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Tsuki ga Michibiku Isekai Douchuu Chapitre 354

L’idée d’un esprit tordu

Chapitre 354 : L’idée d’un esprit tordu

 

“Non, e ne peux pas soutenir ceci.”

“Non ? J’estime pourtant que c’est une idée splendide et révolutionnaire.”

Dans l’atelier des forgerons où la chaleur était confinée à l’intérieur et pouvait être considéré comme le champ de bataille des artisans, deux marchands se faisaient face à face dans une salle de ce même atelier.

L’un d’entre eux était le chef de l’atelier et aussi le directeur de la compagnie Bronzeman plus perçu comme une tache supplémentaire.

L’autre portait des vêtements élégants ne correspondant pas à cette place, le directeur de la compagnie Rembrandt.

On pouvait deviner à leurs expressions que ce n’était pas une discussion plaisante.

“Une division du labeur est quelque chose qui a pour but d’augmenter la qualité du produit fini.” (Bronzeman)

“C’est la division du travail quand il s’agit de créations, n’est-ce pas ? Je parle ici de produits manufacturés. N’est-ce pas une erreur de les considérer de la même manière ?” (Rembrandt)

“…” (Bronzeman)

“Vous pouvez simplement leur enseigner individuellement les connaissances et techniques dont ils auront besoin dans quelques jours. Il n’est pas nécessaire de se préoccuper de l’ensemble ou la performance du produit. En demandant simplement à un artisan de superviser le travail que même un enfant pourrait accomplir, la capacité de production augmenterait grandement. En réalité, rien ne garantit que quelqu’un puisse obtenir les créations qu’il souhaite. Et donc, n’est-ce pas à vous de réfléchir sur la façon de produire des marchandises à bas prix ?” (Rembrandt)

“Mon boulot, hein… La supervision de marchandises grossières qui seront fabriquées à votre demande. Je considère que c’est mon travail de fabriquer des articles de qualité acceptable.” (Bronzeman)

“Hmm… Que c’est dommage. On ne peut pas faire autrement.” (Rembrandt)

“?” (Bronzeman)

“Votre réaction était légèrement différente de ce que à quoi je m’attendais, mais nous avons nos propres standards. Laissons cette histoire à plus tard.” (Rembrandt)

“Hein ? Et dire que je pensais qu’il était rare pour vous d’abandonner si facilement. Qu’est-ce que vous essayez de dire ?” (Bronzeman)

Cet homme a appris qu’il ne servait à rien de mettre la pression et menacer uniquement par des paroles et attitude, et sa contrariété a fini inconsciemment par s’afficher sur son visage.

Eh bien, ces deux-là se connaissaient depuis suffisamment longtemps pour ne pas arrêter les négociations suite à quelques déclarations et faire toute une affaire pour en prendre avantage.

“Ce n’était pas comme si vous étiez comme le Lime Latte du passé. J’aurais cru que vous avoueriez honnêtement que vos artisans perdraient leur travail, ce qui serait bien sûr problématique. En ces temps où chaque seconde est précieuse, je vous ai sous-estimé en pensant qu’un artisan de votre niveau ne ferait pas des montagnes de tracas inutiles.” (Rembrandt)

“… Bon sang. À un certain moment, ce jeune homme est devenu le visage de la cité. Vos yeux, vos oreilles et votre nez sont devenus bien plus aiguisés que les miens il y a bien longtemps.” (Bronzeman)

“Il est bien dommage de ne pas obtenir votre coopération, mais c’est un programme de production qui est absolument nécessaire pour tourner notre regard vers l’avenir pour Tsige. En ce qui concerne l’équipement, il y a le côté des Terres Dévastées, c’est votre territoire et je n’ai aucune intention d’interférer avec ça. Mais pour les nécessités du quotidien, j’en suis désolé, mais nous commencerons dès que les préparatifs seront finis. Après tout, j’ai l’impression qu’il est nécessaire d’avoir des retours et des améliorations le plus rapidement possible.” (Rembrandt)

“Cela signifie que vous allez attendre le moment où c’est moi qui viendrai vous voir pour m’incliner ? Le mot pitié ne fait-il pas partie de votre dictionnaire ? J’avais pensé que vous étiez devenu plus doux avec les aventuriers suite au dernier conflit. Souhaitez-vous vraiment vous mettre à dos tous les artisans cette fois, Rembrandt ?” (Bronzeman)

