit des sommes considérables d’argent, pas vrai ? Pour être franche, cela a surpassé ce que j’ai prédit il y a longtemps. Il ne me semble pas que vous vous soyez endetté, mais dans une certaine mesure, je crois que vous avez l’intention de libérer toute la puissance que vous avez cumulée.” (Couple)

“…” (Rembrandt)

“Qu’il s’agisse de la quantité anormale de marchandises ou l’achat de laine de bijoux ; C’est à un niveau où l’on pourrait acheter plusieurs pays.” (Couple)

Les autres directeurs ont acquiescé.

Ils effectuaient un nombre suffisant de transactions pour être qualifiés de grands marchands et figures centrales de la Guilde Marchande.

Mais la compagnie Rembrandt ne les avait pas seulement surpassés de loin, mais exploser.

Même s’ils avaient des mercenaires et des aventuriers engagés par les différentes compagnies pour la guerre d’indépendance, il n’y avait aucun doute que la compagnie Rembrandt avait le plus d’influence.

C’était elle qui mettait l’argent dans la balance, alors l’impact de ces paroles était puissant. C’était en partie pour cette raison, mais il a également élaboré des plans novateurs efficaces et redoutables.

À l’heure actuelle, il était un marchand œuvrant aussi comme gouverneur.

Pourquoi Rembrandt mettait de l’argent de côté : Pour le bien de son rêve, pour le bien de la cité ; Ignorer tout profit… N’était en aucun cas la raison.

Il connaissait la guerre dans une certain mesure.

Si on y était impliquée, on devait gagner à tout prix ; C’était l’essence de la guerre. Cette détermination était l’une des raisons pour laquelle il ne se montrait pas avare avec.

Cependant, Rembrandt mettait déjà en œuvre la méthode pour regagner tout ceci à coup sûr.

“Et donc, j’y ai réfléchi. Même si nous gagnons notre indépendance et obtenons tous les terres jusqu’aux murs extérieurs… Qu’adviendra-t-il du droit de propriétés de ces nouvelles terres ? Quel est l’avis de Rembrandt à ce sujet ?” (Couple)

“… Bien sûr, si nous faisons quelque chose de compliqué ou d’injuste, personne ne serait d’accord. Dans cette nouvelle cité-état, il n’y aura nul besoin de friction. En mettant de côté les aventuriers et soldats qui auront combattu, ne serait-il pas acceptable pour nous, les marchands, de diviser les terres uniquement en fonction des dépenses de guerres qu’ils ont supportées ?” (Rembrandt)

“Quoi ?!”

“C’est une méthode que tout le monde pourrait accepter. C’est également la méthode qui vous profiterait le plus, et même si nous voudrions nous plaindre, nous ne pourrions le faire. Vous êtes vraiment un homme effrayant.” (Couple)

La directrice de la compagnie Couple a soupiré.

Si Rembrandt poursuivait ses folles dépenses et que Tsige gagnait son indépendance, la plupart des droits de propriété des terres nouvellement acquises lui reviendraient.

Le prix des terrains de Tsige grimpait sans cesse.

La personne ayant le plus de connaissance dans les biens fonciers était Rembrandt.

Il n’était pas permis à une seule compagnie de s’aligner sur lui ou de le surpasser dans ce domaine ou le financement.

À Tsige, les compagnies de ce secteur étaient souvent absorbées par d’autres ou faisaient faillite avant d’atteindre le succès.

Même dans le domaine du savoir faire, il n’y avait pas de groupe surpassant la compagnie Rembrandt.

Dans le cas où les terres seraient divisées, tous les bons endroits seraient entre les mains de la compagnie Rembrandt, ils seraient obligés de les acheter à prix élevés s’ils en avaient besoin ou s’arranger avec un terrain loin de la cité actuelle.