“Bien sûr que non. J’accorde une grande importance à la production et la maintenance des équipements pouvant être seulement réalisées par des artisans qualifiés, ainsi que les nombreuses autres œuvres réalisées par vos mains expertes. Ils n’auront pas moins de travail. Après tout, je suis un homme qui apprend de ses erreurs. Mon conflit avec les aventuriers m’ont donné à réfléchir sur de nombreuses choses.” (Rembrandt)

“Écoutez-moi bien, si les jeunes artisans, qui sont censés grandir pour devenir ces ‘artisans qualifiés’ dont vous parlez, disparaissaient, vous pouvez clairement deviner ce qui se passera. L’application de cette division de travail dont vous parlez va nous faire perdre nos jeunes.” (Bronzeman)

“… Oh, mais n’avez-vous pas élevé un bon nombre de disciples ? J’ai entendu dire par une petite voix que vous avez fait quelque chose de similaire à une association d’aide mutuelle entre artisans ?” (Rembrandt)

“… Heureux de savoir que vous connaissiez si bien les affaires des autres. C’est exact, mais je ne les soutiens pas dans tous les aspects de leur vie. Après tout, un artisan décent ne naît pas sans un peu d’aide.” (Bronzeman)

Le directeur de la compagnie Bronzeman a soupiré tout en répondant à la question de Rembrandt.

Exaspéré par le fait qu’il connaisse aussi bien la situation actuelle des autres compagnies.

Et pendant ce temps, il se demandait s’il écoutait ses explications alors qu’il savait déjà ce qu’il allait répondre.

Dernièrement, Rembrandt a été particulièrement vif.

En bien des manières.

Le directeur de la compagnie Bronzeman a ressenti une sensation répugnante à la pensée qu’il suivait une route prédéfinie.

“Il n’y a donc aucun vrai problème. Utilisez-les comme ferait un superviseur, en leur donnant des petits boulots qui leur serviront d’agent de poche, et ça servira à combler les trous.” (Rembrandt)

“Un travail insipide qui ne servira pas du tout à leur croissance en tant qu’artisan ?” (Bronzeman)

“Hahaha. Mais ‘un artisan décent ne naît pas sans un peu d’aide’, pas vrai ? Moi-même, je voudrais qu’ils améliorent leurs aptitudes jusqu’à un certain point. Pour vous aussi, ils seront très utiles même s’ils sont encore novices.” (Rembrandt)

“… Tch.” (Bronzeman)

Ce que Rembrandt disait n’était pas faux en essence.

Il était vrai que les forgerons, qui étaient dans les articles du quotidien, voyaient plus ça comme de l’argent de poche que pour s’entraîner.

Mais le directeur de la compagnie Bronzeman ressentait une certaine appréhension à l’idée de changer les coutumes et traditions qu’ils perpétuaient et affinaient.

Afin de polir ses compétences et être reconnu comme un artisan de première ordre, il était vrai qu’il fallait se perfectionner.

“C’est quelque chose que j’ai également appris à l’époque, mais il y a des problèmes qui peuvent être évités si on explique les choses correctement. En fait, la relation entre Lime et moi a été vraiment toxique et pleine de malentendues. C’est ce qui a créé le fossé entre lui et moi. Je ne souhaite pas répéter les mêmes erreurs. J’aimerais avoir une bonne relation avec vous et maintenir un approvisionnement stable pour l’armée.” (Rembrandt)

Simplification de la division du travail.

C’était le problème entre les deux et la proposition de Rembrandt.

La division du travail était principalement appliquée par les artisans pour augmenter la qualité d’un produit, et cette proposition venait à rompre avec leur façon de faire.

D’un autre côté, en simplifiant chaque procédé de fabrication, une personne lambda sans compétence de production correspondante pourra s’impliquer dedans. C’était ce que Rembrandt considérait comme une idée révolutionnaire.

Selon la personne qui l’entendait, c’était basiquement comme voler le travail des artisans et la raison provoquant le froncement de sourcils du directeur de la compagnie Bronzeman.

“… C’est une rude plaisanterie. Est-ce que vous me dites que vous allez même procéder de cette manière avec l’équipement de l’armée de Tsige ?” (Bronzeman)

L’expression du visage du directeur de la compagnie Bronzeman s’est raidie.

Bien sûr, c’était parce qu’il pensait que c’était sa compagnie qui s’occuperait de l’équipement de l’armée de Tsige.

Cette supposition n’était pas due à sa vanité, mais du fait que ça demandait une qualité et quantité dont il pourrait dire avec fierté qu’il serait impossible sans que sa compagnie fut impliquée.

“Il est vrai qu’il faut bien réfléchir convenablement à l’épaisseur et la qualité de l’équipement. Au passage, l’un de mes idées était de faire fabriquer de l’équipement par des novices avec une division du travail simplifié, et plusieurs personnes s’y sont opposées.” (Rembrandt)

“Êtes-vous sain d’esprit ? Ceci ne vous ressemble pas.” (Bronzeman)

“Vraiment ? Par exemple ; Les flèches. Si nous vous les confions toutes, en fonction de la situation, la production ne pourrait pas suivre, ne le croyez-vous pas ? Ou bien irez-vous dire aux tacticiens que vous ne pouvez pas augmenter le rythme de production et qu’il faut élaborer un plan avec une quantité de flèches limitée ?” (Rembrandt)

Même si actuellement, ils suivaient la demande des aventuriers, ce n’était pas comme si toutes les flèches étaient traitées par des artisans.

La plupart d’entre eux étaient achetés à des compagnies extérieures.

“… Flèches, hein. En dehors d’une utilisation spéciale, il est vrai que des artisans les fabriquant toutes… Ne serait pas réaliste.” (Bronzeman)

“Exact ? Il y a beaucoup de consommables utilisés par l’armée. Si les flèches pouvaient être extraites, ça serait bien, mais ce n’est pas comme si elles pouvaient être réutilisées. Le problème de qui sera en charge se posera également. Après tout, même si on vous disait plus tard que vous n’y avez pas pensé ou que c’était en dehors des attentes, il sera trop tard.” (Rembrandt)

“… Vous allez donc étendre la division du travail ainsi que les produits de nécessité quotidienne ? Commander chaque partie séparément, les faire fabriquer par des travailleurs à temps partiel et des ateliers de tailles moyennes, et les faire assembler en masse dans des ateliers spécialisés ?” (Bronzeman)

“Ne croyez-vous pas que c’est une excellente façon de faire les choses ?” (Rembrandt)

“… Je pense que c’est idée écœurante tout droit sorti d’un esprit tordu. Des marchandises produites en masse sans âme. En outre, confier à des débutants à temps partiel.” (Bronzeman)

Mais c’était efficace.

Il n’était pas nécessaire de passer par la rude formation d’un artisan, aussi longtemps que la personne était en mesure de fabriquer un simple produit, qu’on pouvait le superviser, cela deviendrait un métier, et ça augmenterait le taux de production d’une ville, d’un pays à un degré exceptionnel. En tant que personne qui a longtemps vécu en tant qu’artisan, ce concept lui donnait la nausée.

Il avait l’impression que leur place en tant qu’artisan leur serait volé par des employés journaliers sans compétences.

Leur définition de la division du travail était de répartir les tâches de création entre chaque personne, polir leurs compétences, partager la même vision de l’ensemble du produit final, de viser un véritable chef d’œuvre ; C’était complètement l’opposé de l’idée de Rembrandt.

Mais le directeur de la compagnie Bronzeman était impressionné par la manière dont il a pondu ça et le maudissait intérieurement.

Si possible, il souhaiterait revenir dans le temps à une époque où cet homme n’avait pas eu cette idée et retrouverait la paix.

C’était ses vrais sentiments.

“S’il vous plaît, ne regardez pas seulement les mauvais côtés. Selon la manière de comment vous voyez les choses, vous pouvez également utiliser ce genre de méthodes pour réaliser d’excellentes pièces, et puisqu’on ne les commande pas à des artisans spécialisés, il n’est pas nécessaire de montrer toute la réalisation du produit fini, juste sur une partie en fait. N’est-ce pas une bonne chose pour éviter les vols des techniques ?” (Rembrandt)

“…” (Bronzeman)

“En plus, vous pourriez sauver des gens qui n’ont pas de travail avant qu’ils ne perdent tout. Même le travail des enfants dont nous parlions avant. Si cette méthode permet une supervision juste, alors ils ne seront pas exploités comme des esclaves, ça pourrait même être demandé aux orphelinats. S’ils pouvaient obtenir une source de revenus qui ne dépend pas spécifiquement de compagnies, j’estime que ça deviendrait un plus pour l’avenir.” (Rembrandt)

“… Vous… Se pourrait-il que… À quel point au juste…” (Bronzeman)

‘À quel point au juste vous vous projetez dans l’avenir’, c’est ce qu’il essayait de dire, mais sa gorge était sèche et il n’arrivait pas à s’exprimer.