“Si nous ne gagnons pas cette guerre, tout ceci n’aura servi à rien ; Juste un rêve éphémère. Ce n’est qu’une possibilité parmi d’autres. Cela serait injuste si nous ne divisons pas correctement les douces récompenses de la victoire par les efforts et l’argent investi. Pour les marchands, la contribution serait l’argent. J’estime que c’est une méthode vraiment simple et facile à comprendre… Ne le pensez-vous pas aussi ?” (Rembrandt)

“Oui, j’ai entendu dire que vous avez déjà discuté de ça avec la Guilde des Aventuriers. Tsige et la Guilde Marchande ne feront jamais rien de telle que d’utiliser, puis se débarrasser d’un coopérateur et les récompenseront justement. Votre renommée est mondialement connue. C’est complètement différent de l’époque où votre famille a été dans la tourmente.” (Couple)

“J’agis simplement pour le bien de la ville. Si nous agissions d’abord pour nos intérêts personnels, ça ne serait pas différent de l’époque où nous étions sous la domination d’Aion. N’ai-je pas raison, Couple-san ?” (Rembrandt)

“Il est incroyable que je ne puisse même pas dire si cette déclaration est un mensonge. Désormais, je dois penser à l’avenir. À cette allure, Rembrandt-kun va tout récupérer. Même si j’essayais de me mettre en travers de sa route, nous serions les premiers à mourir si nous perdions. Je ne sais pas à quel moment c’est arrivé, mais nous avons été entraînés là-dedans.” (Couple)

“….”

Les autres personnes à cette réunion ont compris la situation et de la sueur froide a coulé le long de leur dos.

Il était vrai que même s’ils essayaient de créer une cité gigantesque, comment allient-ils diviser les terres nouvellement acquises ?

Elles pourraient être temporairement sous la propriété de la nouvelle administration de la ville, mais ils allaient créer une cité où toutes ses terres seront son territoire. Il s’agissait d’une idée jamais vue auparavant, et la ville, qui en sera à l’origine, restera détenteur légitime de ces terres.

Personne ne savait si la manière dont les nations ont procédé jusqu’à présent était la bonne manière ou non.

Si la guerre se terminait sur une victoire, même s’ils se disputaient et s’opposaient après la guerre, l’activité actuelle de Rembrandt ferait pencher les aventuriers de son côté, et s’ils proposaient de diviser les terrains selon une méthode paraissant juste, pourraient-ils proposer une autre méthode pouvant contrebalancer ceci ?

Si c’était mal gérer, même en cas de guerre victorieuse, leurs vies pourraient être menacées.

Pour le moment, le moyen le plus efficace de se protéger était de dépenser sans compter pour l’indépendance de Tsige.

(Cette foutue harpie. Je songeais à me débarrasser des idiots qui observaient avec insouciance tout en s’illusionnant siroter les fruits de la victoire sans avoir rien fait… Non, peut-être qu’elle a commencé à s’inquiéter que je sois à court d’argent après avoir enquêté sur les dépenses effectuées ? C’est possible. Avec ce genre de menace, les gens présents ici vont sans aucun doute donner leur propre argent. Pff, un peu plus et j’aurais pu balancer du navire des gens comme Batoma, mais… Peut-être que ça serait plus profitable s’il m’en devait une ?) (Rembrandt)

Rembrandt était silencieux.

Mais il pestait intérieurement et crachait quantité d’insulte envers la directrice de la compagnie Couple, et ne cachait pas le fait qu’il évaluait les autres compagnies.

(Eh bien, eh bien. Se pourrait-il qu’il en ait encore sous le coude ? Alors je pourrais avoir fait quelque chose de mal. C’est comme le dit Rembrandt-kun, tout cela ne sert à rien si nous ne gagnons pas la guerre. Si tout se passe bien, tout ceci pourra arriver, mais… D’où lui vient cette confiance ? Avec Ginebia-san pouvant utiliser une technique de transport massive de marchandises semblant effacer tous les inconvénients de la téléportation, le fait que le chef de la Guilde des Aventuriers soit venu ici… C’était quand la dernière fois que mon sang a bouilli comme ça ? Aaaah, si j’étais plus jeune, je serais…) (Couple)

La directrice de la compagnie Couple a affiché à nouveau le visage d’un loup se léchant les babines sous son masque.

Elle n’a toujours pas compris la raison pour laquelle Rembrandt avait une confiance totale en la victoire, mais elle a décidé qu’à partir d’aujourd’hui, elle se lancera à fond dans l’indépendance de Tsige.

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