Quand il parlait de flèches, il se demandait honnêtement quel était le problème à acheter à les acheter à l’extérieur, mais se faire une raison à partir de l’explication donnée lui donnait des sueurs froides.

“Réfléchissez-y. Tsige ne s’étendra pas seulement aux murs que nous voyons d’ici. Elle s’étendra jusqu’à ces nouveaux murs au loin. La population va augmenter. Du travail sera nécessaire pour suivre cette augmentation. Il n’y a nul besoin de mendiants et nous n’avons aucune intention de nous en occuper, c’est donc une évidence, pas vrai ? Nous avons besoin que les nouveaux citoyens deviennent la force de la cité… Non, le pays, ou sinon ça ne servirait à rien.” (Rembrandt)

“Et ainsi, vous augmenterez le nombre d’emploi de façon explosive ?” (Bronzeman)

“Ouais, nous pouvons utiliser le réseau d’information de Couple-san pour transporter les parties d’un atelier à l’autre. Cette grand-mère a déjà augmenté son personnel et à créer une feuille de route. Jusqu’à quel âge a-t-elle l’intention de rester dans les affaires ?” (Rembrandt)

“Elle va certainement travailler pour le reste de sa vie…” (Bronzeman)

“Tout d’abord, la quantité d’aventuriers va augmenter à l’avenir de plusieurs fois le nombre actuel, n’est-ce pas ?” (Rembrandt)

Comme s’il disait ‘Vous êtes au moins en mesure de prédire ça, non ?’. Les paroles de Rembrandt se sont profondément gravées au sein du directeur de la compagnie Bronzeman.

C’était dû au fait qu’il pensait assurément à se préparer à faire face à une augmentation de la population de plusieurs fois.

“!” (Bronzeman)

“Jusqu’où pouvez-vous gérer les choses une fois que tout sera gonflé de plusieurs fois… Plusieurs dizaines de fois plus que maintenant dans la situation actuelle. Je me suis senti mal à l’aise juste en voyant que l’atelier était pareil à d’habitude quand je suis venu aujourd’hui.” (Rembrandt)

“… Rembrandt, à quel point estimez-vous que la population de cette ville va augmenter ? Soyez honnête s’il vous plaît. De même avec les terrains et l’argent… On dirait bien que vous et moi voyons les choses différement.” (Bronzeman)

“Être honnête, hein. Je ne l’ai pas déjà été depuis le début, non ?” (Rembrandt)

“Hein ?” (Bronzeman)

“Néo-Tsige va devenir le grand meilleur pays du monde.” (Rembrandt)

“Je l’ai déjà entendu. C’est ce que vous avez programmé après avoir rassemblé les marchands, n’est-ce pas ?” (Bronzeman)

“Les gens vont évidemment se réunir dans le plus grand pays du monde. Il va donc devenir le pays avec la plus grande population du monde.” (Rembrandt)

“J’ai perdu le compte du nombre de fois que je l’ai déjà dit, mais… Êtes-vous sain d’esprit ?” (Bronzeman)

“Au début, 100 fois plus important.” (Rembrandt)

“?!” (Bronzeman)

“De plus, peu importe la forme que prendra l’indépendance d’Aion, je ferai en sorte qu’il devienne l’une des plus grandes puissances en quelques années.” (Rembrandt)

“P-Pas la c-cinquième puissance majeure ?” (Bronzeman)

“C’est quelque chose dont j’étais presque sûr après m’être associé avec eux pendant un long moment, mais c’est assez clair maintenant. Le royaume d’Aion est juste une puissance majeure par la taille. On pourrait dire qu’il est un délicieux bonbon pour Tsige.” (Rembrandt)

“Le Royaume d’Aion qui a actuellement une armée plus grande que même Gritonia et Limia affaiblis par la guerre avec les Démons ? Et vous les considérez comme un bonbon ?” (Bronzeman)

Comme l’a déclaré Bronzeman, l’ampleur de l’armée du Royaume d’Aion envoyée à Tsige pourrait être décrite comme écrasante.

C’était à un tel point qu’il n’y avait pas besoin de réfléchir à la différence de force militaire et c’était ridicule de même comparer les nombres.

Une armée si massive, même s’ils essayaient de subjuguer Tsige, pulvériser l’armée révolutionnaire et retourner à la capitale, les gens de la capitale ne seraient pas en mesure de dire combien de pertes ils avaient subis.

Quelque que fut la puissance des aventuriers dont ils avaient leur coopération, il était impossible de l’emporter face à une telle différence.

Ils seraient certainement engloutis par cette vague et tués.

Il n’y avait aucun doute qu’il serait difficile de même maintenir l’ordre devant eux.

“Hmm… Je pourrais avoir été un peu excessif.” (Rembrandt)

“Cela ne change pas beaucoup.” (Bronzeman)

“Ouais. Et donc, qu’en est-il ? Je suis venu ici jusqu’ici en pensant que nous recevrions le soutien total de la compagnie Bronzeman, et également obtenir des conseils.” (Rembrandt)

“… Vous avez fait une proposition terriblement similaire à la dame Couple avec la voirie et la circulation des marchandises, n’est-ce pas ?” (Bronzeman)

Après avoir entendu beaucoup de choses de sa part lors de la dernière réunion, il était sûr qu’une nouvelle ère allait voir le jour.

Même lorsqu’il s’est résolu à repartir de zéro en faisant table rase du passé pour être à l’avant garde de cette nouvelle ère, il n’arrivait pas du tout à suivre les pensées de Rembrandt.

S’il était juste un homme fou, il pourrait juste être ignoré, mais ce qui était terrible, c’était que Rembrandt avait l’intention d’en faire une réalité.

Il était sûr qu’il avait également déclaré quelque chose d’outrageux à la compagnie Couple.

“Pas vraiment. J’ai juste eu un cours sur la circulation des marchandises, à un point où je pouvais calculer si le transport des marchandises sera en mesure de faire face à l’augmentation de la méthode de production.” (Rembrandt)

“C’est définitivement un mensonge.” (Bronzeman)

“Qui sait. La seule chose que je sais, c’est que je dirais pas quelque chose qui pourrait nuire à la compagnie Bronzeman.” (Rembrandt)

“… Entendu. J’en suis. Mais parce que je pense honnêtement que vous êtes effrayant. Bon, je ne suis pas responsable d’eux, mais si possible, mettez de votre côté aussi Muzo et Batoma.” (Bronzeman)

“Muzo est vraiment compétent. Il a déjà commencé à agir. Après cette réunion, il a été le premier à se rendre à la guilde pour y déverser de l’argent comme si ce n’était rien et a commencé à assister encore plus les aventuriers qu’auparavant.” (Rembrandt)

“Vous savez déjà ce qu’il a fait ? Qu’en est-il de l’association de Batoma qui s’est un peu affaibli récemment ?” (Bronzeman)

“Tant qu’il n’arrêtera pas avec cet enclos à mouton qu’il appelle ‘association de compagnie’, ils n’ont pas d’avenir. Eh bien, ça serait une perte s’il me causait des soucis en tentant de faire quelque chose contre Raidou-kun, mais peut-être qu’à l’avenir, je l’amènerai aux sources chaudes pour lui donner un dernier bon souven… Je voulais dire une dernière chance.” (Rembrandt)

“Raidou-kun, hein. Même si la compagnie Kuzunoha est un magasin divers, ils ont des techniques monstrueuses de constructions. On dirait bien que je ne peux pas choisir mes méthodes si je souhaite survivre.” (Bronzeman)

Ce Rembrandt aux sens incroyablement aiguisés était assurément dû à Raidou et la compagnie Kuzunoha de bien des manières.

Ce n’était pas une chose joyeuse pour les autres marchands de Tsige, mais ça signifiait que la rencontre de ces deux-là avaient créé une incroyable réaction en chaînes.

Ce n’était pas comme si Bronzeman n’avait pas eu la pensée suivante ‘Cela aurait été mieux s’ils ne s’étaient pas rencontrés’, mais s’il devait choisir entre la Tsige actuelle et celle d’avant, le directeur de la compagnie Bronzeman opterait pour la première.

Par conséquent, il n’avait pas d’autre choix que de reconnaître le tsunami qu’il ne pouvait pas éviter.

“Que diriez-vous également de venir aux sources chaudes avec Batoma ? Non, allons-y juste avec tout le monde. Cela me paraît une bonne idée.” (Rembrandt)

Comme s’il faisait volte-face, Rembrandt l’a invité avec un grand sourire sur le visage.

“Tout le monde… Hein. J’accepte toutes invitations. Aah, on dirait bien qu’il y a une énorme différence entre nos statuts maintenant. Je ne peux pas rester les bras croisés.” (Bronzeman)

“Se plonger dans une source d’eau chaude est apaisant. Je suis sûr que vous aimerez.” (Rembrandt)

En fait, il s’agissait d’un prototype pour la production en chaîne.

Ce jour-là, une évolution industrielle silencieuse s’est produite à Tsige.

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